[Dot Quote]

je viens de retomber sur moongate, par samael (/!\ 'ttation, metol /!\), ça faisait longtemps que j'avais pas eu d'eargasm sur ce premier couplet à la diction impossiblement effectuée par le même vorphalack qui reprend* baudelaire pour rotting christ (wè on est en plein metol, dsl huhu), j'ai eu envie d'aller poster dans les chansons d'amour, mais le fait que y'ait pas d'officiel youtube, je me sentais pas légitime à honorer ce groupe suisse qui ma foi a fait preuve en moi de beaucoup de mélomanie à l'époque de y'a long... p'isque c'pas du french j'peux pas feed le cool sujet de gage alala on sait jamais où ranger quoi ici meud nan ? compassion pour la modé et les users, et p'is donc comme j'avais remarqué y'a pas long que y'a peu de 'je' dans le metol que je range dans ma disco (j'atterris seulement, j'avais à peine remarqué la diff' d'avec le rap où l'ego-trip possède une place plus lourde que dans les complexes chelous des gueulards que j'aime), et p'is que je faisais un parallèle love d'avec un autre morceau du samael sur un autre titre de lune (moonskin), bin me voilà à vendre de l'harmonie sonore qui me nostalgise de la vibes agréable... j'suis ptetr un peu tousseul ici, mais je partage qmm, le metol aime bien servir de bête noire so do i...

tout ça parce que diction de ouf sur ces paroles :
(et que faudra vous bouger vous-mêmes si vous voulez un lien inofficiel)

Clashes of thoughts, of desires and hope
Lift you up, straight to the top of the world
With fluidity of energy in constant availability
All that glitters, all that matters beyond rivalries
Amplified universality, transcending dualities
Body chemistry, linked spiritually
Right in time every time, synchronized all along

(* lien spécial littérateurs : les litanies de satan - written by charles)

[Krapoutchniek]

Phats & Small - Turn Around

Un petit retour dans les années 90' (99 pour être précis, je pensais que c'était plus vieux) 

[Krapoutchniek]

Gabriel Fauré - Pavane

Un petit retour encore plus loin. Ca tourne dans ma tête depuis quelques jours, et c'est pas pour me déplaire 

[Deewild]

Beyond the black, quelqu'un connait ?

[Alan Tréard]

Le nouvel album d'Explosion in the Sky est sorti, et je vous recommande particulièrement cette écoute. C'est relaxant ! 

Explosions in the Sky - "Moving On"

[Krapoutchniek]

En cette froide matinée d'octobre, je pense que ceci est approprié :

Edvard Grieg - Peer Gynt - La mort de Ase

[Earth son]

Allez, un peu de rock electro pour changer

Awolnation - Sail

[Deewild]

Megitsune !!!

[Dot Quote]

j'ai cette envie de rigoler
en chanson
les petites bêtes - françois perusse
x')
que de vieux souvenir

[Dot Quote]

CHROMB! fait du rock sans guitare (ou jazz à distorsion) à destination des adultes émotifs et des enfants sauvages.

Ce qui définit CHROMB! c'est surtout l'élasticité, une dévotion à la fois à la mélodie et au boucan, et aussi une certaine obstination à continuer d'inventer des morceaux de musique imprévisible.

j'viens de retomber sur un cd dans un tiroir, l'un des rares qui m'est resté quand je me suis débarrassé de ces objets matériels dans une boutique d'occas'... souvenir très étrange, ce premier album d'un groupe underground ! je connais pas la suite de leur disco, mais à l'époque j'avais tenu à leur acheter sur bandcamp cet espèce de truc vraiment chelou et pas sans intérêt...

écouter chromb!

ce qui me pouse à y partager ? cette phrase critique qui m'étire un énorme sourire intérieur :

"Au royaume de l'absurde, Chromb est une chaussette"

x')

la jaquette de l'album en question, bel ouvrage aussi :

[SablOrOr]

Coucou 
En ce moment je viens d'écouter Chromb ! C'est pas de la bombe mais je crains pas...ambiance chaloupe, destructurée et partiellement reconstruite, humoristique ? Non pourtant...musique d'ambiance ? Non plus ? Jazz ? Bof... je me demande ce que cette musique pourrait inspirer à quelques chorégraphes contemporains...certainement des trucs assez variés.
Autrement un peu de : variété française, de Thiefaine, de 'Douce Nuit', et bien sûr du métal rigolo dans ma radio !
SOo

[Arsinor]

Grande conférence de musicologie arsinoréenne

Bonjour à tous, je parlerai ici de musique classique, en m’adressant à ceux qui ne la connaissent guère. Vous ne serez pas étonnés de savoir que la musique est l’art d’agencer les sons et que chaque son est déterminé par sa durée, sa hauteur et son timbre…  mais aussi par sa position par rapport aux autres sons d’une même pièce musicale. Vous serez étonnés, peut-être davantage, d’apprendre que le classique est un mot fourre-tout et je propose de le remplacer par historique. Ainsi il y a ceux qui suivent la musique à la mode et ceux qui écoutent de la musique historique.

La musique historique n’a pas toujours existé : Mendelssohn a contribué à l’inventer en 1829, le jour où il a donné en concert non pas une œuvre de sa main, ni même de celles de Schumann ou de Chopin, ses contemporains, mais de Bach, mort en 1750. Mendelssohn par ce concert pose une pierre blanche à une évolution due à Beethoven (1770-1827) qui écrivait ses dernières œuvres pour la postérité, se sachant "incompris par ses contemporains", ce qui était un concept nouveau. Une idée pareille était étrangère à Mozart (1756-1791) et à Bach (1685-1750) qui aurait été bien étonné qu’en 1829 on rejouerait une de ses œuvres et pire qu’elles seraient jouées en concert au XXIe siècle, par des Chinois ! Avant le concert historique, on n'écoute que de la musique récente.

Voici donc la musique historique et j’aimerais parler aussi des mélomanes. Vous croyez peut-être qu’un mélomane est celui qui rend tout son prestige à la musique historique, qui fait semblant d’apprécier les concerts qui en réalité l’ennuient. Pas du tout ! On est mélomane dès qu’on connaît à fond une musique, un style, un filon. Vous pouvez tout à fait écouter en boucle sans l’entendre vraiment une chanson à la mode qui passe à la radio et soit la mettre en fond sonore, soit vous mettre à l’écouter très attentivement. Le test ? Si vous dites « génial ce truc, c’est quoi ? » c’est que vous n’êtes pas mélomane. En revanche si vous commencez à dire « le dernier album de Untel fait la part belle aux rythmes originaux confiés à la batterie, en tout cas plus que dans son premier album » c’est que vous êtes mélomane. Donc, ce n'est pas une affaire de date ni de mode.

Historique disais-je : il s’agit bien d’histoire occidentale alors on va laisser les musiques chinoises, indiennes, asiatiques, africaines, natives-américaines de côté, ainsi que la musique de Mésopotamie que personne ne connaît ou la musique gréco-romaine dont il ne reste que des traités et quelques partitions transcrites qui tenaient il y a une vingtaine d'années en un seul disque compact… On peut diviser la musique occidentale en plusieurs parties : le médiéval, la Renaissance, le classique, le moderne, le jazz et le folklore. Le folklore a disparu en dépit de résurgences très récentes et il ne reste que des miettes, que certains qualifieront de pépites… On pourra m’aider sur ce point mais il me semble qu’on n’entende que des musiques arrangées « à partir de ». Quant au médiéval, à la Renaissance et au  jazz, je ne connais guère.

Le classique proprement dit, avec sa tonalité, ses formes, ses genres, émerge de la Renaissance et forme un continuum entre le baroque (1600-1750), le classicisme, le romantisme (1820) et l’ultraromantisme (1880-1945), toutes les dates restant sujettes à discussion. Le moderne vient-il du classique ? Une partie des fondations du moderne vient d’un point de bascule dans la crise tonale (un élément technique) dû au chromatisme en cours dans l’ultraromantisme. L’autre vient peut-être de plusieurs « tables rases » dont la première et la seule reste le Sacre du printemps de Stravinsky. Par ailleurs, le moderne emprunte au classique ses instruments et son solfège, mais il retourne si profondément la terre qu’il est impossible de prévoir cette évolution-rupture. Le moderne par ailleurs se dédouble en moderne proprement dit et en contemporain. La musique contemporaine est presque inconnue du public, extraordinairement exigeante ; et pourtant elle gagne à être connue ! C’est l’âme de notre époque. Elle foisonne de styles et chaque auteur a le sien, sans parler des compositeurs dont chaque œuvre a son propre style.

A côté, émerge autour de la date de cristallisation 1915, un style nouveau, le jazz, du ragtime, du blues et du negro spirituals, dont le succès populaire est foudroyant. Je range dans cette catégorie le jazz dit classique mais aussi le rock’n’roll, la chanson française… encore que les influences se croient beaucoup. Les musiques actuelles sont en général très formatées au niveau de l’harmonie, du rythme et du format. Elles parlent cependant de nous, alors que la musique contemporaine est volontiers abstraite voire métaphysique. Mais encore une fois, chacun peut préférer l’une à l’autre en s’affranchissant de toute étiquette élitiste. Et puis, il y a une certaine incohérence à parler de musique historique pour Stockhausen qui a écrit Licht bien après les Beatles.


Aujourd’hui, avec YouTube, la musique classique est vraiment à tout le monde. Et elle y est tout entière, plusieurs fois puisque plusieurs youtubers peuvent envoyer la même œuvre. Haydn a beau avoir écrit 104 symphonies, que personne ne connaissait, sur YouTube, elles y sont toutes. Gossec a beau être un compositeur presque inconnu, tout y est. Il est difficile de faire sécher YouTube avec son moteur de recherche. Voici des entrées qui devraient, en principe, plaire à tout un chacun.


Je propose ces entrées, par ordre chronologique.

•   Médiéval : Je vivroie liement, Guillaume de Machaut.
•   Renaissance :  Par droit je dois bien complaindre, Dufay. Spem in Alium, Tallis. La Chasse, Janequin.
•   (Classique) Baroque : L'Orfeo, ouverture, Monteverdi. Passacaille en do mineur, JS Bach. Une sonate de Scarlatti.
•   (Classique) Classicisme. Sonate n°50, I, Haydn. Symphonie n°40, I, Mozart. Sonate n°14, Beethoven.
•   (Classique) Romantisme. Ballade 1, Chopin. Ouverture de Tannhäuser, Wagner. Étude opus 39 n°5, Rachmaninoff. Trio des conspirateurs, La Grande Duchesse de Gérolstein, Offenbach.
•   (Moderne) Moderne. Prélude à l'après-midi d'un faune, Debussy. Le Sacre du printemps, I, Stravinsky. Pierrot lunaire, opus 21-1, Schönberg. Saudades do Brasil (Copacabana, Ipanema, Gavea), Milhaud.
•   (Moderne) Contemporain. Poème électronique, Varèse. Section 1, Répons, Boulez. Mystères du macabre, Ligeti.

[Safrande]

Coucou Arsinor, j'sais pas si c'est le bon endroit pour faire ça, y'a un coin musique classique exprès, ou sinon ç'aurait été cool d'ouvrir un sujet, un p'tit cocon à toi pour faire découvrir la musique classique, mais bon tant qu'on y est...

Je trouve que vouloir faire découvrir la "musique classique" par une musicologie rigide, en répertoriant froidement les styles, les courants, les définitions, c'est risquer de dégouter les nouveaux qui s'y essayent. Il me semble que c'est comme ça qu'on fait dans les conservatoires, et justement comme ça qu'on fait pour faire le tri entre les enfants de bourgeois dont l'environnement les a préparé à cette approche qui, de fait, leur semble évidente et familière, et les autres (la majorité) pour qui c'est long, et qui soit s'accrochent, persévèrent et réussissent mais en gardent un affreux souvenirs, ou soit (la majorité) abandonnent parce que ça leur semble hors de porté, inaccessible sans avoir certains codes, certaines aptitudes intellectuelles, ça ne semble pas faire partie de leur monde, ça semble être réservé à une espèce d'élite, alors que flute on parle de musique, l'art peut-être le plus brut, le plus charnel, le plus primitif qui soit, et qui parle le mieux aux sens, et la musique "classique", comme le rock, comme le rap ou le jazz, ne fait pas exception. Presque on désolidarise la musique classique de ce qu'elle provoque dans le ventre, de ce qu'elle remu dans les trippes, parce que c'est trop sale pour elle ; on la déshumanise, presque on la divinise, et se faisant on perd la proximité qu'on peut plus facilement se créer avec un groupe de rock par exemple, alors qu'elle exprime les mêmes sentiments humains, mais sous une forme différente : on met toujours une distance avec elle parce que c'est "génie", c'est "grand art", donc on ose pas trop s'approcher ; on désapprend aux enfants à la ressentir, on leur enseigne qu'il faut la comprendre.


Aujourd'hui c'est prouvé la musique "classique" est de moins en moins consommée, les écoutes en streaming et les ventes de cds sont en chute libre, et la raison principale est la façon dont on la transmet, que ce soit dans les écoles comme dans les émissions, en faisant croire que c'est un truc sérieux, qu'on déconne pas avec, c'est "supérieur", c'est "savant", difficile d'accès, que ça suppose de la connaissance, de la culture : non, stop, non, arrêtez tout ! La musique "classique", comme la musique en général, c'est du plaisir, du bonheur en perceptive, y'a des trucs nuls, chiants (même chez les "génies", les Mozart, les Bach et compagnie), d'autres sublimes, à chialer, à jouir, c'est pas au dessus des autres styles, ça s'écoute autant dans la voiture, le métro, que dans un casque sous la couette, c'est vivant, c'est plein de trucs contradictoire, et c'est surtout pas qu'un truc "calme et relaxant", ça peut avoir la puissance d'un groupe de metal, la concision et l'efficacité d'un groupe de pop, la tristesse des chansons les plus désespérées ; ça demande, comme l'art en général, simplement de la curiosité et de la sensibilité, c'est tout !

Voici donc la musique historique et j’aimerais parler aussi des mélomanes. Vous croyez peut-être qu’un mélomane est celui qui rend tout son prestige à la musique historique, qui fait semblant d’apprécier les concerts qui en réalité l’ennuient. Pas du tout ! On est mélomane dès qu’on connaît à fond une musique, un style, un filon. Vous pouvez tout à fait écouter en boucle sans l’entendre vraiment une chanson à la mode qui passe à la radio et soit la mettre en fond sonore, soit vous mettre à l’écouter très attentivement. Le test ? Si vous dites « génial ce truc, c’est quoi ? » c’est que vous n’êtes pas mélomane. En revanche si vous commencez à dire « le dernier album de Untel fait la part belle aux rythmes originaux confiés à la batterie, en tout cas plus que dans son premier album » c’est que vous êtes mélomane. Donc, ce n'est pas une affaire de date ni de mode.

Comprends pas trop cette fixette sur le mot mélomane ? Est mélomane celui qui aime la musique non ? Puis ta définition est tronquée je trouve, parce qu'on peut connaitre "à fond une musique, un style, un filon", et quand même faire semblant de l'apprécier, s'en ennuyer - regardes moi je connais le prix de tous les timbres, de tous les colissimos, de toutes les opérations Laposte, et pourtant ça m'ennuie à crever. Puis dire que "Untel fait la part belle aux rythmes originaux confiés à la batterie, en tout cas plus que dans son premier album" je trouve que c'est même pas parler de musique, elle est pas là la musique, dans tel aspect technique, historique ou culturel - n'importe quelle œuvre c'est avant tout une aventure affective non ? Tu parles quasiment jamais d'émotions, alors que c'est le sujet principal il me semble - comme de parler de nourriture sans aborder le fait que ça se mange, que c'est pour ça qu'on se fait chier à élaborer des trucs pendant 3h  Parce que les compositeurs sont certes des personnes qui ont "l’art d’agencer les sons", mais en vu de quoi ? en vue de provoquer des choses à l'auditeur, en vue de l'émouvoir ! Des mecs comme Beethoven sont littéralement des agenceur d'émotions, ils te font passer de l'une à l'autre, alors qu'elles semblent contradictoires, avec une telle facilité que ça semble naturel, dans un morceau calibré et efficace comme un morceau des Beatles, une machine bien huilé qu'on ne se lasse pas de faire tourner, exemple parmi tant d'autres. Ca passe d'un truc tout sautillant, élégant et un peu espiègle, à tout à coup une gravité puissante, majestueuse, qui s'estompe, puis d'un coup ça s'accélère pour devenir complétement fou et jouissif, bourrin, énervé, un petit sourire en coin, et le thème initial reprend, innocent, toujours aussi joueur, comme si de rien ne s'était passé  Et les beaux morceaux de classique c'est souvent comme ça, c'est une histoire qui se déroule en son, certain thèmes, certaines mélodies ont la teneur, la complexité, les paradoxes d'un personnage de roman, d'autres sont plus évocatrices qu'une image, certaine musique de 5 minutes font plus voyager qu'un roman de 600 pages, d'autres de 18 minutes contiennent plus de vérités qu'un essai de philo - Schumann qui saisit exactement l'expérience de l'enfance, des morceaux d'enfances, qui les retranscrit si bien, si fidèlement, dans une candeur intacte, Proust n'a qu'à bien se tenir 

Les musiques actuelles sont en général très formatées au niveau de l’harmonie, du rythme et du format. Elles parlent cependant de nous, alors que la musique contemporaine est volontiers abstraite voire métaphysique.

J'suis pas trop d'accords avec ces deux affirmations : si par musique actuelle on inclus le 20ième et le 21ième siècle, des groupes de rock progressif (genre Yes, Magma, King Crimson, Mars Volta), même de metal (Tool), de jazz (Coltrane, Davis), de pop (Robert Wyatt), sont loin d'être formatés harmoniquement ou rythmiquement, c'est même là que tout s'invente (je pense à Messhuggah qui va jusqu'à influencer les compositeurs de jazz ou de musique contemporaine, le mouvement electro et plus précisément électronica qui influence jusqu'à même s'y mélanger la musique "savante" actuelle), et quand bien même ce serait le cas, ce ne sont pas des critères qui font qu'une musique est bonne ou non - la richesse harmonique, rythmique, structurelle d'une musique n'a rien a voir avec sa qualité, ce n'est qu'une de ses caractéristiques. Et dire que la musique contemporaine est volontairement abstraite j'suis pas trop d'accords non plus, quand on écoute Arvo Part (musique sublime au passage, facile d'accès, forte émotionnellement), Steve Reich (bon ça faut accrocher, mais c'est assez hypnotisant) ou Phillipe Glass, on comprend tout, et j'ai envie de dire qu'on comprend tout aussi quand on écoute le requiem de Ligeti ou les quatuors de Chostakovitch, c'est juste que c'est une musique moins séduisante, plus violente, presque bestial - y'a qu'à voir ce mouvement c'est plus crade qu'un groupe de death metal 

Du coup je prône plutôt une découverte ludique, charnelle, humaine de la musique "classique", parce que c'est comme ça qu'un petit prolo comme moi, qui vient d'nrj, du rock, du metal, etc, a pu entrer dedans, a pu gouter sa finesse, ses subtilités, sa puissance a sa juste valeur, loin de tous les mythe qui la déforme et la mystifie, loin de l'aspect technique qui la rend incompréhensible et n'apporte pas grand chose, loin de son histoire qui est intéressant si on aime l'histoire, mais hors propos et facultatif si on veux juste kiffer.

Au plaisirs !

[Tituslightdark]

Ah, mais cher Arsinor ! Il manque à ton florilège (exhaustif et que j'approuve), l'intégrale des pièces de clavecin par François Couperin, peut-être le plus grand musicien français. Quel oubli ! 

[Arsinor]

Couperin bien sûr !
Le baroque est très riche en effet ! Il n'y a pas que Scarlatti et Bach.
Peux-tu Tituslightdark donner un lien vers une vidéo de Couperin de quelques minutes ?