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12 octobre 2024 à 14:35:48
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Auteur Sujet: De mots qui me font marrer  (Lu 7959 fois)

Hors ligne Miléna

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #15 le: 16 août 2022 à 09:42:15 »
Je crois qu'on a un peu d'évier du sujet initial quand même 😅 me semble que c'était les mots qui nous font rire

Perso cucurbitace je trouve ça assez marrant ^^

Hors ligne txuku

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Re : Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #16 le: 16 août 2022 à 09:42:53 »
..........................
Bon, je vais boire ma verveine  :-[

Un rapport avec l hyperbole ? :)
Je ne crains pas d etre paranoiaque

"Le traducteur kleptomane : bijoux, candelabres et objets de valeur disparaissaient du texte qu il traduisait. " Jean Baudrillard

Hors ligne txuku

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #17 le: 16 août 2022 à 09:44:57 »
Cela depend ou tu l introduis Miléna ! :)
Je ne crains pas d etre paranoiaque

"Le traducteur kleptomane : bijoux, candelabres et objets de valeur disparaissaient du texte qu il traduisait. " Jean Baudrillard

Hors ligne Robert-Henri D

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Re : Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #18 le: 16 août 2022 à 13:17:22 »
Cela depend ou tu l introduis Miléna ! :)

Voilà un apophtegme que ne renierait point un faiseur de maxime...
Dans chaque vieux, il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé.

(Terry Pratchett)

Hors ligne Jonque

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #19 le: 24 août 2022 à 14:30:29 »
Salsifis

et parce qu'il m'y fait penser : falsifier
"Un chien géant, c'est comme un chien mais en plus grand"
Un chien géant - Ultravomit

Hors ligne flag

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #20 le: 24 août 2022 à 15:27:03 »
Cacatoes !
Saleté de doigt de pied !
 :facepalm:
Dieu et la nature vont bien ensemble, ça va de paire, c'est Dieu le père.

Hors ligne txuku

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #21 le: 24 août 2022 à 16:44:06 »
Belles trouvailles !!! :)
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"Le traducteur kleptomane : bijoux, candelabres et objets de valeur disparaissaient du texte qu il traduisait. " Jean Baudrillard

Hors ligne Dot Quote

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #22 le: 21 septembre 2022 à 15:35:44 »
j'ai retombd sur une holorime qui ptetr passe inaperçue dans la masse
ça m'a fait marrer j'ai repensé à ici

Son sein tut, rond, tous les pantalons

Hors ligne cyamme

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #23 le: 11 octobre 2022 à 11:14:15 »
Oh, elle est jolie Dot Quote !

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sarcasme : marrant ?
« Réponse #24 le: 19 janvier 2023 à 18:43:01 »
sarcasme : tenter de rire de l'émotion ressentie au triste sentiment de supériorité intellectuelle cassandresque, en dernier espoir de désespoir de cause et ainsi par pure transparence amère ? ou ptetr simplement mauvaise foi trop émotive à reconnaitre par son expression, une vérité comme telle et ce malgré son caractère indigeste pour l'humeur ?



wè merci cyamme =)
je repasse là pour me marrer sarcastiquement autour du mot sarcasme qui est en soi je crois presque sûr de sûr, une forme d'humour... parenthèses de fractales synésthèses grogropatromal, j'en ai eu pour mon intimité de moi tout dans l'oeuf, mon déni de j'veux pas voir comment j'suis qu'une goutte imparfaite du dieu océan, ma vomitivite cérébrale si rare pathologie à la comorbidité plus répandue, la diarrhée mentale, bref, pis alors je me l'hallucine en humour primitif autant que primordial, la base de l'humour non ? rire, c'est l'effet de bien qu'on s'injecte entre nous d'un effet de mal sur nous, ou un truc dans le genre, effacé par le contre-ordre social consensuel 'ne pas rire aux dépends'... j'ai qmm l'impression tout part de là, mais ptetr que non ? en vrai jsp, si y'a de quoi se marrer autour du mot pour ici autre que moi là, j'suis un peu curieux de glisser sur ce champ de peaux de banane

ma vraie question d'exact concept ou pas ? c'est quelle monnaie existentielle ce rire en général ? ça vient d'où ? qui en paye quoi ? les rares productions d'humour valant argent, que je vois de loin, c'est des personnages ridicules, ou dans la merde, ou cons, c'est drôle, ou alors des discours qui font rire sans rire eux-même, par le mime de cette actuelle critique sociale figée d'incompréhension et de repproche non-coupable ; l'enfant en nous rit-il éternellement de cette cruauté à se satisfaire le sourire par comparaison à pire qui lui ? qui paye quoi je me demandais ? c'tout entre nous, là je parle des gens rémunérés, mais j'crois le rire que tu payes en ticket théâtre ou ciné, il est aussi tiré de celui, sous cape, que le sarcasme parfois dévoile honnêtement, non ?

"pff ! roh lui eh"

^.^'



edit :

Citation de: extraits optimisés google
Quentin Ratieuville, 18 ans, a deux maladies orphelines et a déjà survécu à 21 opérations. Il a raconté sa vie ce mercredi dans un sketch plein d'humour et d'autodérision dans «La France a un incroyable talent»

c'est plus de l'autodérision à son niveau, c'est l'outrageant commerce de la sale vérité, il doit en être loin lui sur ce plan des mensonges rassurants, je me suis reconnu un peu dans ce délire, oui, c'est très, très, drôle, de voir qqun qui souffre je crois, et plus le level est haut, plus faut être habile pour pas choquer la bienveillance de ce qu'on se figure du rire ; moi de loin je les vois comme ces clichés de films de mauvais goût : parnoidement incriminateurs quand on est une victime traumatisée incomprise rejetée héros d'un scénario de culture... mais j'suis handicapé parano, j'ai le droit

Citation de: handicapé, et alors ?
heu avant qu'on commence j'voudrais faire une petite précision : je rigole de moi, vous rigolez de moi, heu ça s'appelle de la discrimination envers une personne handicapée... voilà... c'est passible de 45.000€ d'amende, et de trois ans de prison ; j'accepte tous les moyens de paiement

sarcasme lvl : resilient boss



re-edit :

le sarcasme, n'est-ce pas aussi du coup, couper l'herbe sous le pied à la moquerie ?

(resilient boss + diplomatie mastaz)
« Modifié: 19 janvier 2023 à 19:18:43 par Dot Quote »

Hors ligne flag

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  • Le navet ne se pèse pas au kilo mais à la tonne
Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #25 le: 25 janvier 2023 à 19:25:15 »
Le glandeur impuissant, c'est peut-être un pléonasme ?  :bouquine:
Dieu et la nature vont bien ensemble, ça va de paire, c'est Dieu le père.

Hors ligne Feather

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #26 le: 01 février 2023 à 12:32:27 »
,
« Modifié: 01 février 2023 à 23:28:56 par Feather »
Les larmes sans pleur sont une lanterne.

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #27 le: 20 février 2023 à 23:22:53 »
Le glandeur impuissant, c'est peut-être un pléonasme ?  :bouquine:
pourrait être de type 'prophétie-auto-accomplie' ?
puis-je questionner plus que répondre ?

glandeur... feignant ? branleur ? tire-au-flanc ? traîne-savate ? un truc j'y vois comme du ciment nan ? imagine l'expérience débile : tu te coules un bain de ciment, ou modestement juste un bidet à mains, voire selon frime, une piscine... mais de ciment ! la métaphore c'est sur l'effort, sur ses résultats lorsqu'il périclite ; tu nages dans ton bidet, au début c'est pas pire, par rapport au confort de l'eau c'est surement déjà assez space, pis bin faut attendre les quelques heures du truc en sachant que cet effort-flemme, peut se construire par poursuite de sa propre finalité ; la flemme de pianoter du derrière dans la baignoire, plus t'as la flemme moins tu entretiens ton énergie, ça te fatigue d'autant plus que c'est de plus en plus difficile... glandeur impuissant, tant qu'il est pas mort c'est juste 'de plus en plus', et ça conduit à un truc presque similaire : glandeur statufié ; mais alors si c'est lui le béton qui a pris ? dans quel atelier ou musée inverse-t-on les essences ? ce qui l'immobilise dans son soi-piscine de béton, le glandeur impuissant si proche d'un idéal du plus total manque de prise à la réalité, lui qui de sa volonté s'est senti de ne plus bouger, de ne plus payer d'effort ? dans la piscine pas de temps, quoi qu'il soit ce temps, il finit pour le baigneur immobile, le corps lui-même ne répond plus de l'esprit, qui lui aussi s'est enfui ; tout relent d'impuissance se résout à s'amputer, dernière volonté avant statufiction ? dernière brasse ? dernier mantra en lavabo ? le ciment c'est dans les veines quelque part, si on veut une autre image de la flemme ; dans les nerfs ; je sais pas où ; une échappatoire ? la ruse ? jusqu'où la force de georges lucas précipiterait une ère de la flemme à chercher des trucs qu'on aimante à soi ? envisager contre flemme, une paradoxale optimisation de l'effort... pour le rentabiliser ? l'amenuir ainsi en espérant qu'il soit plus fort pourtant ? mais... à part : glandeur impuissant ? une étiquette que l'humanité aime à traduire pour son goût à se prendre pour un héros ? glandeur ? c'est mal ? de rien glander ? y'en a ils occupent leur vie humine en voulant se sentir utiles, c'est de l'aliénation totale, ils sont contents d'être l'outil pour le bien de ceux qui vont lui rendre une morale de l'aide, et sacrifient leur besoin d'être une finalité... ou l'inverse ? ok, des fois on gagne à vouloir maîtriser nos lubies, être balèze à faire un truc et se dire que ça nous rayonne ; d'ailleurs on réussit tellement que notre société a effectivement des beaux reflets de sourires dans les publicités, ahem lol les 'représentations culturelles de société', mais qmm, les inutiles... soit on les rejette je crois, soit on leur sort des excuses pour leur faire oublier qu'on est formés qmm pour servir professionnellement et pour notre survie financière, le fait qu'on aime bien agir pour combler nos besoins, on les rassure à moitié en disant que c'est pas grave, t'as le droit d'être frappé d'apathie, d'aboulie, de dépression, d'apragmatisme, bref, d'une flemme qu'on comprend tous, mais que seule une élite parvient à dépasser, parfois en gueulant contre ceux qui y arrivent pas, ou au mieux les indifférant presque avec le moindre espoir que des comme lui disparaissent avec leurs souffrances... question, là ? ptetr pas ! dans le ciment d'un musée, enfermé sous le drap d'un atelier, c'est plus calme en terme de poursuite du bonheur, ui, une statue stoïque, elle supporte l'étant simple ; impuissant ? la négation d'une capacité qu'on a facilement tendance à rendre trop sabre vert ou rouge, j'dis ça car j'ai recroisé master windu avec la même color-code de balance neutre mais pas nulle, la négation de la puissance, dans un film âchement cool pour penser ces ambivalences, la maladie de verre faiblesse motrice de conséquences grandissimes en opposition à la révélation de son alter humainement aussi invincible que la fragilité qui le découvre, chut ; faut faire gaffe on peut facile être ange ou victime en ce qui concerne l'impartiale rien, d'action oui, de pensée aussi si grandeur se transpose dans ce cadre aussi, moi je crois que oui, et ça donne du martyre à être oui ou non sur ce truc hmmm à se tuer pour des raisons qui découlent sur une réalité lorsque pouvoir passe ? glandeur impuissant ? pléonasme ou pas, tout ce que j'y sais c'est que c'est ces lacets binaires si spécifiques dans ce qui se fait de paradoxes... en termes de réalisation d'objectif ? re-paradoxe, un glandeur feignant, question hors mise la morale, s'il est impuissant alors je crois il a atteint son idéal, ne pas influer... trop la flemme, mauvaise foi à l'action ; un pourquoi ? barre trop haute à se résigner ? barre trop basse par rapport à qui saute en moyenne ou en minorité ? barre à la hauteur renversée si programmé je change de conception neuro-lexicale avec la noble discipline qu'est le limbo ? et puis... sont-ce les mêmes plans ? monsieur cravate en soie de papillons contingents a certes de quoi ravir le jour d'un sommelier étoilé par glose de connaisseurs, en est-il du même pouvoir que le modeste économiste à la table d'â côté qui a laissé sa femme se laisser tenter par le plus inspirant nom de bouteille de la carte en ce jour des dix ans de leur étincelle ? monsieur pépite d'or ou monsieur pétrole ? ajd ou demain ? que de questions wow, me semblait bien, pis y'en a encore j'crois... jump !

heu en fait juste trop la flemme, alors je finis sur un vieux jeu de mots, de lettres ? d'initiales en tous cas, pour ma vision angoissée de ce que moi j'aime bien les glandeurs, et j'trouve presque dommage que cette forme d'impuissance... ne soit pas reconnue comme le lieu magique d'une intériorité visiblement préférable à toute action sur l'extérieur, à nos jours où la cohésion humaine ressemble pour moi à des associations fragmentaires entre ce qu'il y a à construire activement et avec coûteux efforts, si on veut gérer comilfo les actions en humanité inter-influente : y'en a marre de servir à quelque chose, et pourtant la société pour se maintenir en cohésion, demande effort qu'on se demande parfois si vraiment ça paye... faut bien vivre ! du coup double intérêt à être un glandeur impuissant ; beh ouais, c'est le pouvoir qui oppresse, alors laissons couler nan ? j'veux dire, même en toute situation d'urgence, faut pas, je crois, se sacrifier au nom d'essayer de sauver le naufrage humain plus ou moins à craindre ou à sauver... nan ? surtout vu comment ça a l'air productif et efficace, même si au contraire 'c'était mieux avant' sonne aussi faux, en paradoxe normal ; pour moi c'est justement là le vice qui nous fait courir de ouf dans la roue du hamster : on se boite tout seul quand le sport est devenu obsession et que les euros branchés sur la dynamo dégringolent dans la cage pour qu'on boive le liquide du biberon électrisé... alors oui, le pouvoir, les puissants, ont le contrôle du robinet, l'eau goutte on paye plus ou moins explicitement ; 3% d'eau douce sur terre nan ? pour huit milliards d'humains qui chient même dans le peu qu'ils gardent à peu près sans microbiote, ou au moins sans microbiote dangereux, pollution tout ça, recyclage, mais ? qui est le glandeur et sur quoi chez monsieur canalisations ? ça grouille dans les tuyaux, y'a des rats, de la rouille, pis les résidus chimiques amoindris de ce que y'a un peu plus de caca dans les 3% qu'à un certain taux d'époque pré-écologique, ça change pas grand chose la bouteille en plastique c'est ça le pire, mais glander au bord d'une rivière potable, c'est devenu tendu pour les glandeurs d'ajd nan ? c'était quelle puissance de se sustenter en eau à cette époque ? sur la question le glandeur d'ajd se pose des questions de vaisselle, d'équilibre médical, il paranoïse quand il pleut en se demandant ce qui est le plus sale entre les fumées des voitures ou le cacas des chiens à croquettes qui restent sagement sur le trottoir sauf si y'a le luxe du sac en plastique réversible, il parait bon, le chiffre est juste un truc pour mesurer l'idée, une goutte d'eau mettrait dix mille ans à voyager sur terre avant de repasser au même endroit... qui bien sûr a eu le temps de changer, c'est pas le statique des apparences perçues par toute vie à peu près temporalisée ; le glandeur impuissant, il écrit un jour au lieu de dire, et le temps qu'une goutte d'eau finisse son énième tour de course planétaire, sa flemme sert la flemme de celui qui lit tous ceux qu'ont suivi le délire... et pour pas avoir à se taper leur boulot expérimental à effort contre-flemme mais pour-flemme aussi ; puissance à orbiter à survie ? il faut de l'énergie pour vivre, manger ça va on est assez statues mais y'a long granpagranma ils se devaient d'avoir du pouvoir sur comment chasser au javelot avant que ce soit du snobisme sportif pacifieur pour grecs sans vêtements, ils se devaient d'avoir du pouvoir sur leur cognition à manger telle ou telle fleur de montagne qui pousse là où là surtout si on a du pouvoir sur les graines et l'eau ; à se défendre contre crocs, contre toute infraction extérieure à ce qu'on souhaite tous intérieurement la stabilité d'une satisfaction... mais la statue est un idéal, le mien carrément, diogène je l'aiderais bien à se débarrasser même de son tonneau, mais alors les gens pigeraient moins ce qui fait de lui un peu un bon modèle de statue intérieure en paix avec ce néant existentiel et en contexte où faire, avoir, pouvoir, sont des trucs marrants quand on est au dessus de la surface du panier de crabes aérorespirateurs d'humanité aux corps pas assez légers pour que tout le monde respire... mais j'crois c'est un peu la même statistique aléatoire que pour la 'stupidité humaine' et ses 'lois fondamentales', t'as des glandeurs partout, des impuissants aussi, quand ils ont le double truc ça peut faire sabre violet, le genre politiste centrique mais pour la morale twa, et or donc bin y'en a ils ont l'énergie, souvent à raison ou passion, voire les deux mais c'pas si licorne que ça, pis t'as aussi ceux qui en glandent pas une et ceux qui n'y arrivent même pas ; pour eux la vacuité de l'existence a un certain écho avec leur réalité je pense, du coup, puisque rares sont ceux-là qui vont jusqu'à le revendiquer, et dans la jungle des gens occupés, anonymes importants soumis aux ciseaux à rapprocher, la lame de l'implication, la lame de l'humilité, y'a quelques glandeurs impuissants comme moi qui n'ont rien ni pouvoir ni espoir, mais qui vomissent qmm cette tentative à embarquer une pause générale, ou au moins une baisse du régime des machines, j'suis le seul à voir que l'aiguille 'occupation légitime de mon précieux temps de gens libre', est dans un rouge assez effrayant en corrélation avec les bruits de machinerie en surchauffe, la température de la pièce sphérique qui aime nous voir suer, ce rouge de forge qui éclaire l'anthracite de l'humeur, ces fumées de toutes parts où les joints commencent à lâcher, ce surrégime difficile à évaluer en simple perception du rythme des bielles, de la tension des pistons, des tuyaux flexibles qui résistent pour pas imploser ou arroser de rire un gamin qui... renvoie un nouveau paradoxe, le fameux arroseur arrosé ; glandeur impuissant ? et contagieux ? quand je serai adulte je viendrai te voir dans ta retraite, je te demanderai de rire parce que c'est drôle que jardinier ce mot humble modestement noble d'esprit, n'est autre que celui qui se prend pour le dieu de la pluie ; flemme de chercher une fleur pour son amoureuse ? le gamin a pas la flemme, pas encore assez, c'est qmm fatiguant un pied sur un tuyau mou, et ce rire, ce rire à voir que l'utilité de l'objet vient tout entraver le plan normal pour le jardinier à savoir comment aller payer son manger ; le gamin, plus il a des cadeaux à noël et plus il dudley-pour-harry, juste l'accepter changerait ptetr les comportements, c'comme ce délire d'ias qui ayé, enfin, 'résolvent' pas mal de 'games' humains ; t'as vu ces textes ? ces images ? les humains vont bien s'accrocher un peu à leur idéal tout actuel à être puissant de l'esprit, y'a quelques bons-joueurs qui y voient qmm leur création à eux, et c'est vrai que c'mieux que sans artifice... moi je dessine un peu, déformation professionnelle de ce qe que j'y préfère en non pro, je sais, je sais : jamais je fais mieux que ces ias, en terme technique ; je sais aussi que ces ias peuvent surement aussi accéder au delà de ces détails d'expression de nos valeurs humaines d'ajd... flemme dangereuse ? le rêve du capitalisme, plus besoin de travailleurs pour faire ce qu'on a à faire ; quand la machine sait faire, elle le fait mieux que nous alors on lui laisse le taf ; imaginons lol, quand petit-à-petit ces moyens de représenter la réalité, on se rendra compte que si on veut continuer à rester des actifs puissants, faudra aller chercher autre chose... un roman ia meilleur que tout roman humain ; une police ia aux résultats sur-efficaces ; une image qui se veut comme on aime à la limiter, un truc magnifique à regarder, généré en deuxdeux par des tonnes d'infos qu'un cerveaux humain du IIIM n'a rien de comparable en termes d'ordre de grandeur des ressources, de la rapidité d'exécution, de l'imperfectibilité du résultat... son défaut bien sûr, est-ce cliché ? de dire que l'humain est beau par son improbable imperfection ? philo de la méta, idéal, phénomène limité pour la perception et la conceptin ; mais on s'y laisse tromper, feignant de l'attention ou impuissant ? oui il est froid ce tableau ia, mais surtout si tu sais qu'il est tel ; pis l'un va vers l'autre, flemme encore ? une affiche hollywoodienne, c'est une science du froid blockbuster, ce qui est le plus easy à faire une pub savamment orchestrée ! flemme où ? celui qui regarde et court plein d'espoir, acheter un billet de cinéma à strapontin pour trop-plein démographique ? celui qui gère le détail millimètre-couleur-scénographie-typographie sans avoir questionné les détails de pourquoi il doit gérer le comment traduire telle amplification d'une mode à renouveler sur ses propres bases ? flemme de 'capturer l'instant' souvenez vous l'argentique, et préférer l'effort d'un toshop tout-puissant en confort bureau informatique ? flemme à lire à ou écrire des belles dentelles syntaxiques, ou flemme à s'émanciper de la flemme pour facilité de vécu ? une transparence espérée au manque d'effort ? la statue... et sa reproduction miniature sur un chevet ou une étagère ; y'a du toy story presque, animé l'inanimé ? pour qu'il servent notre flemme ? aurait-on peur de l'inactivité à cause de l'urgent effort existentiel permanent ? celui qui crée les burn-out, les dépressions, ptetr mêmes les agressions les violences ? flemme de vivre bien, les barrières sont les mêmes que pour se détruire ; on bouge on court, quand on est content alors oui cool on est actif puissant ; mais heu... ces actions ? là, ajd, humainement, on en voit quels résultats majoritaires ? s'agiter par stress, dans bcp de situations naturelles face au danger, ça lui augmente ses chances de nous toucher ; le monde va de plus en plus trop vite, la jeunesse 'décadente' attend de plus en plus trop de profiter du confort 'humainement dû' en chaque milieu et déprime de devoir lutter contre son envie de confort, la promesse de l'actif powwerful ? profiter de plus en plus de son powerness, par son activement ; mais depuis le temps qu'on court de plus en plus vite pour rattraper la fameuse goutte singulièrement 'elle-même' et qui de la rivière fonce dangereusement vers le sel de l'océan alors bcp moins potable quoique pas non-écologique, je me dis à l'intention des possesseurs de flux d'eau potable, ou douce, ou encore un peu vivante, que se poser là sur un rocher de la rive droite ou gauche, tu peux tout autant ne pas te dessécher et je t'assure, pour le coeur, les poumons, le rythme du cerveau, même la sensation de vent sur ton visage arrêté, c'est autre chose que courir pour de l'eau qui de toutes façons est bien plus crade qu'on te souffle la qualité de cette unique goutte reluisante qui était là y'a dix mille ans, approximativement trois atomes tout simplement, qu'on aime à constater que y commence à y avoir quelques petits problèmes pour que la flemme reste viable ; black-jack de la science, on paye pour voir, c'est pire en pire, et ptetr qu'à un moment c'est trop ; on arrête quoi alors si on me suit ? la flemme d'aller se tuer les corps gravitationnels pour sortir de la pièce sphérique de notre piti lieu de vie humano-inquiète ? la flemme de rester en tentant de sauver ce qu'on va avoir du mal à récupérer en terme d'écosystème visiblement diversifié et inter-équilibré ? j'ai vu l'autre lol de 'question scientifique' : quel est l'animal dont l'humain [rectif de moi pour le mot 'homme', bon...] ne pourrait pas se passer ? j'ai pas cliqué lol ; t'imagines ? chat, licorne ou dragon, apparemment c'est une question intéressante, utile et joyeuse ; t'imagines un monde chat-humain only ? ah, si, remarque, pas besoin de souris c'est vrai on les a puissamment appris à manger du croquette, bon, mauvais exemple, la mange-machine de barjavel c'est un idéal comme un autre, licorne bon oui, on pourrait à l'avenir avec ce qui se teste d'ogm, allez on valide, on mange les végétaux ils sont pas dans la question pis donc on chevauche les nuages et y'a vraiment ce truc de 'on se séparera jamais, les autres on s'en foutait mais toi...' ; le dragon ? surement pas dans la réponse topouane que j'ai pas ouvert, donc, bin parce que finalement on finirait j'pense, carbonisé avec ou sans digestion, ou alors on serait trop potes et là on abandonnerait la notion d'activitation puissante juste en volant sans but et sans volonté, juste pour un kiff éternel ; jusqu'à bien sûr flemme de voler, pour le payeur de l'effort, et même si les ogm permettent à l'humain d'échanger les rôles et d'embarquer avec des ailes de poulet le dragon sur son dos, bin pareil la routine mène à la flemme, et quelque part optimiser l'effort en tant que processus de flemme, consiste parfois à automatiser des efforts pour les alléger, ce qui les transforme en banal ; la photo, technique de glandeur du pinceau pour représenter le réel, on a bien vu comment alors s'est élargi le graphisme traditionnel pour ne pas rester dépassé ; flemme de picasso à conceptualiser autre chose que la traduction 2d plane d'une scénographie 3d ? il n'a plus besoins du détail réaliste que la photo fait mieux que n'importe quel coup de ces pinceaux photoniques, alors en attendant les doubles caméras illusion-3d, en attendant les programmes de cryptage de l'orthonorme et du calcul des perspectives et volumes, en attendant le bulet-time qui regarde de plusieurs endroits au même moment, en attendant donc, tous ces artifices qui servent la flemme, il creuse cette idée de peindre du depuis-là-ET-là, du j'y-ai-vu-ainsi-j'y-peins-autrement, tu vois bien qu'osef de faire de l'hyper-réalisme même si c'est techniquement remarquable pour un humain, au bout d'un moment perdre contre deep blue tu ranges l'échiquier et tu te rabats sur le poker en attendant que sa complexité soit pigeé par l'ia et te renvoie à ton inutile et impuissante action ; flemme de jouer, glandeur de l'esprit ? ce qui pourrait venir quand on aura accepté que la machine, sous surveillance sécuritaire bien sûr qmm juste histoire de transparence, va nous demander d'humainement aller chercher ailleurs pour briller et continuer d'avoir une 'raison de vivre'... mais encore une question pour esclave du capitalisme ; ceux qui avaient la flemme de cueillir des pommes quand la nature vivait en proportion stable d'espèces, ils crevaient de faim un hiver trop engourdi, moi j'ai la flemme pathologique à tenter de survivre à l'humanité, autant la flemmeuse que l'hyperactive ; rien pigé ; mais avec des glandeurs impuissants comme moi, y'aurait ptetr pas eu la découverte du feu de cheminée ou grégeois, ni l'invention de l'écriture pour muets communicatifs, pas même l'entassement progressifs de lourds toits et murs, la galère à charbonner du charbon de mines, à extraire du minerai pour en faire des tuyaux à eau ou à feu, à compter ce qui s'échange petit à petit et de plus en plus pour subvenir à des besoins accessibles par la valeur consensuelle du partage ; j'aurais eu la flemme de risquer d'aller marcher sur la lune, avec ce truc que j'aurais eu la flemme d'étudier contre-risque les effets du feu ; flemme d'aller dire à l'autre ce que je pense et qui serait impuissant, par ma glandeuserie naturelle à l'inter-humanité pour mon moi de moi... bref ? j'avais à peine pas assez de glandouille pour écrire tout ceci et pourtant ; volonté à quoi de rien d'effort alors que si un peu aussi...?

Glandeur Impuissant ?
on a besoin d'un sérieux de leur
Groupe d'Intervention !

mais pas de place à ma politique du on-a-assez-payé-au-black-jack, j'suis pas du tout sûr de quoi ni comment arrêter de libérer les maux parfois paradoxaux de pandore, parmis lesquels plein de trucs aussi généraux que particuliers, on peut creuser du détail carrément partout et de plein de manières, ici les mots c'est autour de l'un des sept nains capitaux non ? la paresse... faut voir avec le film avec brad et kevin, celui à qui je pense on reconnaitrait pas le nom de sa gueule mais il illustre bien le nietzschéisme facile à faire du lacet en commençant par accepter qu'on danse avec nos chaînes, c'est quoi ses mots ? un truc genre qu'on paye de ses vices, ou qu'on y voit la réalité avec, ou justement ce délire qui explique bien, justement, les prophéties auto-accomplies, le kevin sur l'une des sept victimes iconifiées, si on me suit dans mes confusions identitaires, singulières et personnelles souvent dues à mes projections de rapprochements et distinctions notamment archétypales, bin je les vois comme un distinguo entre le paradoxe de celui qui a la flemme et qui en même temps se condamne à celle-ci, le meurtrier et la victime sont facilement le reflet inséparable de ces fameux paradoxes internes à la psyché fonctionnant par confrontation des pôles d'un concept, je préfère le terme philo sur ce sens idéel, que tout qualificatif linguistique expliquant l'outillage syntaxique pour le signifier, mais les oxymores et pléonasmes sont effectivement marrants pour voir la binarité des concepts qui se doivent j'imagine de plus en plus, exister sous forme de pôles avant d'être conçus comme paradoxes et ce qui en découle de considérations suite à conscientisation ... 'déformation professionnelle', c'est l'excuse du système d'alliance politique-finance à dire que tu t'aliènes en kiffant être payé pour ce que t'aimes, et que ça pose un problème juste de mal-aise sur le coup ; et pourtant y'a un gris tjrs, derrière le sourire qu'on est irréprochable socialement et ce qui qu'on soit et comment on y pense ou pas, comment on y fait ou pas...

bref mon seul propos ici en dehors du marants mots et de s'amuser en en étaler dessus : oisiveté qualité à construire prudemment, mais j'en ai depuis bien trop longtemps plein le cul de me bouger pour moi ou autrui, que je rêve non pas d'immobilisme statufié, quoique pour moi si, mais quand je regarde dehors, c'est pas juste une figure de style qui cache un sens à creuser, limite au contraire un sens à creuser malgré le convenu du marant de bcp de paradoxes en apories binaires : peace, calm, 'be quiet' should be a cool advice rather than a desperate and useless order from who think ze has power to be good leading other's happyness...

bye flag =)

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #28 le: 23 mars 2023 à 17:22:43 »
 :potichat: Bon, je vais tenter de faire simple.
Areuh ! est au bébé ce que Meuh ! est au veau.

Est ce un sophisme ? en sachant que ces sons sont la conséquence du lait de vache.  :huhu:
Dieu et la nature vont bien ensemble, ça va de paire, c'est Dieu le père.

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Re : De mots qui me font marrer
« Réponse #29 le: 13 juin 2023 à 17:26:14 »
flag huhu je sais pas trop le fin mot de ton interv', mais ça marche, j'ai marré ^.^'
pis sinon je venais pour un 'tit lol tout frais péché :

primevère se traduit en anglais en primrose
c'est une fleur jaune

 


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