Je comprends tes arguments, mais je tiens à rester anonyme pour ne pas m’exposer davantage après cette douloureuse expérience. Que les gens croient ou non à mon témoignage ne changera rien pour moi.
Ce n’est ni une défense ni un procès, seulement un simple constat.
Évidemment, Sydney Laurent à le droit de réponse tout comme les auteurs ont le droit de dénoncer et de se moquer de leurs pratiques.
Pour les chiffres de ventes, tout dépend des maisons d’édition. Certaines, parmi les plus connues, communiquent régulièrement leurs chiffres. Et si Amazon peut le faire, pourquoi pas les autres ?
Pour finir, cette année de première publication m’a permis de comprendre les rouages tortueux du monde de l’édition. J’ai également appris à mettre en page, à me concentrer sur la qualité de la couverture et j’ai recours à une correctrice professionnelle pour peaufiner la qualité de mes écrits. Depuis ces ajustements, tout se déroule pour le mieux et mon lectorat grandit chaque jour. (Je fais partie des meilleures ventes sur Amazon).
Je ne serais jamais payé par cette maison d’édition, mais ma plus belle victoire sera de réussir seul, sans l’aide d’un tiers qui au final vend du papier.
Merci pour ton soutien !