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26 Avril 2025 à 16:38:45
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Auteur Sujet: Rotations (SF)  (Lu 458 fois)

Hors ligne LeMartel

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Rotations (SF)
« le: 09 Février 2025 à 14:25:04 »
 Voici le texte que j'ai soumis au concours des plumes de l'aviateur, sur le thème de l'aviation et/ou de l'espace et j'aimerai avoir vos avis


« Déverrouillage du sas, pluie prévue ce jour »

Ces mots, prononcés sur un ton monocorde et métallique sont les premiers que j’entends depuis mon demi-sommeil. Je cligne des yeux plusieurs fois pour me sortir de ma torpeur.
Je tourne la tête, tout est toujours à sa place dans le réduit me servant de chambre. Mon armoire métallique vieillissante contenant mes maigres possessions est ancrée au sol, de peur qu’une secousse imprévue vienne l’envoyer à mes côtés. La petite lampe murale projette sa lumière et créée des jeux d’ombre dans la pièce. Je suis toujours sanglé dans mon duvet, des fois que l’envie me prenne d’errer en pleine nuit dans ce placard à balai.

« La température est de 47°C »

Encore cette voix… la grille phonique située au-dessus de la porte coulissante relaie les informations transmises par l’unité centrale du secteur d’habitation. Les nouvelles quotidiennes provenant de l’extérieur, comme tous les jours depuis plusieurs cycles.
Je me libère des sangles et laisse glisser mes pieds sur le sol froid et stérile du réduit. Je m’habille sans hâte, un short puis un t-shirt bleu froissé et commence à me diriger vers la sortie.

« Le taux d’oxygène est de 18.63% »

Cela a encore diminué, de peu, mais cela diminue constamment, comme depuis des années. J’affronte le couloir, encore dans une pénombre relative. Je dépasse plusieurs portes, fermées, ouvertes, entrebâillées et parfois poussiéreuses. Celle qui m’intéresse est un peu plus loin, renforcée et protégée par un verrou électronique. Le panneau d’identification brille doucement, je rentre le code habituel « 2-0-2-6 » l’année ou tout a commencé. Un éclat vert passe sur l’écran vieillissant et dans un bruit de piston, la porte commence à s’ouvrir. J’entre dans la « Verte », j’entre dans la serre.

« Risque de perturbations électromagnétiques »

Les bassins hydroponiques sont tous là, bien organisés, fonctionnels. Il s’agit probablement de la salle où le matériel est dans le meilleur état de toute la section. Les lampes UV commencent à se rallumer, la nuit artificielle vient de prendre fin. Le repos des plantations, comme le mien, s’est terminé. Pommes de terre, tomates, radis et carottes entament leur journée insouciante.
L’enfilade de bassins s’étend de chaque côté de la pièce, chacun connectés au système de gestion agricole. Température, humidité, UV, acidité, tout est géré informatiquement et automatiquement. Je progresse lentement le long des légumes en lorgnant les bacs à la recherche de mon petit déjeuner. Mon choix se fait sur un petit tas de radis tout juste récoltés. Aussitôt je croque dans l’un d’eux. Il est un peu acide mais juteux, un léger arrière-goût chloré indique qu’il est passé sous le recycleur d’eau. Je me demande qui l’a ramassé et nettoyé.

« Début du ..skrzziit.. jour »

Encore et toujours le décompte est endommagé… personne n’a voulu essayer de le réparer. Reste-t-il encore des gens capables de réparer le système vox ? D’ailleurs, maintenant que j’y pense, cela fait plusieurs rotations que je n’ai vu personne. Le bloc d’habitation où je suis est pourtant censé accueillir plusieurs participants. Je n’ai pas eu de contacts avec d’autres depuis un petit moment. Je n’ai pas pensé à toquer à l’une des chambres ou à jeter un œil par l’une des portes ouvertes. J’ai pris l’habitude de me parler. De décrire mes propres actions, de réfléchir à voix haute. Pour ce que j’en sais, personne ne s’en est plaint.
 
« Veuillez-vous rendre dans le hall principal »

La journée commence vraiment désormais. La routine reprend. Je ne vais pas dans le hall où les consignes sont distribuées quotidiennement. Je sais déjà ce que j’ai à faire, comme tous les jours. Rien ne change jamais. Tout est tellement… similaire ! Chaque jour, chaque rotation c’est le même ballet. Dans tous les cas, je suis déjà à mon poste de travail, la serre. Je suis chargé de la maintenance du matériel de production nutritionnel. Comprendre « Nettoyage des bassins hydroponiques et des lampes UV ». Ce n’est pas mon rôle initial, je suis journaliste mais je préfère commémorateur. Je suis là pour maintenir la mémoire de ce bloc. Mais depuis que le précédent chargé de maintenance est parti vers l’extérieur, j’ai pris cette tâche à mon compte. Frotter, récurer. Cela me permet de me recentrer. De garder une contenance. D’organiser mes pensées, de commémorer mes journées, mes « rotations » car celles-ci n’appartiennent qu’a moi. Je prends soin de la Verte.

« Les participants suivants sont priés de pointer au hall princi… Skrzziit.. »

Le vox, toujours fidèle, rappelle à chacun son devoir. Pointer au hall principal, comme des travailleurs d’usines. Comme des fourmis. Je suis épargné par cette longue liste de personnes manquants à leurs devoirs. Le vox n’est plus en capacité d’égrener ces noms, ces absents, ces ombres.
Il est bientôt temps que j’entame ma ronde, mon devoir ultime. Je suis le technicien de la « verte », je suis la mémoire de ce secteur d’habitation, mais, je suis aussi le « visiteur ».
Je quitte le jardin suspendu, cet Eden, ce cœur de la vie et je me dirige vers les couloirs aseptisés du bloc, ma ronde commence.
Pas après pas, j’avance. Mes doigts effleurant les différents panneaux nominatifs. Je récite les noms, les lieux, les titres. Je les connais tous, je les ai appris, j’en ai eu le temps. Je sais où je vais. Aujourd’hui je visiterai l’aile médicale, nommée Asclépios, portant le nom d’une ancienne divinité hellène, de même que le bloc ou je réside se nomme le bloc Gaia.
La poussière se soulève au rythme de mon avancée. La maintenance de ces lieux laisse quelque peu à désirer. Des brancards sont alignés contre les murs, l’acier des montants commence à laisser apparaitre des traces de piquetage d’oxydation. Leurs provisoires propriétaires ne sont nulle part en vue. Personne n’est plus malade dans le complexe. La santé règne, regardez-moi, l’exemple même, je suis en parfaite forme. La dernière trace de maladie a été éradiquée avec la sortie du technicien de la Verte. Mon prédécesseur.

« La température est de 56,5°C »

Dans un faible chuintement je fais coulisser une porte entrouverte sur laquelle est noté : « Baie Médicale N°2 » Je pénètre dans ce domaine dédié à la santé et aux recherches. Les néons réagissent à ma présence et m’inondent d’une lumière blafarde. Une odeur rance et souffreteuse règne ici. La baie est imposante. Une vingtaine de lits médicalisés au moins sont répartis sur la totalité de la pièce. Aucun n’est en bon état, aucun n’est inoccupé. Les derniers habitants de l’aile Asclépios sont endormis ici. Je suis déjà venu ici. Il y a sept rotations. Je suis venu rendre visite à ces êtres ce que je connais. Je les connais tous, je les côtoie depuis longtemps. Peu de leurs secrets m’échappent. Ils me racontent beaucoup d’histoires sur eux, leurs vies, leurs malheurs, leurs envies. Chaque sept rotations je viens ici les visiter, dans cette baie médicale numéro 2 pour entendre leurs témoignages.
Je suis le visiteur, je suis le commémorateur.
Allée 2, lit N°8. Un dossier est accroché au pied du lit avec un nom. Je ne le lis pas. Quelle importance de lire ce nom ? Je connais déjà l’habitant. Il m’accueille avec un sourire figé. Il a l’air de regretter que je ne sois pas venu le voir plus tôt. Je lui fais savoir que mon travail m’oblige à voir tout le monde et que comme il peut le remarquer, il n’est pas le seul dans cette salle. Son regard sombre et vide est posé sur moi, je le regarde en retour, je m’assois sur une chaise proche et il commence à me raconter.
Je prends le parti de ne retenir que ce que me dise les témoins, pas de biais, pas d’avis. Ils ont le droit de tout exprimer, de la façon dont ils le souhaitent. Je les écoute dans le silence assourdissant d’Asclépios. Ils me parlent et je les comprends. J’ai un avantage sur eux. Je les ai vus avant, je les ai vus pendant, et désormais, je les vois après.

« Le taux d’oxygène est de 18,63% »

L’histoire de cette personne s’est prolongée au-delà du temps que j’alloue habituellement à lui et ses semblables. Il était particulière prolixe. Je le regarde et le remercie de m’avoir accordé du temps. Je me lève de ma chaise, m’excuse auprès des autres de la longueur de cette séance et entame mon chemin de retour. Non sans avoir auparavant fait une croix sur le dossier au pied du lit. Il est important de tenir des comptes, de savoir où l’on en est, sinon il est facile de perdre pied.
Une fois de retour dans le couloir, je repositionne la porte comme je l’ai trouvé à mon arrivée. C’est une question de savoir vivre, je n’aimerai pas que l’on vienne dans Gaia et que l’on dérange mon espace quotidien. Je coule un dernier regard sur cet endroit, Les portes désormais fermées définitivement « Baie Médicale Principale » « Baie Médicale N°1 » et celles qui attendent encore ma visite. Mon travail est loin d’être terminé.

« Activité solaire importante, enclenchement des déflecteurs »

La lumière diminue, une pénombre se fait. La passerelle métallique entre les blocs se fait plus inquiétante à mesure que les déflecteurs s’activent. Je me tiens à la rambarde et assure mon pas. Une tempête solaire, dans ma situation est une chose assez sommaire. Je me souviens de la première fois ou j’y ai été confronté. La tension qui régnait, les perles de sueurs sur mon front. Tout cela me semble bien loin désormais. Mon regard se tourne vers le hublot le plus proche. Lui qui donne normalement sur l’extérieur est désormais obstrué par un cache blindé. Aucune chance de voir quoi que ce soit d’intéressant depuis cette passerelle de servitude. Je continue donc mon retour vers la Verte. Mon estomac commence à se manifester. Je n’ai rien avalé depuis les quelques radis de ce matin. Mais cela attendra. Je me dois de consigner par écrit les pensées de mon visité du jour. Du temps sera nécessaire pour tout relater fidèlement, ma mémoire aussi eidétique qu’elle puisse être ne m’a jamais fait défaut, même pour relater les menus détails d’une histoire, une mimique, une expression fugitive sur un visage.

« La température est de 60,2°C, Sortie déconseillée »

J’esquisse un sourire. Qui voudrait encore sortir ? Pour quelle raison ? Surtout, qui pourrait encore sortir ? Sans vouloir paraitre cynique, il n’y a plus assez de monde dans les différents blocs pour assurer une sortie. L’occupation quasi-totale du secteur Asclépios ne change rien à ce fait. Personne ne sortira plus. Je le sais. J’ai eu l’occasion de connaitre la totalité des membres de la mission. Tous. Sans exception. Je connais leurs noms, leurs dossiers, et, petit à petit leurs témoignages. Les seuls qui ne témoigneront pas sont ceux qui sont sortis. Ceux des équipes de recherches, ceux des équipes de secours et ceux des équipes du désespoir. Ils sont sortis, ils sont partis et jamais je ne pourrais garder leurs pensées. Dieu qu’ils ont été égoïstes ! Ils ne savent pas tout le mal que je me donne dans mes visites. Mais ils ont été si nombreux. Encore plus que ceux qui habitent les lits poussiéreux.
Je regagne enfin mon bloc. Ses murs froids et familiers sont pour moi un réconfort constant. Il n’y a de sécurité que dans l’habitude et d’évasion dans la connaissance. J’en ai fait ma devise. La serre m’attend, fidèle à elle-même, insensible aux aléas de mes pensées.

« Verrouillage du sas. Nuit acide prévue »

La journée touche à sa fin et par la même occasion cette rotation. Demain sera un autre jour, une autre routine, un autre repas, un autre témoignage, un autre trajet. En sortant de la Verte, j’aperçois le sas. Celui qui a relâché à l’extérieur toutes les équipes, tous les chercheurs, tous les sauveteurs. Et par la suite, les résolus et les désespérés. Pour la première fois depuis des mois, je m’approche du hublot opaque de saleté, encastré dans la cloison du sas. J’utilise un pan de mon t-shirt pour essuyer la vitre polarisée. J’approche mon visage et je vois la nuit qui tombe. Le soleil de sa lueur orangée disparait dans la courbure de la planète. Les ombres s’étirent, les couleurs s’estompent. Tout semble désormais morne. Une pensée fugace traverse mon esprit et je pose ma main sur le verrou du sas. Qu’il serait facile d’ouvrir cette porte, de quitter cette prison métallique pour aller rejoindre les autres colons dans leur liberté glacée. J’hésite quelques instants, et finalement retire ma main du verrou. Il est fou de savoir que la liberté physique peut être atteinte de façon si simple. Mais quel est l’intérêt de la liberté du corps quand on est prisonnier dans son propre esprit ?
 Trêves de questionnements. J’ai un devoir à accomplir envers eux, envers nous, envers moi. Je vais rentrer me reposer dans ma chambre, la fatigue commence à se faire sentir. En passant, je jette un dernier regard par le hublot. Je vois le soleil se coucher, je vois la lune se lever. Et entre les deux, je vois ce globe autrefois bleu qu’on appelait la Terre désormais gris, constellé de points lumineux. Ce ne sont pas des villes ou des traces de civilisation mais des incendies. Notre berceau s’est retourné contre nous. Nous avons fui, nous avons colonisé les environs immédiats en attendant le pardon et le retour.

 Je suis la mémoire de l’humanité, je suis le commémorateur du bloc Vert de la 23eme mission « E.T.S-026 » Earth To Space 2026. Je suis le dernier vivant et mon devoir n’est pas terminé.



« Modifié: 12 Février 2025 à 11:31:15 par LeMartel »
Une histoire est une lame forgée par la plume et aiguisée par les lecteurs.

Hors ligne vinksdarkso

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Re : Rotations (SF)
« Réponse #1 le: 10 Février 2025 à 12:10:57 »
Salut,

Pour la mise en page, j'aurais aimé quelque chose de plus aéré (avec des paragraphes) car c'était bien compact à lire ^^

J'ai beaucoup aimé l'ambiance qui se dégage du texte, je n'avais pas compris qu'ils étaient tous morts au début mais j'ai du lire trop vite. Ca m'a beaucoup fait pensé au roman "Silo" (si tu ne l'as pas lu je te le conseille). Si j'ai bien compris, le vaisseau est en orbite autour de la terre et n'a pas pour but de trouver une autre planète habitable (car le narrateur voit la terre du hublot, il n'est donc pas très loin ?) ? C'est assez peu explicité, ce point, et ce vaisseau serait juste une nouvelle maison pour l'humanité mais un truc à foiré et a tué tout le monde à l'intérieur (quel est la cause ? Pourquoi le narrateur a survécu ?) ? Bref, soit j'ai lu trop vite (probable), soit ce n'est pas suffisamment explicité (ça peut l'être par choix).

Reste que c'était très agréable à lire, une narration efficace, des phrases assez courtes et parfois percutantes. Une fin désabusé, sans espoir, implacable.
« Modifié: 10 Février 2025 à 15:07:01 par vinksdarkso »
"La fiction, c’est la part de vérité qu’il existe en chaque mensonge." Stephen King

Hors ligne Basic

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Re : Rotations (SF)
« Réponse #2 le: 11 Février 2025 à 19:07:12 »
Bonjour,

vraiment un chouette texte de sf, énigmatique, étrange, assez "moderne" dans l'écriture ( type de narrateur, insistance sur le réalisme...)
Peut-être oser un poil plus de détails sur ces fameux visités, mais vraiment à peine pour que l'on soit certain de leur état, quoi que, non ? Laisse comme ça, ça charge le perso d'une sorte d'état trés limite

Des bricoles

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B
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Hors ligne LeMartel

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Re : Rotations (SF)
« Réponse #3 le: 11 Février 2025 à 19:16:03 »
Merci pour les avis intéressants et les corrections. Je vais procéder aux modifications

C'est la première fois que j'écris un texte aussi long et surtout que je m essaie a la SF.
Donc je suis preneur de conseils et d avis :)
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Hors ligne Alan Tréard

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Re : Rotations (SF)
« Réponse #4 le: 11 Février 2025 à 20:58:49 »
Bonjour LeMartel,


J'ai découvert ton récit dans la soirée, et je t'en fais un retour dans la foulée.

D'abord, je dois dire que c'est bien mené : on suit l'évolution d'un personnage très calme dans un univers hostile où tout semble être préprogrammé. Ça sonne vrai, et cet aspect-ci est réussi.

Ensuite, il y a des questions existentielles qui sont bien nourries et osées. Ce sont des questions difficiles à poser, donc c'est bien vu de les avoir mises dans ce récit.

Pour améliorer le texte, je dirais que tu pourrais apporter une ou deux fois la mention d'un espoir ou de quelque chose d'autre qui explique l'attachement du personnage principal à subsister. Qu'est-ce qui le pousse à poursuivre sa difficile mission ? C'est la question que je me suis posée tout au long de cette découverte.


Et voici pour ce qui ressort de ce moment de lecture.

Merci à toi, et à bientôt sur le Monde de l'Écriture.

Hors ligne Basic

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Re : Rotations (SF)
« Réponse #5 le: 12 Février 2025 à 08:19:10 »
pour un premier texte long, c'est donc une réussite.

Une précision, mais tu dois t'en douter, concernant les corrections il est chouette que tu modifies aussi le texte posté sur le forum en plus de ton manuscrit, par sympathie pour le forum et tes correcteurs, mais surtout pour que les lecteurs suivants lisent une version améliorée et poursuive la chaine de proposition. Si tu as des doutes sur certaines propositions, tu peux aussi laisser plusieurs versions apparaitre ( pas de trop non plus, on est pas 2000) afin que tes lecteurs donnent leur avis. ça permet de poursuivre les discussions. Il est chouette aussi que tu répondes aux questions posées... tout ça quand tu as du temps bien entendu.

B
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Hors ligne LeMartel

  • Tabellion
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Re : Rotations (SF)
« Réponse #6 le: 19 Février 2025 à 19:28:51 »
Merci. J'ai tenté d apporter les modifications sur le post.
Le texte a déjà été envoyé vu que la deadline était au 11 septembre 2024.

En tout cas merci pour ces retours positifs. J'espère arriver à trouver d autres inspirations pour continuer à écrire des textes de plus en plus long
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