mais lui as refilé une intoxication alimentaire carabinée quand elle a fait des crêpes.J'ai aimé l'enchainement des asticots qui grouillent et de la nourriture juste après, pas étonnant qu'elle ait été malade haha
Il va falloir affronter le froid, l’humidité pernicieuse qui s’infiltre partout, secondée par le vent qui brise les volontés.saloperie de vent :(
Elle en a, des tâches inachevées, la pauvre. Ce qu’elle ne comprend pas, c’est la localisation.y'aurait miyen de trouver une phrase plus naturelle et efficace pour faire comprendre ça (parce que c'est presque induit du coup que si ca la dérange c'est que ca la questionne)
Sur le trottoir opposé, Mélanie s’en vient, un cabas à la main.Ici retour à la ligne voir nouveau paragraphe je pense
Elle les mange, seule, en fixant le mur. Le dîner a un arrière-pareil ici, l'aération du texte
elle dessine sur la table de la salle à manger et à l’aide de sa scie, y découpe de délicates formes, sa main enchaîne les voltes. Toute idée de cap est oubliée, sauf peut-être celui de Bonne Espérance. Elle monte sur sa table et s’y assied en tailleur. Ferme les yeux et laisse le bruit de l’eau monter tout autour. Elle part sur sa table rase, à l’assaut de contrées imaginaires jamais explorées. Elle défriche, tranche sans hésiter les idées noires et caracole sur les étincelles de joie. Ses cheveux poussent et ses mains s’incrustent dans le bois de la table. Autour d’elle, la forêt de ses pensées ne cesse de croître.
la forêt de ses pensées ne cesse de croître. Elle sait qu’il est temps d’en sortir,transition un peu brutale
Julie se débat contre les pensées qui se tortillent dans son cerveau comme un tas de vers dans un lapin en putréfaction<3
Cette fois, ne pas les acheter dans le magasin du coin de la rue, qui est bien sympathique, mais lui as refilé une intoxication alimentaire carabinée quand elle a fait des crêpes.a
À peine dehors, l’atmosphère glacée la saisi, mais elle ne se laisse pas faire et, le nez transie de froid, elle suit l’idée de la tortilla à travers les petites rues sinueuses.saisit
Un polar un peu mauvais, mais avec des idées un peu dérangeantes.un peu x2
Elle, elle aurait plutôt situé ce fardeau sur les omoplates, et puis un peu autour du pharynx aussi, comme un boa constrictor<3
Mais, Julie ne se laissera pas prendre au piègeMmh un peu bizarre ce mais + virgule ?
Elle part sur sa table rase, à l’assaut de contrées imaginaires jamais explorées.J’aime bien l’idée
Le retour à la réalité est brutal : de l’évier coulent des rigoles d’eau, narquoises qui n’ont pas jugé bon d’atteindre la poêle oubliée sur le feu dans laquelle le reste de la tortilla cramé, rappelle à Julie que l’année ne fait que commencer.La phrase me semble maladroite, surtout au niveau de la première virgule… mais yep quelque chose me gêne à la lecture
Hahaha, je crois pas que j'y avais pensé en écrivant (par contre, ça me permet de voir que j'ai écrit ''lui as'' :P)Citermais lui as refilé une intoxication alimentaire carabinée quand elle a fait des crêpes.J'ai aimé l'enchainement des asticots qui grouillent et de la nourriture juste après, pas étonnant qu'elle ait été malade haha
(le gui-mauve au passage, j'adore)merciii
Hum, je suis pas sûre d'avoir capté quelle phrase te dérangeait... la première parce que c'était implicite ? C'est vrai qu'en relisant, la répétition de ''tâches inachevées'' est pas très heureuse... j'y songe !CiterElle en a, des tâches inachevées, la pauvre. Ce qu’elle ne comprend pas, c’est la localisation.y'aurait miyen de trouver une phrase plus naturelle et efficace pour faire comprendre ça (parce que c'est presque induit du coup que si ca la dérange c'est que ca la questionne)
(le boa me fait penser à gros-câlin de Gary ; et j'aime ce passage aussi !!)Ah oui ? J'ai jamais lu, Gros-câlin, je l'ajoute à ma PAL virtuelle !
Carrément ! Je fais ça dès que le commentaire est envoyé, idem pour le suivant. :)CiterSur le trottoir opposé, Mélanie s’en vient, un cabas à la main.Ici retour à la ligne voir nouveau paragraphe je pense
:coeur: merci ! Manque une virgule après ''imaginaire'', non ? (puis je suis plus sûre de la scission entre ma première et ma deuxième phrase, je crois qu'il faudrait plutôt que ce soit après ''formes''.Citerelle dessine sur la table de la salle à manger et à l’aide de sa scie, y découpe de délicates formes, sa main enchaîne les voltes. Toute idée de cap est oubliée, sauf peut-être celui de Bonne Espérance. Elle monte sur sa table et s’y assied en tailleur. Ferme les yeux et laisse le bruit de l’eau monter tout autour. Elle part sur sa table rase, à l’assaut de contrées imaginaires jamais explorées. Elle défriche, tranche sans hésiter les idées noires et caracole sur les étincelles de joie. Ses cheveux poussent et ses mains s’incrustent dans le bois de la table. Autour d’elle, la forêt de ses pensées ne cesse de croître.
c'est choueeeeette !! peut-être que après le autour, il faudrait ajotuer une "se laisse voyager", histoire de faire un lien entre les eaux et les forêts, proposer une progressino
Moui. ça sent le ''bon, il suffit, il est tard et faut aller dormir, recentrons tout ça, faut conclure'' :DCiterla forêt de ses pensées ne cesse de croître. Elle sait qu’il est temps d’en sortir,transition un peu brutale
la dernière phrase mériterait une chite virgule, mais elle est :coeur:C'est gentil :). Ouip, il y a un truc qui me chiffonne : j'ai envie de garder tous les éléments mais elle est serpentesque essoufflante, faut aussi que j'y réfléchisse.
Y'a des ptits trucs sur les transitions de mots (trop de "elle" en début de phrase), mais y'a une poétique qui se libére que j'aime beaucoup :)merci merci merci
(j'ai été super relou pour un tic tac haha, désolé j'arrive plus à jauger..... ><)Hahaha, non, au contraire, c'est trop cool, ça me fait hyper plaisir d'avoir un commentaire aussi détaillé !
(et je suis grave content qu'on se soit entre-relevé nos défis, je l'aurais pas fait sinon donc :coeur: )Vive la Nuit, même quand le soleil l'éclaire ! Pour fêter ça, je vais retravailler ce texte :) (et je passe te commenter jeudi ^^)
(et ooooh, c'étiat mon 6000èm message !)
Hum, je suis pas sûre d'avoir capté quelle phrase te dérangeait... la première parce que c'était implicite ? C'est vrai qu'en relisant, la répétition de ''tâches inachevées'' est pas très heureuse... j'y songe !j'avais pas vu la répétition
:coeur: merci ! Manque une virgule après ''imaginaire'', non ? (puis je suis plus sûre de la scission entre ma première et ma deuxième phrase, je crois qu'il faudrait plutôt que ce soit après ''formes''.hm, la virgule après imaginaire est pas manquante, ca fonctionne sans, mais tu peux en mettre une si tu veux un tempo lent à ce passage (je le ressens un poil plus rapide, mais lis le à voix haute et tu verras ce que ca donne)
Je sais pas trop comment ajouter le ''se laisse voyager'', en allongeant la phrase ?
(et je passe te commenter jeudi ^^)t'inquiètes y'aura pas de grand commentaire à faire, c'est du lol ^^
Mais il faut d’abord passer à l’épicerie faire quelques emplettes.
lui a refilé une intoxication alimentaire carabinée quand elle a fait des crêpes.J'adore ces deux là ^^ (genre on se sent vraiment dans la tête de Julie)
les pensées qui se tortillent dans son cerveau comme un tas de vers dans un lapin en putréfaction.Qu'est-ce que ça vient faire ici ça :D ? (mais en même temps je peux pas m'empêcher de trouver ça mignon, ça a l'air si décalé qu'on dirait une fausse humeur sombre je crois)
Julie se débat contre les pensées qui se tortillent dans son cerveau comme un tas de vers dans un lapin en putréfaction.oh voui :coeur:
l’atmosphère glacée la saisisaisit
le nez transie de froidtransi
Les accumulations de tâches inachevées qui s’empilent dans le foie des gens, c’est une idée qui la retourne. Elle en a, des tâches inachevées, la pauvre.moi ça me dérange pas cette formulation/répétition, et même j'aime bien :huhu:
Elle, elle aurait plutôt situé ce fardeau sur les omoplates, et puis un peu autour du pharynx aussi, comme un boa constrictor.:coeur: j'adore.
Ce film était tout de même bizarre. Un polar un peu mauvais, mais avec des idées un peu dérangeantes. Les accumulations de tâches inachevées qui s’empilent dans le foie des gens, c’est une idée qui la retourne. Elle en a, des tâches inachevées, la pauvre. Ce qu’elle ne comprend pas, c’est la localisation. Elle, elle aurait plutôt situé ce fardeau sur les omoplates, et puis un peu autour du pharynx aussi, comme un boa constrictor. De temps en temps, elle prend son courage à demain et desserre le boa de quelques tours, en appelant sa mère ou en réglant une des factures qui s’entassent pêle-mêle sur le buffet de l’entrée. Le problème du boa, c’est que ça tourne en rond, alors on sait jamais dans quel sens s’y attaquer. La solution, c’est de faire comme dans la forêt, choisir un cap, n’importe lequel et ne pas en dévier, quoi qu’il arrive.En fait j'adore tout ce paragraphe
Mais, Julie ne se laissera pas prendre au piègepourquoi mais virgule ?
Tourner à droitdroite
Toute idée de cap est oubliée, sauf peut-être celui de Bonne Espérance.trop chouette ^^
Ses cheveux poussent et ses mains s’incrustent dans le bois de la tablej'adore cette image. Par contre, le "table" fait un peu répétition pour moi avec celui de deux lignes au dessus, et je pense qu'il est pas indispensable.
Malheureusement, cette histoire sent le roussi.meh, là par contre je trouve ça un peu artificiel et brusque comme transition, pour moi c'est vraiment ici qu'on sent le "bon allez là, j'en ai marre il faut finir", plutôt qu'à la sortie de la forêt.
Le retour à la réalité est brutal : de l’évier coulent des rigoles d’eau, narquoises qui n’ont pas jugé bon d’atteindre la poêle oubliée sur le feu dans laquelle le reste de la tortilla cramé, rappelle à Julie que l’année ne fait que commencer.Mais je croyais qu'elle avait déjà mangé ses tortillas (à goût de carton) ? :???: ah non c'est le reste !
j'avais pas vu la répétitionJe vais voir, faut peut-être que je l'enlève complètement, oui (mais l'avis de Grimme me perturbe). Bon, je réféchis un tout petit peu, je pense qu'elle va disparaître.
non c'était juste l'aspect un peu "ohlala, des trucs à faire elle en a, elle" + la phrase d'après, que je trouvais trop appuyé
hm, la virgule après imaginaire est pas manquante, ca fonctionne sans, mais tu peux en mettre une si tu veux un tempo lent à ce passage (je le ressens un poil plus rapide, mais lis le à voix haute et tu verras ce que ca donne)Hahaha, je crois que je suis d'accord pour le tempo rapide (je lis pas à voix haute, jamais jamais. En revanche, je subvocalise toujours ;)).
(la logique de la phrase mettrait un point après formes c'est vrai, mais j'aime bien l'effet que ca produit perso -hashtag le monde de la subjectivité pas aidante-)
et laisser voyager hm, en allongeant oui, en carrément en phrase "Elle se laisse voyager", comme un insert entre deux voyages imaginairesLà, je crois que je suis pas d'accord. C'est vrai que c'est un peu abrupt, mais pour moi, le ''voyage'' commence à la phrase suivante seulement.
trop coool si tu le retravailles !!! :)Moui, enfin, au rythme où c'est parti, ce sera ptet bon pour l'an prochain... :/
Hahaha, je sais pas, ça me semblait vachement logique je crois. J'ai un souvenir très précis de petits vers blancs sous un lapin mort . ::)Citerles pensées qui se tortillent dans son cerveau comme un tas de vers dans un lapin en putréfaction.Qu'est-ce que ça vient faire ici ça :D ? (mais en même temps je peux pas m'empêcher de trouver ça mignon, ça a l'air si décalé qu'on dirait une fausse humeur sombre je crois)
Hahaha. Vous m'aidez pas, tous les deux. :huhu: Je garde la décision pour plus tard, comme ta fée qui sussurre/murmure.CiterLes accumulations de tâches inachevées qui s’empilent dans le foie des gens, c’est une idée qui la retourne. Elle en a, des tâches inachevées, la pauvre.moi ça me dérange pas cette formulation/répétition, et même j'aime bien :huhu:
Hmm. Je crois que c'est un peu un tic de langage. Je dis souvent ''mais virgule'' en début de phrase, sans raison. Je garde le mais, mais je vire la virgule. En fait j'ai tout enlevé, ça n'avait aucun sens ::)[/quote]CiterMais, Julie ne se laissera pas prendre au piègepourquoi mais virgule ?
CiterSes cheveux poussent et ses mains s’incrustent dans le bois de la tablej'adore cette image. Par contre, le "table" fait un peu répétition pour moi avec celui de deux lignes au dessus, et je pense qu'il est pas indispensable.
adopté ! (enfin, dégagé, en l'occurence)
Moui. En fait, il y a un bazar de la réalité qui s'infiltre dans le ''rêve éveillé'' du personnage en même temps qu'une incursion de la narratrice qui s'autocommente. J'ai envie de garder l'odeur de brûlé qui vient rappelle à la réalité, en miroir avec le bruit de l'eau pour plonger dans le rêve, par contre c'est effectivement ptet pas nécessaire de commenter ''cette histoire''. C'est là qu'il faut que je retravaille. (Mais je fais trop d'enfilage de mots et c'est dur de garder la ''logique'' oeil de dragon/iris/fleur(e)/roussi/odeur si je vire l'histoire du roussi. Songeons).CiterMalheureusement, cette histoire sent le roussi.meh, là par contre je trouve ça un peu artificiel et brusque comme transition, pour moi c'est vraiment ici qu'on sent le "bon allez là, j'en ai marre il faut finir", plutôt qu'à la sortie de la forêt.
Oui, en relisant avec du recul, ça saute aux yeux que ces virgules sont mal fichues. J'ai changé en :CiterLe retour à la réalité est brutal : de l’évier coulent des rigoles d’eau, narquoises qui n’ont pas jugé bon d’atteindre la poêle oubliée sur le feu dans laquelle le reste de la tortilla cramé, rappelle à Julie que l’année ne fait que commencer.Mais je croyais qu'elle avait déjà mangé ses tortillas (à goût de carton) ? :???: ah non c'est le reste !
J'aime bien cette dernière phrase mais je la trouve un peu bancale. Si je puis me permettre une suggestion : déplacer la virgule des rigoles d'eau après "narquoises" et enlever celle après "cramé". (ou couper en deux phrases)
Ça fleure bon le danger. Malheureusement, cette histoire sent le roussi. L’odeur s’intensifie, jusqu’à couvrir le clapotis de l’eau qui l’entraina dans cette jungle. Le retour à la réalité est brutal : de l’évier coulent des rigoles d’eau, narquoises qui n’ont pas jugé bon d’atteindre la poêle oubliée sur le feu dans laquelle le reste de la tortilla cramé, rappelle à Julie que l’année ne fait que commencer.