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29 mars 2024 à 08:11:32
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Le Monde de L'Écriture » Coin écriture » Textes mi-longs » Chatouiller le Misanthrope - 2

Auteur Sujet: Chatouiller le Misanthrope - 2  (Lu 45288 fois)

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Re : Chatouiller le misanthrope
« Réponse #150 le: 26 avril 2021 à 18:46:09 »
papy bourdonne
#àtoute #planète #z #zume


ça papibourdonne de pipaillon

bougon, doux, redonne des haillons aux pas-pris ; une lanterne d'autour de nuit, et quelques moustiques un peu stuckd, à la lumière, croisant leurs cercles de petites planètes gravitationnant jusqu'à ce qu'aile se crame ; bon ? bin le singe de bougon, il sait pas ce que c'est que le feu, il va pas t'inventer l'électricité avant d'avoir mangé du l'anguille, tuwa ? pis sinon t'as là l'intérieur du cafard, il a mangé des têtes, bon, c'est sûrement pas des oeufs qui vont se faire une omelette de caviar, et alors ? bin le truc c'est qu'un lampadaire, si tu le veux naturel, faut qmm aller dans des endroits pas trop éclairés de la nature tuwa ? genre... bin ouais, tu veux un truc qui tient chaud, tu vas chasser du l'ours polaire, pis si tu veux un truc qui casse du bois tu vas chercher du rocher, du métal, ce que tu veux mais pas une feuille de vigne, hmm ; bon bin pareil, la lumière, ça se trouve dans l'obscurrité, et t'en as ils sont asssez zélés pour aller chercher ce qui qmm est juste un peu gratuit mais certes inaccessible, pis bin dommagement, horairement déterminé par géotrisme de planète ; bon... bin ouais, t'as des trucs, ils sont apparus sur l'aterre, parce que y'avait une pile à hydrogène un peu énorme au centre du truc, bon, le soleil il éclaire, il chauffe, y'a de l'eau, pis le truc ça moisit, ça donne de la vie, bon, bactéries toussa, évolution tousssa, on arrive au zanthrope de zume, pis c'est là que ça se complique... ou plutôt non ! avant ! ouioui, le moustique un peu frappé par la colle, là, il tourne autour de son petit soleil, il se dit ptetr, que ouais, il pourra ptetr toucher celui-là, au moins, quand le gros a disparu, celui que plus tu vas haut pour le toucher, moins il te réchauffe, sacrée lumière ; l'atmosphère est vaste, le moustique il s'en fout de l'humain misanthrope, qui se hait lui-même au point de se tuer, eh bien il s'en fout parce qu'il va pas aller faire sa science de y'a-des-géants-qui-dominent... il s'en fout aussi de la chauve-souris qui s'en fout aussi, et qui vient le becqueter lui auprès du lampadaire, parce que pourquoi ? parce que la lumière c'est la vie et même dans les enroits les plus sombres, c'est surtout là qu'on y meure ; je pense au baudroie oui, ce poisscaille qui a un lampion électrique sur le front, sacrée licorne tu me diras, bin c'est pour manger tu crois quoi ; la chauffe-sourit, c'est pour attirer le lampadaire qu'elle mange encore plus de moustique ; et puis ? bin dans tout ça t'as des pipaillons qui beuglent, un coup à cause du frelon asiatique, un coup à cause des différences de couleur pour un médecin philosophe, un coup à cause que leurs ailes ou leurs plumes, leurs antennes de télé, leurs trompes d'éléphanteurs, leur qu'en sais-je, c'est surtout que ça chenille, ça roulotte, et puis en vrai ? bin j'en sais rien, une animalerie telle que se l'envisage le misanthrumain, c'est un truc égal ; plat ; nul : oui oui égal de partout, il ne faut pas de différence, tous pareil, t'as pas un humain castor et un autre requin, t'as juste le rêve de chacun de pas se faire bouffer, pis du coup ils bouffent tout ; les moustiques par le sourire de leur voiture, les chauve-souris par un super-héros, pis après... ouais ; il y aura plus rien quand tout le monde sera égal ; plus un seul éléphant ou rat, plus un ornythorinque ou une abeille, un pigeon ? nonnon, pas de paresseux ou de koala, pas de singe surtout, pas de tortue ni de lièvre t'façon, pas de blaireau il faudrait pas, un putois ? non plus, un truc de t'façon-c'est-dégradant ! hu, le zume ? c'qui qu'est dégradé ? regarde-toi deux secondes, tu crâmes même le fait que tu fais des autodafés de tout ce qui te passe par le cut-cut ! bientôt ce sera ton rêve, si tu continues à le réaliser : tout le monde pareil, plus du tout de ces sales animaux qu'ont rien à voir avec le moi du zume de zume ! tous pareils, bien dégueux à dégouliner par les pores de ton goretex ! ouais ça va sentir la gastronomie, tqt, quand tu seras canibal-vegan parce que la pelouze possède l'âme des foudebeauleurres, que les roses iront périr aux balcons à salades, que les artichauts seront pauvrement riches, que les tulipes se cultiveront pour le bon goût de l'acharnement au bonheur, que les chrisantèmes seront à faire bouffer des vers, que les sapins seront pour célébrer à la louis seize, ce qui se fait d'illusions à noël, des cadeaux ? pour quoi faire quand tout s'achète ? non, donner c'pas trop le zume, c'pas trop le stickd, c'pas trop chauvz, c'est... c'est quoi ? s'enorgueillir de venir en aide à ce qu'on tue ? ouais bon, dit comme ça je mangerais que des salades bio c'est pour leur bien, mais surtout j'arrête la crevette à pinces de crabe, parce que prendre des chimères pour des mythiques créatures, c'est pertinent mais au bout d'un moment on s'y perd dans l'imaginaire, alors que le réel est déjà bien complexe à réaliser ; donc ? bin le misanthrope là, t'sais ? celui qui tue des humains... nan pas le petit gentil régulateur de la microsphère, non l'autre, là, le grand dadet qui a rien compris à ce que la javel c'est pas propre au contraire... bin je te le dis, moi il va nous foutre dans la merde ; moi le cheval, moi le taureau, moi le lion, moi la licorne qui est à l'encontre de ses rêves de planète uranus ; ouais il clignote loin derrière le zume, c'pour ça que ça trainarde et qu'on va finir noyés dans notre navrante cacophonie ; mais c'est pas grave ! des millions d'années, c'est beaucoup oui, mais surtout sous l'angle de vue si singulier du zume du claquement de doigt ! sacré magicien que celui là, il a cru son petit égo du moi moi du petit siècle valait de l'or pour qu'il puisse s'y installer afin de déverser son confort ! lol ! y'en a eu des milliards de comme toi, tqt, tu vas crever, petit rien, si tu fais ce que tu continues de faire ! et l'univers ? il en a rien à secouer de ton petit égo qui croit que la justice va te sauver ! lol quoi ! on est rien zume, on est mais, tellement, rien, par rapport à ton humilité si pédante, nan mais risque-toi te dis le chauf, le stique, le chval et le on-se-fait-écraser-par-toi-alors-responsabilise-toi-deux-sec-virgule... mais ça non, pas moi, pas moi je suis rien lol bon... bon ; tout ça pour ? rien

hallucinorbite
"i don't care if your world is ending today
because i wasn't invited to it anyway
you said i tasted famous, so i drew you a heart
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Re : Chatouiller le Misanthrope
« Réponse #151 le: 28 avril 2021 à 22:32:12 »
mototamponeuses
#100m #misanthrope #délire #hallu
un peu qmm
...


bon azy pour le déconfinement je propose un truc ; distanciation sociale, sécurité maximale : déjà on prend un pelleteuz, et on rase toutes ces villes poubelles de je-te-motocrotte ou je-te-fatigue-l'ascenseur, pis on construit du fanart de landscape dream civilised naturopathe gime your peace with grass and spaces... non ? ouais, t'sais des collines quartiers, des tunaturellement mon cher, des fenêtres sur horizon, des arches, des ponts, du libre, tant et tant spacieux que voilà ce qu'on va faire pour le déconfinement : 100m de distanciation social, minimum ! le port du mégaphone est fourni, et on arrête de dépenser des millions en antibiologiques, pis on pourra se torcher à l'infini avec les masques et surtout le pq que tout le monde a un bunker au cas où ; bref ; il faut absolument donc, des trucs qui vont avec : constat urbain de base, il faut des architectures qui faut que on puisse à tenir la distanciation en groupes de rassemblement tolérés ! prévoyons donc des chateaux-stades-appartements, creusés dans les collines, où poussées dans des arbres de forêt, dans une roche pour les caverneux, des trucs dans le ciel pourquoi pas ; ouais ? 100m de distanciation sociale, c'est rien ! surtout pour le zanthrope tuwa, parce que dans son petit monde croissant de lune, la démographie ne s'étendrait pas à un tel possible fourchetat des directives statistisées ; oui sur misanthroplanète, il n'y a pas de question de promiscuité, réellement, pourquoi ? parce qu'à 50m tu peux te permettre d'être illégal sans risque de contravention imminente à Damoclès Effect,  pis surtout t'as pas trouze mille bruits de rien du tout qui te sourdinent la réalité ; donc il faut pareil, des routes qui vont pouvoir supporter nos âmes de sardines ; une tite boite en fer ? nanan, on va leur offrir des trucs qui prennent des kilomètres ; de large ; ouais ouais, il faut des autocars qui permettent la distanciation sociale du 100m ! il faut ! impérativement ! et pourquoi comment que que ? bin facile : ata je vais chercher la surface de la terre : ah merde, ouais démographiquement des milliards d'individus pour des millions de kilomètres carrés, c'est auch ; 'fin ça va, y'a l'océan, les déserts, les trucs, pis nan on est bien là tout bien confinés qu'on se chie dessus les uns les autres au point que y'a besoin de javelzca pour se tuer du microbiote, bon ? bin ouais nan pour le déconfinement on attends deux décénies normales, le temps que ça se tasse un peu l'évolution sexuo-actée, pis quand on aura stabilisé le touti on pourra oui, se dire que quand on veut un câlin on a pas besoin d'une mégalopole pour ça, que quand on veut parler à quelqu'un on a tout ce qu'il faut dans le silence de la nature, et que merde on est pas si bétoné qu'on ne se l'ose pas avouer...? Y... heu, je veux dire, y'a pas du tout une feuille malade qui survit, c'est vrai, en amazonie, mais par contre c'est bien en ville qu'on a développé des feuilles qui vont chez le folilogue ou j'sais pas quoi, parce qu'elles ont des parasites de béton ! bin ouais le béton c'est plus solide, ouais, t'as inventé des trucs solide, zum, mais qmm ! le béton c'est mort ; c'est pas genre limite pas vivant en tant que roche ou quoi ; c'est pas vivant ou post, parce que bois ou tronc ; c'est mort ; un truc de cadavre et de non vivant ; même l'eau s'en va dans ton béton opérationnel, donc pas d'eau pas de vie ; tu crois tu vas trouver quoi sur ce chemin sérieux ? nan parce que moi les scandales humains je commence à plus avoir assez de doigts pour les compter, pis bin c'est qu'aux zumes que ça arrive hein, toujours c'est lui la victime quoi ; alors ouais, un attentat ici ou là, un tsunami de tempête des bermudes, un monde qui part en vrille quoi, pis que y'a pas encore de la magie dans l'histoire mais ça ne saurait ptetr pas tarder, tant c'est un miracle que faut que y'ait pour qu'on se sorte de là ! pis après t'auras quoi ? comme dans les pire films ? genre des apocalypses bactériologiques ? ou alors des systèmes politisés vers l'aliénation ? un truc mystique avec des techno de ouf ? mais quoi ? nan il faut arrêter la lapinerie, c'est tout ; y'avait ce dèl qui veut rien dire que le zanthrope il aime pas les gens, bon, il en a eu la flippe, un mélange un ressentiment diffus qu'il essaye de retranscrire, mais en vrai ? tout est bien dans cette cacophonie mortifère ; on coupe les vannes au disque laser, tout en ouvrant les robinets, ça pompe dans le vide, vous voyez de quoi je parle, pis dans tout ça ? ouais, je sais pas, on se rend bien compte que y'a un moyen dans tout ça d'être heureux, c'est de faire une distanciation sociale de 100m, ça me parait bien ; il faudrait qu'il pleuve du zum un peu plus régulièremenet sur le planèto, du coup ; mais bon, quand on aura une étiquette sur un morceau de truc qui nous reçoit par gravité, la propriété territoriale, il faudra qu'on la relie avec des routes de plusieurs kilomètres de large comme ça on aura des mototamponeuses et y'aura jamais de morts sur la route ; en large ; c'est une idée comme ça, moi je me dis la fraction est toute simple, un individu en société, c'est l'inverse de la société sur l'individu, et l'individu c'est l'unité sociale, le truc, tu peux pas dire tu vas faire une société avec un morceau seulement d'individu, genre sa main ou je sais pas quoi, non, là c'est une virgule quoi, l'unité, le un, sur la fraction, c'est l'individu, et en dessous, c'est la population, bin ouais ; quand le chiffre du dessous est petit, ça veut dire que le résultat est gros, donc au contraire 7 milliards d'humains, ça fait des individus un peu légers, c'est ce qu'on aime dans l'anonymat tu me diras, mais ouais, y'en a ils voudraient peut-être des morceaux de désert et des mototamponeuses...
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Re : Chatouiller le Misanthrope
« Réponse #152 le: 01 mai 2021 à 21:21:52 »
le fils du misanthrope - mototamponeuses (suite)
#ouais #humain #symbiosomose #nature
alors ouais il fallait que je me dise que nos enfants comme d'hab, on leur emprunte une planète, pis bin dommage qu'on la leur rende en meilleur état que celui dans lequel on l'a récupérée depuis les quelques récents...? urf

alors ouais, en fait c'cool les problèmes misanthropes, parce qu'on est en plein dedans ouioui ; un truc qu'aime pas l'humain, ça lui fout d'abord la chiasse, la nausée, pis ça continue dans le cerveau ça se demande pourquoi moi pourquoi nous pourquoi quoi ? une pandémie, c'est une idée après être une réalité j'pense zntrp, mais qmm : c'est une sacrée idée, et surtout, on a pas grand chose de plus... pour se figurer un rusvi ? ouaiouais...

bon pis alors ouais, il fait qmm le monde blublu du rusvi misanthrope : t'sais ? lui il est conscient qu'il a juste un truc à buter parce qu'il fout la merde dans l'écosystème planétaire perdu dans le vide que lui il a pas de vaisseau piloté par la volonté, pour se barrer de la boîte ronde, non, d'où qu'il a besoin d'un truc qui tient debout pis qui répond un peu aux échelles, comme ça y'a pas que les météorites qui transportent la vie, et on peut faire des vaisseaux pis faire de l'univers quoi...

hein ? en tous cas ouais, le sruvi, il est là il s'en fout, il vivra comme il faut quand y'aura la paix, pis en attendant qu'est-ce qu'il en a à branled de tuer du nécrophile ? les zumzum sont là à entretenir la surmort, le sirvu il a tout vu, il a des millions d'années voire pluss, pis bin c'pas la javel ou dokteur qui vont lui faire peur avec leurs seringues d'australopithèques tséé... nan ?

bon, bin ouais, le monde déconfiné idéal pour le sruvi, c'est : un truc où y'a pas besoin pour lui de faire des armées de ouf ; oui... imagine alors :

t'as un pont d'arche en pelouze, ouais, avec des champignons en dessous et des troncs de liannes qui herborissent un peu, et pourquoi ceci-rêve plutôt que cela-réalité ? bin parce que, bordel ! nan mais quoi ? les pathogènes, quand ils nécrophagent leur souche de libre-végétal, c'est pas qu'ils sont pas occupés à l'humain dégueu, c'est si, et seulement si, l'humain dégueu n'est pas trop dégueu ; donc bin tu décrois la surpop, t'as un problème d'hygiène en moins déjà, ça c'est sûr mais pas vérifié ici, bon...

bin quoi ? tu veux que je t'expliquent le trou du cul de ton monde en mode plus-y'a-de-gruyère ? t'y croirais pas à ma science ! tu te dirais mais c'est pas ma religion ! lol...

bon bin rêve d'aller te promener en quartier vegan écolo, le dimanche aprèm pluvieux, pendant que t'en as qui construisent ou plutôt tentent, contre ta volonté, à faire valoir que là ton coït, ton absence de capote, ou j'sais-pas-quel-loyer à justifier, faudrait que tu gardes de l'énergie non pas pour le couple de gamètes qui vont faire un heureux, non, mais plutôt pour débarrasser un peu le gros du gros, tu vois ? laisse la place aux souches, au lieu de les crâmer, pour les nettoyer la forêt quoi ? nan mais qui nettoie la forêt à coup de javel ? t'es crâmé le zume, donc voilà, j'te rêve y'a que toi pour en faire une utopie : tu sais pas réaliser

bon ? bin voilà, t'as une maison pour un gosse, tu lui construis une montagne quand t'en as pas des milliards à loger, c'tout ce que je dis, après si tu crois que l'or c'est un truc qui y'en a plus que la finitude d'un cube de 21m de côté, tu fais ce que tu veux mane, rêve tranquille je te souffles, mais bon... on connait la fin de l'histoire quand le lundi sonne... pis le partage d'un dés, c'est en faces chiffrées... même d'or !

bref
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syndrome humanité
« Réponse #153 le: 14 mai 2021 à 05:37:48 »

syndrome humanité
chatouiller le misanthrope
#ouais #humain #diffraction depuis idéal #ontolgie d'un morcellement
un peu freeforme de truc de fallait qu'en fait j'ai pas trop bien dit mais tant pis ça reviendra ou pas t'façon que rajouter ou quoi hein non mais dit hein


syndrome humanité
alerte à la
bestialité

démesure
de musique
à mes heures
désinhumées
humanisées pour que
parfumise une fumée
et ternisse une nuité
l'éternité du vice
un peu fruité
bruit frelaté
fratrie délavée
de l'avis des volés
des lovés dévolus
au vélo à vouloir
pour que pédale au parloir
la perle des pendules
le métronome
de la musique

syndrome humanité
le drone au dessus de nos
cécités

des mesures
amusées
miment en muse
une temporalité
au gré que fuse
le temps
d'une science
diffuse

je fustige
je m'offusque
qu'est-ce que je pige
à mon cerveau de mollusque ?

intransigeant mes pensées
m'est pensé un pan c'est insensé
de ce qui se fait de grainé
à la grande granule
l'agrume de mon gras non nul
l'âcre humé de mon carembule
car en barres j'aurais compté
mon préambule
à la songée
la rêve-fabule
je ne suis que dans ma bulle
partout
toujours
sur misanthroplajour
sûr que s'ausculte depuis la tour
le monde qui tombe sous la lune
la planète du zanthrope
c'est ce qui ne s'achète
un peu de fil en trop
un peu de mèche sont les prophètes
les j'ai su, je sais plus
je sèche sur, un fil tendu
un deal touffu
un flou dévil
dévale
de vol
endribblé
de non-là

alors ?
eh bien

syndrome humanité
tu les as frappés

ils sont là, l'un avec un bras l'autre avec une jambe, lui-ci qui mange à gauche l'autre qui mord à droite, le linguiste se pare de spaghetis pour l'escapologie, et puis ? y'en a un il est malade du cheveu, y'en a un autre il en a un dans la main, pis la crinière se symptomise ! atome du corpuscule pathologique ? quelque chose volette, oh, un insecte ; une libelulle aux multiples carreaux sur les ailes, des carreaux de cristaux, effet colon d'intestin, des couvreurs d'âmes éructent que la pilule ne passe pas, c'est ridicule, c'est pas encore ça, quoi qu'on se trimballe depuis que...

en fait ; il fallait y retourner, et dire :

que tout ceci ne me convenait pas, qu'il fallait plus symptomatique d'un pathos drama, d'un logos karma, d'un cosmos lambda, d'un chronos à quartz, d'un ourobouros qu'on aura, un jour, d'osmose, à manger le surmoi, le soumoi, le grippe à l'heure, le quoi ?

en vrai d'un dégueubli pas trop coi :

bin rien, le syndrome humanité
on en souffre ou on en souffre pas
jusqu'à
notre dernier
souffle
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le monstre du nez (spécial)
« Réponse #154 le: 25 mai 2021 à 00:53:11 »
bon heu un épisode un peu particulier, j'avais presque malgré moi répondu au défi culinaire avec sole attitude, pis là je reprends trois plombes en retard, le délire des histoires pour enfants... je crois en fait, parce que je crois aussi que j'ai pas trop témoigné de la façon dont je voulais manifester du truc, donc c'est un peu un râté mais pas trop...
le monstre du nez - (spécial)
#la vie #conte pour enfant ? #le singe #di

c'était un monstre il était tout petit et il est rentré dans un singe dans son nez, il était tout petit assez petit mais il faisait des gros cacas pour sa taille de petit monstre de nez, et le singe ça l'emmerdait parce qu'il se demandait pourquoi faire le ménage, alors il a composé de ses doigts, dans les nerfs de son chatouillement, et il a cherché, mais il savait pas que le monstre !

alors il enlevait les cacas du monstre dégoûtant, il avait un nez mignon c'est pour ça que le monstre il s'est installé, pour toujours !

sauf que pour toujours, c'est jamais, jamais toujours pour ce que j'en sais rien, moi de ce qui arrive à ton monstre, mon petit bonhumain, c'est un texte qui te parle, tu saisis c'est des mots, comme ça, depuis un monstre de crotte de nez et il disait quoi que le singe ?

bin j'en sais rien moi parce que ce que je voulais te dire, moi les mots depuis que l'humain sait faire autre chose que parler, bin ouais, c'est raconter l'histoire d'un singe, qui se gratte le pif parce que y'a un monstre de dessous-de-lit qui lui mange de la poussière, bon ? bin ouais moi je me disais quand-même un peu que ça allait fouiller, mais justement ; on te parle d'un orifice de ton corps, petit bonhumain, et tout de suite y'a un sentiment, n'est-ce pas ? un truc que... tu sauras jamais, petetr

t'as quel age ? imagine qu'à cet âge, moi les adultes me disaient des conseils t'sais, ils croyaient ils allaient m'apprendre la vie, alors oui, c'est pas faux, mais le monstre j'en fais quoi ? un texte qui te parle c'est drôle et alarmant, parce que oui, s'il y a une chose que le bonhumain il fait quand il est grand : c'est des mots

et les mots écrits c'est quelque chose que le monstre il sait pas ce que c'est que le singe non plus, mais quand-même un peu aussi quand-même... de quoi ? te tracasse pas, ces mots-là étaient moisis, il vaut mieux ceux-ci : que le monstre on a fini par le choper

un index un peu flatteur, et il est parti comme l'autre, la crotte, le singe il a même pas fait attention que c'était sa dernière...
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l'ours de cascade
« Réponse #155 le: 31 mai 2021 à 16:54:02 »
un peu pluss moinmoin
ou un peu moins plusspluss
je suis pas trop sûr...


l'ours de cascade
#bestiaire #hallutaphore #cascade #ours

qu'est-ce que quel animal qui grimpe les cascades ? hmm ? il en faudraisun, parce que sans quoi ça va pas le faire, sinon oui, il faudrait un truc de saumon qui remonte les pentes des pistes de ski, et, surtout, un pic-vert qui s'accroche au tronc du l'arbre, parce que ? parce que l'un pluss l'autre, oui, t'as l'animal qui grimpe la cascade ! quel cascade ? mais la cascade de dominos en chateau de cartes, c'est tu vois, une hallucination désorchaotique, mais heu, un peu, organique par illusion des métaphysiques, oui, et ? bin le pic-saumon-vert, c'est de l'apéro au bout d'un cure-dent, et en vrai ? il exsite pas ce poisson-piaf, mais twa, que bin ouais il faut ralentir un peu de battre des ailes de la queue, quand on est l'ours du chateau, parce que les fondreries qui s'effritent, c'est effronté pour la cascade, c'est dangereux, un truc dégringole, pis dominoboul de neige, il faut skier encore, qu'est-ce qui est  ? le sort, un peu sot, de l'ordre et du chaos ; alors t'as l'ours, c'est qui lui ? hein ? une pièce du puzzle ? elle pope là comme ça l'ours ? bin ouais, pis il grogne un peu assis sur son cascade de carte, et il domino ; mais pas trop, parce qu'après tout se délie, toute la structure du fluide en fluide, s'effondre grave, s'effondre, oui... et alors qu'un tit synthésis est théifié, c'est-à-dire rendu en infusion, d'au-de-source-là, dos d'accord à corps-drap, à cas-d'or, à cordage et filet, et fi, l'est ce non, ce dodécadron, trouze ou à un près, un prêt visé d'imparfait à maîtriser, électrisé... on ne reverrait une pièce de puzzle qu'en la zourse d'une cécité, d'une espérnce, d'une expiation, de ce piaf-poisson, qui grimpe la cascade pendant que celle-ci s'ébranle à perdition totale, se démembre en un sombral étrange, un cheval ailé, celui que le morts ont appelé, d'un effort, à rendre en os, pis ce n'est que cette paix que la pièce est appelée, dans le puzzle et que disait-elle cet ours ? qu'un poil de main, c'est pas qu'un truc d'humain, pour les pousses végétales, cinq doigts ou pas, mais... demain n'est pas ; or il sera... donc ? étant ! t'accule ! je suis le temps, la pendule, et ? l'art noueux d'un cravate chutant, comme du haut d'une falaise, d'apoker, tit, toupiti, de rien-du-tout ! ahah ahah ahah heu...

un chateau
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décapitête
« Réponse #156 le: 18 juin 2021 à 23:51:52 »
décapitête
#misanthrope #métaphyction #versaille #hominisation
un petit de ça faisait longtemps

le singe arrive, bougon, dans la galerie des glaces dans le chateau versatile de sa propre faille, il fait fi des miroirs, mais... ce n'est pas vraiment comme s'il ne les voyait pas, au contraire oui il ne regarde que le miroir, puisque le reflet n'est qu'un effet de la réalité, le lui ; par réfraction la lumière s'inverse, le monde se chose, le bateau se renverse au rayon vert, et ? du coup tout s'inocule à l'étrange, car approchent les nuages au dessus des tours, il avance, cavalier, un fou sur le terrain de la reine, et le roi est antiroyaliste, alors du coup il dénigre totalement ce qui fait qu'il sera du coup, décapité ; et puis ? bin le singe est un peu de singe, parce que bougon de zanthrope, il ne sait pas quoi : les hominidés se sont hominisés, et lui il a loupé une marche, du coup en descendant il a pris un raccourci douloureux, et satan de malheur ; brisé des reins, en bas de l'escalator admettons ce qui en est, il s'est foulé la cheville maladive d'un fluo plutôt stylobiqué ; il signe il ratifie, qu'il va bien se faire couper la tête ; et puis bin verra quel lui ou quel autre sera sous le couperet : il n'y a plus de léviathan adolescent, les générations à travers le temps, se succèdent, sans cesse, sans embêtement autre que ce qui se fluidifie depuis des litres de lustres, de la vie en gouttes, au compte de nos commissures de larves, nos vermicelles du sûreté, lui il est emporté, sant peau théorisée depuis ce qui... le singe est trois petit points indéniablement et pourtant quelque chose a collé sous sa semelle, pour qu'il se gamelle : un brin laisse les tiques au cuir d'un velu nomadisé, depuis qu'il a décidé ne sait-on pourquoi, de devenir autrement que sédentarisé ; par qui ? par quelle nature ? de lui-même ou d'autrui... ici il fait nuit ; et puis ? bin le singe est dans le chateau et il se demande un peu pourquoi que comment ; parce que tout ceci est déliropathe au possible, n'a-t-on jamais vu un singe se faire couper la tête ? une poule ok, pour manger, pour jouer au sadique, un humain ok, surtout, pour jouer au sadique, mais un singe ? c'est de pitié proportionnelle qu'on ne tue pas ce qui nous ressemble, par empathie, sachez-le monsieur dégringole, car ce qui colle, sous la semelle, parait-il que c'est l'impératif de l'autre, que le singe ne sait pas son nom tant qu'il n'est pas tombé dessus, pis après il fait dessus, son caca de primate, est-ce si dénigrant de dire qu'il se fait chier le truc ? qu'il y balance dans une grenade peut-être mais que dans tous les cas c'est explosif, et exposé, lascif, il de grenade, fait le mort ; il mord, tardivement à ce que lui a fait mal son enjambement de colimaçon qui l'a fait dégringoler contre courant, par gravité, jusqu'à ce que non, rien ; et puis ? il repart...
"i don't care if your world is ending today
because i wasn't invited to it anyway
you said i tasted famous, so i drew you a heart
but now i'm not an artist i'm a fucking work of art"

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mêmes horizons
« Réponse #157 le: 21 juillet 2021 à 21:00:13 »
mêmes horizons
#phaz de phaz #planant infini #bleurg as usual #bréf
comme ça pour gratuit


"Approchez messieurs dames
pour un spectacle inoubliable,
garanti sans trucage car ici tout est véritable.
Applaudissez le grand cirque
de la honte et de la disgrâce.
Tous les numéros se surpassent
jusqu'à extinction de la race.
Au­delà de l'imagination et de l'entedement,
ne ratez pas cette ultime occasion ne soyez pas en reste,
faites la queue comme tout le monde,
prenez vos tickets à la caisse !"

*lofofora - mémoire de singes

il est haut le mishumain, il a plané comme il a décollé, l'icarton de boite de chaussure, c'est pandore en orange dans celle qu'on dénomme noire, dans un avion, c'est une boîte, à souvenir, oui des souvenoirs, deçus de s'émouvoir, il a piloté dans un planeur, il s'est plaint de sa hauteur, rien n'y fit dans les nuages, qu'un décevant chapeau d'orage, et l'eau range, elle aux rages aux ailes durables, les bordages d'un lit de courant, au courant il fut le zhumain, celui qui avait fuit les siens, pourquoi ? mais tiens, toi-même tu le perçois, cet incertain, qui change en crétin tout le scrutin des crottins des quartiers d'orange bleue, pourquoi la terre est ronde, demande ce qui se sonde, dans ma voix, intérieure, une semelle, de rancoeur, mais pourquoi il ne voit ? ne voit le ? ne voile le ? ne nouvelle ? ne re ?

des traînées maculent l'azur vide autour de lui ; c'est fini
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2
« Réponse #158 le: 11 septembre 2021 à 21:57:30 »
"2

znthrp
...

c'est quatre pauvres singes qui se tournent le dos

ils ont des ceinturon-cartouchières, la hanche et une main au coude épaulé par le réflexe à venir, se retourner dégainer, le sourcil froncé à la concentre, la gâchette parée pour l'index, les doigts simiesques frétillent en anguille, ongulent comme chevalgue, poilent sur bras, des rires sous poncho, des chapeaux sous soleil de plomb et peut-être, du plomb dans la tête, ou ailleurs, les cardinaux mortels, peuvent-ils symboliser une direction, une trajectoire, une cible à leur orientation ? il fait chaud dans le désert, les cactus sucent des sablonières de bac-à-gosse, les araignées mangent du poisson perdu avec les serpents, et il y a une gerbille toute paumée qui sautille d'un instant à l'autre ; la montre au zénith n'est qu'exaspérément pire qu'autrement, et les nuages ont déprimé de rester là pour s'évaporer... dix pas ; solennel, honorifique, vertueux consensuellement par application des nécessités, ce jeu, et les graines de la mort sont au révolver ce que la balistique ne saurait que techniquement annoncer : une outre percée, un jour, témoigna qu'elle avait mal, alors il en fut des quadruels, parce que tout simplement la vie n'était pas la seule à sourire, et depuis, certains intrépides bravent leur désir de persévérance, en risquant le pari, en osant le danger, sans même un soupire, car un décès valable, l'est à tout moment de son inhérente interruption...

...

chatouiller le misanthrope

znthrp
"
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doigts dégourdis & ongles désincarnés
« Réponse #159 le: 20 septembre 2021 à 13:05:15 »
duz duzantropp, ui
doigts dégourdis & ongles désincarnés - znthrp
#dialogue introduit #réfraction d'un concept #petit orteil #Anthré & Simin
j'étais dans le train tout à l'heure, et j'ai été attaqué par plein d'idées... pis en fait j'ai arrivé chez moi et j'ai écrit total autre chose ! normal, et toutes ces idées perdues...


certaines sphères soulèvent la considération selon laquelle le clitoris serait le seul et unique organe humain dont la simple et formidable finalité ne tient qu'en un seul concept : le plaisir

et puis il y a les faiseurs de lacets, les secondeux, les noueurs et les contristes, qui donc ont cherché par effet anti-mouton, de chercher l'opposé, l'autre, l'ombre, le reflet : existe-t-il l'organe humain uniquement dédié à la douleur ?

- des ongles incarnés, va falloir que tu m'expliques le concept, Anthré, parce que là... c'est pas que je vois pas hein, même si je peux pas dire je comprends ; non, c'est que ça va me faire rire jaune, 'scuse j'ai que cette couleur, de te voir t'extasier de raison auto-justificatrice sur un truc qui... me fait juste rire jaune, pas besoin d'aller plus loin
- hein ?
- bin juste, c'est quoi ta mise en garde chelou, là ? parce que je t'en veux pas hein, mais t'as eu ce regard, j'ai lu tout le jugement qui t'as traversé et que t'assumes pas par humble politesse de tolérance, pis bin ça me plairait bien que ton intériorité s'exprime sur ses considérations, histoire qu'on ait l'occasion d'aplanir un peu tes préjugés...
- heu... Simin, je te capte plus là, fais gaffe
- si, sisi, je te jure tu me captes, ce regard que t'as eu ptetr sans en avoir conscience, et le ton pesant par supériorité d'humilité lorsque tu croyais être redevablement sympa avec ta mise en garde toute pleine d'altruisme, je pense que c'est un problème qui me concerne mais dont tu portes la responsabilité, et crois bien que ça m'emmerde, donc vas-y, expliques-moi ce que tu veux sur ce que j'ai entendu de ta bouche : "tu devrais les couper, les ongles incarnés c'est horrible"
- bin... normal quoi, tout le monde le sait et le répète aux ignorants, c'est pas ton envie de t'affranchir de tout qui va te faire louper ça, alors m'énerve pas avec ton outrage incessant, je te dis juste... pas que t'es con... pas que tu peux aussi apprendre de mes conseils... mais... oh pis merde j'ai pas besoin de me justifier, je t'ai dit ça sans volonté de t'influencer, j'en serais pas vraiment neutre, à t'aider... ça te va ?
- ahah oui, jaune ahah
- t'es con
- ouais carrément mane, mais tu vois j'suis pas en sandales pour marcher dans les volcans, d'ailleurs j'suis même pas en sandales, toi quoi ? t'as tes TN à trouze mille centimes que quand tu les as c'est mieux que l'odeur de mes ongles, mais que quand tu les enlèves c'est là que c'est encore plus dégueu ; rappelle-toi l'odeur fétide des vestiaires, c'est ton gore-tex qu'est dépassé parce que ton microbiote a encore perdu de la valeur de propreté, mais heureusement mane t'as ton axxe, moins t'en mets, moins t'en as besoin ça c'est vrai mais t'inquiète, tout ça pour dire que pendant que tu t'oublies les doigts de pieds, ils se zombifient tranquilles et toi tu trouves ça noooormal ! t'es une grenouille dans une casserole sur le feu, tu vas crever dans ce jacuzzi, moi aussi hein, les comme toi ils sont plus forts et nombreux que moi tout seul, mais au moins, je reste honnête envers ce que les gens ont zappé, je sais pas ce que c'est j'ai zappé aussi, mais ça ressemble à un pleur pour un vernis fêlé, sérieux, quel douillet gens parmis le règne des gens de planète, a assez de rien dans l'existence pour souffrir d'un ongle incarné ? 'fin j'pas, tu te trouves pas débiles, quand le cheval ou même sa vache, marche dessus toute la journée ? ton lapin de manteau ou de cage ou d'assiette... il se bouffe les dents qui poussent, il a pas besoin d'une éjaculation de brosse à caries pour trouver du fluore dans de la menthe artificielle ! nous on a zappé qu'un corps ça se vit, ça ne fait pas que se subir depuis la cabine à intelligence...
- j'espère que ta conscience que le dernier mot que j'ai écouté était 'mais tu vois'
- ah ui, tu voyais pas
- non, surtout : j'ai pas vu, la suite
- pas envie de voir ?
- prends-le comme tu veux...
- bref t'as pas pigé : vas te couper les ongles à la pierre ponce toute faite-exprès, y'en a un il chante faux qu'il en faut peu pour ch'plus quoi, nan mais dis toi il fait pareil pour son dos avec les écailles d'un tronc, pis après il le tèj ça pollue... donc t'inquiète pas je répète
- ouh bah ça risque pas non...
- mon petit orteil me souffle à l'oreille que le tien n'aime pas se balader en milieu ikéa... rien à péter
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morbidimension
« Réponse #160 le: 06 octobre 2021 à 23:32:08 »
parfois ça donne ça
ou nan

morbidimension - znthrp
#poâme #monofil #du bleurg un peu qui se mange dsl... #unité de débit
oulah minç
j'pensais pas
que ça coulerait comme ça


larmichette de barbule, à l'aura d'une bulle, qui péta dans un bain, d'au-bées-nient, d'au-bénin sérénient, t'es si saucissonné au 'si' de ton 'ré', que 'mi' est 'là', lettres de l'alpha-bet, un peu mes chants, mes morts, sceaux de barbarc, brebiquent de barbye-bye, french la tranche de ken les hanches en scène de transe obscène qui pense parfois que n'hainent les proches, de tout un poteriarche, qui d'un seau à la anse, de terreau de airfeuh, arfé, car au four des fous-t'y dans le creux, d'un cri, poreux, comme poli, amoureux, des froutilleux d'un crédille, une cellule, de folîle, qu'on aime, ul, est tel, qu'il, ou elle, est houle, à l'aile d'une foule, hors-d'elle, or moule, dentelle, de fil, à épaulette, comme une floue palette de lipo-loup, je pleure donc oui, comme d'une goutte de pluie, qui me ravit la joue, vers autrui, ce qu'on s'en fout, ce déni, un peu pari, un poil fou, je ne suis donc, que cette larmichette de barbule, à l'art haut d'une lune, d'un croit-s'en, de sourde ire, art doux, hourra d'un où-rient, les y-roues, en tigre, et que, ça saute, saut saturé de sonate en sartres majeur, quoiqu'immature, en gageure, d'une rature, un peu mineure, par minusculpture, l'ampute-heure, pendant que je ne fais que larmer, chez tisserand d'anticipe, délivrant l'implicite, par ce quand sans limite, sans puissance, à cette fuite du temps de présence, du temps de tout-de-suite, sans substance, trop pré-cuite, que quand moi j'y pense, c'est pratique, patatrac, t'arquent les huitres et les marques se donnent vite à ce qu'un promis des cuiteurs, des cuisinistes, un peu à la bonne heure de celle qui voit la frite, la soeur de sa petite patate pas tâtée mais pas détruite en poisson grillé pané comme un filet carré, de chair à coudoirs, à coup-d'air je brasse du noir, et se broient, dans le marc, le café tout patraque, et même enfariné comme un fit rat du nez de mes larmes nées, d'un mot tout simple une idée, un maussade impliquant de me faire à la fatalité, si tôt est intriqué le réveil, oui ce 'ré' un peu sonnant de matin ou de fin de thé, de thym, hanté, en teint, bleuté, comme un train bien raillé, comme tous les trains, depuis l'éternité, des guilleurs, des guyés, en piqure, des pics et des rocs, des pocs et des rient-qu'à-nez... hein ? mais bordel ça fait du postillon, ça fond du post-it, yeah, tout ce coup de tromblon, est un peu à trembler, d'être teint en blond ne fait qu'un aspect plus doré, que le pavillon de cuivre que tout ceci citait, à l'image d'un gêne-y, trop tatillon pour être corrigé, où corps-y-gît, un bison, se bise ici, sur ma larme, ma larmichette, ma gouttelette, de salons-la-lettre, l'âne ôte son circonflexe uniquement sous des oreilles de pareils, de parient, de l'oseille, de l'ébli, pour l'éveil, oui, du zautrommeil, celui qui, dort, dans ton sommeil à toi et se dore, de vermeille pourquoi pas, parce que, c'est cette scintillance de la goutte, elle a l'ai, je l'a, ce lès, tout las, tout laid, t'es où là now que j'est, ce toi, qui es, moi, que je suis, à la trace, d'une lettre oui ce l'être, qu'on est toi et moi, honte à loi qui forma, ce format, du non-être, qui nous ceint tout, à émoi, à aime-mou, ouah, mouais mais même m'haiment, ces draps trop bordés, ces drops de quinté, qui goûtent à l'anglaise, ces langues l'aise les harangue, les hélant, les gants dans la glisse, se scindent en portions, d'unicité d'un fluide qui se cristallise, se crie sans balises, autres qu'un rouge flux sans guêtres d'hiver, sans titre d'étant, sans temps à chapitre, sans pitre embêtant, sans trente ans d'otite, un tympan, un teint peint, un temps plein, tempêtant, qu'il faudrait un jour quand même que tout ceci cesse, que tout s'y saucisse, se sauce, sorte in extremis, de ce sort-ses-siestes, qui dormaient en lui le moi d'un émis, à l'envoi, indécis, imprécis, un franc soit de son propos ci-ce-soit qu'on s'ensuivit à scruter depuis verre, depuis lentille, oculaire, locution attentive d'un rayon luminaire que seules les fourmilles, savent coordonner, corps damné, d'un photon, vraiment faux, fomentant, à foison, un vent de rêve haut levé, au volonté du venin d'un volcan à scandale, un fout-le-camp de vandale, qui sans souffler autrement qu'en pendant un poumon, vers la larmichette de barbule, plein, voici donc l'alarme !

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singe de ville en forêt humaine
« Réponse #161 le: 08 janvier 2022 à 20:51:46 »
hmgrmbl ça va pas fort pour moi
j'ai envie d'abandonner mon 'art'
presque réussi maaaais
j'ai qmm commencé un texte que j'arrive pas à continuer
pis là-dessus je me fais interrompre alors que ce qui suit commençait en me subissant lui-même de par aterrissage dans l'advenu de mon clavier...
au final j'suis qmm en mode :
lestat qui revient des crocodiles
ce truc dégueu qui tient pas debout
singe de ville en forêt humaine
#singe d'humain #chronique hallucinée #organisat #distorsions de clichés
du zanthrope encore, je me demande ce que je voulais m'affirmer : cette métaphore est-elle profonde ? jusqu'où vais-je chercher le moi en l'autrui, ou l'inverse ? qu'est-ce qui joue vraiment les résultats à penser de ces trucs qui tiennent pas la route sinon à peu près de je ne sais pas comment ? fondements, et ce qu'il y a encore en-dessous... je ne suis qu'absentéisme à ce truc, alors que pourtant...


et ils se prélassaient...

leur ancrage à la futilité de la réalité n'opposait que la dureté de celle-ci, et en quelques spirales de fumées, ils suffoquaient le chilom sur le bord du rivage ; on aurait dit des mirages, tant impromptu était le rose pâle de leur peau, teinté d'un pigment plus foncé et d'une variable couleur soleil, et aussi, du scintillement de leur étrange pilosité répartie, qui luisait humide, au sommet de leur chef, tandis que tombant en arrière leur nuque agie par l'avide besoin de rayons chaleureux, menait leurs yeux parallèles en face de la lumière, ceux-ci se fermaient et la prélasse semblait alors couler entre les rocs du lit de la rivière, l'eau limpide, en vaguelettes, dégringolant comme leur vie, leur vie si paisible qu'elle en paraissait oisive, nulle et inerte, auprès des singes de ville
les humains nus, paresse incarnée, avaient acheté aux singes une portion de territoire, autour de laquelle ils érigèrent un consensus pacifique leur octroyant la neutralité totale en ce qui concernait ce qu'il était de mise d'assurer avec argumentaire appuyé, leur divergence anthropologique comparée ; l'esprit des uns contre celui des autres, et effectivement comme l'avaient annoncé des Pierre Boulle, des Aldous Huxley et autres Philip K. Dick, l'humanité divisée s'étaient reconnue comme telle et les singes de ville avaient manifesté leur velu engouement pour la sédentarité de béton, tandis que nus les humains s'étaient retournés vers la terre, la végétation, l'animal et l'âme, loin de ce si affligeant esprit soi-disant, qui ne garantissait pas ses promesses...
ainsi un pacte, fut-il optimiste en l'époque qui se pouvait alors d'être illusoire, se signa au-delà des âmes d'une planète en paix avec ses civilisations, qui nouvellement par leur pluralité, venaient dissoudre un règne étrange de ce qu'on appelait à l'époque l'humanité, ce bloc si flou et pourtant ainsi diffracté, dans l'avenir voyant les nus de peau et les vêtus de poils, se partager non sans heurts, les intérêts propres à leur différence assumée, revendiquée, fière et tolérante, dans les morales seulement et tout-de-même bien heureusement, ce donc, en dépit des incarnations de la singularité de chacun dans ce qu'il avait de sensible à l'autrui, oui, le léviathan solide ne refusait pas les conflits, mais la plupart du temps les résolvait à l'équilibre, et ainsi il n'était pas choquant que les singes de ville considèrent les nus de peau comme de larvaires feignants improductifs, ce à quoi répondait le sourire transvaluateurs des concernés, les jugeant de leur côté à l'instar de toute effervescence incontrôlée telle que le hamster de roue se permettait en conditions carcérales standards...
ils se prélassaient, l'un sur ses fessiers sensible du coccyx, l'autre les jambes étendues, fermées ou ouvertes, ainsi qu'un troisième allongé sur le ventre... pendant ce temps l'autre debout, jouait aux ricochets, et l'un de nouveau de barboter dans la rivière ; nus, ils se montraient ainsi à l'air lui-même, ils semblaient absents de toute forme d'écrasant mouvement, au contraire paraissaient-ils petits, humbles, et élastiques ; des rires fusaient, des bruits, des mots... parfois des silences, et c'est ce moment que choisit l'esprit du singe de ville, de retomber dans son corps rustre et placardé !
il se sentait impudent, il se sentait fautif ; de ce regard volé, ces instants pas vraiment partagés, lui depuis l'autre rive, et derrière ce bosquet, un peu surpris par la situation et pour autant parallèle à ses effets, il s'était vu ainsi caché des humains, alors qu'il était en position de voyeur, un spectacle qu'encore peu de ses ancêtres avaient vécu : il s'y découvrit une éprouvante attirance pour les humains nus, lui le singe vêtu, et inconsciemment, cette scène naturelle qu'il avait provoqué en pénétrant leur territoire, lui administra un reflux que son esprit prit en dégoût ; entre ce qu'il y avait à penser d'une anthropophilie relative et ce qu'il serait aisé de considérer comme une relation animale, l'étrange désir du singe de ville face à ces humains nus dépassa la situation, et il le sentit se réveiller depuis les profondeurs... par instinct ? par typologie des stéréotypes ? la nudité en ville était pour les singes un loisir confiné, une occasion intime si lourdement minoritaire dans leur quotidien, que sa symbolique résonnait en son corps différemment des humains nus de la rivière ; c'est ce qui frappa le singe dissimulé dans la forêt aux humains, et il s'expliqua que lui, sur cette sensibilité, n'assumerait jamais des conditions identiques avec les siens ; eux les humains semblaient vivre avec ; obnubilé par ses pensées qui ne faisaient que tourner en spirale infernale, il se décida à quitter les lieux, discrètement, coupable d'avoir profané leur territoire, honteux de s'être menti à lui-même et auprès des siens, autant qu'à ce groupement qu'il avait souillé de sa mémoire présentielle...
durant ce temps sur la rive, quelques caresses du mois, éveillent des sexualités éteintes ; les humains nus n'ont pas du tout la même démographie que les singes de ville, et ils ne se battent plus pour l'espèce ; ils ne peuvent qu'imaginer comme la ville devient dangereuse, combien elle prend de plus en plus de place, et d'énergie, et comment leurs âmes s'énervent, petit-à-petit, cran après cran, et que lorsque tout ceci se verra atteindre ses lignes de mire, les humains nus ne seront plus rien face au singe vêtu, tout comme le règne animal s'étouffe depuis que l'anthropo est ce qu'il est...

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« Modifié: 08 janvier 2022 à 21:37:14 par Dot Quote »
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chatouiller le gamin
« Réponse #162 le: 29 janvier 2022 à 16:53:38 »
encore d'un encore
chatouiller le gamin
#bestiaire #zntrp #bio #généa
lorsque trop tôt


c'est un singeonneau, il tombe par terre depuis l'origine du monde, et du coup, il est un peu bougon...

ça fait mal de tomber par terre quand on est singeonneau, car la terre est dure, plus dure que ses os un peu pas tout grandis, ses muscles sur-mesure, sa peau qui gonflera sous sa croissance, sa longue et lente croissance, au singeonneau, depuis loin loin après qu'il ne suffit plus à l'enveloppe amniotique de sa conception, il est obligé de sortir alors qu'il n'est pas fini ; pas fini du tout
la girafe aussi elle tombe de haut, mais elle se relève tout-de-suite, et il ne lui faudra pas longtemps avant d'arriver à cette adulte hauteur ; le singeonneau au début qui s'éternise, il est plutôt peut-être, comme le chat de portée, sa mère sait qu'il y a une anse spéciale dans le nuque, et le pitit chaton il se déplace par procuration suite à incapacité ; le singeonneau il sait pas marcher, il sait à peine tenir une branche, et il est très, très, très, très lent à grandir...
comment qu'on le sait ? le critère premier à la définition du singisme par rapport au singeonnisme, c'est l'un des fondements généalogiques les plus universels : la capacité de reproduction ; chez nous terriens, il y a deux trois modes biologiques pour faire ce truc tout naturel, et parmi ceux-ci, y'a la sexualité, un truc assez majoritaire et pourtant pluriel, bref... le singeonneau il trouve ça bizarre tant qu'il l'est, d'ausculter le singisme afin d'en comprendre la teneur ; les singes lui expliquent qu'il comprendra plus tard, que ce sont des questions pour grands singes, et puis en parallèle il voit un film pour singe, et ça lui donne des idées écarquillées, même s'il comprend qu'il n'est pas prêt ; ce que cette pensée lui fait ? il ne sait pas trop, car en attendant il compte...

son esprit au corps retardataire

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monsieur pied
« Réponse #163 le: 05 avril 2022 à 19:41:06 »
mais qmm, ztrp qui m'a popd
monsieur pied

#ztrp #plumeau utile #unpeutrocomdab #car crocodile

dépravation totale d'un état émerveillé
qui s'éteint
s'allume là un contre-jour il fait bleu
et je sais pas trop
mommifié dans mon plu-rien
du tout


un bout-gond, de portière d'arbre, qui d'une machinerie conceptuelle soumet à la réalité une géométrie de la rotation, monsieur pied pige un peu pluss le délire, mais c'est comme dit l'autre rabbin, on ne sait de la chance qu'on a... uniquement lorsque nous nous rendons compte que nous l'avons perdue ; et là y'a un truc de révolutions autour de troncs, de branchages à faire de branchements divers, des attrapent-trappes, des hap-gravités, qui ont sauté d'un cran de pizza, y'a plus, il marche le truc bon, monsieur pied l'inconnu, je me rappelle plus son vrai nom mais il voulait qu'on l'appelle monsieur pied, pourquoi ? t'sais ? c'est un fantôme, le monsieur, il est là il est personne, et pourtant, tu lui demandes tous les matins pourquoi un chausse-pieds ; bonjour monsieur pied t'sais, je le vois je le salue, yomane, en vrai le pourquoi, pourquoi pas je m'en fous, mais heu du coup... c'est chelou ton histoire de chaussette, ou de plâtre, nan attends explique-moi la chaussure de ski ? nan en vrai c'était cool tarzan et machin, y'a un truc plus confortable depuis qu'il faut s'éreinter la vie pour gagner des moments de tranquillité, c'est pas naturel on croirait, ou alors, comme dirait en tête, monsieur pied, t'façon sur la lune il suffit de nager, on est de plus en plus près des palmes, il faudrait juste que y'ai de l'eau... pas bien parti le gaillard, monsieur pied hier c'était monsieur sabot, de la paille, pis bon, marcher pieds nus en terrain goudronné au sucre de plante, de pieds, ça revigore monsieur quoi ? depuis le frigo on a monsieur sandale ou étrier, ptetr même monsieur escalier qui sait ! le fameux chausson de l'autre, à la citrouille, et des babouches, des patins, des qu'en-sais-je, bref, monsieur pied il a l'air, comment dire... un peu prisonnier d'un truc que monsieur électricien nommerait une prise de terre

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"i don't care if your world is ending today
because i wasn't invited to it anyway
you said i tasted famous, so i drew you a heart
but now i'm not an artist i'm a fucking work of art"

(s)AINT - marilyn manson

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monsieur cheville
« Réponse #164 le: 11 mai 2022 à 21:42:35 »
alors j'avais commencé la gazette n°9
enfin disons enregistré un document vierge prêt à l'emploi
pis j'ai bloqué oui je crois en fait mince zerb
par contre ceçuici m'est tombé dessus malencontreusement j'ai rien pu faire
pis il date de déjà quelques éternités du jour, j'ai eu le temps de sortir avant de me décider à effectuer l'incarnation de cette souite du zici
monsieur cheville

#ztrp #organe-isation #debout là-dedans #anthropo-syndrom

on y dirait que ça profile une certaine suite...
nan ?
est-elle appelée d'où-quoi ?


monsieur cheville est bougon, gonflé, flétri, trié comme par loterie, il en a gros, et pourtant non, son ego, est là, emmagasiné pour quoi ? pour un truc pas simple à situer autrement qu'en son soi ; son lui à lui, c'est d'avoir une enflure de l'articulaire sol-debout, ce truc qui fait que son pied ancré à terre dans une position assurée de stabilité malgré la contrainte anatomique relativement conséquente consistant en l'équilibre sur un plan avec un appui de moins que ce que les maths affirment en toute autre relation sécuritaire à la gravité, c'est-à-dire deux, deux pieds, et son lui debout qui y bouge comme une plante au vent, c'est en premier lieu de mobilité morphologique, par les chevilles, donc, et elles ont gonflées quand son torse cherchant le soleil peut-être, s'est lui aussi empli, d'air, d'espoir, aurait-on dit vu de l'extérieur, qu'il avait fière allure, avec ce peut-être-un-peu-trop de non-humilité évidemment, qui lui retomberait bien sur la tronche s'il choissait, de son piédestal de deux-pieds, deux chevilles, en l'instant sollicitées à la hausse pour porter son corps qu'il doit pousser vers le haut pour rester debout, avec l'énergie que ça demande, et elles enflent un peu, surbookées...
sur-bougon est-il, monsieur cheville

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* au passage, un merci pour ta note, @Herclinze
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