Bonsoir,
Aujourd'hui je fais le niffleur, et je déterre
J'ai trouvé ce texte en passant dans le fil sur les coups de coeur, et je me suis dit que je ne t'avais jamais lue.
Je trouve le texte parfait niveau style et forme, je n'ai pas relevé la moindre faute ni le moindre accroc, j'aime beaucoup ton style d'écriture, les formulations que tu utilises. Je ne les ai pas toutes relevées, car c'était très constant au fil du texte. J'ai eu beaucoup de mal avec la mise en page mais c'est parce que je n'aime pas les mises en page éclatées, et je redécouvre ce que ça fait d'avoir un écran d'une taille normale (avant j'en avais un tout petit), et ton texte m'a complètement éparpillée / dispersée. Mais ces reproches sont finalement des compliments car je pense que c'est exactement ce que le texte voulait.
Pour ce qui est du fond, j'aime bien l'idée de base. J'ai aimé plus particulièrement l'expression de la tête, et celle des yeux, qui intervient de manière parfaite juste après (au lieu de penser, regardez le monde). Par la suite, je ne sais pas si c'est la répétition du mécanisme (une partie du coeur, une personnalité qui y est liée) ou si c'est le hasard, mais j'étais moins séduite par les fragments suivants, notamment les bras puis les jambes, je trouvais ça un peu trop attendu. J'ai bien aimé la dynamique générale du texte, le gonflement progressif etc. Je ne jurerais pas que j'ai tout compris

. J'ai beaucoup aimé toute la fin au réveil.
C’est vers son image que l’on se réfugie lorsque le monde est trop empli de gens, d’informations, de sentiments, de choses à faire, de bruit, lorsque le monde est trop grand, lorsque le monde est trop.
Ca me rappelle beaucoup ce que j'écris ces temps-ci... je me représente très très bien ces sensations.
J'aime beaucoup la toute fin.
Voilà, j'espère que tu ne m'en voudras pas d'avoir déterré ce texte, moi je te remercie dans le passé pour le partage

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