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Le Monde de L'Écriture » Coin écriture » Textes courts (Modérateur: Claudius) » Souvenir de vacances d'une rêveuse

Auteur Sujet: Souvenir de vacances d'une rêveuse  (Lu 765 fois)

Hors ligne Elina

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Souvenir de vacances d'une rêveuse
« le: 29 novembre 2020 à 22:35:21 »
Bonsoir !
Voici un (petit ?) texte basé sur un lieu de vacances.
Toute remarque est la bienvenue  :)

Comment te décrire ?
Tu es une partie de mon histoire, une partie de mes sentiments.
Comment de simples mots peuvent-ils transposer tout ce que tu m’inspires ?
Toi qui es un lieu chaleureux et calme.
Un lieu d’amour et de liberté.
Un lieu d’inspiration et d’espoir.
De tant d’objets, de tant de personnes, de parfums et de sons qui te rendent si précieux.


Tu commences par une simple barrière, un gardien souriant tendant un badge pour accorder le droit d’entrée en ton domaine.  Une supérette à gauche du carrefour, juste à côté de la boulangerie et d’une pizzeria. « Pas aussi bonne que celle de la ville d’à côté » selon ma grand-mère. En face la route se divise entre un chemin allant au château et l’autre allant jusqu’au « village des fourches ». La route à droite menant à la plage et au club de tennis. Celui où ma mère va tous les matins, et que ma bande et moi squattons le soir. Certains jours il s’y déroulent aussi des tournois de ping-pong.

La route de la plage… le béton brûlant les pieds nus longeant le bord allant d’une plage à l’autre.

La première, toujours remplie de monde, avec son « club house » alias bar et son club de voile. Se trouvant en face du Tennis, elle offre une longue étendue de sable fin bordé par des rochers et des pins d’Alep. Ici on y joue au volley, à la pétanque, on commande un verre au bar, à l’ombre des parasols en paille, restant là à contempler l’étendue bleue azure.
En descendant les escaliers menant à la mer, puis en suivant la côte vers la droite, on s’éloigne de la plage et de la foule pour marcher le longue de rochers.

L’odeur du sel, le touché du vent, le cri des mouettes et les effluves des pins.
La chaleur du soleil, l’enivrement des vacances. Tous s’entremêlent pour créer une euphorie légère et exaltante.

De pas en pas sur les rochers glissants, les ponts cassés et les chemins étroits où les arbustes nous griffent on arrive sur la seconde plage.
« La petite plage » comme on l’appelle par ici.
La plage où mon père y bricole ses bateaux, où je glissais sur des planches avec mes sœurs, du temps des châteaux de sable, des barrages avec l’eau et les autres jeux au grès de notre imaginaire d’enfant.
En longeant la plage, toujours vers la droite, on y découvre un chemin de rochers plus sauvage, plus escarpé. D’ailleurs le chemin a été fermé cette année pour cause d’éboulements et d’autres dangers.

Marchant des heures durant, au grès de mes pensées vagabondes, c’était là mon sentier préféré.

Revenons en arrière. Au croisement des trois routes, la plage, le château et le village.
Si on prend la route montant en direction du château on passe devant de nombreuses maisons.  Des maisons bâtis en pierre de Bormes, avec des toits-terrasses recouverts de végétation, des grandes baies vitrées ouvertes sur l’extérieur bordées, pour la plupart, par des piscines.
En remontant plus haut la route menant au château, derrière un virage on découvre une propriété dotée d’un long portail vert.

J’ouvre le portail et découvre une allée montante bordée de part et d’autre d’innombrables cactus et d’autres fleurs. Me tournant vers la droite j’ouvre la boîte aux lettres imbriquée dans le muret prolongeant l’arcade pour y récupérer le courrier à apporter aux grands parents.

Puis c’est la monté vers la maison, le contact des pieds nus sur la pierre lisse, puis le garage avec le 4x4 et la moto. A côté c’est le local électrique pour la piscine et l’arrosage automatique.  D’en bas je peux apercevoir la goulotte de la piscine entourée de fleurs au effluves subtile et aux couleurs saisissantes.

En montant les escaliers j’arrive sur la terrasse et la piscine avec sa vue magique sur la mer et les montagnes de Bormes que l’on aperçoit au loin.
La baie vitrée ouverte sur table arrondie de la terrasse, le barbecue renfoncé dans la pierre, les dédales d’escaliers allant de la chambre des grands parents à celles des parents en passant par la quatrième chambre. Entre les innombrables fenêtres et portes laissant passer les rayons du soleil.
Les sucreries de mon grand-père, les menthes à l’eau de ma grand-mère.
Les heures dans la piscine, celles à bronzer sur les matelas rayés jaune et blanc.
Les soirs d’exceptions où la grande famille se réunit, entre rigolades et souvenirs.


Mais les souvenirs ne s’arrêtent pas là, encore une fois, en montant un peu plus la route vers le château… à l’abord du chemin, un petit portail en bois et des escaliers descendant menant à une cour étroite. Une porte en face et une douche extérieure dessinée dans la pierre à gauche. La porte mène à une cuisine réduite sur une courte longueur qui débouche sur un salon au mur de pierre. Le couloir menant aux chambres est tout aussi exigu. Le mur à sa gauche ressemble à des cloisons japonaises. La maison est plus petite que la première mais possède elle aussi un charme certain. La vue de la terrasse est obstruée par les arbres, la mer se devine plus qu’elle ne se voit. Si l’on ouvre le portail du bas, ou plutôt « le morceau de grillage » servant de délimitation et qu’on descend les escaliers puis qu’on s’enfonce dans la forêt, on finira par arriver sur la petite plage.

Comment parler de toi en omettant ces deux lieux magiques qui suivent ?


Le château se trouve tout au bout de la route, après la maison de mes grands-parents maternels et celle de ma grand-mère paternelle. Je ne connais pas son histoire, je ne saurais pas vous en parler. Pour moi c’est un lieu d’aventure, de contes et de mystères. Des légendes racontées par mes cousins puis répétés et amplifié par mes sœurs.  Il fut en ruine, laissé à l’abandon, terrain de jeu propice à nos cœurs d’enfants. Sa chapelle qu’on remettait en ordre chaque année. Réparant les vases cassés, les remplissant de fleurs et replaçant les idoles. Cet été, et depuis quelques années déjà, il commence à être restauré.
Je ne vais pas vous décrire tout son décor, il est grand, bien trop grand. Possédant quatre étages et d’innombrables bâtiments annexes. Une piscine, des écuries et d’autres édifices dont je ne saurais dire la fonction.

Un château en reconstruction dans un domaine isolé, et puis... une île féerique perdue au milieu de la mer.

En partant de la petite plage, nageant jusqu’au bateau ancré à une cinquantaine de mètres de la rive. Puis mettant les voiles cap direction Port-Cros. Le temps capricieux ne nous accorde pas toujours sa beauté. Nous filons entre les embrumes agités et le soleil radieux.
Mon père à la barre, mes sœurs courant d’un bout à l’autre, bordant ou souquant les voiles.
Et puis enfin, l’horizon laisse entrevoir l’île.
Un bout de paradis.
On dirait un repaire de pirate, son ponton en bois, bordé de part et d’autre par les bateaux.
Son centre minuscule, composé de 4 restaurants, d’un bar, d’une boutique et de deux hôtels.
Et d’une capitainerie surveillant le flux de bateaux.
Tous les bâtiments sont en pierre couleur rouge ou sable, bordés par des palmiers. Derrière eux s’étendent des montagnes recouvertes d’arbres rendant une harmonie entre leurs teintes vertes, le bleu de ciel et l’orangé du bourg.

Comment décrire plus encore toute la magie et l’inspiration que dégage ce lieu ?
Le vent, la chaleur, les parfums, l’ambiance du bar à la tombée de la nuit, le restaurant et la boisson aux 10 épices inconnues. La nuit sur le bateau, le réveil sur le port, le petit déjeuner sur la jetée….

Ma tête bourdonne de souvenirs à l’évocation de ces lieux.
Fermant les yeux pour mieux m’y imprégner, puis les rouvrant en esquissant un sourire.
Posant ma plume, enfouissant les souvenirs dans mon esprit.
En attente d’en vivre de nouveau en ces lieux magiques.


« Modifié: 30 novembre 2020 à 14:43:10 par Elina »

Hors ligne Cendres

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Re : Souvenir de vacances d'une rêveuse
« Réponse #1 le: 30 novembre 2020 à 09:17:59 »
Merci pour ton texte
C'est une description d'un lieu de vacances.

Le défaut, si je peux me permettre, c'est qu'il n'y a pas d'histoire. Si bien que le texte est a mon gout un peu long pour ce qu'il nous raconte.
C'est un avis personnel, qui n'est pas forcement juste.

Sinon il est bien écrit.

Hors ligne Elina

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Re : Souvenir de vacances d'une rêveuse
« Réponse #2 le: 30 novembre 2020 à 09:31:42 »
En effet c'est  un simple "souvenir"  posé en brut.  Tu me pousse dans  l'idée  que c'est peut être compliqué à  suivre  pour  ceux n'ayant  pas  la référence et que  le texte  est trop personnel pour avoir  sa place  ici.

Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.
« Modifié: 30 novembre 2020 à 15:13:17 par Elina »

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Re : Souvenir de vacances d'une rêveuse
« Réponse #3 le: 30 novembre 2020 à 13:38:24 »
le débat "carte postale" VS "ciné d'action", je saurais pas quoi en dire puisque c'est la culture en général qui m'effraie et fait que... bin j'ai pas beaucoup lu du tout, désolé :'(

mais comme tout retour est accepté, et que j'ai qmm lu les coms, je me dis que mince non

Elina, il n'y a pas à remettre en cause la pertinence de cette création partagée que tu nous offres, si ce n'est avec toi-même ! alors bien sûr que, d'une part tu étais enthousiaste à partager ceci de toi, mais que d'autre part tu apprends la mesure personnelle de ton intimité ; mais ce, tu le fais en la testant ici, alors j'ai envie de t'encourager à ne pas brider ta pudeur, mais à la conserver dans ce qu'elle résonne pour toi ! oui, Cendres n'est pas absolument dans le délire, et moi non plus, mais et alors ? perso je remarque tu si tu le trouves trop personnel, alors cela t'apprendra je l'espère, à mesurer la prochaine part de ce que tu dévoiles et de ce que tu gardes ! en tous cas ici je crois que nous sommes assez bienveillant pour respecter, d'une part ton intégrité à être toi même dans ce que tu as de personnel, et d'autre part le fait que tu es sur un forum d'entre aide, où justement, cela fait partie du travail commun d'accepter les écarts d'autrui ! donc : nous sommes entre nous, ton personnel trop pudique, on peut t'apprendre à le garder pour toi, et ce qui déborde, on en sera juste un sas de décompression, un filtre d'acceptation qui rend toute cette mesure entre le personnel et le commun, ce qui est à découvrir pour tout écrit, tout écrivain, toute écriture !

voilà, heu sinon pour le texte, le peu de ce que j'en ai perçu :
l'usage de la deuxième personne est intéressante pour un lieu... mais je sais pas, c'est ce qui m'a fait décrocher de mon effort qui n'a à voir qu'avec ma pathologie de concetration que je... mais ne partons pas trop loin :

moi j'aime bien les cartes postales, autant que le cinéma d'action
et les deux qui se rejoignent bien, c'est sous l'oeil de Jean-Pierre Jeunet !
trouvez pas ? c'est du livre filmé par photographe artistique !
y'a autant de décors que d'action, que de réflexion, 'fin c'est ouf !

et forcément quand je vois de la littérature carte postale que je trouve plus rare que celle cinéma d'action
bin je pense à Jeunet, parce que ouais, c'est cool de creuser un peu le côté décors, ambiance, contexte, perception, étou...

donc en fait ta dynamique globale, sans avoir lu autre chose que les deux trois premiers effets de ton produit, je crois je la cerne un peu et c'est pour ça que je suis là : je la trouve cool :)

merci de ton partage, et heu... peut-être ce souvenir t'appartient-il, et que la catharsis de sa retranscription nostalgique ne passe pas forcément par le dépassement de ton intimité ? je veux dire :  je suis sûr que ça parle pour beaucoup à certains qui n'ont pas osé se manifester, bon, c'pas gravissime, moi je veux bien glisser en leur hypothétique nom :

- merci du partage
- courage dans ce travail de l'écrit témoigné ici publiquement
- et paix sur ton sentiment profané, nous-mêmes parfois surrement tous, nous allons un peu trop ou pas assez loin, mais ça ne nous empêche pas de réajuster après coup, tu verras c'est une gymnastique qui s'articule, parfois de manière cool

!
"i don't care if your world is ending today
because i wasn't invited to it anyway
you said i tasted famous, so i drew you a heart
but now i'm not an artist i'm a fucking work of art"

(s)AINT - marilyn manson

Jimmy

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Re : Souvenir de vacances d'une rêveuse
« Réponse #4 le: 30 novembre 2020 à 13:56:41 »

Ce texte a tout à fait sa place ici à mon avis. C'est une magnifique description, un petit voyage de rêve que tu pourrais inclure dans un roman de type "mémoires".
Je me suis régalé à le lire, et histoire de ne pas quitter trop rapidement cette ambiance féerique, je me suis donné pour tâche d'y apporter quelque corrections; ce que je ne fais que très rarement.



tout ce que tu m’inspire (s)
s’y déroule aussi des tournois (déroulent)
des parasols en pailles (de la paille)
où les arbustes nous griffes (ent)
comme on l’appel (lle)
d’autre fleur (au pluriel)
la boîte aux lettres imbriqué (e)
les dédalles (dédales)
une douche extérieur (e)
Réparant les vases cassées (és)
il commence à être restaurer (é)
une île féerique perdu (e) au milieu de la mer
une 50aine de mètre (une cinquantaine de mètres)
Tous les bâtiments ... bordé (s) par des palmiers.

Ce ne sont que des petites fautes d'inattention, parce que dans l'ensemble tu as une très belle écriture.

Une chose par contre me chagrine un peu plus: ta façon d’utiliser le pronom "on".
J'avais un instituteur qui analysait ce pronom de cette façon: "ON pronom imbécile, mis pour celui qui l'emploie trop souvent".
Moi je dis qu'on peut l'employer à volonté, c'est un mot de la langue française bien pratique très répandu dans le langage courant. Seulement il faut l'employer à bon escient.
Je m'explique: c'est un pronom INDÉFINI.
Lorsque tu écris: "Ici on y joue au volley, à la pétanque, on commande un verre au bar, ...", tu as tout bon. N'importe qui peut jouer au volley, à la pétanque, ou commander un verre au bar.
Mais
Lorsque tu écris: "et que nous on squatte le soir" ou "où l’on glissait sur des planches avec mes sœurs", c'est incorrect. Dans la première phrase, le "on" c'est nous, et dans la seconde le "on" c'est toi avec tes sœurs; ce n'est pas INDÉFINI.

Malgré tout ça, je le répète, je trouve ton texte excellent.


Hors ligne Elina

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Re : Souvenir de vacances d'une rêveuse
« Réponse #5 le: 30 novembre 2020 à 15:03:18 »
Jimmy

Merci pour ton retour et cette explication bien utile  :)
Merci aussi d'avoir prit le temps de me corriger, c'est bien gentil et ça me touche.  ^^

Dot

Après avoir relu mon commentaire envoyé à la suite de celui de Cendres il est vrai que je me suis peut être exprimer un peu durement et je m'en excuse.
Ce que je voulais dire c'est que l'ensemble était peut être difficile à imaginer pour qui ne connaîtrait pas l'endroit et que le fil de mes pensées pouvait aussi vous perdre. Je ne remettais pas en cause la partie de moi que je vous dévoilais simplement la complexité au lecteur de la suivre.
Je garde cependant l'appréciation de ton effort à me réconforter dans cette option  ^^
Mais il est vrai, nous sommes là pour apprendre des autres et aussi de nous-même, alors merci de ces mots qui m'encourage en ce sens, de toi et de ceux au nom duquel tu parle !
Puis bah comme tu dis, on peut pas tout y plaire à tout le monde tout le temps alors que t'en pis on verra bien au prochain ce que tandis  ;D




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Re : Souvenir de vacances d'une rêveuse
« Réponse #6 le: 01 décembre 2020 à 22:50:50 »
puis-je après survol à nouveau, du touti sur la page, de poser une question à propos de ton texte dont j'ai du lire, je m'en excuse platement, genre au bas taux de mots, un truc n'excédant pas les 2virgules pourcent, je... ne sais pas trop, mais en tous cas c'est pas genre un mot sur cent ou quoi, t'sais c'est des morceaux fragmentaires chopés, et y'a un truc qui m'a marqué... en vrai j'suis en plein délirium hein, mais j'ai presque envie de demander si ce n'est pas un quatre-mains composé de vécus partagés, entr el'alternance de structure marquée par les italiques, et l'impression évoquant le 'on' dans un commentaire... pas obligatoire de répondre, quelle que soit la diffraction du phénomène qui fait qu'on se souvient rarement de trucs d'enfance solitaires, mais voilà, heu, je me mouille un peu en vrai, mais j'avais donc, oui cette question qui n'a pas trouvé son point, je vais essayer de lui en mettre un ou deux :

de quelle volonté artistique témoigne cette alternance structurelle suscitée ?
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Hors ligne Elina

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Re : Souvenir de vacances d'une rêveuse
« Réponse #7 le: 01 décembre 2020 à 23:20:06 »
Puisse-tu évidement de te poser un questionnement sur mon texte ^^
Pour te répondre franchement,
J'ai bel et bien écrit ce texte de mes deux mains seules,
Je ne saurais pas dire le pourquoi du comment que j'écris ainsi, je crois que je l'ai toujours fait,
Amusante remarque que m'as aussi fait ma grand mère à ce propos,
Cette touche qui vous interpelle dois vraisemblablement être, sans trop m'avancer, l'unicité  de ma plume
En vrai, le "on" qui peut porter à confusion je n'y ai pas vraiment penser en écrivant,  celui-ci représente l'ensemble des personnes, j'ai pas réfléchis plus que ça
Pour ce qui est de l'enfance solitaire auquel la mémoire devrait être altérée, j'avoue ne pas te suivre  :-\

Hors ligne dc85

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Re : Souvenir de vacances d'une rêveuse
« Réponse #8 le: 03 décembre 2020 à 16:48:15 »
Nostalgie, c'est le mot qui me vient à l'esprit en lisant ton texte. Et c'est très difficile à évoquer avec seulement des mots. La preuve, c'est que le grand Marcel a eu besoin de madeleines. J'ai bien aimé, quoique pas très facile à lire.
Une remarque mineure ton La plage où mon père y bricole ses bateaux me gène, j'ai le sentiment d'un pléonasme. Je supprimerais le y

 


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