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Ce texte précède la Bataille de Nargarone et fait partie de l'univers d'Erakis
Texte:
Sous la tente royale, cramoisie de teintures et de soleil couchant, l’Etat-major évaluait ses chances. Ses membres étaient penchés sur une carte détaillée de Nargarone qu’ils parsemaient de petits pions sculptés dans la pierre. Rien ne semblait pouvoir altérer leur concentration si bien que lorsqu’un homme se glissa entre deux tentures, pas un officier ne releva la tête.
« Les Marchands vous font savoir qu’ils attendent un négociateur. »
Regnauld III se retourna vers le messager, les sourcils arqués par la surprise.
« Ils veulent négocier ? »
L’homme ouvrit la bouche pour répondre mais le roi du Hadvast ne lui en laissa pas le temps. Il s’était déjà détourné pour abattre sur la table son énorme point ganté de fer. Le fracas fit trembler les figurines qui s’y trouvaient et les généraux qui les regardaient.
« Ce couard d’Irden se décide ? Nous lui en avons laissé cent fois l’occasion ! Maintenant qu’il est acculé, que je me suis fait chier à ramener l’intégralité de ma foutue armée à ses putains de portes, il daigne me recevoir ? Qu’il aille se faire foutre. »
Sur la carte, le roi Regnault III se mit à intervertir frénétiquement les bataillons avec les trébuchets au mépris de toute considération stratégique. Il allait raser la ville ! Fini l’arrogance des Marchands ! Finies les parades de la Guilde ! Fini ce foutu contre-pouvoir qui le narguait à chaque fois qu’il voulait augmenter les taxes. Cette cité libre n’avait que trop profité de son argent, n’avait que trop nuancé son pouvoir absolu. Ils allaient disparaitre.
« Votre Majesté, je vous demande de reconsidérer votre décision. »
La main de Regnault III s’immobilisa, suspendant un régiment de cavalerie au-dessus de la Baliste de Nargarone. La voix qui s’était élevée était celle de Dame Brunehilde. La vieille femme le regardait avec une intensité désarmante. Il secoua la tête, tentant d’échapper au charme de la sorcière.
« Pourquoi le ferais-je ?
— Car un siège implique de perdre des hommes, votre Majesté. Même si notre victoire ne fait aucun doute, nos espions pourraient échouer à détruire la Baliste. Nos partisans pourraient ne pas réussir à désorganiser la défense. Si le Prince accepte de se rendre sans livrer bataille, nous conserverons nos forces pour la conquête d’Alvarenn. Et les dieux savent que nous aurons besoin de toutes les ressources possibles.
— Hum… peut-être, » murmura Regnault III qui sentait sa volonté s’infléchir dangereusement.
Puis il releva brusquement la tête.
« Mais je n’irai pas !
— Allons, votre Majesté, le Prince Irden ne peut prétendre à vous recevoir en personne. Envoyons quelqu’un d’autre. Siefried peut-être ? »
Le capitaine des archers bomba le torse, trop heureux d’être ainsi désigné par la sorcière.
« Ça serait un honneur, votre Majesté.
— Non pas vous. » rétorqua l’intéressé.
Les épaules du capitaine retombèrent aussi sûrement que son estime de soi.
« Je vais envoyer Ulric. »
La sorcière prit une expression horrifiée. Mais une fois encore, Regnault III prit l’assistance de court.
« Qu’on aille chercher mon fils sur le champ ! »
*
* *
Fils du bon roi Regnault III, le prince et chevalier Ulric n’avait jamais été un exemple, ni de sagesse, ni d’intelligence. S’il faisait la fierté de son père pour sa carrure et sa bravoure, il avait toujours effrayé une bonne partie des courtisans et des généraux pour sa proportion à n’écouter rien d’autre que son courage. Aussi, voir le sort de toute l’armée du Hadvast dépendre des qualités rhétoriques de ce jeune crétin désolait la sorcière Brunehilde autant que cela l’effrayait. A raison, puisqu’il avait fallu rappeler à Ulric qu’on ne pouvait pénétrer dans une ville assiégée avec un heaume sur la tête sans que cela soit compris comme une insulte. Juché sur un cheval d’apparat, entouré de compagnons d’armes loyaux, maussade d’avoir été dépossédé de son précieux casque, le prince du Hadvast entra dans la Cité Marchande.
Nargarone transpirait le faste et l’aisance. Ses murs étaient blanchis à la chaux, ses volets peints de couleurs vives, le canal de la ville était traversé d’un pont énorme aux rambardes ouvragées d’or et de cuivre. La rareté des citadins n’empêcha pas la délégation du Hadvast d’apercevoir des corps gras, habillés de vêtements fastueux. Cela les ramena à leur propre capitale, à leurs bourgades désargentées, où les bourgeois, vilains et les serfs étaient d’une crasse affolante. Un sentiment d’envie, de jalousie, de haine monta dans leurs poitrines. C’était là que disparaissait leurs trésors de guerre et les récoltes des paysans. Nargarone était un parasite, une sangsue géante qui se gorgeait du sang du Hadvast depuis bien trop longtemps.
La cathédrale de Bör érigée par les Marchands oppressait la Grand-Place plus qu’elle ne la dominait. On avait placé dans son ombre une troupe militaire, parsemées d’étendards et d’oriflammes aux armes de la Cité. Les cavaliers du Hadvast arrêtèrent leurs montures.
« Messires, bienvenue à Nargarone. »
Le chevalier Ulric baissa les yeux sur celui qui venait de parler. Un gringalet, un blondinet, un précieux qui portait à la ceinture une épée si fine que le prince du Hadvast aurait pu s’en servir de cure-dent. Le prince de Nargarone en somme.
« Je suis le chevalier Ulric, fils du bon roi Regnault III. Vous vouliez un négociateur. Eh bien vous l’avez. »
Les compagnons d’Ulric se mirent à rire bêtement de la mine déconfite qu’affichait désormais le dirigeant de la cité. Mais ce dernier se reprit.
« C’est un honneur de vous recevoir, Prince Ulric. Je suis le Prince Irden. Voici ma sœur, Irda, Générale de notre armée. »
La femme désignée se détacha des gardes qui entouraient prudemment son frère. L’armure qu’elle arborait était d’un noir profond, sévère et sinistre, assortie d’un heaume qui fit pâlir Ulric. Sa voix était autoritaire, celle d’un être qui n’a nul besoin de se répéter pour se faire obéir.
« Je vous invite à nous rejoindre dans la salle du conseil, Messire. Vos compagnons peuvent attendre dehors. »
Encore désarçonné par l’apparition d’Irda, Ulric obtempéra sans discuter. Il suivit le frère et la sœur sans un regard pour son escorte.
La salle du conseil était immense, pourvu d’une table oblongue et de nombreux sièges à destination des patriciens. C’était l’équivalent de la salle du trône de son père, non moins fastueuse, mais dont la disposition désorienta un peu Ulric. Lui qui n’avait connu qu’un régime monarchique, trouvait soudain bien difficile de s’attribuer une place dans la hiérarchie commerciale de Nargarone. Il attendit donc, incertain, qu’Irden prît place et lui désignât une chaise face à lui. Accoudée à un monumental pilier, debout derrière son frère, Irda devint presque invisible.
« Voulez-vous du vin, Messire Ulric ?
— Mais oui ! Merci bien, Irden. »
La familiarité avec laquelle son ennemi le traitait demanda au Prince Marchand beaucoup de contrôle pour ne pas répliquer. Il serra les dents, s’empara d’une cruche et servit lui-même la coupe d’Ulric. Oublieux, sans doute, de l’existence des poisons et du sort funeste que pouvait infliger aux négociateurs imprudents un adversaire aux abois, le prince du Hadvast aspira d’une traite le breuvage. Il lâcha même un soupir d’aise. Irden se mordit l’intérieur de la joue. Il reprit néanmoins la parole.
« Nous sommes prêts à négocier, Messire.
— Tant mieux ! C’est pour ça que je suis là. »
Dans le dos de son frère, l’armure d’Irda émit un grincement menaçant.
« Oui, nous sommes très reconnaissants au roi Regnault III de nous avoir envoyer son fils en personne.
— Le Bon roi Regnault III.
— Certes. Le Bon Roi Regnault III. A-t-il émis des conditions ? Nous sommes prêts à verser un tribut exceptionnel pour sa guerre contre Alvarenn. Six-cent-soixante-six-mille écus.
— Ca fait partie des conditions oui. Mais nous nous servirons nous-même. Mon père exige la reddition de la ville et son rattachement au Hadvast. Vous et les autres patriciens serez destitués et nous nommerons un seigneur pour gouverner vos terres. »
Ulric était ravi de son effet. Sans même avoir à lever la main sur son ennemi, il lui avait coupé le souffle. C’était bien la première fois !
« Donc voilà. Vous êtes d’accord, Irden ? Vous n’avez pas vraiment le choix. Si vous refusez, on rase la ville. Et si vous n’êtes pas mort sur le champ de bataille, vous serez exécuté en place publique. »
Certes, ce n’était pas vraiment ce que son père avait convenu, ni le sort que l’on réservait habituellement aux vaincus, mais Ulric trouvait cette invention de bon aloi. Il commençait à goûter le pouvoir que pouvaient avoir les mots sur un ennemi et cela le ravissait. La vieille Brunehilde avait tenté de lui faire comprendre cela pendant des années, mais cet exercice pratique lui en donnait toutes les preuves.
« Alors ? Vous vous rendez ? Vous ne serez plus qu’un vilain parmi d’autres Irden, mais votre sœur est encore en âge de se marier.
— C’est hors de question. »
La voix d’Irden était si déterminée qu’Ulric se demanda brièvement si elle ne venait pas d’Irda.
« Nous ne nous soumettrons jamais au Hadvast, Ulric. Nargarone est indépendante depuis sa fondation. Nous nous sommes protégés nous-même des envahisseurs. Nous nous sommes enrichis et développés par nos propres moyens. Nous ne devons rien au Hadvast.
— Vous ne devez rien au Hadvast ? Et tout votre or ? D’où vient-il ? De mines dissimulées peut-être ? »
Réflexion faite, Ulric se demanda s’il ne venait pas de mettre à jour le secret le mieux gardé de la Cité Marchande.
« Il vient du commerce ! De nos Marchands qui acheminent les biens à travers tout le monde connu. Vous arborez le mithril des nains, la moire des elfes, vous buvez le vin de Thalassi ! Sans nous, vous n’auriez que de la laine sur votre dos et de l’eau dans votre bouche. C’est le sang de nos Marchands qui se répand sur vos routes et sur la mer. Alors n’osez plus dire en ma présence que nous devons quoi que ce soit au Hadvast. »
Ulric regardait son adversaire, ahuri. Le silence retentit dans la grande salle du conseil jusqu’à ce que l’applaudissement métallique d’Irda ne vienne le briser.
« Bien dit, petit frère. »
Le temps qu’il fallût au chevalier du Hadvast pour reprendre ses esprits sembla à tous interminable. Ulric regardait, décomposé, le frêle prince des Marchands, ses mains de jouvenceau, impropres à tenir une arme, ses épaules qu’aucun muscle puissant ne dessinait sous ses vêtements. Et pourtant, de ce petit corps, de cette bouche qui n’avait toujours eu qu’à goûter les mets les plus fins dans des cuillères dorées, était sortie une tempête de mots si forte qu’elle avait balayé toute la puissance qu’il avait donnée aux siens. Constatant avec amertume qu’il ne pourrait pas faire plier Irden à sa volonté, la stupéfaction d’Ulric se changea en fureur. Il se releva bruyamment, renversant son siège.
« Ainsi Irden, vous ne voulez pas négocier ! Vous me faites perdre mon temps !
— Vos conditions sont indignes, Ulric. Même émanent de votre père ! »
C’était l’affront de trop. D’un revers de la main, le chevalier balaya la table. S’il manqua la cruche de vin, sa propre coupe s’envola et s’écrasa sur le sol.
« Vous l’aurez voulu ! Priez pour ne pas me croiser lorsque nous mettrons la ville à sac. »
Sur ces dernières paroles, Ulric rassembla ce qu’il lui restait de dignité et quitta la salle à grands pas. Aussitôt, le rire d’Irda retentit. Amplifié par le heaume, il résonnait encore dans la salle du conseil quand le chevalier remonta sur son destrier, se promettant que cette femme-là ne s’en sortirait pas vivante.
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Hey enfin :D
« Votre Majesté, je vous demande de reconsidérer votre décision. »
Il aurait dû réfléchir effectivement :-¬?
La voix qui s’était élevée était celle de Dame Brunehilde
Je vois d'où viens le nom ::)
nos conserverons nos forces
nous*
n’avait jamais été un exemple ni de sagesse, ni d’intelligence.
j'aurais aussi mis une "," après exemple
La cathédrale de Bör érigée par les marchants
majuscule ?
Six-cent-soixante-six-mille écus.
666 ?? >:D
« Il vient du commerce ! De nos marchands qui acheminent les biens à travers tout Erakis.
Erakis, c'est donc un pays ?
Sympa tout ça. J'aime bien Irda. J'aurais peut-être quelques questions à poser aussi, avant de commencer à écrire un texte pour l'univers (qui je l'espère, s'inclura bien dans l'univers) :-¬?
Hâte de lire la partie 3 :noange:
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waheu terrible les crochets erakis dans la liste des textes... ça fait un peu légendaire, quand on sait ce que c'est !
huhu j'ai vitfaf à peine parcouru une ligne, concentration désoblige
mais je crois quand y'aura suffisamment de textes, je survolerai de la même manière le différents sujets...
du coup en attendant d'en savoir plus sur le fond de ta production, comme de l'univers qui le motive :
j'suis tout émoustilled de voir comment ça se manifeste, ce pop tout en explosion de Erakis !
yayu !
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Salut,
Juste quelques remarques rapides à chaud, émanant d’une première lecture :
Ce texte précède la Bataille de Nargaronne et fait partie de l'univers d'Erakis
C’est un flash-back ou vous filez les textes à l’envers voir dans le désordre ? (pas l’air pratique)
Sous la tente royale, cramoisie de teintures et de soleil couchant, l’Etat-major évaluait ses chances.
J’aurais préféré voir l’état-major cramoisi soit :
Sous la tente royale, l’Etat-major, cramoisi de teintures et de soleil couchant, évaluait ses chances.
Les marchants ou les marchands ? plusieurs fois ds le text.
Regnauld III se retourna vers le messager, les sourcils arqués par la surprise.
« Ils veulent négocier ? »
L’homme ouvrit la bouche pour répondre mais le roi du Hadvast ne lui en laissa pas le temps.
Regnauld III = Roi du Havstad difficile de savoir à ce moment de la lecture
nos conserverons nos forces pour la conquête d’Alvarenn.
Alvarenn ? suspens ! Si c’est une autre ville « la prise » me parait plus judicieux.
Fils du bon roi Regnault III, le prince et chevalier Ulric n’avait jamais été un exemple ni de sagesse, ni d’intelligence.
Quand on voit le père caractériel et grossier, ça promet pour le fils… Le père n'est-il pas d'ailleurs trop grossier ?
Aussi, voir le sort de toute l’armée du Hadvast dépendre des qualités rhétoriques de ce jeune crétin désolait la sorcière Brunehilde autant qu’il l’effrayait
« Aussi » me parait peu utile
« autant qu’il effrayait » ? tant cela la terrifiait ?
Fin de ce paragraphe, il y a un « caque ». Au citron ?
assortie d’un heaume qui fit pâlir Ulric
sauras-t-on un jour pourquoi il pâlit ?
Voilà Voilà, bonne continuation
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OMG je n’ai jamais été commentée si vite haha
Mais Erakis et vous tous <3
Bapt90 Become (désolée à vous deux :coeur:):
Je passe sur la plupart des fautes d’orthographe (que je promets de corriger !)
majuscule ?
Sur « Cathédrale » ?
666 ?? >:D
Huhuhu
Erakis, c'est donc un pays ?
Alors moi j’aurais dit qu’Erakis c’était la planète :D Mais on me souffle dans l’oreillette que c’est « l’univers ». Donc disons « le monde connu » :D
Dot Quote :
waheu terrible les crochets erakis dans la liste des textes... ça fait un peu légendaire, quand on sait ce que c'est !
huhu j'ai vitfaf à peine parcouru une ligne, concentration désoblige
mais je crois quand y'aura suffisamment de textes, je survolerai de la même manière le différents sujets...
du coup en attendant d'en savoir plus sur le fond de ta production, comme de l'univers qui le motive :
j'suis tout émoustilled de voir comment ça se manifeste, ce pop tout en explosion de Erakis !
yayu !
hahaha merci pour ta lecture d’une ligne. J’espère qu’elle t’a plu ^^
Acini :
C’est un flash-back ou vous filez les textes à l’envers voir dans le désordre ? (pas l’air pratique)
On écrit dans l’ordre que l’on souhaite, d’où l’exemple. L’idée est de faire des textes plus ou moins dépendants. Ici, c’est un préquel mais, si tu veux écrire sur l’enfance d’Irda ou d’Ulric, tu as le droit, pareil pour les arrières-petits enfants d’Irden ou la fête du boudin qui se déroule à 30 000 km de là et qui ne sait pas qu’un siège s’est déroulé à Nargarone.
Le but est que les lecteurs et les écrivains puissent lire les textes indépendamment.
Sous la tente royale, l’Etat-major, cramoisi de teintures et de soleil couchant, évaluait ses chances.
Mais je ne veux pas que l’Etat-Major soit cramoisi !
Les marchants ou les marchands ? plusieurs fois ds le text.
Marchands, désolée, je vais corriger.
Regnauld III = Roi du Havstad difficile de savoir à ce moment de la lecture
Heureusement, c’est le tout début du texte :D Mais si la critique revient, j’expliciterais un peu plus ce personnage, son rang et son nom.
Alvarenn ? suspens ! Si c’est une autre ville « la prise » me parait plus judicieux.
Qu’est-ce qu’Alvarenn ? Pour moi c’est un territoire. Mais tu veux, tu peux la transformer en ville dans ton texte.
Quand on voit le père caractériel et grossier, ça promet pour le fils… Le père n'est-il pas d'ailleurs trop grossier ?
Alors là, je dirais que c’est une question de goût. J’aime beaucoup la vulgarité parlée et écrite. Ca me plait que des personnages parlent comme des charretiers.
« autant qu’il effrayait » ? tant cela la terrifiait ?
Non, cela ferait contre-sens. La sorcière est autant effrayée que désolée.
Fin de ce paragraphe, il y a un « caque ». Au citron ?
Je ne sais pas ce qu’est un caque mais effectivement, un casque serait de meilleur aloi !
sauras-t-on un jour pourquoi il pâlit ?
La jalousie sans doute :D Je vais essayer de mieux l’expliciter.
Merci encore pour la peine de vous vous donnez à me commenter. :calin:
Des bisous :coeur:
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OMG je n’ai jamais été commentée si vite haha
Mais Erakis et vous tous <3
Become :
Je passe sur la plupart des fautes d’orthographe (que je promets de corriger !)
majuscule ?
Sur « Cathédrale » ?
666 ?? >:D
Huhuhu
Erakis, c'est donc un pays ?
Alors moi j’aurais dit qu’Erakis c’était la planète :D Mais on me souffle dans l’oreillette que c’est « l’univers ». Donc disons « le monde connu » :D
Mais mais je ne suis pas Become :o
La majuscule c’était pour Marchant, car avant dans le texte il y en a une.
Sinon pour Erakis je prend note ^^
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Oh pardon Bapt90 :calin:
Je me suis laissée distraire par le Discord. Vilain discord!
Merci beaucoup pour ton commentaire :coeur: J'ai plein de trucs à corriger grâce à toi ;D
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Yeaaah un autre texte ! je suis grave intéressée moi par ce monde mais euh enfin j'ai pas compris ton message :
On écrit dans l’ordre que l’on souhaite, d’où l’exemple. L’idée est de faire des textes plus ou moins dépendants. Ici, c’est un préquel mais, si tu veux écrire sur l’enfance d’Irda ou d’Ulric, tu as le droit, pareil pour les arrières-petits enfants d’Irden ou la fête du boudin qui se déroule à 30 000 km de là et qui ne sait pas qu’un siège s’est déroulé à Nargarone.
Le but est que les lecteurs et les écrivains puissent lire les textes indépendamment.
les textes peuvent se lire indépendamment ? donc on peut créer nos mini histoires/textes courts sans que ce soit directement reliés aux 1ers textes, du moment que ça se déroule dans Erakis ? :o genre je créée un nouveau perso, Bob le nain, qui est dans l'armée de Regnauld III et qui complote contre le roi ?
Sympa tout ça. J'aime bien Irda. J'aurais peut-être quelques questions à poser aussi, avant de commencer à écrire un texte pour l'univers (qui je l'espère, s'inclura bien dans l'univers) :-¬?
i agree Batp90, du coup je pense partir sur un autre perso, histoire de varier un peu les textes qu'on parte pas tous sur le même perso à voir ^^
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OMG j'ai invoqué Become :)
les textes peuvent se lire indépendamment ? donc on peut créer nos mini histoires/textes courts sans que ce soit directement reliés aux 1ers textes, du moment que ça se déroule dans Erakis ? :o genre je créée un nouveau perso, Bob le nain, qui est dans l'armée de Regnauld III et qui complote contre le roi ?
Alors oui. Tu veux totalement écrit l'histoire de Bob le nain. Soit, ce cher Bob vit bien loin de cette bataille et coule de paisibles jours au bord de la rivière avec son fiancé, soit effectivement il essaye de renverser l'autorité du roi Regnault III à l'intérieur de son armée. Ta seule limite dans ce cas, c'est que Regnault III ait pu faire partie de ce texte. Si tu décides de le zigouiller entre le texte de Krap et le mien sans que cela empêche le texte de Krap de se dérouler, c'est bon!
Les textes font parties du même univers mais ne sont pas nécessairement liés par des personnages. Bob est peut-être en train de raconter la légendaire bataille à ses petits-enfants en se donnant un rôle héroique :D
Je te réponds ici, mais n'hésitez pas à poser vos questions directement dans le fil dédié pour que tout le monde ait les infos!
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Yep, je reviendrai pour commenter ton texte Quae, là je passe juste vite fait. :mrgreen:
L'idée (je pense qu'on le reprécisera si c'est pas si clair), c'est que tout le monde peut écrire ce qu'il veut, tant que ça intègre l'univers sans causer d'incohérence (Irda meurt avant la bataille, Bob le nain défie le roi Muche alors qu'on a dit ailleurs que ce même Bob est muet, vit près d'une rivière et ne connaît pas le Royaume de Muche, et meurt noyé). Il faut juste savoir qu'à partir du moment où un perso est créé, il ne nous appartient plus: les autres peuvent jouer avec lui aussi.
Voilà voilà, je repasse pour de vrai demain Quae! :noange:
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Citer
« autant qu’il effrayait » ? tant cela la terrifiait ?
Non, cela ferait contre-sens. La sorcière est autant effrayée que désolée.
J'avais loupé le L' :-[
Sous la tente royale, l’Etat-major, cramoisi de teintures et de soleil couchant, évaluait ses chances. :'(
t'as pas d'humour moi je les voyais bien ces petits vieux avec coup de soleil et peintures de guerre à la biafine :mrgreen:
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Merci pour ton texte, Quaedam! J'ai adoré !
Cet Ulric est antipathique à souhait, Irden étonnant et Irda, une vraie princesse guerrière pleine de caractère!
« Ce couard d’Irden se décide ? Nous lui en avons laissé cent fois l’occasion ! Maintenant qu’il est acculé, que je me suis fait chier à ramener l’intégralité de ma foutue armée à ses putains de portes, il daigne me recevoir ? Qu’il aille se faire foutre. »
Ce n'est pas parce qu'on est un roi qu'on ne peut pas jurer! :mrgreen: Je trouve ça cool, ça va bien avec la psychologie du personnage.
Fils du bon roi Regnault III, le prince et chevalier Ulric n’avait jamais été un exemple, ni de sagesse, ni d’intelligence.
C'est connu que les dirigeants ne sont pas forcés les mieux lotis de ce côté-là. ::)
Nargarone transpirait le faste et l’aisance.
Cela les ramena à leur propre capitale, à leurs bourgades désargentées, où les bourgeois, vilains et les serfs étaient d’une crasse affolante. Un sentiment d’envie, de jalousie, de haine monta dans leurs poitrines. C’était là que disparaissait leurs trésors de guerre, les récoltes des paysans. Nargarone était un parasite, une sangsue géante qui se gorgeait du sang du Hadvast depuis bien trop longtemps.
On peut légitimement comprendre leur sentiment d'injustice...
Un gringalet, un blondinet, un efféminé qui portait à la ceinture une épée si fine que le prince du Hadvast aurait pu s’en servir de cure-dent.
Un gringalet avec du courage, c'est bien vu!
L’armure qu’elle arborait était d’un noir profond, sévère et sinistre, assortie d’un heaume qui fit pâlir Ulric. Sa voix était autoritaire, celle d’un être qui n’a nul besoin de se répéter pour se faire obéir.
Bien fait pour Monsieur Muscle! :mrgreen:
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.
Vivement les deux autres textes !
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Acini
t'as pas d'humour moi je les voyais bien ces petits vieux avec coup de soleil et peintures de guerre à la biafine
Hahaha j'avoue que ton image est clairement plus drôle que la mienne :D
Melina
Merci pour ton texte, Quaedam! J'ai adoré !
Roooh merci :coeur: Ca me fait tellement plaisir de que tu viennes aussi commenter ce texte.
Cet Ulric est antipathique à souhait, Irden étonnant et Irda, une vraie princesse guerrière pleine de caractère!
J’avais de la chance que Krap ait aussi bien posé ses personnages ^^
Ce n'est pas parce qu'on est un roi qu'on ne peut pas jurer! Je trouve ça cool, ça va bien avec la psychologie du personnage.
^^ C’est vraiment une question de goût. J’entends totalement la critique comme quoi c’est too much. Mais je suis comme toi, j’aime bien !
On peut légitimement comprendre leur sentiment d'injustice...
:coeur: Malgré les caractères du roi et du prince du Hadvast, je ne voulais pas non plus que la guerre soit illégitime du point de vue du lecteur !
Un gringalet avec du courage, c'est bien vu!
Il est trop mignon Irden <3 Je voulais continuer sur la lancée de Krap, qui l’a rendu plus innocent et jeune que je l’avais imaginé de prime abord.
Merci pour les corrections orthographiques <3
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Et encore tu l’as pas vu sucré les fraises, en voulant déplacer les attaques sur le plan, à cause de son Parkinson aggravé le clouant dans un fauteuil ce qui l’aide pas à attraper les trucs sur la table.
« Sur la carte, le roi Regnault III se mit à intervertir frénétiquement les bataillons avec les trébuchets au mépris de toute considération stratégique. »
Mais bon arrêtons là, ce genre de personnage ne survient que peu souvent, en plus ça y filerait une sacré bonne raison de pester.
Rahhh ! Ces idées préconçues des vieux en bonne santé.
Au plaisir de te lire.
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.
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Hello,
Merci Quaedam. Le cadre se dessine un peu plus !!
Et je tenais à te dire que ça :
S’il faisait la fierté de son père pour sa carrure et sa bravoure, il avait toujours effrayé une bonne partie des courtisans et des généraux pour sa proportion à n’écouter rien d’autre que son courage. Aussi, voir le sort de toute l’armée du Hadvast dépendre des qualités rhétoriques de ce jeune crétin désolait la sorcière Brunehilde autant qu’il l’effrayait.
...c'est succulent :coeur:
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Coucou !
Voilà le deuxième volet qui vient :). Alors, sur le fond, je trouve juste que les personnages du roi et de son fil sont trop caricaturaux. Pour moi, un roi, surtout un autocrate comme c'est le cas là, doit-être un minimum intelligent pour se faire accepter et garder ses miches sur le trône. Sinon un lieutenant mieux doté intellectuellement aurait vite fait de prendre sa place... Du coup, c'est dommage, mais le côté "gros débiles" me paraît trop poussé. Tu gagnerais à faire des persos plus subtils. Par exemple, le fils pourrait-être arrogant plus que con, et le père cruel mais pas incapable de concevoir une stratégie militaire. Les rois sont souvent formés depuis tout petits, et ont des ennemis par pelletés entières, ils ne peuvent pas être juste de gros blaireaux. Si ça se passe différemment dans ce royaume, il faudrait avoir l'information. J'aime mieux, personnellement, des personnages qui sont ambigus, qui sont entraînés à leur perte par leurs défauts, malgré des qualités qu'ils exploitent par ailleurs. Enfin voilà, c'est pour la remarque du jour :D.
Bonne suite à tous ! ;)
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Acini
Et encore tu l’as pas vu sucré les fraises, en voulant déplacer les attaques sur le plan, à cause de son Parkinson aggravé le clouant dans un fauteuil ce qui l’aide pas à attraper les trucs sur la table
« Sur la carte, le roi Regnault III se mit à intervertir frénétiquement les bataillons avec les trébuchets au mépris de toute considération stratégique. »
Mais bon arrêtons là, ce genre de personnage ne survient que peu souvent, en plus ça y filerait une sacré bonne raison de pester.
Je laisse ce personnage libre d’interprétation. Haha
Ah je t’avais laissé un « conseil » de lecture que tu as du raté,
Oui désolée, j’irais répondre bientôt ^^
Personna
...c'est succulent :coeur:
Rooh merci :D
Erwan
Voilà le deuxième volet qui vient . Alors, sur le fond, je trouve juste que les personnages du roi et de son fil sont trop caricaturaux. Pour moi, un roi, surtout un autocrate comme c'est le cas là, doit-être un minimum intelligent pour se faire accepter et garder ses miches sur le trône. Sinon un lieutenant mieux doté intellectuellement aurait vite fait de prendre sa place... Du coup, c'est dommage, mais le côté "gros débiles" me paraît trop poussé. Tu gagnerais à faire des persos plus subtils. Par exemple, le fils pourrait-être arrogant plus que con, et le père cruel mais pas incapable de concevoir une stratégie militaire. Les rois sont souvent formés depuis tout petits, et ont des ennemis par pelletés entières, ils ne peuvent pas être juste de gros blaireaux. Si ça se passe différemment dans ce royaume, il faudrait avoir l'information. J'aime mieux, personnellement, des personnages qui sont ambigus, qui sont entraînés à leur perte par leurs défauts, malgré des qualités qu'ils exploitent par ailleurs. Enfin voilà, c'est pour la remarque du jour
Haha salut Erwan, ravie que tu passes ici :D
Oui, désolée, j’ai fait des personnages assez caricaturaux, c’est totalement vrai 😊 J’ai un peu tendance à faire ça lorsque j’écris des textes courts, puisque je privilégie l’action et la perception qu’ont les personnages de leur environnement. Je tâcherais de faire un peu plus attention à l'avenir. Mais ces personnages ne sont que des ébauches, si quelqu’un souhaite leur donner plus de profondeur, les confronter à d’autres situations, compléter leurs défauts et leurs qualités, c’est complètement faisable.
Je donne un peu l’impression de me décharger de mon rôle d’autrice là :noange:. Mais c’est aussi parce qu’on voit ces personnages que dans des cas très précis.
Pour exemple:
le père cruel mais pas incapable de concevoir une stratégie militaire.
Sur un coup de sang oui, mais jusque là, les jetons étaient à la bonne place :D
un roi, surtout un autocrate comme c'est le cas là, doit-être un minimum intelligent pour se faire accepter et garder ses miches sur le trône.
Peut-être qu'il est beaucoup plus fin quand il ne fait pas le siège d'une ville, ou peut-être qu'il est si stupide que c'est la sorcière qui gouverne à sa place.
Mais merci pour ton commentaire, comme les textes doivent pouvoir si lire indépendamment, la prochaine fois, j'apporterais plus de soin à la psychologie de mes personnages :D
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Hello Q o/
Je venais dire exactement ce qu'Erwan a dit, à deux-trois virgules près, et proposer exactement ta réponse, à deux-trois virgules près, en solution. Du coup, j'ai plus grand-chose à dire :mrgreen:
Sauf une chose : j'ai bien aimé le fait que tu as présenté la guerre des deux points de vue, tous les deux valables et qui nous font nous demander nous, on veut croire qui (Et, oui, j'ai très bien compris qu'il n'y a pas de vraie réponse :) ) Ce n'est pas une guerre de méchants assoiffés de sang/argent/pouvoir/vengeance/toutes les réponses sont bonnes sur de gentils innocents qui n'ont jamais rien demandé à personne. Même si le camp Hadvast a ses allures de méchant avec ses persos caricaturés et le camp de Nargonne ses allures de gentils avec ses persos charismatiques et habiles. Peut-être qu'inverser la combinaison role-personnalités aurait été plus intéressant - m'enfin bref.
Mention spéciale:
Les épaules du capitaine retombèrent aussi sûrement que son estime de soi.
Un gringalet, un blondinet, un efféminé qui portait à la ceinture une épée si fine que le prince du Hadvast aurait pu s’en servir de cure-dent. Le prince de Nargarone en somme.
Réflexion faite, Ulric se demanda s’il ne venait pas de mettre à jour le secret le mieux gardé de la Cité Marchande.
C'était délicieux.
Tu as vraiment une jolie plume :) Légère et fluide sans être niaise. Je regrette seulement ce que j'ai ressenti comme un mélange de registre, un mélange de langage moderne/familier et médiéval/soutenu/politique.
Merci pour ce texte fondateur !
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.
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Je recommente juste pour vous dire que Become a fait un texte ici :
https://monde-ecriture.com/forum/index.php?topic=34985.0
Je sais pas si vous l'avez vu ^^
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Coucou Quae,
J'ai commencé à lire l'histoire juste pour jeter un coup d'oeil, mais j'ai été emportée dans ma lecture, donc autant lâcher un commentaire ^^
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.
Voili voilou. Je trouve l'écriture très chouette comme d'habitude, j'ai beaucoup aimé les descriptions, et ce que j'ai pu apercevoir de Nargaronne et des personnages. C'était cool ! :)
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Vous arborez le mithril
hum, petit empreint à Tolkien ?
J'avais pas tilté à la lecture, mais je me demande si c'est dans les clous niveau droit d'auteur, je soupçonne que non. Le Mithril, s'il représente la même chose que chez Tolkien, fait partie de son univers, ce serait un peu comme de reprendre un personnage.
Par exemple, le terme "hobbit" est sujet à pas mal de litiges, comme ici (http://www.slate.fr/story/105471/avocats-tolkien-maison-hobbit).
En fait, si tu reprends juste un bout d'une œuvre original (comme celle de Tolkien), tu ne fais pas du plagiat, mais une œuvre composite. C'est comme une peinture où tu mets un petit bout de collage d'une œuvre sous copyright qui ne t'appartient pas, qui est reconnaissable, et clairement originale. Du coup, du doit payer des droits pour avoir le droit de garder cette mention dans ton texte. Bon, si le mithril, tu le renommes mythrille, et que c'est du jus de myrtilles fermenté, ça peut passer pour parodique ou juste une homonymie accidentelle, donc OK. Mais là, non, l'empreint est trop brutal. Bon, sur un texte sans portée commerciale, qui relève plus du clin d'œil de fan, ils ne devraient pas te faire chier, mais je mentionne quand même, c'est bon à savoir ;).
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Euh... vous êtes certains que le mithril appartient à Tokien? WoW l'emploie depuis Vanilla, donc depuis une quinzaine d'années, et ça m'étonnerait que Blizzard ait été se casser les coucougnettes à payer des droits d'auteur quand ils peuvent inventer et utiliser à peu près n'importe quoi d'autre...
(Après, bon, ils l'ont peut-être fait, hein, pour ce que j'en sais, mais ça me semble pas très très logique)
/HS
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Non, apparemment, les mots seuls ont l'air de passer... Enfin pas pour les marques, mais pour une utilisation comme ça, dans un texte, ça pourrait. Après, vu que c'est des grosses boites et qu'il y en a plusieurs, c'est un beau merdier tout ce qui touche à Tolkien. Il y a la Middle-earth enterprise et Tolkien Estate, et des licences dans tous les coins... Et ils se font des procès entre eux :-¬?. Enfin, de toute façon, ils en ont rien à braire du texte sur le mde, quoi qu'il en soit...
Les persos, ça doit être plus délicat selon que tu reprennes juste le nom, ou le perso complet. Le nom, ça devrait passer du coup, suivant la même logique. Je ne sais même pas quelle législation ils prennent, ça dépend où ils ont déposé, j'imagine. Après, tu as des accords internationaux de réciprocité pour les droits.
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Brunehilde, Siegfried :coeur:
Je passe vite fait (je suis sur smartphone, c'est pas pratique). Mais j'ai adoré. La description de la ville colle parfaitement à ce que j'avais imaginé ;)
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Saluuut
Désolée pour le temps de réponse >.> Je voulais prendre le temps de bien réfléchir à vos commentaires, d’y répondre, et d’éditer mon texte dans la foulée (sinon j’oublie T.T) et puis j'ai laissé les jours s'écouler parce que je n'arrive même à être ponctuelle dans ma vie online. :s
En tout cas : un grand merci pour vos messages, ça me touche beaucoup. Vous m’avez écrit des critiques constructives, avez pris le temps de lire, merci :calin:
Xeraphia
Je venais dire exactement ce qu'Erwan a dit, à deux-trois virgules près, et proposer exactement ta réponse, à deux-trois virgules près, en solution. Du coup, j'ai plus grand-chose à dire.
Haha Merci Xera 😊
Ca m’encourage à me bouger un peu les fesses pour créer des personnages plus intéressant. Je pense que je vais laisser Ulric et Siefried tels quels dans ce récit, quitte à les développer plus tard.
Sauf une chose : j'ai bien aimé le fait que tu as présenté la guerre des deux points de vue, tous les deux valables et qui nous font nous demander nous, on veut croire qui (Et, oui, j'ai très bien compris qu'il n'y a pas de vraie réponse ) Ce n'est pas une guerre de méchants assoiffés de sang/argent/pouvoir/vengeance/toutes les réponses sont bonnes sur de gentils innocents qui n'ont jamais rien demandé à personne. Même si le camp Hadvast a ses allures de méchant avec ses persos caricaturés et le camp de Nargonne ses allures de gentils avec ses persos charismatiques et habiles. Peut-être qu'inverser la combinaison role-personnalités aurait été plus intéressant - m'enfin bref.
C’est vrai que si Irda et Irden avaient été des raclures de bidets, le côté du bien aurait été moins évident. L’attachement affectif qu’on éprouve envers certains personnages suffit souvent à faire trancher le lecteur pour un camps plutôt que l’autre. Et j’ai un peu mésestimer ce fait. Autant je pense ne pas être très sensible à la critique des personnages archétypaux, autant, si leur archétype contredit le message du texte, j’avoue que je trouve ça grave >.>
Merci en tout cas pour cette super remarque :D
Tu as vraiment une jolie plume Légère et fluide sans être niaise. Je regrette seulement ce que j'ai ressenti comme un mélange de registre, un mélange de langage moderne/familier et médiéval/soutenu/politique.
Merci du compliment <3 Je doute un peu de ma plume en ce moment, surtout au regard de la qualité de celles de mes camarades. Personnellement, j’aime bien les mélanges de registres mais je suppose que le dosage n’est pas assez fin^^
Derrierelemiroir
<3 Merci d’être venue me lire ! Je suis trop heureuse de te revoir sur l’un de mes textes. Merciiiiiii
D’autant que tu m’as fait une critique qui m’a autant fait réfléchir que celle de Xera.
un efféminé
[...]
ses mains de jeunes filles
J’avais envie d’introduire un conflit de société à travers le regard d’Ulric : celui de l’homophobie. Mais, comme tu l’as soulevé : je m’y prends très très mal. Je rapporte à cette discrimination une autre qui, visiblement, dans mon récit, n’existe pas : le sexisme. Si les femmes peuvent être des guerrières, pourquoi dire qu’un homme est « efféminé » serait péjoratif ? Pourquoi l’associer à l’homosexualité ? C’est complètement stupide ! Merci énormément de me l’avoir fait remarquer, parce que montre à quel point j’étais été maladroite.
Je vais supprimer ce conflit de société, pour le traiter, de manière plus élégante (ou pas) dans un autre texte. Ta critique rend ce texte tellement plus cohérent \o/ Merci <3
Le rire d'Irda arrive de nouveau à retardement
elle est un peu lente haha, ça fait bizarre qu'elle applaudisse comme ça à retardement
haha je n’avais pas remarqué que j’avais utilisé le même procédé pour ces deux scènes. En fait, j’imagine les réactions d’Irda comme « retenues dans un premier temps », comme si elle refrénait un temps sa nature impulsive et franche pour se laisser finalement aller. Je ne trouve pas que ça nuise à la cohérence ni à la vraisemblance, mais le faire à deux reprises fait un peu « grosses ficelles » xD
Voili voilou. Je trouve l'écriture très chouette comme d'habitude, j'ai beaucoup aimé les descriptions, et ce que j'ai pu apercevoir de Nargaronne et des personnages. C'était cool !
Merci DLM <3 J’espère te recroiser bientôt <3
(Pour le mithril, j’y reviens juste après).
DLM/Erwan/Xera/Erwan :
C’est vrai que le mithril a été créé par Tolkien, mais qu’il a ensuite été intégré à la Fantasy en général (notamment dans les Jeux Vidéos et les Jeux de Rôles). Un peu comme les Hobbits qu’on peut retrouver dans le jeu de carte Munchkin. Et puis je ne compte pas trop sur la publication de ce texte, un peu comme les gens qui écrivent des fanfics érotiques sur Harry Potter (on vous voit O.O). Cela dit, pour respecter nos propres règles d’Erakis, je vais changer.
Krappy :
Merci beaucoup Krap 😊 D’ailleurs c’est « Siefried » - faut pas pousser Wagner dans les orties avec l’eau du bain non plus !
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Bonjour Quaedam,
Oh ! Mais il y a de la vie, sur ce fil... ^^
Pas de problème si tu me réponds un peu tardivement, rien ne presse, et je sais que tu ne devrais pas tarder à partir en vacances. ;)
Je profite de mon week-end pour découvrir progressivement les textes d'Erakis, et c'est vraiment un plaisir de lecture. Je devrais lire les textes de Become, Dot Quote, Opercule et Bapt90 dans les jours qui viennent, il faut que je me programme toutes ces lectures !!
En ce qui concerne la loi anglaise (si les droits de Tolkien sont en Grande-Bretagne ?), je ne la connais pas assez bien pour vous dire, mais c'est vrai qu'il doit y avoir une réponse précise à propos.
Sinon... pour le texte, comme la plupart de tes lectrices et lecteurs, j'ai bien aimé le portrait que tu faisais de tes personnages, Quaedam.
En revanche, contrairement à Erwan, j'aime bien l'idée que le roi envoie son fils stupide pour la négociation, je n'ai pas du tout trouvé ça autocratique, ça m'a vraiment fait penser à un modèle de monarchie dans lequel la famille royale serait au cœur de toutes les intrigues. En revanche, je trouve que son fils aurait dû être accompagné d'un conseiller royal, une sorte de diplomate qui lui dise quoi faire et comment (comme pour le coacher).
Au final, le roi avait plusieurs raisons plus ou moins intelligentes d'envoyer son fils :
- il est sûr qu'il ne le trahira pas car il est lui est lié par le sang ;
- il peut vouloir déstabiliser son adversaire en le mettant face à un épouvantail débile et bloquer ainsi les négociations ;
- il peut vouloir que son fils soit partie prenante de cette affaire, et l'envoyer lui permet d'encourager celui-ci à s'investir personnellement dans la guerre ;
- il peut compter sur les lenteurs de son fils pour retarder le moment de lancer les hostilités ;
- il peut en faire exprès juste pour ennuyer la sorcière, la frustrer, mais bon, dans ce cas, ça fait penser à des gamineries et ce n'est pas très valorisant pour le roi.
Et finalement, le dialogue de la négociation m'a un peu déçu :
— Vous ne devez rien au Hadvast ? Et tout votre or ? D’où vient-il ? De mines dissimulées peut-être. »
Réflexion faite, Ulric se demanda s’il ne venait pas de mettre à jour le secret le mieux gardé de la Cité Marchande.
Bon, voilà, je m'attendais à un imbécile, et il arrive et à faire perdre son sang-froid au marchand et à révéler un secret bien gardé, ce qui fait de lui un fin négociateur...
J'aurais largement préféré que le fils se fasse arnaquer par le marchand, un vrai marchand, quoi... Le genre de négociateur qui te vend tout et n'importe quoi. Exemple de situation cocasse que cela aurait pu donner : le fils se fait rouler par le marchand, il revient vers son père avec une proposition complètement ahurissante, son père lui fiche une tarte et refuse illico la proposition. Et finalement le fils revient bredouille dans les jupons d'une tutrice ou d'un tuteur.
Bon, c'est une idée un peu ambitieuse, je dois l'admettre, mais c'est une façon de dire que j'ai trouvé le fils trop malin dans cette négociation face à un marchand complètement désarmé.
Une lecture qui stimule l'imagination, donne envie d'en savoir plus et de s'attacher aux personnages. Un grand merci pour cette lecture, et bravo à toi pour cette nouvelle pierre à l'édifice d'Erakis. ^^
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Salut Quaedam !
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.
Bon, ben c'est bien cool :) Les persos se mettent en place, y a une ambiance bien typée (vous vous êtes mis d'accord avec Krap pour que les dialogues soient dans un style fleuri et contemporain ?)
On a aussi du détail sur le royaume, c'est chouette.
Me manque peut-être un peu de visuel (sur la carte et les pions au début, sur la table, les chaises, le pichet, la coupe...)
Merci pour la lecture :)
Rémi
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Alan
Pas de problème si tu me réponds un peu tardivement, rien ne presse, et je sais que tu ne devrais pas tarder à partir en vacances
Merci pour ta compréhension Alan :calin: effectivement, je suis partie en vacances :D
Sinon... pour le texte, comme la plupart de tes lectrices et lecteurs, j'ai bien aimé le portrait que tu faisais de tes personnages,
Je ne sais pas si je dirais « la plupart », les avis ont l’air assez partagés :D
En revanche, contrairement à Erwan, j'aime bien l'idée que le roi envoie son fils stupide pour la négociation, je n'ai pas du tout trouvé ça autocratique, ça m'a vraiment fait penser à un modèle de monarchie dans lequel la famille royale serait au cœur de toutes les intrigues. En revanche, je trouve que son fils aurait dû être accompagné d'un conseiller royal, une sorte de diplomate qui lui dise quoi faire et comment (comme pour le coacher).
Je suis contente que tu ais apprécié cette décision ou que tu l’ais comprise. ^^ Effectivement, il aura pu être moins caricatural d’avoir un conseiller à ses côtés, mais vu la longueur du texte, j’ai préféré réduire le nombre de personnages importants. Mais je note ^^
Au final, le roi avait plusieurs raisons plus ou moins intelligentes d'envoyer son fils :
• il est sûr qu'il ne le trahira pas car il est lui est lié par le sang ;
• il peut vouloir déstabiliser son adversaire en le mettant face à un épouvantail débile et bloquer ainsi les négociations ;
• il peut vouloir que son fils soit partie prenante de cette affaire, et l'envoyer lui permet d'encourager celui-ci à s'investir personnellement dans la guerre ;
• il peut compter sur les lenteurs de son fils pour retarder le moment de lancer les hostilités ;
• il peut en faire exprès juste pour ennuyer la sorcière, la frustrer, mais bon, dans ce cas, ça fait penser à des gamineries et ce n'est pas très valorisant pour le roi.
Je suis d'accord avec toi, surtout sur les trois premières. Mais j’en rajouterais une qui est peut-être moins perceptible : le roi n’a pas vraiment envie de négocier. Ce qu’il veut, c’est la reddition totale sans combattre. Un autre que son fils aurait pu céder du terrain, ce que Regnault ne souhaite pas.
Bon, voilà, je m'attendais à un imbécile, et il arrive et à faire perdre son sang-froid au marchand et à révéler un secret bien gardé, ce qui fait de lui un fin négociateur...
J'aurais largement préféré que le fils se fasse arnaquer par le marchand, un vrai marchand, quoi... Le genre de négociateur qui te vend tout et n'importe quoi. Exemple de situation cocasse que cela aurait pu donner : le fils se fait rouler par le marchand, il revient vers son père avec une proposition complètement ahurissante, son père lui fiche une tarte et refuse illico la proposition. Et finalement le fils revient bredouille dans les jupons d'une tutrice ou d'un tuteur.
Hahaha j’aime bien ta proposition. Cependant, contrairement à la perception d’Erwan, Ulric n’est pas si stupide que ça. Il n’est juste pas particulièrement futé, mais pas idiot non plus. Je trouve ça amusant qu’il réussisse à faire perdre son sang froid au prince, goûte aux subtilités du pouvoir par le langage sans pour autant réussir sa mission. Il aurait été étrange qu'il parvienne à ses fins, car ce n'est pas un ambassadeur digne de ce nom. Cependant, avec ses gros sabots, et la découverte sur le tard des possibilités offertes par la parole, il parvint tout de même à déstabiliser son adversaire. J'ai l'impression que peu de gens ont compris cela. Je crois que j'ai encore du mal à faire passer un message subtilement xD
Mais effectivement, ce que tu suggères aurait tout aussi bien pu advenir si Ulric avait été encore moins intelligent et le prince plus confiant.
Une lecture qui stimule l'imagination, donne envie d'en savoir plus et de s'attacher aux personnages. Un grand merci pour cette lecture, et bravo à toi pour cette nouvelle pierre à l'édifice d'Erakis.
Merci beaucoup Alan 😊 J’espère que ça n’a pas été trop difficile ou décevant à lire en tout cas :D Bonne lecture d’Erakis !
Rémi
Bon, ben c'est bien cool Les persos se mettent en place, y a une ambiance bien typée (vous vous êtes mis d'accord avec Krap pour que les dialogues soient dans un style fleuri et contemporain ?)
On a aussi du détail sur le royaume, c'est chouette.
Me manque peut-être un peu de visuel (sur la carte et les pions au début, sur la table, les chaises, le pichet, la coupe...)
Merci beaucoup Rémi <3 Ca me fait plaisir de te voir passer sur l’un de mes textes <3
J’ai repris certaines expressions de Krap (« Petit frère ») mais j’ai aussi récupéré le ton un poil vulgaire que j’aime bien mettre dans mes dialogues >.> Je sais que ce n’est pas agréable pour tout le monde, mais bon… on va dire que c’est ma période « crise d’ado » xD
Merci pour tes corrections orthographiques, je note :D (Et j’édite dès que possible).
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Salut Quaedam,
j'arrive en retard mais j'ai lu ton texte dès sa pubblication.
J'ai beaucoup aimé le fait que tu le lies directement à celui de Krapoutchniek.
Tu as su l'intégrer de manière ingénieuse au sien en développant des éléments et des personnages qui éclairent le sien.
Ce que j'aime beaucoup dans ton texte :
- la manière dont tu nous plonges immédiatement dans l'action.
- le deuxième point de vue : non les attaquants ne sont pas les grands méchants qui attaquent les gentils marchants.
- l'ironie et le recul que tu prends par rapport à tes personnages.
- comment tu développes et affines les personnages d'Irden et d'Irda.
Ce que j'ai moins aimé :
J'aurais préféré qu'Ulric soit un peu plus nuancé, que ses qualités ne soient pas uniquement athlétiques, qu'il soit un peu moins obtus.
Un peu plus comme les personnages de Martin dans Game of Thrones si tu vois ce que je veux dire, où finalement tous les personnages ont de bonnes raisons d'agir comme ils le font et que le lecteur est curieux de voir évoluer. Ulric a, à mon avis, le potentiel d'être un opposant à Irda/Irden vraiment intéressant.
— Vous ne devez rien au Hadvast ? Et tout votre or ? D’où vient-il ? De mines dissimulées peut-être ? »
Réflexion faite, Ulric se demanda s’il ne venait pas de mettre à jour le secret le mieux gardé de la Cité Marchande.
Ce passage m'avait fait bien rire, mais je vois que d'autres lecteurs l'ont interprêté différemment.
Je n'y avais vu que le renforcement de la bêtise d'Ulric qui se croit fin stratège à négocier et qui sort des énormités (pour moi il était clair que la richesse des marchants vient de leur habileté à acheminer les marchandises et à les vendre ), mais selon d'autres lecteurs ce serait le signe qu'Ulric n'est si obtus qu'on croit.
Du coup je suis curieuse de savoir tes intentions réelles.
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Merci beaucoup pour ton passage Samarcande 😊
Merci de m’avoir lu et désolée pour cette réponse un peu tardive (j’étais repartie en vacances).
Tes compliments me vont droit au cœur. Quant à tes critiques à proprement dites, elles rejoignent beaucoup les commentaires précédents, réclamant un Ulric plus nuancé. Ce personnage a l’air de déchainer les passions alors que je ne voulais qu’un chevalier un peu caricatural, un simple antagoniste vaguement ridicule pour un texte. Je ne pensais pas qu’il allait se mettre à apparaitre régulièrement dans d’autres récits haha.
Je suis d’accord avec toi, qu’on doit proposer des personnages nuancés, mais je rappelle qu’il s’agit d’un texte court, une seule situation, ou les qualités d’Ulric n’ont pas vraiment l’occasion d’apparaitre. Pour moi, le fait qu’il soit archétypal ou caricatural dans un passage aussi court n’est pas un problème, mais je comprends ton opinion. Je tâcherais de m’en rappeler pour mes futurs textes.
Quant au passage que tu cites, effectivement, ce n’est pas un moment où Ulric se montre particulièrement perspicace. ^^ Par contre, le fait qu’il commence à sentir le pouvoir de la parole en est un. Un début de glissement, sans doute pas assez flagrant pour les lecteurs (peut-être aurais-je du insister d’avantage ?).
En tout cas merci beaucoup de ton passage et de ta lecture. Je tiendrais compte de tes remarques à l’avenir 😊
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Merci d’avoir relaté ce moment de bascule qui nous emporte dans un nouvel âge ! C’est bien une succession de choses sans liens et de petites décisions qui mènent à de grands événements.
C’est pas Regnault qui prend la guerre, c’est la guerre qui prend Regnault... Il n’aime pas relativiser son pouvoir absolu, c’est une position logique. Peut-être pas louable, mais basée.
Le rôle de Brunehilde, c’est celle de la sorcière rouge dans Game of Thrones ? For the night is dark, and full of terrors.
Les thèmes sous-tendus dans l’idée du commerce et de la décadence de ceux qui ne sont pas prêts à se battre, etc. gagneraient à être étoffés et un peu entremêlés.
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Oww Merci être passé Opercule.
Le rôle de Brunehilde, c’est celle de la sorcière rouge dans Game of Thrones ? For the night is dark, and full of terrors.
Les thèmes sous-tendus dans l’idée du commerce et de la décadence de ceux qui ne sont pas prêts à se battre, etc. gagneraient à être étoffés et un peu entremêlés.
Alors non, Brunehilde n'est comme la Sorcière Rouge. C'est un sorcière royale comme on n'en voit souvent dans la fantasy (Yes, Your Grace, Avatar...). C'est une conseillère, une femme âgée et... who knows ?
Quant à l'idée du commerce et de la décadence... est-ce que tu ne calquerais pas tes attentes sur ce texte ? :D Nargarone n'est pas particulièrement décadente, elle est riche. C'est un parasite aux yeux de l'escorte mais pas d'Irden :) En tant que narratrice/autrice je ne donne pas mon avis dans ce texte, car cela ne servirait pas le récit. La guerre n'est pas déclarée parce que Nargarone est opulente mais parce que la Guilde des Marchands et puissante. Et à du pognon, certes. Mais ce n'est pas le motif principal, il n'est qu'évoqué.