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Encore plus loin dans l'écriture ! => L'Aire de jeux => Défis Tic-Tac => Discussion démarrée par: Dot Quote le 09 juillet 2019 à 22:57:15

Titre: [session 9)7)19] La dialectique du Chaos
Posté par: Dot Quote le 09 juillet 2019 à 22:57:15
La dialectique du Chaos

Nous commencerons à la fin, ce sont ces seuls pions que j'ai en main, ici, en dernier, à propos de ce propos défiguré par un texte qui suit, peut-être dénaturé par ce qu'il tentera ou a tenté, d'expliquer :

1)

En premier point d'une excavation de dernière pas minute, je ne suis qu'à vingt six de l'horloge, je pendouille la balance qui ondule, je ténèbre ma présence comme la source fabule ses courses aux libéllules, lorsque je ne suis plus dans ma bulle j'en souffle une nouvelle, venue d'un intérieur aux parcelles de moi si lentement remontées à la surface qu'on y serait ce que ce ne sont que des illusions systématiques, car je l'ai premièrement voulu ou structuré, mais pourquoi, ce doute...
D'un propos à débiter. Je voudrais commencer par ce qui m'apparait comme évident bien après que ce fut fait. Commencer comme si j'avais prévu, parmis l'impalpable d'une situation trop complexe pour révéler ses articulations dogmatiques, si tant est qu'il fut législativement organique...
Un propos, qui se délite pourtant, par concaténation de sens qui s'autodétruisent, pourquoi ? Pour remonter à une fréquence immobile, à l'origine effective de tout un tas de causes à remonter, vers l'avant, vers l'après, je ne sais jamais vraiment, mais pourquoi, fallait-il, se premier emmurement fictif qui ne figure que dans une opposition des lexiques, ce premier ce dernier, ce commencement cette suite, sans fin ou presque jusqu'à ce que se dématérialise une ambtion jusqu'alors presque ininterrompue...
L'élément abstraitement restitué n'aurait d'affect que pour son autrement destitué... quelque illogisme à délirer.
Ce qui suit donc, sera ou ne sera pas. Mais. D'un état incertain il est et restera. Tant que le temps n'aura pas fait son effet.

2)

En second point, cette infarctuosité du récit, que je consturit puisque j'écrirais ceci afin de m'y relire à l'invrse dans l'avant dans l'après, je m'epxlique un peu plus confusément : cette partie est effectivement la seconde à lire, après ce qui précède et qui suit... je me comprends.

3)

Ici, je tends à garder le secret je ne sais pas pourquoi, jusqu'où je vais, mais je vois, que je remonte à présent, le fil de ce qui m'apparait comme incident à une lecture de l'approximation de la diffraction dans le temps, puisque je ne suis plus vraiment ce présent qui se déroule, mais bien un remonteur de pendule...

2)

En second point, cette infarctuosité de l'esprit, que je déconstruit puisque j'écrirais ceci afin de m'y relire à l'inverse dans l'après dans l'avant, je m'explique un peu plus précisément : cette partie est effectivement la seconde rédigée, après ce qui suit qui précède... je me comprends.

1)

- Et pourquoi ne pas en faire autre chose que ce qui ne fut que quand...
- Et si jamais je ne faisais que recopier ce qui ne s'ensuit qu'en un terrible...
- Fracas de mes siccité d'organisats organisées par organisation d'orga...

Nostalgique d'une ère où tout ne fut démis que par l'amère misanthropie des sphères permises par le cerveau, on en vit quelque luminance, quelque flammèche temporelle, quelque illusion informelle, mais d'où puis-je, questionné-je, sourcifier l'alligatorréfaction, je ne sais pas ce que je ponds, mais je me réponds, non pas d'un dialogue poursuivant la raison, mais bien de sa propre raison à poursuivre mon dialogue, de qui, de quoi ? Je stope. Je phrase... Et alors que, toujours misanthrope, j'entre dans la stase d'une enveloppe aux irraisons de mes phases à stroboscope, je ne sais toujours pas où mène cette raison mais j'y développe, ce que quoi, ce petit son de clavier aux allures de despote contre les entités d...

Il y a les.

Spontanéité d'une glande psychotrope. Qu'y a-t-il de plus biologique que notre incarnation de la raison ? Et alors qu'y puis-je si mes neurones se boguent comme des partitions aveugles, des illusions omineuses, qu'une interruption audacieuse d'inconsidération m'aurait mené sur une pente des plus calomnieuses à propos de la vérité, qu'en dépit des heures creuses je m'astreins à rechercher, cette qualité vertueuse dont rien ne saurait rendre le scintillé si spécifique que je lui octroie lorsque... Quoi ?

0)

Un point, un vortex. Un ordre à décompter, jusqu'où vais-je si seulement je ne suis pas sûr.

A)

Des points. Typographiques. Syntaxiques. Axiologiques.
Des tentatives symphoniques assistées.
Des point.
Terminaisons sévèrement administrées.
Totalitarisme salvateur autogéré.

B)

Un départ, vers quelque quelque.

C)

Une suite, une chose, jusqu'à laquelle...
Je ne suis que ce que j'ose, à mettre en bouteille...
Des broutilles un peu roses, pendues à l'oreille...
D'un défi envers l'osmose, des pendules à merveilles...

D)

N'est ni cédé ni terré.

Et)

La suite s'ensuit, quelque chose, oui, jusqu'à laquelle se raccrocher, c'est d'avoir foulé le pas d'un drapeau, planté dérapé aux ripostes de la vérité, ce que poursuivent le sens des mots, bien que pas que...

Fr)

Haze...

Gros)

Hétéroclitement)

Ignitié)

Joue)

Kavec)

Le)

Mot)

Nullement Omis Pendant Que Résiste Seulement Tyranique, Une...

V)

Wittesse du wisdom webesque, wattant quelque powerness flower with watermelon... Witesse grand W, l'appétit en égo des gastrolâtres gloutons littéralement aglutinés aux glottes du père noël, ces glands de rennes décorés par winterisme, cette propension à l'hiver, à la neige, oui les faits de hiverer et de neigiser. Un flocon onomatopé à la limite de l'intransigeance démente, une fulgurance médullaire... oui je pense, à une jugulaire, à carotide...

VI)

Vivivi, ouiouioui, non non non

sVIte)

Est-ce si vite que ce svelte vit la virevolte souhaitée virulente que sa volte-face si volontairement ténébreuse vit et sut que s'évitent les virgulent...

Ensuite)

Et toujours, encore.

Fragmentée)

De partout, de toujours.

&)

Alors que se profile que... jamais ne termine ce qui s'ensuit de ce qui se suit, car ce que je suis ne suit que ce qui se suit... et pas ce qui...

++)

Annexé en l'interne. Ces quelques mots sur la logique intrinsèque. Je m'en retourne au début signifier quelque chose, que nul lirait en premier... :
Titre: Re : [session 9)7)19] La dialectique du Chaos
Posté par: Miromensil le 09 juillet 2019 à 23:13:45
Je suis KO
Titre: Re : [session 9)7)19] La dialectique du Chaos
Posté par: Gros Lo le 09 juillet 2019 à 23:55:46
Salut remonteur de pendule !
tes divagations pseudo-dissertatives me font toujours un certain effet, ça n'a pas raté malgré ce que j'ai parfois lu comme des longueurs d'écriture automatique à élaguer. Infarctuosité est un chouette néologisme filé, toute cette foutraque et balbutiante genèse qui avance d'un pas pour reculer de deux, c'est un bel effort sur l'idée de dialectique. Et puis ce constant regard sur la pensée en train d'être accouchée ça me rappelle l'esprit de certaines lettres d'Artaud.
Pour l'abécédaire automatique, je crois bien que j'y ai trouvé mon compte aussi, par étincelles, par brindilles.
Intéressante mise en bouteille de tictac quoi (: Merci pour ça.

PS avant de poster : hahaha le laconisme de Miro correspond bien aussi à une partie de mon état au sortir de la lecture. Et j'imagine que ça pourrait aussi être un bon post-scriptum inséré en clôture de ton texte (écrire en automatique c'est si épuisant)...
Titre: Re : [session 9)7)19] La dialectique du Chaos
Posté par: Dot Quote le 10 juillet 2019 à 00:12:45
De manière chaorganisée, on déclerait quelque lexicale accointance de sens, je ne sais pas du tout ce que j'en pense.

Mais pluss une sorte de transe envoutante m'a saisi d'un effectif calme de plomb en chape de Si alors :)

Et à nous trois nous trions quelques sort à cette édition fictive qui nous sert de couverture !