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Auteur Sujet: Biologie des Passions Littéraires  (Lu 373 fois)

Hors ligne clemouchka

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Biologie des Passions Littéraires
« le: 10 décembre 2023 à 23:53:48 »
Jean pleurait, ce soir là, avec force et nourrit par un désespoir intense, profond. Il hurlait des chimères lacrymales et maudissait sa vie, dans ses parfums noirs, obscurs, échancrés de cris hystériques et incontrôlés. Il chialait comme un gamin qui ne comprend pas pourquoi ses désirs, ses souhaits, demeuraient inactualisés et molestés de concrétions, d'aboutissements intérieurs non vécus. Jean déversait des torrents de larmes et son étoile personnelle, son avenir, sa vie, lui apparaissait comme vouée à une damnation existentielle parcheminée, traversée par une compréhension, une analyse, un état de son vécu irréalisé, comme des parfums torves ou respiraient, transpiraient, ses lésions organiques, ses matrices appliquées, inappliquées, ses soleils crépusculaires tournant aux noirs total. Jean éprouvait les heures dans un présent véritablement atroce, immonde, reflétant des affres de peaux, des géhennes mentales, comme s'il mendiait au monde, à Dieu, une délivrance, une libération, une découverte, ou son âme exploiterait les délices de se sentir aimé, jalousement, personnellement, dans des chastetés de joies, des vérités exhalant des firmaments de complétude, de célébrer les corps pluriels positifs, composer de liberté, aux cristaux de chairs, aux murmures d'alcôves épousant, partageant, les richesses d'une vie aux langues amoureuses géographes, aux soifs de vivre avec une âme sculptrice de ses enchantements, de ses réussites providentielles, égrenés d'ataraxies, des silences bénis, couvant les songes des fusions aux éveils fusant des lampadophores, aux clairvoyances consumées, aux étés radieux, aux printemps ressuscités, aux printemps croulant, sous des mélancolies voluptueuses agréables, chamarrées de lèvres blondes, aux statues vivantes, aux profondeurs, des charmes inoubliés... .
Jean puisait aujourd'hui des forces nouvelles, des puissances de caractères appuyées aux hygiènes bleues, en des délires brûlés de complétudes assouvies, libellules émotionnelles indicibles, méditant, avec des contritions  d'arborescences protéiformes, aux recueillements de papillons lyriques, aux songes économiques vomissant, des extensivités indivisibles de chrysalides, des nonchaloirs émotionnels, des baisers chirurgicaux violets, en des décompositions innéistes, d'appartenances existentiales, bouquets orphiques, ou Jean criait, dans les éthers, une révolte, une sédition intérieure, perceptible, un blasphème de laboratoire, ou il nourrissait des imprécations d'yeux, à destination du Dieu sublime, absolu. Jean dansait avec les hydres absurdes des doxas noyés en-soi, les monstres logiques, les satyres de la destinée aux vipères plastiques, sensitives. Il pétait les plombs dans des réflexions aux synapses élaborant, instrumentalisant, des cueillaisons végétatives, aux diapasons des larmes complexes, des équilibres inexistants, invisibles, qui labouraient, des éternités vomies de rêves tordus, roués, comme des pétales, des anges d'esprits maculés, des flaques inextensibles, des rameaux d'ivresses copulant, avec les astres esthétiques, les fontaines pâmées d'irrésiliences psychiques, des oublis anesthésiques, des éveils religieux, des acuités trismégistes, des quintessences primales gorgées, des croyances évolutives, des stratifications d'azurs s'écroulant, avec des mélanges aux complexions combinatoires, des archanges pulsionnels, des vérités de chiffres humains déshabillant, les fragrances suicidées, des foi en dieu qui trouvaient, rencontraient, avec l'esprit de Jean, des môles d'asiles spéculatifs, impurifiés, des rivières d'entendements oubliés, synergies des ondes, des flux, des murmures de chevelures singularisées, avec des gloires essentialisées, par des paradoxes de lumières tribales, des veines psychanalytiques, aux feux crevant les fusées télépathes, des cycles alimentaires, des légions vitalistes, des offrandes capitalismes, qui intègrent les songes d'ipséités autonomes, autistiques doxa, aux cœurs des troubadours, taxés de phantasmes, aux épures irrationnelles, qui diffusent, des relationnelles anatomies, aux boucles prénatales, des chemins de croix difficiles, des karmas irréguliers, menteurs, des tao aux pendules chimiques temporels, qui fécondent les pulsions cosmiques, les ployantes énurésies, des consciences transcendantales, des consciences scientifiques, des âmes aux quiddités jalousement exogénéités, des voiles féconds, des mayas  contemplatrices, des illusions aux micro-réalités extralucides, des fontaines de hasards incandescents, des miroirs perclus d'apparitions linguistiques, qui pulsent des aumônes géographiques, des charités neurolinguistiques, d'abstinences travestissant, les orgasmes littérales, des geôles aux magnétismes impraticables, avec des zéphyrs inharmoniques, qui s'accouplent, avec des étranglements éthiques, des démences ou Jean ingurgitait un chagrin d'amour, qu'il ressentait de façon décuplée, comme s'il éprouvait, une fission nucléaire, un génocide individuel, solitaire, véhiculant des opprobres, des gémonies, des lies crachées, des muettes blessures, plaies, ecchymoses, des pubescences, aux mythologiques réalités des pragmatismes, aux prismes désabusés, désillusionnés, désenchantements, des déplacements aux brasiers d'un univers, un cosmos ou Jean, tout déconfit qu'il était, bouffait des alcools dépersonnalisés, dépressifs, archéologies des niveaux processuels abandonnés, des degrés, aux torches des squelettes amoureux, là ou Jean dévorait des eucalyptus illuminés fétichistes, démences cathartiques, des suprêmes mouchoirs allégoriques, aux dédales inconscients émanant des mémoires agnostiques, ou Jean riait en des dissociations d'ego, des ruptures lynchées, des décompensations minérales, des insuffisances dramatiques, des incomplétudes de minerves associatives, des blondeurs d'âmes animistes, des fœtus de bonheurs profanes, cycles des pérégrinations des vagissements propédeutiques, proportionnellement factuels, en des grimoires d'araignées évanouies, des crucifixions neuroleptiques d'entendements articulaires, des médicaments, ou Jean buvait des pilules pour ses psychoses imparfaites, ses maladies mentales, aux sarcophages identitaires, les terminaisons relationnelles des emprises sotériologiques, des sigmas élévateurs symptomatiques, des perditions sarclées d'inerties interdits, des passions éprouvées, pour une demoiselle aux éclairs, aux foudres, aux charmes lavés des bioéthiques passions, pour une dame aux gorges prophétiques, devineresses, aux libations ressenties comme prisonnière, scarifiés d'autodafés morcelés, déliquescents, en des nourritures jalouses, des substances immolées, momifiées, ensevelies, comme une euthanasie d'étoile non partagée, défigurée, déficitaire, anomalie, disharmonies des astres évaluatifs sans protensions immaculées, des hosannas mimétiques, relationnelles chastetés, des Visages incantatoires, élaborations, structurales pyramidales, d'un Nirvana écologique, transparent, évolutionniste, interstitielles Vérités des protoplasmes abstraits, comparatifs, comme des bras d'honneur venant de cette fille aux résiliences falsificatrices, tombées, criminelles, nuits impossibles, imbrications des chlorophylles d'un chagrin d'amour abreuvé de labourages Styx volés, des dépassement des Géhennes productrices, d'une psychose bouffant des sarcophages incontinents, préciosités des parfums astrologiques, kabbale intellection des mausolées essentialistes, pour Jean, qui générait en-soi, des vertiges de hiboux voyants, en de-ça des syncopes pardonnées, des rétrécissements atomiques, oculaires, assimilations masculines des hybridations conspuées, originelles, matérialistes, comme des pansements identitaires, onguents tautologiques aux aveuglements pneumatiques, richesses des phalanges mentales, là ou Jean craquelait des charités d'oiseaux a-personnifiés, aux fragrances ontologiques, des brasiers polyglottes, aux langues essentialistes qui pleuvent comme le paraclet des thermostats hallucinés, démentiels, liquidités, harcelés d'enchantements passionnels, privatisés, logicismes, en des lézardes névrotiques, qui temporalisent, les bouquets physiques, les constellations musiciennes, de ses objectités photographiques, d'un amour aux lésions omniprésentes, aux sirènes introspectives qui gangrènent, des religiosités imparfaites, criblées d'orages aux informations asymptomatiques, des clergés atomistiques, aux inconsolables procréations esseulées, solitaires, dans des vins déontologiques qui provoquent des décantations pantelantes d'hybris des fronts d'éminences chialant des cathédrales de grandeurs génétiques, d'élévations zététiques des gestations neurovégétatives par utopies artistiques filant des Minerves étoilant les Pensées aux flux d'arcs-en-ciels positivistes, aux crispations des chrysanthèmes sémiotiques, des flacons péchés, fautes d'avoir sentie, pour cette demoiselle, des poignets d'adoration bibliques, ou elle devenait comme divinisée par Jean, et perçue comme une essence féminine, aux séductions mélodieuses, traumatisantes, « informatiques », diasporas orthodoxes des améthystes censures, réellement baignées, d'engelures, d'ecchymoses, en des prostrations affectives, des élaborations naturalistes fiévreuses, des natures orgiaques, pythies d'amygdales immobilistes des neurones aux pubescences en reflets épileptiques des linceuls métabolisés d'empathies picturales, ou Jean dévisageait, fixait, cette dame aux artistiques jalousies implémentées, échographies proxénètes « des Désirs jaculatoires », aux érotismes des paupières acoustiques, discontinues, comme si celles-ci faisaient couler la destinée de Jean, avec ses mains omnipotentes, invincibles, inébranlables, réellement anthropologiques, dans ses olfactions migratoires balancées d'aumônes quantiques, avec des signaux enveloppés par des pièges, par des écueils, des armes aux poignards sifflés, criminels, des mortifications de zéphyr, dans le cœur enfant de Jean, dans ses orgasmes d'homicides personnels, asymptotiques,  avec des anfractuosités mathématiques, équations des volitions orchestrées des rousseurs amoureuses, possédées, ensorcelées, captivées, ou Jean roucoulait, chantait des chrysolites adorées, des pierreries d'affects engendrées, créées, par des particularités de cailloux thymiques, "qui animisent" les Baisers linguistiques, les Baisers nucléaires, avec des propretés de violons intentionnellement chéris, aimés, affectés, car Jean n'existait plus, ne vivait plus, depuis sa rencontre visuelle, intégratrice, avec cette être aux biologies fabricatrices, incréées, des vignes peinturlurées d'ivresses nosologiques, des intellections imprimées d'introspections giflées, flagellées, enroulées, par des symbolisations d'accroupissements en douleurs, des prosternations jumelles, dédoublement des génuflexions oubliées, à genoux devant les thérapeutiques abeilles numérologiques, les abeilles aux Forces transies d'architectures comportementales, Gestalts des barycentres temporalisant, des triangles pieux, grâces des intensifications des vouloir-vivres illimités, des volontés de Phénix singularisés, ou Jean songeait d'embrasser, d'érotiser cette fille avec ses ADN complexes, aux séductions démoniaques, vampiriques, aux pouvoirs homogènes surhumains, aux dons schizophréniques préexistants, les spectres idiosyncrasiques, aux essentialités contradictoires, paradoxales, génératrices de sexualités non assimilées, non-intégrées, non-vécues, inexistantes, des clepsydres temporelles, par logicismes inavoués, sauvés, libérés, des caractères magiques, ambigus, en des indifférences notoires d'habitations vidées d'affects, vacuités infinitésimales, qu'éprouvait cette personne aimée, cette dame, à l'égard de Jean, car elle ne l'aimait pas.. . Jean fouettait des géométriques labeurs, des Espaces gnostiques irrévélés, inconscients, par-delà les bateaux tanguant, en des océans roux et prolongateurs, éclatements de baleines en êtres symboliques, l'ADN de Jean anthropologigue par négatité des devenirs, des aveuglements d'oncologies fiévreuses, d'écumes exponentiellement des dérèglements de chiffres cultivés par les photographies des cryptogrammes de colombes frénétiques, car condensés par des cyclopes irrationnels, suppliciés, divergents, Verbes anthropoïdes, lâchés par des maladies vouées aux célébrations, aux gémonies des prothèses amoureuses, des boissons surréalistes, par-delà les circuits d'engrammes moirés, des traces cérébrales involutives, des çà, proto-mosaïques, des pouls impénitents et enguirlandés, transformismes théogonies, des Dieux involontaires, par des introversions de chlorophylles inessentielles, des passions inorganiques, qui aseptisaient, Les chandeliers aux fourmillements des chaleurs exhumant, coagulant, subsumant, des pythies d'éros paralytiques, par des colocases d'absinthes théologiques, censures des produits destinés, à des écartèlements éprouvant des morceaux, des localisations d'objectivations, les micro-réalités qui dressaient, fomentaient, des complications pieuses des forêts brisées de nymphes mensongères, hypocrites, aux décharnements symbiotiques, des croissances obscurantistes, moyenâgeuses, sous des aperceptions des futuritions, des tribunaux ecclésiastes, qui mouchetaient, crevaient, des débordements prédations, qui catalysaient, des régionalismes empiriques, sensualistes, aux sarments des fontaines élocutions, des jauges intuitionnistes, des baromètres dispersifs, aux couleurs géocentriques, abandonnées, des désincarnations panthéistes, des clochards de pores, « énurésies » des combats, des luttes qu'éprouvait Jean, dans ses ramages trahissant, démystifiant, stylisant, des impressionnismes reproductibles psychiatrisant, les manichéismes, des nixes irréflexives, indues, compromettantes, alimentaires, les matricules performatives d'hosannas diététiques, fêtant le drame de Jean, avec ses avanies digressives, ses forclusions nues intolérables, impondérables, ombilicales, ses abîmes transgressifs, ses puits d'ailes canoniques, arrosés de ses sanctifications probabilistes, ses pestilences avinées d'implants corporéités, cimetières d'impositions des mantras ataviques, malveillants, des louvoyantes réintégrations, réabsorptions, aux cataplasmes émotionnels, déguisés, fondus, qui intronisaient, dans le paysage secret et inexploité de Jean, ses papyrus lovés de capitulations, de consternations centrifuges, d'hérésies totalitaires, avec des dés perlés d'holocaustes minéralisés, pleins d'algorithmes, aux lignes vétérinaires, des nerveuses interpénétrations associatives, singes homologiques, égorgeant l'inconscient de Jean, dans des insectes affreux, horrifiques, monstrueux, qui accompagnaient Jean, dans ses mortuaires calligraphies, voyeuses, aux presciences descriptibles et avec des implosions, des raréfactions, des résipiscences constructibles, coupables, des introversions par calculs en sourires, des réciprocités d'ascèses programmatiques, des floraisons numériques, par lithiums inénarrables, inavoués, des ex-propriétés capiteuses, qui tremblent, qui s'expliqueraient par le remords, le regret, la honte que consumait Jean, dans ce jaillissement, cette fulgurance, cette dégradation avilissante d'être tombé fou d'amour d'une âme, et qu'il n'acceptait pas, ne comprenant pas pourquoi cette fille lui insufflait tant de commotions inquantifiables, le déshumanisant, avec des liquéfactions prostrées et inhumaines, compromettantes, dans des déboires, des lacrymales éveils polysémiques, mélancoliques, polygamies des soleils virtuels, qui le déroulait, le roulait, dans des ineffables Désirs d'absolus transcendés, cerveau irrévocable, médicaments des Soi, des représentations égotiques, des traitements oxygénations existentiels, paradigmes, d'une folie aux ascèses foudroyées, pulvérisées, par des orages bleus sensitifs, des tempêtes noires, des bourrasques nosologiques intemporelles, fiscalisées d'inerties macroscopiques, par physionomies, des transmigrations aux stoïcismes oculaires, des cyclones invertis, des tourbillons macrobiotiques idéels, chosifications, aux frontières d'avec les Pouvoirs pervers, démoniaques, d'un Lucifer macrocéphale, unijambiste, borgne, illogique, d'un Diable aux clavecins microbiotiques sans relations, sans réflexivités, sans images, fluidifications des arc-en-ciels, damnant les « ouvertudes », les acryliques philosophies, des mélanges sublimatoires, en ipséités alogiques, compensatoires, qui se distendaient, avec des épistémiques violons lubriques, indécents, des solfèges énamourés en symboles fanatiques, cubiques distorsions, des hérétiques, des flacons Providentiels incléments, nomades, des reconversions en tombeaux de Lumières, qui annonçait l'hospitalisation psychiatrique de Jean, a seulement 15 ans !
Jean pensait dans son for intérieur qu'il représentait le génie connecté avec le cosmos, l'univers dans ses forces et ses grandeurs immémoriales, qu'il était le génie incarné, le plus illustre, le plus grand... Il se voyait à l'école polytechnique, étudiant les mystères de la science mathématique et physique, de l''astronomie. Il prêchait, parlait quémandait, dans son âme avec mégalomanie, avec des égorgements d'orgueils, des mutilations de Vérités plastiques, des effusions à vivre dans sa totalité, dans son ensemble, les mécanismes de la gloire, du prodige inouïe, du cerveau quantique magnifié. Il convoitait, caressait le soleil, attouchait l'astre illuminant, réfléchissant, miroitant, les embryons humains, les créatures dans leur vérité, leur logique microscopique, leur petitesse évolutive, avec l'aspiration intrinsèque et le phantasme à transformer, à transcender, les métabolismes physiciens, de la création sur terre. Mais Jean était bouffit, imbibé d'inhibitions, d'handicap d'effusions de clairvoyances obscurantistes, déshabillées d'intellections endormies, avec des ralentissements cognitifs, spéculatifs, des ferments neurologiques, aux absences, aux vides, aux béances, aux cécités psychiques. Il volait dans le monde comme un être aux plaies d'ouvertures, aux insomnies presbytes, éployer, aux momies lestées, de non résiliences prosaïques, élémentaires, des nectars divins envolés, enroulés, comme des comètes de grandeurs, qui se refuseraient à lui dans ses soifs pérennes, ses délices psychotiques arrachés en-soi, à se masturber l'esprit, dans des sentiments de grandeur, de pratiquer l'onanisme, avec ses convoitises de dominer, d'être le roi du monde, le cierge sacré, aux splendeurs ineffables, indescriptibles, inaccessibles, aux symphonies éternelles, d'éprouver une reconnaissance illimitée, gratifiante, absolue, de la part des petits humains, dans leur condition aux finitudes concrètes, aux matricules d'abeilles idéologiques faites homme, chuchotant les Esprits incarnés, dans leurs reflets humanitaires, égocentriques, leurs cous intellectuels figés et rachitiques, petitesses, dans des réalités microscopiques, leurs âmes aux mécanismes peintures ontologiques, dignes d'un fœtus verticalisé, d'une fourmis aseptisée dans des littéralités provocatrices, conservatrices, en calomniant, insultant, dénigrant, un éléphant indifférent, en comparaison d'avec la coupole céleste, la quintessence de l'intellect de Jean, se voyant comme le processus accompli, élaboré, évolué à maturation, à perfection, comme des bouteilles aux transsubstantiations mystiques, communiquant, instillant, lavant des transports, des euphories christiques, aux chorégraphies florales, en concomitance, en correspondance, avec les oracles des pendentifs de gloire, des cartilages divins énamourés, empourprés, avec des trouées capricieuses, des délices narcissiques, qui contorsionnaient l'être de Jean, dans ses thymiques obsessions des acmés, des crânes aux paroxystiques capacités, potentialités, à décrypter, traduire, comprendre, les labyrinthes, les genèses d'un monde aux intrications, aux enchevêtrements, des bordels scientifiques, des lupanars lutteurs des savoirs inoculés, des connaissances commutatives, abéliennes, qui figuraient, en des espaces industriels d'intelligences, connectés d'avec les lisières des rapprochements innéistes, d'un monde aux pharmacologiques chapelets ordonnateurs, des efficiences neurologiques primales, diffames, brisures, des synapses d'épidermes conscrits, aux vies urbanistiques des naïades sécables, des êtres féminismes, aux auras médiumniques, qui vaticinent les Taos des statues aux gènes extralucides, en des oraisons opératoires, micro-réalités, aux poulies qui bonifient les poumons paranormaux, qui ingurgitent les espoirs cryogéniques, les espoirs mués d'immunités déistes, par absences, des oasis conflictuelles, duales, binaires, des commutativités, de solipsismes blonds, aux Moi infécondés des lampes Messianiques, avec des Logos chimiques.

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« Les océans de chairs mentales pleurent des nymphes d'azur »
« Exhalant des Puissances acoustiques »
« Qui dansent sous des contritions s'écroulant par-delà les songes baignés de torpeurs »
« Déchirant, déchiquetant, les astres agenouillés, devant les phalanges mystiques »
« Des Visages larvés de brûlures d'aumônes étoilant, les parfums aux alcôves métaphysiques »
« O torches croulant sous des crépuscules noirs, obscurs »
 « Traversés de stigmates logiciens qui pleurent les spectres, les fantômes aux étrangetés des tombeaux »
« Fécondés de chimères cryptiques, avec des processus de langues, d'étranglements »
 « En recueillements, voilant les peintures intérieures »
« Désirant des sirènes biologiques »
« Qui dévorent les essences transformistes, des statues aux lèvres insomniaques »
« Avec des flaques d'alcools intellectualisant, les soleils aux métabolismes des cygnes suspendus »
« Pendaisons des yeux aux louanges de Gloires »
« Des Anges habillant d'offrandes morcelées, corsetées, chamarrées »
« Par des parfums ou coulaient, ruisselaient, des lactescences aux Degrés théologiques »
« Peignés par des artefacts, aux veines d'éveils »
« Couchant, labourant les modélisations »
« Les symptômes aux lys suicidés, des transparences »
« Des zéphyrs électriques, parcheminant les cygnes plastiques »
« Les mendicités impénétrables »
« Les sortilèges aux béatitudes profondes »
« Sécrétant les intériorités, des divines végétations »
« Nourries d'introspections évanescences, des structuralismes d'impuissances nerveuses »
« Des pressentiments ensanglantant, les immortels Baisers d'hydres complexes »
« Des Vérités nues, vierges »
« Balancées, des licornes jalouses »
« Des symphoniques corporéités »
« Qui communiquent, transmettent, élaborent, les délicatesses Personnifiées »
« Qui délavent des clystères invisibles, des péristyles d'observatoires »
« Des élasticités de Chevelures inconnues, universelles »
« Les Blasphèmes anatomiques »
« Les anachorètes incrustant les chutes »
« Les tabernacles subtilisant les comètes aux clartés »
« Enlaçant les fiançailles génétiques »
« Des présages chirurgicaux »
« Les suprêmes paupières des peaux d'inflorescences, crispant les poings pressurisant »
« Les Destinées des spasmes incommunicables »
« Des épileptiques empyrées »
« Qui prophétisent les anomalies »
« Les âcres appétits tribales »
« Qui possibilisent les incontinences, des Hasards physiologiques »
«  Avec des synergies, de pétales béats »
« D'orfèvreries Temporelles »
« Des miroirs Séducteurs »
« Des reflets d'extases linguistiques »
« Qui copulent avec les Pensées perfectibles, des linceuls organiques »
« Des suaires constellés par des ongles de lampadophores intuitifs »
« O flacons perclus de Scientificités, des Visions reptiliennes »
«  En des décantations préhensiles »
« Des stigmates de Gloires »
« Des labyrinthes prédestinés qui s'accouplent avec les pierreries, aux vacuités télépathes »
« Des brasiers, aux pieds intentionnels »
« O astrolabes des architectures tordues, d'hybridations »
« En ruptures versant les strangulations noires de colombes »
« Aux prudences de papillons fissurés, nourris »
« D'hypostases des Conversions, d'appartenances ivres »
« Des mélancolies sidérales d'unicités, aux inhérences »
« Des firmaments éployés par des informes »
« Des cicatrices aux ramages, des Mémoires continuistes »
« Des contemporanéités travestissant les équilibres primales »
« Des mains en pudicités, des grâces à profusions »
« Des vibrations d'oracles objectales »
« Des nourritures symétriques »
« Qui hurlent, les pubescences »
«  Les gemmes mentales des affres, des Géhennes »
« Tendues comme des araignées mystérieuses »
« Des astrologiques matérialisations »
« Transgressant les réalités »
« Les cartésianismes diffusant les angoisses, des Libertés sociologiques »
« Des subjectivités extrêmes »
« Des intégrations impalpables »
« Des Naissances mimétisant, les Absolus indéfinissables »
« Les personnalités muées d'existentialités »
« Qui s'inondent en des oiseaux d'échanges, des relations, d'extensivités »
« Qui rient les croyances suggestivités »
« Des appétits trismégistes aubes des dithyrambes cultuels »
« Des religiosités d'abstractions d'oraisons grêlées d'infinies ailes, synthétismes »
« Des difficultés des Forêts, des vigueurs littéralités »
« Des fontaines « déloignées » »
« Qui compensent les transports craquelés, en des combinatoires obsessionnelles »
« Des ossements travaillés, par les pathologies comiques »
« Des chastes accordéons »
« Aux séductions décomposées »
« Par les matrices, aux ambitions innombrables »
« Aux peuplements dépeuplés d'instincts des pendules compénétrés, conceptualisant »
« Les foudres d'indifférenciations synaptiques »
« Des égarements divinatoires »
« Des lésions de démences créationnistes »
« Des victimes aux flux d'immanences, aux épures dramatiques »
« Des mathématiques préservatifs, des Lumières »
« Tentatrices des captures prééxistentes »
« Des ensembles sémantiques »
 «Qui participent d'avec les voyances mythologiques »
« Qui organisent les horloges des liaisons réciprocités »
« Des âmes aux pulsionnelles déconstructions »
« Des combinatoires recommencements, avec les symboles »
« Des frémissements mortifiés, par les ambiguës traçabilités »
« Des écritures herméneutiques »
« Des méta-biologies aux naturalités tendancieuses »
« Des compressions de libellules »
« Qui strangulaient les thermomètres d'ipséités »
«  En des dérèglements d'infortunes phénoménales »
« O interpénétrations, des mausolées »
« Bouffés des créatures aux connexions vitalismes »
« Des Littératures impossibles »
« Des amulettes inextricables génétiques »
« Des théâtralités d'auréoles reproductrices »
« Des Gloires discrétions »
« Des photographiques breuvages opalescents »
« Des cécités superstitieuses »
« Qui fabriquent les vanités aliénistes »
« Les orgueils Libertés »
« Les conservations transfigurées »
« Par les animaux prédictifs »
« Des inhumanités d'équations transcendantales »
« Des criticismes dissolvant les pulsions analytiques »
«  Des caractères désorganisant, les Présences égales »
« Des sorcelleries de variétés fondamentalistes »
« Des écoutilles temporales »
«  Des distanciations de cerveaux trouées d'incomplétudes »
« Par les écumes des informatiques jeux »
« Qui parabolisent, les dons sociologiques »
« Des infrastructures divergences »
«  Les pâmoisons d'imagos »
« A reculons face aux langueurs déformations »
« Des perceptibilités idolâtres »
« Les terminaisons éthiques »
« Des homogénéités d'émotions »
« Défigurant, les déplacements inconscients »
« Des fragilités trempées »
« Des calculs impressionnistes »
« Des métaphores paroxystiques »
« Qui pénètrent, les phantasmes engendrés »
«  Mêlés d'arcs-en-ciels glissant, forniquant »
« Avec les lunules aux musicalités d'identifications irrégulières »
« Des mœurs pourchassant, les détails foulant »
« Les précipitations multiplicatrices, des tourbillons»
« « Transfixant » les êtres vivants »
« Qui chaperonnent les renouvellements centrifuges »
« Des numériques çà a-substantiels »
« Des protensions d'ensemble maculés de primitivismes protéiformes »
« Des musées fusionnels »
« D'avec les productions d'images d'Esprits »
« Convertis d'avec les violoncelles bénis »
« Des paradoxes simultanés, inductifs »
« Des limitatives fortunes »
« Des sensibilités rétiniennes »
« Gorgés d'onguents d'âmes dé-structurales »
« Des perspectives dynamiques »
« Qui provoquent des échafauds diffus »
« Des Formes vertébrales »
« Aux proportions des futures cascades, cataractes, des églises visibles »
« Des épidermes, à résistances les imaginaires »
 « Couvant les édifices liquides »
 « Des poétisations expérimentales »
« Théosophiques vagissements des feux, balanciers régulateurs »
 « Des psychanalytiques relativismes »
« Des enfantements criminels »
« Des racines aux dédains »
 « Soufflés par les jouissances des jardins aux orgues »
« Pulvérisant, les maïeutiques »
«  Des Botaniques perspectives »
«  Des étés, à prédicats glauques »
« Des ambroisies vivantes »
«  Des étés aux Providences catégorielles »
« Avec les atomistiques économies »
« Des cierges aux réactions découvertes »
«  Des concordances de laboratoires »
« Distribuant, les coagulations zététiques »
«  Des diplomaties noétiques »
«  Qui parcheminent »
«  Les abeilles apocalyptiques »
« Des infranchissables genres trépassant, les fixations des signes »
« Aux nouveautés d'ADN »
« Les troubadours, des impersonnelles transmissions »
« Des rapprochements, de permanences praticiennes »
« Des tziganes isolés »
« Des bohémiens graphologiques »
« Des syntaxiques occidentales »
« Qui règlent les nivellements, les niveaux, les tâtonnements agressifs »
« Des soûles mécanisations »
« Des incendies prothésistes »
« Qui désignent les fragilités politiques »
« Des tiédeurs intimes »
« Qui aboutissent à des disgrâces gigantesques »
« Des citrons nacrés de tavernes écologiques »
«Des couchants internationaux, des nationalités d'opéras comestibles »
« Des orchestrations, des chiffres métabolisés »
«  Par les pharmaceutiques « ouvertudes » »
« Des définitives domesticités »
« Des ferments d'études, à volitions des péchés de Centaures religieux »
« Des baroques grimoires »
« Qui puent les éclairages idéaux »
« Des visitations sauvages »
« Des circulations d'hominidés classificateurs »
« Des lacs murmurant les galactiques schizophrénies »
« Des mondanéités d'arborescences, ennemies »
« Des zéros liturgiques »
« Des nullités d'éthers athées »
« Des discernements Républicains, les pouvoirs anormaux »
« Discriminations neuroleptiques des dés incubations  »
« Prostitutions, des astéroïdes dévoilements »
«Des encres des prêtres à caractères des guillotines suppressives »
« Des exécutions somatiques »
« Des cycles impurifiés »
« O cordes menstruelles »
« Des infinités d'imagos d'aberrations de froments, des vignes, des roses symplectiques »
« Qui s'effondrent, sous les canonisations »
« Des mimosas éternels »
« O transmutations des lectures, des confitures virtuelles »
« O variétés des serpents philosophiques »
« O démiurgies comparatives des neiges rousses méditatives »
« Des égos catalytiques »
« Des fractales individualités »
« Des ambulatoires sarcophages, des poignets démographiques »
« O Espaces des jauges inverties, des prisons »
«  Des vendanges disharmonies »
« Des raisins de tableaux ou crient, les coquillages toilettés »
«  Des verbes égotistes »
« Les ondées miraculées... »

Hors ligne Robert-Henri D

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Re : Biologie des Passions Littéraires
« Réponse #1 le: 25 décembre 2023 à 12:00:57 »
Bonjour clemouchka,

" J'ai lu et n'en suis pas mourut " ! C'est déjà bien, non ? Car pour digérer tout ça, faut s'accrocher ! Voilà donc une manière d'écrire qui est très particulière. Elle semble vouloir transcrire l'introspective d'un long moment de délire, mais je peux me tromper !

 Ce qui est certain, c'est qu'à vouloir user et abuser des figures de style, ce dernier trébuche de temps à autre.

Et puis j'ai vu ça et là, outre des incohérences, quelques fautes d'accord mais j'ai mentalement corrigé.
Dans chaque vieux, il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé.

(Terry Pratchett)

 


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