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« Dernier message par clemouchka le Hier à 17:45:36 »
Des aurores charnelles dansaient sur des cristaux pieux
Là, ou fermentaient les délires crevant les firmaments
Croulant sur des puits d'astres aux péchés impénétrables
Avec des contritions d'azurs ou s'illuminaient des Baisers vierges
Des abandonnés d'équilibres, aux désirs des chastetés qui s'abreuvaient
De danses cryptiques, baignant les cécités des peintures
Qui nourrissaient, des éclipses d'oiseaux ô bouquets hystériques
Ou les phalanges en vols, pleuraient des symphonies cruelles
O enfantements des papillons jouant avec les frissons inconscients
Des crépuscules jetés d'extases, aux vastes appétits
Qui brisaient, des nuits d'alcôves splendides
O effusions de diamants aux pâmoisons étoilées
D'hydres ou pendaient des parfums jasant
Sous des tournoiements cosmiques ô jasmins
Des symbioses télépathes, ô voluptés irrationnelles
O cerveaux vierges d'entendements surréalistes
O vins d'abeilles, ou riaient les lampadophores jaloux
Des douceurs de violons aux regards d'étés
Tordant les crépuscules des yeux ouvrant des perles
Aux visions étranglées de peaux murmurant
Des bénédictions d'aubes aux réflexions d'astrolabes
Mythologiques, gorgées de libations ou végétaient
Les chevelures bleues pullulantes, prisonnières
Des constellations indiscrètes, aux botaniques
Emerveillées, qui métamorphosaient des gigantesques
Foyers de balançoires, nourrissant des rédemptions
Aux bleus rayons des genoux étranges, soupirant
Des hallalis migrant, des pandiculations de statues
Aux flèches tribales des singularités, ou tordaient
Les élastiques existentiels des âmes, écrasant
Les faubourgs aux pubescences des piétés physiques
Libertés religieuses
Des rémissions d'alcools torchant les angoisses
Supérieures, domptant les fraîcheurs des nymphes
Aux spectres communiquant des tisons républicains
Là ou les enfantements des croyances, conspuaient
Des forces noires de désastres, qui trouaient les flots
Des comètes aux nonchaloirs accroupis face
Aux introspections de pachydermes, qui priaient
Des éveils sacrifiant les boucles lascives
Des vendanges d'arcs-en-ciels, aux rires
Gorgés d'insomnies, qui électrisaient
Les infâmes araignées aux troubadours
Qui puisaient, des ployantes Libertés
Aux confessions de glaïeuls impénitents
Vers les impuissances des voyances
Aux atroces aliénations qui puaient
Par-delà les squelettes aux songes déportés
Des cadavres spirituels aux spiritismes jaloux
Hurlaient des larges tombeaux d'astres
Qui dévisageaient, décryptaient, les scientificités
Des parchemins ou tombaient les lyres en cathédrales
Qui fécondaient, les degrés rouges des chandeliers
Aux natures ou se recueillaient les amulettes
Egrenant des souvenirs figeant les monastères liquides
Ou flottaient, les travestissements d'harmonies aux équilibres
Dynamiques, des influx d'arborescences nerveuses
O sarcophages emperlant les conversions immenses
Des schizophrénies de colombes privatisant
Les hasards orthodoxes
Fixités des progrès hormonaux
Des chairs d'astres dansaient sous des lampadophores religieux
Qui communiquaient des baisers d'azur aux puits immenses
Qui pleuraient des spectres gorgés de cristaux brûlés
Avec des silences torpides ramifiant les degrés d'aumônes
Intuitifs, qui hurlaient des transparences d'alcools
Aux chastetés des visages trempés de bijoux intuitifs
Là, ou les colombes priaient des cueillaisons aux nudités
Chimériques, vers les bleus degrés des éveils crevant
Les firmaments d'entendements composant, les éthiques
Quantiques, des consciences contemplant les harmonies
Des végétations vierges de désirs oubliés, ô sanctuaires
Baignés de lyres déchiquetant les squelettes athées
O violences des grâces vivantes, aux accroupissements
Volant les sommeils aux diapasons hystériques, ô puits
Des visions mathématiques qui jouent avec les phalanges
Hypocrites, ô cercueils immortels, ô pâmoisons littérales
Les rires chimiques jalousent les brasiers ou rêvent
Les sarcophages tendant les poings matriciels
Qui transmettent, des chastetés de nuits éternelles
Ou les abeilles tombées, foudroyantes, hystériques
Interrogent, les empreintes immenses des aurores
Constellées d'aumônes cruelles, contemplatives
Là ou les séraphins brillent, grondent, des ossements
Linguistiques, larvés de continences visionnaires
Avec des pierreries prémonitoires, qui labourent
Des cycles mêlant, les fronts religieux
Qui fermentent, à travers les importations tribales
Aux accroupissements d'opéras transcendant
Les cerveaux ensemençant les grimoires intérieurs
Des pensées chirurgicales, ô complexions
Des démences aux tremblements des fixités d'ouragans
Pécheurs d'oméga analytiques
Les flamboyantes réalités nourrissent les regards lutteurs
Avec des évanouissements de paupières, qui opèrent
Des volitions d'arcs-en-ciels tordant, les ongles singularisant
Les tombeaux démesurés, là ou les soupçons schizophréniques
Pénètrent les alcôves aux frissons des fortunes, qui puisent
Avec des ascèses d'anachorètes endormis sous les flûtes
Aux pendules athées, aux décompressions d'êtres
Travaillant les libertés, des purs rayons chargés
D'impuissances neurologiques, avec des tabernacles
En désastres trouant les ramifications des serpents
Pendant, sous les mécanismes des sanglots évanouis
O libertés chirurgicales des insomnies des zéphyrs imaginaires
Les tziganes effarés découvrant les miraculeux et impénétrables
Roseaux numériques crachant, des hydres aux vertèbres étranglant
Les songes complices d'avec les gonflements biologiques
Des flèches en chandeliers orthodoxes, qui figeaient des déterminismes
Epouvantant les citadelles d'ecchymoses intuitives, pleines d'aubes
Electriques, fantasmant les glaives sublimes, écologiques
Avec des pointillistes séraphins aux regards, aux morcellements
Qui lavaient, des invisibles tabernacles, riches de funérailles
Qui jonglaient, avec les ennemis irréguliers, des interdits plastiques
Avec des accouplements de plantes théologiques, ô délires des nuits
Aux conversions des diamants mariant, les dédoublements
Des langues innocentes, aux vendanges amoureuses, les lointains lacrymaux
Prophétismes des lumières proscrites, ô natures créationnistes, ô étoiles ô misères succursales de l'ego