Merci pour ce texte fondateur du projet protéiforme, moulu dans le conflit et la guerre. Enfin, plus précisément cette cité ne connaît pas la guerre – et n’a visiblement pas les reins pour en soutenir une. Le personnage de la sœur, Irda, est particulièrement intéressant. On ferait bien une origin story sur elle x)
C’est moi ou on ne dit pas grand-chose du fonctionnement précis de « la Baliste » ? C’est un mécanisme au fonctionnement oublié? Ce qui leur a permis de ne pas être militariste et de survivre quand même ?
Le choix déchirant d’Irden est un peu trop légèrement rendu. Sa sœur ou sa cité ? Certes, un Dieu le lui impose, mais j’aime les hésitations.
Concernant le manque ou pas de fin, je trouve que la suite est assez évidente – je vois le Dieu prendre la fille par le bras, Irda et ses soldats se tendre, Irden leur ordonner de laisser tomber, le dernier regard affolé d’Irda à Irden, et ils disparaissent dans un éclair de lumière. Ce serait, je pense, une fin assez ouverte et assez fermée pour notre usage…
Parce que sans la pierre philosophale ET sans leur Baliste, ils risquent de passer un sale quart de siècle.