Philosophe et philologue allemand de la fin du XIXe siècle...
Personnellement, je n'ai rien à dire, je ne l'ai pas encore lu. Mais puisque Wind s'est proposé pour m'expliquer ce que ce philosophe entendait par :
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort
eh bien, je lui laisse la parole :P
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort
:o ??? :)
Je rêve, ou Kyo cite Nietzsche dans ses chansons ? :D
:-° Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée... :-°
Ouais enfin avant de lire des bouquins sur Nietzsche, de voir des documentaires sur Nietzsche, s'agirait de le lire au moins un tout petit peu. "Ce qui ne tue pas rend plus fort" n'est pas un aphorisme Nietzschéen mais peut très bien lui avoir servi pour développer une idée, un principe, utiliser un levier rhétorique à fin de mener sa propre réflexion. Et non, ce n'était absolument pas sa devise. Je suis désolé si je parais sec et cassant, une fois encore, mais franchement c'est très pénible de lire des gens qui parlent d'une chose et déclament des vérités sans en connaître plus que le contenu Wikipédia. Ce bon vieil encyclopédie est une merveille, une révolution de notre rapport à la connaissance, mais il vaudrait mieux qu'on confronte les intuitions ou la vue d'ensemble qu'il délivre au moins à l'aulne d'une lecture d'un texte. Surtout considérant qu'on a fait dire à peu près tout et n'importe quoi à Nietzsche, tant il était amoureux de la langue, complexe et le discours de sa théorie transcendait le langage usuel. L'une de ses devises en revanche est l'épigramme du Gai-Savoir :
"J’habite ma propre demeure,
Jamais je n’ai imité personne,
Et je me ris de tous les maîtres
Qui ne se moquent pas d’eux-mêmes."
Écrit au-dessus de ma porte
Maintenant je ne participerai pas au rang des 'parleurs sur Nietzsche' et me contenterai d'en conseiller la lecture. À commencer par "Par-delà bien et mal" et/ou méditer sur les aphorismes posthumes du "Livre du philosophe".
@Modé :
si j'édite mon précédent post personne ne répond ça ne sert à rien
si je double post je me fais tomber dessus par la modé
pourtant le sujet me demande encore d'intervenir
je laisse donc le soin de fusionner si besoin
et d'avance je présente mes excuses
mais je ne prévoyais pas forcément ceci à l'époque de mon intervention
Je cherchais comment Nietzsche parlait de ces idées-là
J'ai trouvé de manière accessible et je me demande
Quel est l'avis général sur cet aspect décrié de sa philosophie
Sur ce plan je l'imagine très incompris, et voici des pistes du pourquoi :
C'est étrange comme ces extraits paraissent méprisants...
Mais qu'est-ce que le mépris ?
N, dis-moi ce que je dois pas faire... ou non !
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extraits : Généalogie de la morale - F. Nietzsche
source : Monsieur Phi (https://monsieurphi.com/2017/08/04/nietzsche-bon-et-mechant-bon-et-mauvais-grain-de-philo-11/)
C'est étrange comme ces extraits paraissent méprisants...
Mais qu'est-ce que le mépris ?
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extraits : Généalogie de la morale - F. Nietzsche
source : Monsieur Phi (https://monsieurphi.com/2017/08/04/nietzsche-bon-et-mechant-bon-et-mauvais-grain-de-philo-11/)
bô je ne les trouve pas méprisants ces extraits
on pourrait disserter quatre heures sur la différence - ou l'équivalence - entre méprise et mépris
mais dire que les agneaux sont des agneaux, les vautours des vautours, je ne vois pas trop ce que ça a de méprisant
c'est du nietzsche standard, qui exprime sa philosophie de l'amor fati