Oh humanity!
* Gosh, be careful ! Espace après un “!” *
The world was as white as the snow. The Gods were as brilliant as the sun. The oceans were a mirror to the skies and the skies were a mirror to the oceans.
* Jolie, meme si je suis pas trop trop d’accord avec la première vérité énoncée lol *
The cities were shining, the bells ringing, the trees growing. They were all so joyful. A bliss!
* A bless ? *
They were too joyful…So joyful that they did not see the shadow growing in the spirits of the mortals.
* les deux “the” devant “spirits” et “mortals” me gènent un peu. Je crois qu’au moins un des deux n’a pas lieu d’être, mais il faudrait confirmation d’un membre plus doué en anglais que moi…
No one has.
* “had” ? *
Bon honnetement je sais pas si c’est de l’anglais parfait, j’ai compris le sens déjà, par contre… c’est quoi l’intéret de ce texte ? C’est pas méchant hein, mais a part jouer avec des sonorité et des construction de phrase « they cannot/ they do not/ they don’t want », je vois pas trop trop l’intérêt du texte (hors chaque texte doit avoir un intérêt, qu’il soit beau, qu’il soit instructif, qu’il soit drole, etc).
A la limite, ce genre de sujet, un peu de réflexion, ca rend pas mal en poème. La deuxième partie d’ailleurs semble s’y mettre, on lit avec un peu plus de curiosité déjà. Mais le début, en prose et sans contexte, ca fait juste interrogation un peu trop longue et redondante.
A la réflexion, tout ca me fait un peu penser à un monologue issu de Matrix, le coté “il n’y a pas de début, il n’y a pas d’espoir”… Mais encore une fois, ca apporte rien, ou trop peu a la fois, pas assez en tout cas pour garder l’attention du lecteur
Tous les “do not” finissent par être assommant, je t’avoue… On dirait que cc’est Teal’c qui parle, sauf qu’il serait surement plus concis dans ses propos. Bref, oui je trouve que c’est un peu pesant, un peu trop heu… sophistiqué si je peux dire, un p’tit côté à la fois insistant, mais à force de l’utiliser à chaque fois ça perd de son efficacité, et puis professoral, trop sérieux, trop soutenu, oui voilà.
C’est bête, mais c’est vraiment les trois dernières phrases qui m’ont le plus accroché dans tout le texte, parce qu’on a l’impression qu’enfin, il va se passer quelque chose.
Bref, j’suis pas fan fan, c’est beaucoup de répétition pour arriver a pas grand-chose au final.