Enfin un poème dédié à ma chère ville (que je quitte
malheureusement en juillet, mais je ne serais pas très loin, et
continuerais mes études là-bas
).
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ToulouseSaule pleureur, toi
qui abreuves
De tes larmes, ce long et charmant fleuve
Pareil
à un fil d'eau tranquille
Beaux agréments de ma ville
Je
vous admire, ivre et ensoleillé
Si bien que mes yeux sont
aveuglés
Pourtant, même dans le noir absolu
Je perçois ce
lien diffus
La caresse des lieux, exercée
Sur mon esprit et
ma peau chatoyante
Au loin les maisons, envoûtantes
Alignées
et serrées telles une armée
Semblent me fixer, à travers
La
rangée d'arbres, ayant perdu son vert
Tombé lors des longues
soirées d'hiver
Lorsque les flocons se déposèrent
Autour
de moi, la végétation humaine
Et des brins d'herbe par
centaines
Qui recouvrent cette terre magnifique
Parsemée de
marguerites mélancoliques
Voilà mon havre de paix
Entre deux
ponts, profondément scellé
Et je ne me lasserais jamais
De
cette ville, au parfum d'été.
Wind.