Le Monde de L'Écriture – Forum d'entraide littéraire

10 mai 2024 à 21:29:51
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Le Monde de L'Écriture » Coin écriture » Textes courts (Modérateur: Claudius) » Le manteau de lierre

Auteur Sujet: Le manteau de lierre  (Lu 3173 fois)

Hors ligne Kathya

  • Grand Encrier Cosmique
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    • Page perso
Re : Le manteau de lierre
« Réponse #15 le: 16 mai 2011 à 12:42:51 »
J'ai bien aimé, y a juste le coup du couteau qui est un peu rapide. Genre on sait même pas qu'il a une femme qu'elle est déjà plantée.  :D

Je trouve que l'ambiance conte rend bien, mais je suis pas spécialement fan des textes supposés faire peur.  ::)
"Je suis la serveuse du bar Chez Régis ! Ou un leprechaun maléfique barrant l'entrée d'un escalier imaginaire..."

Et puis la Nuit seule.
Et rien d'autre, et plus rien de plus.

Avant l'hiver, Léa Silhol

Hors ligne Zephyr

  • Grand Encrier Cosmique
  • Messages: 1 363
Re : Le manteau de lierre
« Réponse #16 le: 16 mai 2011 à 23:26:48 »
(Oui, je me remet un petit peu à commenter les textes ! J'espère que je vais pouvoir rattraper mon retard gigantesque, presque gargantuesque !)

En général j'ai bien aimé. L'effet de conte est bien l'ambiance me plait. Puis l'idée du lierre qui veut plaire à la lune, le fait qu'il recouvre la village, j'aime bien. Bon, c'est un peu court, mais "mieux vaut un texte court sympa qu'un long qui sert à rien" (copyright un membre du forum, mais je sais plus lequel !)

Ah si, petit truc qui m'a gêné, le passage du boucher (comme la plupart des gens en fait). Ou du moins le début. Je trouve qu'il est pas assez mis en situation, sa femme pareil. Disons que je trouve surtout que quand il plante sa femme, ça fait un peu gore pour le gore. Je pense que tu pourrais rendre cette scène plus dans le ton conte mais avec la même peur et la même sensation désagréable envers la plante.

Mais sinon, j'aime bien.
Si j'écris quelque fois, je n'écris point d'ardeur,
J'écris naïvement tout ce qu'au cœur me touche,
Soit de bien, soit de mal, comme il vient à la bouche,
En un style aussi lent que lente est ma froideur.

Joachim du Bellay, Les Regrets, « 21 »

 


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