Leilwen, Tout d'abord, laisse-moi te dire que j'aime beaucoup ta citation d'Antigone. Toute la jeunesse est là-dedans. Ce doit être l'Antigone d'Anouilh, non ?
Ensuite, merci pour ton commentaire : parler de ce que l'on ne connait pas à quelqu'un qui ne comprend pas, c'est du grand art. C'est de quoi sont faites les Brèves de Comptoir.
Mais dans le cas de cette conversation, il faut admettre que l'un des deux connait un petit peu le sujet, en tout cas certainement plus que moi.
ArianeTu dois te méprendre sur ma connaissance du sujet, mais c'est plutôt flatteur. Comme ma réponse à Leilwen ci-dessus le laisse paraitre, je ne connais pas grand-chose au principe d'Heisenberg, et je ne me vois pas me lancer dans une telle "vulgarisation plus fouillée".
La vulgarisation est un exercice difficile : il faut très bien sinon parfaitement connaitre le sujet, attribuer arbitrairement un niveau de connaissance à ses lecteurs, et surtout, surtout, ne pas emmerder le monde. Je ne pense pas réunir toutes les qualités nécessaires pour ça.
AvistodenasEt en plus, tu as raison, ça ne pourrait pas être court. De plus, je ne vois dans le MdE ni rubrique "Vulgarisation", ni "La science pour les moyennement comprenant", ni "Comment briller à peu de frais en société".
SundaysukiDrôle : merci. En tout cas, je me suis bien amusé à l'écrire. Je suis souvent bon public avec ce que j'écris.
Je suis effectivement un fan de la Big Bang Theory et je ne m'étais pas rendu compte que ce pourrait presque être un dialogue entre Sheldon et Penny. A la réflexion, pas Sheldon, il serait beaucoup plus méprisant pour son interlocuteur, mais plutôt entre Leonard et Penny. Mais Penny ne serait ni aussi vulgaire, ni aussi patiente, et beaucoup plus sarcastique.
FriedJ'avoue que cela me fascine, parce que si les savants ne comprennent pas tout ils arrivent tout de même à en faire qlq chose de concret, par exemple le microscope à effet tunnel.
C'est une des belles surprises de la science : avec des théories bancales, non parfaitement établies, et même parfois fausses, on arrive à faire des trucs qui marchent.
AvistodenasJe n'avais jamais entendu parler de ces systèmes de chiffrement inviolables (sauf dans la série Mission Impossible ou le message s'autodétruisait dans une petite fumée bleue dès la lecture achevée) mais ça ouvre la porte paradoxale à tout un tas de nouvelles de Science Fiction.
KokoxJe te remecie du passage et de ta revendication. Je pense que pour le reste de ton commentaire, tu t'adressais à d'autres que moi, car je ne t'ai pas commenté depuis longtemps. D'ailleurs j'attends le chapitre final de ta terrible histoire "Et les chiens..." avec impatience. Je viens d'ailleurs de constater que tu avais prolongé l'histoire de Martin Opitz. Je ne vais pas tarder à m'y plonger.
Pour ce qui est de tes interventions musclées, si je ne suis pas toujours d'accord sur le fond, elles font souvent mon bonheur par leur forme.
Benoit QuercyMerci pour ta visite. Effectivement, je n'avais placé le barman Raymond dans mon histoire que pour faire comprendre au lecteur que c'est une discussion qui se déroule dans un bistrot, dernier lieu où l'on peut discuter sérieusement, et où je peux écrire tranquillemet.
Jobear51Je ne suis pas sûr d'avoir tout compris, mais ça m'a bien plu.
AvistodenasEn effet, ce qui caractérise les mathématiques - et c'est totalement contre-intuitif - c'est leur esthétique.
Esthétique, esthétique, quand tu nous tient...
Ne dérange pas mes cercles, imbécile ! avait dit Archimède au centurion qui allait le tuer.