Hey !
Sentant qu'on divergeait sur les 'Promiscuités', je me suis permis de profaner ton profil afin d'y dénicher... oh, un texte tout neuf ! Ceci ne vaut pas vraiment excuse ni aplatissement, mais plutôt une envie réconfortante de ne pas m'imposer de conflit de la morale entre toi et moi... ce que tu valideras ou non, mais telle est mon ambition ici, sois en paix si c'est la paix que tu cherches !
En ce qui concerne ton ouvrage :
les alexandrins, c'est de moins en moins facile d'autant plus que certains beaux sont déjà pris... et pourtant il y a dans cet exercice une esthétique de la dynamique métrique fort intéressante, et je dois avouer que ta manière de le faire m'a intrigué... déjà, un outil Moderne sur un propos Ancien, c'est ardu aussi et pourtant tu le fais bien... quoique peut-être de manière un peu trop scolaire ?
fidèle compagnon
un poncif relativement usé à mon sens, bien qu'il fut toujours signifiant de quelque chose d'atemporel... à reformuler ?
très grand général
pour l'emphase superlativationneuse, le 'très' n'est que très peu souvent conseillé, je crois
fier guerrier
image à redorer, les termes ne font écho qu'à trop de tumulte culture pour être vraiment percutant
le beau cheval
en ce qui concerne un éventuel showit dont tellit, le mot 'beau' se dévoile d'usage avec plus d'esthétique
Les deux premiers vers lancent un bon entrain qui s'essouffle un peu trop à la recherche de la rime, mais ce qui en est dérangeant n'est pas à imputer à au fait que c'est justement l'exercice présent comme tu le stipules, donc je dirais qu'avec les inévitables irrégularités dont je te fais un retour un peu pudique, tu as surement remplir les prérogatives de ton travail, et en ça je reconnais une satisfaction que tu mérites.
C'est un conte court et narratif qui n'est pas tout à fait dans mon style, mais mon oeil curieux et peu référencé à ton univers m'ont fait apprécier ce moment partagé grâce à toi...
Au plaisir !