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Le Monde de L'Écriture » Salon littéraire » Salle de lecture » Théâtre et poésie » [Théâtre] Britannicus (Jean Racine)

Auteur Sujet: [Théâtre] Britannicus (Jean Racine)  (Lu 2032 fois)

Hors ligne Zephyr

  • Grand Encrier Cosmique
  • Messages: 1 363
[Théâtre] Britannicus (Jean Racine)
« le: 28 février 2013 à 20:53:19 »
Bon, oui, je poste surtout pour le Tournoi, mais voila ! Je fais ce que je veux !

Donc, Britannicus de Racine !

Je dois avouer que cela fait longtemps que je ne l'ai pas lu, et je l'avais étudier en première. Mais cette pièce m'avait bougrement marquée.

En soi, c'est l'histoire de Britannicus, demi-frère de Néron, qui vient de devenir empereur. Mais derrière Néron, il y a une femme, qui semble tirer les ficelles, et qui draine son ambition vers le nouvel empereur : sa mère, Agrippine. Il y a aussi Junie, l'amante de Britannicus, mais que Néron aime aussi, et Burrhus, le gouvernant de Néron.
Au début de la pièce, Agrippine sent qu'elle perd de l'influence sur son fils, et que si elle veut garder sa place, il va falloir ruser, et surtout régler le problème avec Britannicus. Car ce jeune homme pourrait en effet réclamer le trône impérial, qui lui revient de droit.

L'histoire de cette pièce est un sujet historique, Britannicus ayant vraiment exister et les événements retranscrit dans la pièce ayant été conté par Tacite, dans la Vie des Douze Césars. Ce qui rend cette pièce absolument incroyable, c'est la tension, et l'évolution constante des personnages. La fatalité est là, et chacun sent qu'il peut basculer à tout moment (cn fait, comme dans toute les tragédies classiques...). J'avais était absolument ébloui par Britannicus et Néron, mais aussi par le triste personnage d'Agrippine.
De toute façon, je suis un grand fan de Racine...
« Modifié: 27 octobre 2017 à 20:09:41 par Eveil »
Si j'écris quelque fois, je n'écris point d'ardeur,
J'écris naïvement tout ce qu'au cœur me touche,
Soit de bien, soit de mal, comme il vient à la bouche,
En un style aussi lent que lente est ma froideur.

Joachim du Bellay, Les Regrets, « 21 »

 


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