[Dot Quote]

et merci manu

il revêt dans la nuit
un aspect des minets
au poil un peu maigri
mais jamais en magret
d'un flanc de saucisse
d'un met de couteau
qui glisse au fond du réseau
pour en sévir sur les vices
le regret ?
qu'on s'ennuie !

chattrapouiller le monstre
#alors que #existait #un truc #comme si
c'était un légendaire, un des haïssables, il n'avait qu'en atmosphère des dessous de table, un outrageant postable des batisphères, des batiscaphes, des batifolèrent, sous cape, sous bulle de femme-air, de femme-arbre, de femme-cerbère, comme on clame, une dame, que le zaime, d'un zoutrage, d'un zouh, allez, vas-t'en de ta cage, aurait timbré des barreaux, un prix zoné de trophée, trophée à l'orphée, trop fêté à fané, le zanthrope démorphisé, qui lui n'est, qu'à l'aura, d'un fantôme, de l'aurore, un matin peu tranquille, apeuré, démortifié, sacré, blasphémé, normalisé, déstructuré, puis reconstruit, à la mesure, des nouveaux fruits, de la culture, d'autrui, sans pure, de déni, de sciure, de suif, de sueur, de su, de sûr, surent citer, ces cécités, je les aurais vues, ces velues mondicités, démondialisées, car monodisées, des mots, démonologisés, sont déments, sens des monts de l'entendement, ce diamant, ce doublon, du firmament, des marmittons, d'un ciel, carrément éternel, charmant, de ces cils, ces ailes de cisellements sinistériels, sinistrement, dérisensoriels, des risées à la rit-avec-elle, des victoires, dérisoires, des rides du soir, des sourires dans le noir, qu'on aime rire, et avoir, pour que pire, soit aussi, dérisoire, que ce qui ira frire, au rôtissoire...

un znthrp de mauvaise foi, il en fallait quelques fois...
alors, pourquoi pas

[Dot Quote]

ooo...

partageouiller le misanthrope
#i #e #a #u
bon en fait le znthrp... bon ; la civilisation, la société, la modernité, tous ces noms de merde pour dire qu'on est des humains organisés et que c'est parce qu'on se refile des responsabilités qu'on est trop forts, eh bien, ouia, c'est un truc de quelque part, qu'on a qmm fait un truc pas naturel de la nature normale des stéréotypes mammifères... on a utilisé le truc qui ne sert à rien pour perpétrer la lignée, et on en a fait un truc qmm profitable pour la lignée ; ouais ouais, ceux qu'on pas de gosses... ouais : tu mets un truc genre qui n'a pas de civilisation, s'il a pas de gosse, il vit sa vie, il meurt, pis voilà il aura servi de tube digestif ; tu mets le même en singerie à une époque, bin voilà que t'en as un avec un gosse, qui peut pas faire sa vie, du coup, puisque y'a le gosse ce truc que l'insecte il a pas besoin d'éduquer t'sais, bin nous si, donc ça nous bouffe la vie, pis au lieu de se dire ouais, bin on s'est dit à un moment de civilisationnage, que si le pote du parent peut s'occuper du marmot, bin on arrive à un délire de je participe à la société sans pour autant activer de lignée...

or donc le truc c'est que quoi ? y'a pas de problème, on est comme les fourmis, t'as les ouvriers qui ont pas de gosse, et les mères porteuses... la famille ! important la famille, c'est ce truc, on a pigé que y'avait le tonton paumé et solitaire et que lui aussi il fait partie de la tribu même s'il a pas réussi à en générer une nouvelle pièce de puzzle

et c'est là tout le fort du zumzanthrop : il aime la mort

du coup bin ouais, le fait qu'on prenne ce qui sert à rien instinctivement, et qu'on en fait un truc de recyclage de l'idée, ça va nous mener loin... mais le singe il s'en fout, il castagne la banane, et puis le rhinocéérose ira lire des bibliothèques vertes

ouais heu hein ?

[Dot Quote]

huhu c'est étrange ce qui m'a amené à écrire ce morceau
je vous laisse dans l'incertain de mon silence écrit...

les fleurs sont immortelles
#effluve #vapo #parfum #znthrp
un pshit de kof, et le voilà inspiré par le bougon

il s'est fait éternuer dessus, ça lui a donné des idées florales et il a engraissé des plantes pour en extraire la substance, il a grapillé des graines, fructifié des froidures, falsifié des salsifis, des sols si fiers de porter la terre, en leur bémol éphémère, de température éternuée, un cold un peu froid donc, oui, car de repère il se répète, ce soleil qu'on éloigne des tournesols, ils gravitent ces pétales autour d'un centre de pistil, puisse-t-il, ce pistonné, dépister les pastorales aléas de la vie luminée, par lumière, appliquée, sur l'eau des morts, l'au-delà, d'ici comique car envoûtée par la loi des universalités, on fleure, et lui, il atchoume ; correctement de pshitpshit, un bouton de métal, un m'étale des boutons, un met toi là le bougon, un m'étoile à bout de gonds, qui saute de ses, morceaux de froid, mage, hic de nos hisse, toi, jusqu'à, le tort, des tôles, de troll, à taupe, du top, du misanthrope qui a pris un vilain rhume le pauvre, le torve, du nez, qui cool, est un peu trop frais pour ne pas friloser, de frivolité, comme un vent qui se vole, auprès d'une banque d'air, un poumon de fumeur, au carbone, au quart de tour, au karaoké de la vie, où chacun chante sa chanson, sans éternuer sur les maudits, les maudits mots, les maudits sons, les mandibules, des champs, de nos leçons, cultivées comme sont, auscultés les cons, afin d'en tirer l'un, à l'autre l'intelligence, des promis à la tournante de la vie, la tourterelle de ce ciel, si elle est toute retournée, tout ne recèle que ce qui l'a révélée, cette ritournelle à ailes, cette coulemelle sensée coulemeller, mais qu'un propos un peu trop champêtre, aurait champignonné, à la place d'un éternuement de mouchoir, de coude, de masque, d'enrhumé, c'est fantasques que sont les dénuements de chaleurs, moites, que boude le misanthrope, embrumé, en grace que les farces de passes-quand-tu-veux, les forces de paissent-les-envieux, toujours au gré du pshitpshitpshit que se chute, depuis le ciel, en un éternument de javel, corrosif, rebelle, oisif mais sans querelle de gros-pif, avec pour sauterelle un frêle esquif bondissant de vague à l'âme, jusqu'à ce que l'eau pleuve, que les gouttes déploient leur envergure, leur largeur horizontale, leur blessures du mental, leurs âmes enchaînées, à la perle d'eau de là, de ciel, de atchoum de l'Eternel, ce Die un peu youyou, hou, le fantôme a fait son psaume, il va pouvoir disparaître, d'un pshitpshitpshitpshit qui flouflouflouf, jusqu'à plus soif, de javel...

les fleurs sont immortelles

[Dot Quote]

ouis y'avait une secte, c'était les humains ils croyaient ils étaient les seuls à se comprendre...

[Dot Quote]

en vrai j'suis paumé avec ce znthrp, je sais plus quoi lui mettre sous la dent, alors là c'est un peu un truc de pain de mie mais faut bien manger un peu ça commençait à faim...

- tiens mange savate !
#spontané #jeux de lexique #misanthrope #pied-de-nez
- TIENS MANGE SAVATE !!

bim bam boum dans ta tronche de znthrp, du lov
c'est scandaleux, ce que ça dégouline de gerbovorerie, tu manges et tu remâchees, ce qui te traumatise, ça part en fumée comme un délit de dramatisme, de caravalise, et tu démarre les clés au tournant, sans attendre le zeste d'un revers de manche atlantique, bon, tu fais la paix avec tes conneristournes, tu te tournes et te retournes la focale, l'oeuf oscille, il n'est pas stable, sur la table, d'un colombic de stylo qu'il faut écrire parce que sinon pandore se regerme sur la graine de singe et pousse tendu, vers le haut ou vers le bas, alors que franchement l'eau dans tout ça...
ça saigne, ça croustille de croute à craquotte, ça cru que tes étiquettes allaient te troquer la toque, mais tu cuisines du mastoc de consigne, et con, tu signes, le stock est en magasin, en ma gazinière j'ai faim de flamme bleue, sur la fée de peter pan le garçon de bois au criquet qui voulait devenir un vrai chat de cheschire, bref, y'a qu'une moustache dans tout ça, une moustache végétale de blete, il en faut comme des blattes ; berf
du semelle de manger, ça fait du bien de se stomaquer, de ce principe au saucés de la tomate, les aromates ont à roméo pris un plat de pate pour un faire un frizbo, bolognaise, et l'ont dégusté sans viande ; et donc un peu plus frais qu'un poisson avarié, la frétille de flotille, c'est des drapeaux aux ossements hostiles, des pires hâtes sont celles qui se traînent...
déguster du parterre, c'est toujours... au plus bas

[Latitepoète]

J'adore ton texte!  Remplit de drôlerie, de poésie... Il est excellent. 😊 Merci de m'avoir fait passer ce bon moment ! 

[Dot Quote]

eh bien tu me vois ravi de ton passage
avec toute la transvaluation de ressentiment que cela implique
ahah

merci

[Dot Quote]

bin oui tout de même

anthrobot
#algorithmie #géométrie #logiciel #mécanique
le singe est un robot bougon

il a des pistons faciaux ; il a les mains sur la tête, en trois exemplaires ; il a une pile électrique dans le calcul ; il a le wifi pédiatrique, pédant, critique, taré, à l'étalon, torréfié... non ; plus de café pour le singe, il ne tourne qu'au super ; et puis...

il fume un peu, il voudrait être un humain, mais non, c'est un robot de singe, ce truc entre l'un ou l'autre sans être dans les deux, et non, tout le propos n'est pas le chaînon de l'alimentation métaphysique, mais bien... la condition singulière, il n'aime pas, ce truc à ne pas aimer, pourquoi ? parce qu'il faut l'amoindrir, le garroter...

et puis ; il a dit ; l'or ; l'ordi, il est là il dort, il dicte on tord l'oreille pour l'attendre, son propos, son propre aux accouphènes de nos murs, qui en ont, dans les dents, de ciment, d'estomac dans les talents, des maçons, limaçant, que les leçons, d'enfants, sont...

monsieur fumait de charbon, puis de vapeur, puis de raison ; mais non un robot de singe, ce truc entre le méca et le méta, l'orga et l'aggro, entre l'argot et l'art de goût, dégotté au gourou des gars rôtés pas rôtis, chantés depuis la langue des mots liés, hier, l'hiver des faits...

...sont à son service, de plateau, de champagne, à mousser, par le bouchon, un peu comme ce singe de robot, un peu bougé, depuis sa nature, déplacé, jusqu'à trop de rature, sur l'unité, d'une dégoulinure, qui a bourgeonné...

un mot, froissé je suis dans cette poche, cet imper, cet hyper malléable, mais là est l'âme et la mineur c'est a bémol, c'est là maintenant, l'un tenant de l'instant, l'autre à l'aube des cinq doigts, et tout est dans ce singe, de robot, qui n'a de palmitude qu'un palmier, d'attitude, aux pieds

...et donc de bourgeon, une fleur

[Dot Quote]

erf, il est moins bien écrit que l'idée qui me l'a inspiré avant de dormir, mais j'avais la flemme de me relever pour chopper la substance non périmée... bah ça m'arrive quelques fois, normal

Dizu
#existentiel universel #métaphysique #singe #dizu
me font marrer les mystiques de Dizu

t'sais la religion... le truc qui fait qu'on a le droit de passer pour humble selon la bonne raison que y'a qqun au dessus ; genre le zumain, il va te dire qu'il n'est rien, il va se lamenter que la faiblesse d'ego c'est la meilleure des forces, qu'il faut être rempli d'humilité surtout quand on est une merde, ce qu'on est forcément puisqu'il y a Dizu ; mais en vrai, les gens qui sont juste croyants, ils sont pas à ce stade de la remise en question, non ils ont pas compris qu'etre humble, c'est pas se flageller pour avancer, c'est au contraire viser la réalisation méticuleuse de son ego, sans emphase certes, mais sans décapitation, c'est sûr ; donc les croyants, enfin, ceux qui ont pris connaissance du fait que tout n'est pas connaissance certaine, mais donc, pour les questions religieuses, de croyances, eh bien ces croyants, ceux qui ont compris la valeur de la foi qui dirige dans l'absance de réponse, de la prière qui fournit du discours sur l'incertain, du récit témoigné des actions pour la mise en pratique de la morale, de l'élaboration de principes créateurs au sevice de la métaphysique... oui, ces croyants, quels qu'ils soient entre les premiers spiritismes et les derniers nihilismes, donc, allant des panthéistes aux athées en passant par les polythéistes et les agnostiques, eh bien certains donc, n'ont toujours pas compris non plus, qu'ils se posaient tous les mêmes questions et se foutaient sur la gueule au nom de leurs divergences de réponses... Dizu est bougon

le singe à son image

[Dot Quote]

très très court, un peu approximatif
mais assumé

vibration pondérée
#si ce n'est... #rien du tout #à quoi ça rime ? #surp
tu t'es bien remis tout seul à ta place ? oui, cool, ce zume de zamkipulul, c'est pas toi c'pas moi, hein ? c'est lézotr, toujours, leurfot, lasocissonté, lesinstitutionnages, les lois et les antilois, les truc de, ouais, pas moi quoi, t'façon je suis insignifiant moi, j'peux pas être repsonsable, donc coupable vas seulement voir... non ! ouais, je suis petit tout rien, je suis nul ou quasi zéro, et humble de l'être, parce qu'en être fier ce serait valoriser cette misère qui fait que oui, moi lztrp, comme tout bon revendiquaire, je suis un anticure, et dans le nez je me pif, je me paf de saigne, je me pof mollement, je me puf certitude, je me pef de perfor, de naturmort, de merocéan, de croubouboubouobuuuuu

et puis ? bin ouais, l'enfer, à construire, puisque le paradis on a du mal...

[Dot Quote]

encore de quelque chose de que

l'ordre du fol
#... #psy-lowcible #psy-cause #psy-4
z'ont pas compris

j'suis bougon ; faudrait arrêter de me la jouer dégouline de ratat', non, c'est soit vous me libérez soit vous me laissez enfermé, je vais pas supporter plus longtemps ces chaînes élastiques qui me coupent les poignets ; j'ai pas besoin de tes soucis de civilisé alors maintenant que t'as commencé à me les vendre, soit tu me laisses goûter soit tu te casses avec ton produit de merde, la liberté la paix l'amour ces conneries de conneries c'est soit tu les assumes clairement soit t'arrête de faire l'aveugle hypocrite avec moi, c'est bien beau tes illusions mais si tu me dis que tu veux les abattre va falloir que t'ouvres les yeux du coup et moi j'y peux rien à ça ; t'as galéré trente ans de ma vie à voir que tu pouvais pas me convaincre de ton système bin au bout d'un moment assume, arrête un peu d'y faire à moitié pour voir jusqu'où tu m'électrocutes, ça devient juste débile ; moi j'ai pas besoin de tes soucis je t'ai dit ; tu veux que j'habite dans ton monde de poubelles ? bien, mais viens pas me demander un impôt impossible, une assurance pour tes inquiétudes, un plombier pour ta rouille, un voisin à taire, un concierge à libérer, 'fin merde quoi, tu me soules je me prends trop souvent bien plus la tête en tournant dans mon lit à savoir comment le garder en hiver que réellement dormir dedans ; c'est toi qui a besoin de ta petite lampe de chevet pour voir tes insomnies, c'est toi qui a besoin de lunettes pour lire le soir le désespoir que tu sais pas écrire, ouais, c'est toi qui remonte la couette tout tremblant parce que tu sais pas dormir à la belle étoile ; quoi ? tu veux que pour toutes tes conneries j'aille faire payer quoi ? nan mais tu te rends compte que moi mon délire c'est réfléchir ? et que quand tu me dis qu'il faut trouver un travail de passion, ça va mal aller non pas pour moi, moi si tu me payais pour penser à ta place comme je le fais déjà, je serais ptetr plus confortable non c'pas le problème ; c'est pour toi, tu sais, t'aimes pas ouvrir les yeux quand t'es con, normal, alors payer pour qu'on te les arraches, je comprends que t'aimes pas, et du coup je te fais ça en pseudo-pote, je te demande rien de plus qu'accepter ta souffrance, et ça encore je l'exige pas, normal mais par contre viens surtout pas avec tes illusions contradictoires sur comment ton système ne me permet aucunement de vivre puisque c'est selon tes lois qui ne me correspondent pas et dans lesquelles tu nous as tous enfermé ; t'as conquéris ta planète ? bien, bravo, tu sais pas dormir dans l'herbe mais tu la fumes pénard ; bon... bin si t'as pas envie de m'en laisser un coin tranquille, t'étonnes pas que je la fume avec toi ; moi le ztrp, j'en ai rien à faire de ton champ de blé de ton pain, de ton moulin naturel pour bio farine de ce que t'as déjà oublié ce qu'est la levure vient pas me faire chier punaise, tu veux me faire plaisir ? bin soit tu laisses l'herbe tranquille soit tu vas jusqu'au bout de ton idée et dans ce cas tu m'internes, tu me laisses avec mon ordi, de quoi fumer, strictement rien d'autre que de quoi réfléchir, et c'est marre jusqu'à ce que j'en aie fini avec ton millénaire pérave ; pas besoin de laver ma taie de rocher de prairie pour moi sauf si tu y tiens à ton oreiller, y'a de la mousse quand t'as pas trouze millions d'amis consommateurs qui ont chié sur les carrières, t'es relou à la fin à croire que t'es la petite merde que tu es ; tu m'internes, tu me laisses macérer comme tu le fais volontairement dans ton luxe inutile, et en apocalypse ton gamin il sera avec ses daubes de seringues pendant que le mien il existera même pas ; voilà ? on est y ? t'as un peu plus pigé en quoi t'es zume ? nan j'sais bien, 'te faudra un peu plus de temps et de mots gratuits, je sais, t'inquiète, c'est ma tournée

dans le bon sens
dans le bon ordre

du fol

[Dot Quote]

lol c'pas exactement le znthrope du début, mais j'crois qmm un peu...

sleep de thub
#misanthrope #masque #milan #planète

le zntrp a rien compris à la bise sans a dans le troposs

ahah ouais moi je me disais ça va faire comme les caleçons et les strings ; t'sais ? genre halloween inversé tu fais peur quand t'as pas de masque et les bonbons... les bonbons ? c'est pareil, à un moment donné on baisait en public j'pense, c'était avant que monsieur Privé arrive avec son brevet, c'était un gens, un schtoumpf, t'sais un bougon de bougue ; bon ? bin juste avant lui donc on mangeait en public, on parlait en baillant, pis on se salissait les dents tous ensemble ou comme on voulait ; uiui, toi qui vis dans trouze mille éternités se terminant probablement bien ou mieux, eh bien, toi, tu es là tu as ton slip sur la tête, et oh, mince c'est quoi cette émotion ? une pudeur de la gueule ; c'est auch hein ? t'as tellement bouffé de générations à te cacher la bouche avec un cache-bouche, que tu sais plus trop à quoi ça ressemble, à part la tienne... ouais ? une branche de chair, un truc qui rentre à l'intérieur de toi, c'est vrai, et ? eh, bin ouais une langue c'est devenu outrageant ; bientôt, les cordes vocales seront un phénomène tellement inconcevable qu'on considérera le masque comme un truc qui tombe sur un organe démoniaque qui pourtant est le propre de l'humain...

ce zum de masque, ouais, il se mettra à mouiller son slip du bas rien qu'au dévoilement de son slip du haut...

[Dot Quote]

déception, illusions, le constat du grand Descartes
je voudrais jouer les miennes, sur le tapis étaler
ce qui fit d'elles les siennes, ces idées exhalées
par raison, réflexion, ma main traine dans les cartes

je m'assagis par terre
#misanthrope #zume de zume #on est biens #désespoir
il s'assoit le zanthrope ; il est bougon

et pourtant ce n'est pas cet élan à vouloir traduire ce qui ne va pas afin de changer de direction humaine, non, il semble ne plus y avoir cet espoir ; au contraire, tout est retombé, inéluctablement comme il l'avait prévu ; le fruit de leur société chérie patientait, afin qu'elle soit légitimement chérie par ces médullations hallucinées ; mais non, elle n'est que chérie de principe : il croit en elle pour qu'elle se réalise, et non ; c'est du passé ; la patience a coulée ; déjà trop de temps, cette éternité...

alors comme depuis quelques années lorsqu'il ne sait plus où aller dans la pensée le zanthrope fait ce truc répudié : rebrousser chemin et voir ce qui l'a précédé... les penseurs dénigrés en tant que tels, puisque chacun sa liberté, mais liberté de se référer à ce qu'on aime, et à ne pas en prendre la réelle mesure ; les gens photographient la tour eiffel, ils en sont fiers comme si c'était eux qui l'avait construite

parmis ces rebrousse-chemin, une porte vers le passé : Stephen Hawkins, et on lui attribue la phrase suivante : "le plus grand ennemi de la connaissance n'est pas l'ignorance ; c'est l'illusion de la connaissance"

c'est pour ça que le zanthrope il repart sur Descartes, car il n'y a rien de plus cartésien que ces doutes sur le savoir, cet incertain métaphysique, cette parano de l'esprit que le zume il devrait un peu tourner la molette dans un sens ou dans l'autre, parce que là il est parfaitement confiant en la viabilité de son apocalypse, et ça fout le zanthrope au fond de la chaussette ; tout coincé qu'il est de pas comprendre non plus, il voit quand même, de son oeil si loin des zumes, qu'ils foncent là où faut pas

mais tant pis ; il a baissé les bras oui ; l'espoir quand on tape dessus avec un marteau, finalement ptetr que ça peut s'échouer tranquille sur un transat et mourir d'un coup de soleil comme une baleine en rade de vie...

tout ça pour dire quoi ? oh, vous avez compris
non

[Dot Quote]

Chatouilleh

#que lui #de plus #un zanthrope #on verrabon alors j'écris ces mots
et ensuite le zanthrope
en d'intro
à jsp :

Ç'avait été un catastrophisme dans le déluge du vortex. Quelque rame avait volé comme plume au vent, et le mât avait fini immergé ; tout était retourné dans le navire. Le feu et le sang, dans l'océan, c'est comme un singe qui se trempe la moustache dans la larme du crocodile : il pleure et la trempe d'un éléphant le trompe d'un enlacement alors que mort, il ne peut rien y faire, et sous l'eau les poissons l'auscultent. Le capitaine. Il voit flou les bulles l'empêchent. La vitre de la barque est assez indistincte pour que la galère soit dans le paquet, un peu beau, des emmerdements que subit le marin, sous ses coques un coquin, de sort, orage et commme l'or, de l'art, des salines, qu'une mare, à sardines, se bagarre, en requin, les qu'ainsi-soit-il se marteau, se scie, se roussette et non lamentin. Pourquoi ? Parce que le narval, le renard va à l'eau, le veinard vaut l'aveu, l'avé ô l'au-baveux, lové volé dégoupillé, dégoûté des pieds, des pouces et des ciseaux, à coiffer le lion aussi s'est pris de folies, assoiffés sont les chats depuis, et aussi, les chauve-souris, l'ébatement débatu, les bâtements les battues, les battants, les blattes, muent, mates, mutées à la moîteur du mythe, astygmate ou presbyte, aveugle en somme, le singe sous l'eau, ne voit pas les poissons sans paupières, il ne les entend que, nager, nuager, s'envoler, d'un coté de la surface, en ciel, en arc de vertêbre, un ancêtre, nous l'a collée, cette colonne, décollée, depuis l'automne, où les feuilles, s'aspirent au souffleur, celui d'un immatriculeur, de mouche, qui sert, le capitaine, en valet. De veine, il devine et pourquoi, ce singe qui nage, en nuage, sous la dune, dodeline, de l'esthète, il vaut mieux, se résilier, et sourire, lorsque l'on, va mourir...

heu oui bien sûr...

[Dot Quote]

pourquoi tu joues plus ?
#bougon #lion #savane #sinistroseheu bon...

- yo le lion
- yo l'antilope...
- ça va pas ?
- bof...
- bin quoi ? tu me courses même pas, t'es pas bien ?
- bah j'suis un peu gavé, ça me soule ces histoires de je-dois-te-courser, en vrai j'ai réfléchi très profondément et j'crois ça sert à rien, t'es pas d'accord ?
- ah mais si, bien entendu ! qu'est-ce qui t'as fait réaliser ça ?
- une indigestion
- hein ?
- nan, c'est juste que voilà, c'est bien beau notre jogging à intérêts miroirs, mais ça commence à me souler de m'échauffer avant, de m'étirer après, de prendre une douche pour pas que mon effort pue, d'acheter des baskets pendant que tes sandales se trouvent à décathlon pour deux euros, bref, sans parler que l'autre fois j'ai du faire du kiné parce que tu m'avais esquived et moi pas le crocodile, alors non, ça me gave...
- et l'indigestion dans tout ça ?
- bin c'est toi qu'est indigeste, c'est bon quoi...
- ah mais ça va pas du tout si tu m'insultes, le lion, excuse-moi du peu, mais là...
- l'antilope... y'a la différence entre le fait que j'ai la flemme, et que j'ai doublement la flemme, c'est aussi simple que ça, alors me soule pas avec tes histoires, on parle de ce que tu veux, mais viens pas me courser avec tes conneries
- ok... on parle de quoi alors ?
- mais j'en sais rien, c'toi qu'est venu me parler
- t'as rien à dire ?
- mais non
- ah
- ...
- oulah, ça va pas toi, effectivement ; t'as une mouche qui t'a piquée ? le crocodile tu lui en veux tant que ça ? t'as un problème avec le kiné ? c'est qui le poulpe ou le buffalo ?
- hein ?
- nan laisse tomber ; heu bon, ça va pas t'as pris une indestion, c'est pas un coup de chaud ?
- si ça se trouve ouais...
- bin n'en rajoute pas non plus, mais c'que je veux dire c'est que tu devrais consulter, si t'es si mal que ça
- nan mais bof, c'est pas mal, t'inquiète
- bin t'as pas l'air bien
- ouais, et alors ?
- bin je sais pas, tu te questionnes pas ? t'as pas envie de trouver une solution ? va voir le singe, il saura quoi te dire lui...
- hein pour que je fasse comme lui à me croire le roi de la savane ? ça va pas oui ? déjà le crocodile dans son marais qui me gave la poire, c'est toi le problème, c'est pas moi, l'antilope, ou alors c'est que le temps passe et que je suis trop vieux pour ces conneries
- bin nan mais tu te gourres, vas voir le singe je te dis, lui il est assis en tailleur dans son boabab tu le connais avec sa peinture de pastèque, et je crois si tu le boudes trop longtemps ça va pas le faire, le lion ; faut que tu retrouves de l'entrain à me courser, allez !
- mais ton singe il est moisi, il est mort, il est enterré par les éléphants du cimetière des hyènes que les vautours paradent comme des corbeaux germivores, non, franchement l'antilope, c'est juste peut-être que l'horloge a tourné, voilà
- hein ?
- bin j'en sais rien
- développe
- j'suis anthracite pollué dégarni et flemmeux
- bon, bin j'ai qu'à dire que je vais arrêter de broûter l'herbe parce que je le ferai demain, pis si ça se trouve elle repoussera même plus
- tu pourras dire au lombric qu'il peut sortir
- aux graines plutôt ?
- qui tu veux
- j'ai compris
- l'antilope t'as pas saisi, c'est chiant de te courser, parce que c'est toi qui manque de vitalité ; t'as vu mes lionceaux, t'as vu la lionne ? t'as cru que tes oreilles de biches étaient ce qui me donne faim ? ouais j'ai faim, et ton herbe moi c'est ce qui me torche quand je m'assois, et toi tu manges ça, et je te mange, c'est le cycle dégueu de la vie, sur terre
- dit comme ça c'est...
- forcément conscient et délibéré