Bon, je me suis quand même mis au jeu donc vous pouvez voir ma tentative :
La cheffe de la sécurité pointait son pistolet sur la tempe de son associé.
« C’est terminé, donnez-moi l’enveloppe, dit l’industriel. Je sais tout de votre plan. »
L’apprenti voleur dut rendre l’enveloppe de kraft qu’il avait tout risqué pour dérober. Entrer dans le palais hautement gardé, se faufiler à travers les pièges, arriver au secret tant cherché. Mais c’était sans compter sur les suspicions de la cheffe de la sécurité, qui se doutait qu’il y avait autre chose de plus profond qui se tramait. Sans se risquer à tuer le captif, elle décida de lui tirer une balle dans les jambes. Le jeune homme s’effondra en hurlant.
Il n’y avait plus d’alternative, son plan était grillé : l’escroc plongea vers la table et, attrapant un pistolet à silencieux, abattit son comparse en pleine tête.
Le palais du baron s’ébranla et des pans entiers des ornements du plafond s’écroulèrent. C’était le moment de s’échapper. Après quelques tirs bien visés, le pillard se précipita vers la porte, tentant une percée. Une grande statue sombra et éclata au sol juste après son passage. Il rejoignit le hall et ses grands escaliers de bois pour récupérer une seconde enveloppe de kraft, alors que ses poursuiveurs se faisaient écraser par le palais qui s’abîmait.
Il entendit “Arrêtez-le !” dans la voix exaspérée de sa victime, qui venait de se rendre compte que l’enveloppe avait été échangée. Traversant une galerie dans le palais croulant, il s’arrêta dans le hall et parcourut les pages confidentielles dans l’urgence. Mais il sentit quelque chose d’étrange, et bientôt de chaque mur se déversaient une quantité énorme d’eau, comme si le lieu entier avait été poussé sous l’eau.
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