THE DARK PRINCE CHARMING
Batman, The Dark Prince Charming
Pour l’anniversaire de son bébé, Harley Quinn, le Joker veut lui offrir un superbe collier. Pour cela son plan est simple, capturer celle que l’on prétend être la fille de Bruce Wayne pour contraindre ce dernier à acheter le sublime Blue Cat, un diamant des plus précieux, et le lui remettre en échange de l’enfant. Mais pour cela, le clown devra composer avec l’intelligence, la perspicacité et l’audace de la gamine.
D’ailleurs, de qui est-elle réellement la fille ?
Voilou voilou
Le visionnage de
Joker m’a redonné l’envie de plonger dans les comics de Batman, et j’ai commencé par celui-là, qui met en scène le pire ennemi du Chevalier Noir.
En 2 tomes (2017 et 2018), édités par DC Comics et Dargaud, ce comics a la particularité d’avoir été entièrement réalisé par Enrico Marini, qui est donc scénariste, dessinateur, coloriste, lettreur, et encreur de cette histoire.
Celle-ci se concentre entièrement autour des personnages, le Joker, Batman/Bruce, l’enfant, Harley Quinn et Catwoman. Leurs motivations ne sont que personnelles, on est loin du Joker agent de chaos, du Batman sombre justicier, d’une Harley en méchante indépendante et dérangée, d’une Catwoman retorse, et surtout, surtout, d’un monde crasseux, d’un Gotham à sauver, à détruire. C’est ce qu m’a déplu, on n’a pas le Batman des 80’s… Décennie durant se déroule l’excellent
Joker de Todd Phillips qui empreinte au comics le maquillage du clown fou.
Malgré le fait qu’il ne soit pas l’un de ces Batman que j’ai adoré, je trouve
The Dark Prince Charming plaisant à lire, notamment du fait de son dessin, de ses couleurs, de ses dialogues.
g
