[Mia599]

  La vie, certains disent que c'est un long fleuve tranquille, ironiquement, du moins je l'espère. Car si la vie devait être comparée à un fleuve, le mien serait rempli d'obstacles: il y aurai des torrents, des barrages et quelques cascades plus ou moins profondes.
- Madame, madame!
- Oui excusez moi, j'était perdu dans mes pensées. Ça vous fera 30€ s'il vous plaît.
  Tu ne m'as toujours pas donné de nouvelle depuis que tu es partit en "séminaire". C'est peut-être mieux comme ça. D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi tu m'as donné cette excuse pourri pour aller je-ne-sais-où avec je-ne-sais-quelle pouf que tu as rencontré. Si j'en aurai parlée a quelqu'un, cette personne m'aurai sûrement prise pour une fille parano et jalouse qui n'a pas confiance en son mec. Mais cela fait déjà deux fois que tu pars en " séminaire" en 3 mois de relation. De toute façon j'ai pris une décision: je te quitte dés ton retour. Tu deviens de plus en plus distant et je ne supporte plus tes sautes d'humeur à répétition ni ton envie de tout contrôler; y compris moi. Ouf, déjà 17h je vais pouvoir rentrée chez moi et passer la soirée a regarder des films et manger de la glace à la fraise: ma préfèrée. Mais ça tu l'ignore, bien sûr, tout doit toujours tourner autour de toi comme si tu était le centre du monde.     
                                                                            ***
  Ma porte est ouverte. Ce n'est pas normal. Il me semble l'avoir fermée ce matin. Je n'aime pas cette sensation de peur qui m'envahie tout à coups: je me suis mise à trembler et mon coeur bat anormalement vite. Allée COURAGE Beck, ne te laisse pas impressionner par une simple porte ouverte! J'entends quelqu'un marcher à l'interieur. Les pas se dirigent vers la porte. Je reste interdite. La porte s'ouvre... Sur toi. Ma peur s'évanouit. Et tu est là à me sourire dans l'entrée de mon appartement.
- Ça va mon amour? Tu est toute pâle.
- Oui oui ça va, mais qu'est-ce-que tu fait là? Dans mon appart?
- Et bien je suis rentrée plus tôt, tu me manquais et tu m'avais donnée les clés de chez toi alors j'en ai profité pour te faire une surprise!
  Tu t'es fait largué par la pouf avec qui tu devait passer la semaine serait une explication plus correct mais tu me prends déjà dans tes bras et m'entraîne à l'interieur. Tu commence alors à m'embrasser et tu me porte comme une poupée ou une petite fille jusqu'à la table de la cuisine. Non je ne veux pas être prise par les sentiments: je te repousse.
- Je ne pense pas que se soit une bonne idée, commencai-je fébrile, je ne pense pas que nous deux se soit une bonne idée à vrai dire.
-Quoi? Je ne comprends pas!
-Et bien... Je ... je te quitte, dis-je redoutant ta réaction.
- Alors je rentre de mon séminaire pour toi et la seule chose que tu es capable de me dire c'est "je te quitte" ! Me craches-tu à la figure.
  Tu m'insultes. Me traites de tous les noms. Tes yeux sont devenu ceux d'une bêtes féroce prête à me dévorer si il le fallait. Tu me fait peur. Mais je compte bien me defendre : tu n'est pas celui qui doit toujours avoir raison!
- De toute façon, je sais très bien ce que tu fesais durant tes soit disant séminaire!
  Et je me rendre compte que j'ai eu tort de dire cela. Tu t'approche de moi. Me regarde. Tes yeux ne sont que deux rond amplis de colère desormais. J'ai peur de toi. De ta carrure. De ta main. Elle se souléve. Je reste là. J'ai peur.Tu, me fais peur.Ta main pars. La même que tu m'avais tendu il y a 3 mois. Tu me frappe du plat de ta main. La même qui me caressait les cheveux le matin. Il y a quelque secondes tu était l'homme que j'ai aimé. Maintenant tu es celui que je hais. Tu trouvais ces hommes pathétique. Ta main s'écrase sur ma joue. Je perds l'équilibre. Je bascule... Je tombe. Le noir m'envahit. Tu est devenu, un de ces hommes pathétique.

[Calegal]

Salut Mia, je n'ai pas lu ton texte, je passe juste pour te prévenir qu'ici il est de coutume d'aller se présenter dans la section attitrée et de commenter d'autres textes, avant de publier un texte.
Je viendrais commenter après n'en doute pas
(J'aime bien faire mon modo de temps en temps  )
A+, Cal'.

[Mia599]

Salut, je ne savais pas comment faire. Mais merci de votre message, j'ai mis en ligne ma présentation.
 
Bonne soirée ou plutôt bonne nuit
Mia.

[World End Girlfriend]

Bon, il y a des fôtes pas belles, mais à la limite je m'en fou un peu de ça. Le truc c'est que je ne peux pas blairer ton héroine, c'est le genre de femmes avec qui mon poing aimerait bien faire connaissance. Pourtant je suis super pacifique hein, mais là j'ai vraiment des envies de meurtre, alors c'est fort de provoquer cela en moi, bravo. Pas sûre que cela ait été ta motivation première, mais c'est toujours bon à prendre.
Du coup c'est intéressant, si l'on prend ce texte comme une critique du stéréotype féminin hystérico-nombrillisto-parano-depressivo-matérialiste.
 Une suite serait la bienvenue, au plaisir !

[jake07]

hello

alors au fil du texte :

il y aurai des torrents

il y aurait

j'était perdu dans mes pensées.

j'étais perdue

Tu ne m'as toujours pas donné de nouvelle depuis que tu es partit en "séminaire".

de nouvelles //// tu es parti

cette excuse pourri

pourrie

Si j'en aurai parlée a quelqu'un

si j'en avais parlé à quelqu'un

cette personne m'aurai sûrement prise

m'aurait

je te quitte dés ton

dès ton

déjà 17h je vais pouvoir rentrée chez moi

rentrer

Mais ça tu l'ignore, bien sûr

tu l'ignores (je crois )

comme si tu était le centre du monde.     

tu étais

Je n'aime pas cette sensation de peur qui m'envahie tout à coups:

qui m'envahis (en fait ça je suis pas certain non plus) //// tout à coup.

Tu est toute pâle.

tu es

Oui oui ça va, mais qu'est-ce-que tu fait là?

qu'est-ce que tu fais là

Et bien je suis rentrée plus tôt, tu me manquais et tu m'avais donnée les clés

rentré //// donné

avec qui tu devait passer la semaine serait une explication plus correct

tu devais //// plus correcte

Tu commence alors à m'embrasser et tu me porte comme une poupée

tu commences /// tu me portes

- Je ne pense pas que se soit une bonne idée, commencai-je fébrile

que ce soit /// commençai-je

que nous deux se soit une

ce soit une

Me traites de tous les noms.

me traite

Tes yeux sont devenu ceux d'une bêtes

devenus// bête

Tu me fait peur.

tu me fais

ce que tu fesais durant tes soit disant séminaire!

faisait// séminaires

Et je me rendre compte que j'ai eu tort de dire cela.

oula c'est de la voltige là un peu "et je me rendis compte que j'avais eu tort de dire cela" ou "et de me rendre compte que j'avais eu tort de dire cela" ou "et je me rends compte que j'ai eu tort de dire cela", ou autrement encore

Tu t'approche de moi.

t'approches

Tes yeux ne sont que deux rond amplis de colère desormais.

ronds emplis de colère désormais

Elle se souléve.

elle se soulève

Tu, me fais peur.

virgule étrange, je sais pas si c'est voulu ?

Ta main pars.

part

Tu me frappe du plat de ta main.

frappes.
Et là y'a répétition de main je trouve, trois fois en peu de temps.

tu était l'homme que j'ai aimé.

tu étais

Tu trouvais ces hommes pathétique.

pathétiques

Tu est devenu, un de ces hommes pathétique.

la même



Voilà, je pense avoir relevé pas mal de fautes. Sinon le fond , je rejoins un peu World End Girlfriend quand il dit qu'il avait envie de mettre un pain à l'héroïne, au personnage, en tant que personnage hein (je justifie pas la tarte que met le petit ami) En fait déjà quand t'es partie sur le séminaire louche, je me suis mis dans l'attente d'une fin qui donnerait un peu de saveur à ce cliché. Le personnage du petit ami fortement soupçonné qui revient "gentiment" et qui soudainement devient limite un ogre affamé, ça m'a fait un peu sourire de surprise. J'ai vu deux ectoplasmes (lui et elle) recouverts d'un léger patchwork d'éléments vaguement clichés m'empêchant de croire en eux une seconde.
Après je suis toujours un peu embêté avec ce genre de texte car je me dis "ah mais l'auteur(e) est jeune, comment répondre du coup". Ceci dit, j'ai pas aimé du tout ce début d'histoire, et bon ben c'est ton histoire que je commente peu importe qui est derrière.  Je l'ai pas aimée pour ces raisons là et pour le langage parfois vraiment trop acrobatique à mon goût du genre "ouf" "pouf", c'est très oral mais c'est tellement hétérogène que ça semble ni voulu ni vraiment maîtrisé. Et pour d'autres trucs ici et là.

[Mia599]

Je suis vraiment désolée pour les fautes (j'espère aussi qu'il n'y en aura pas dans le message mais je ne garantis rien  )
Le faite de détester l'héroïne est voulu. Je voulais faire un personnage qui était arrogotant et qui critiquait son petit ami et qui pense valoir mieux que lui alors que finalement elle meme ne vaut pas grands chose. Après je ne pensais pas que ça irait jusqu'à vouloir lui mettre son poing dans la figure.

Merci à jake07 d'avoir pris le temps de corriger toute mes fautes^^ et pour ton avis.
Merci aussi à World End Girlfriend.

Mia.

[jake07]

Non non y'a pas de souci pour les fautes, c'est le but de progresser Et les fautes dans la réponse on s'en fiche t'inquiète.

Pour le personnage arrogant, alors c'est moi qui ait mal compris pour moi ça n'était pas forcément voulu, World End Girlfriend semble lui avoir peut-être un peu plus vu ça
Du coup je comprends mieux. Mais ça reste trop peu compréhensible à mes yeux mais surtout les personnages manquent de nuances je trouve, vraiment. Après qui vaut plus que qui, celui qui cogne vaut toujours moins que celui qui reçoit les coups. Moi j'aurais tarté les deux mais si tu voulais ton personnage arrogant, c'est pas une réaction trop éloignée de l'intention que t'avais. Mais je reconnais que j'avais pas compris qu'elle était volontairement arrogante.