J'apprécie vos compliments. J'aime mieux la prose que la poésie versifiée, habituellement.
En réalité, je crains les poèmes parce qu'ils me sont inconnus, alors je dessine ou je lis, selon mon humeur.
Hier, je couchais quelques formes sur papier, voilà tout.
Un seul poumon, parce que nous n'avons qu'un seul souffle !
Je suis très content que les images vous aient embarqués.
Je suis ravi que cette poésie te soit un bol d'air pur, Fried, vraiment ravi. Ça me fait un genre de bleu dans mon souffle.
Le but de cet exercice est de prouver l'écriture d'observation, en tant qu'équivalent du dessin d'observation.
Je pense que l'écriture est plus riche que simplement nous. Alors pourquoi pas ?
Pourquoi est une question si inintéressante... Elle recentre sur nous, plutôt que sur la chose. Elle me semble appeler une modélisation alors que justement, c'est l'observé qui en manquait.
Pourquoi, ça détoure un manque en croyant le cerner.
Je vous remercie de vos passage. Merci.
Cirlunaireusement,
Nacas.