[Manu]

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[avistodenas]

Juste une question : si les mecs étaient bourrés en se trompant de case, en quoi ont-ils bien pu être utiles à ces dames...? 

[Léilwën]

Coucou Manu !

Globalement, je me suis bien marrée même si les situations m'ont semblé parfois un peu tirées par les cheveux et que comme le dit Avisto, je ne suis pas convaincue par la fin........ ! 

Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.

Je te fais un relevé au fil du texte :

Au début, j'avais donné mon corps à la Science. Très vite, je me suis rendu compte qu'elle n'en voudrait pas alors j'ai passé le concours de la gendarmerie.

=>

la partie théorique était concentré

=> +e

une reconnaissance facial

=> +e

J'ai eu 10 sur 10

=> "pas con Jean-Pierre !"

L'épreuve pratique s'avéra plus compliqué

=> +e

j'ai du

=> dû

Oui, la vie était aussi limpide que trois doigts de vodka sur la glace

=> la métaphore alcoolisée me fait sourire

pourquoi Océan Indien

=> j'aurais mis des guillemets à "Océan Indien"

A Saperlipopette

=> À

la Franche-Comté pas celle des contes

=>

pour un retour à la normal

=> +e

alors qu'elles avait prévues

=> -es

le sucre avalé laissa la place au suc à faire avaler

=>

Et au fur et à mesure des détours pour accomplir une ligne droite

=>

Moi, qui, très vite avait

=> avaiS

Il n'y a bien que Michel qui trouva le moyen de se glisser dans Célestin

=>

Les femmes qui, je le répète avait

=> avaiENt

je faisais aussi le docteur (Quelle

=> pas de majuscule

Merci pour la marrade et l'aération du cerveau ! 

[Claudius]

Ah ! Ah ! Ah ! J'ai bien ri !

Je ne vais pas reprendre ce qui a été dit, sauf une petite faute oubliée :

alors qu'elles avait prévues

elles avaiENT prévu 

Et pour en rajouter encore, je suis d'accord sur la fin.

Je me demande si je ne vais pas me cantonner à lire les textes amusants, ça fait un bien fou le soir après une rude journée !

 

[Manu]

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[Champdefaye]

Très drôle.
J'aime beaucoup l'entrée en matière  "Au début, j'avais donné mon corps à la Science. Très vite, je me suis rendu compte qu'elle n'en voudrait pas..." et d'autres choses comme "... au milieu de l'Océan Indien. D'ailleurs, jamais compris pourquoi Océan Indien ? A Saperlipopette, il n'y avait que des noirs et moi..." Ce genre de réflexion me ravit.
L'histoire est bonne et si elle se prolonge, comme cela semble promis, tant mieux.

Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.

[Fried]

Ah que voilà enfin une approche que dis-je une étude sérieuse, ethnologique et alambiquée sur la Saperlipopote.
Avec tout de même quelques vérités à consommer avec modération.
Merci Manu pour cet humour.

[Manu]

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[kokox]

Hello Manu,

Je vais, si tu le permets, te faire le même reproche sur ton court récit que j'ai fait dernièrement à Avistodenas sur son texte "Avocat" ! Il y a chez toi la drôlerie innée, l'amour de la facétie, la dérision bon enfant, la saine envie de te distraire et par là même de réjouir tes semblables, mais je trouve que tu pèches toi aussi par trop de gourmandise et de surenchère. M'est avis que tu as l'imagination suffisante pour ne pas en rajouter une goutte superfétatoire. Ainsi, la première partie relatant les scènes du concours de gendarmerie me parait un peu too much dans son côté branquignolesque. Perso, j'y décrypte le désir fou de faire rire, lequel est amoindri, selon moi, par des situations qui me font beaucoup moins m'esclaffer. À mon goût, nettement plus dosée et crédible (bien qu'également loufoque) est ta seconde partie lorsque ton héros se retrouve à Saperlipopette et commence gentiment à se prendre pour le roi du monde. Là, il y a vraiment matière, si tu choisis bien tes situations, à nous faire découvrir tout un monde que nous n'avons pas l'habitude de fouler.
En te souhaitant donc une bonne continuation sur ton texte qui mérite, somme toute, quelques nouvelles péripétie de poilade.

Bien à toi !

[Manu]

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[kokox]

Ben oui, mais c'est écrit où que cela se situe dans les années 50 ? À part dans ta tête ?
Rigueur, rigueur, rigueur !

[Manu]

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[kokox]

Devant un nouveau texte, le lecteur est toujours comme un enfant un peu égaré. Mieux vaut lui en dire trop que pas assez !