arf meilhac je partage un peu, mais me l'explique avec un concept pas facile à enlever, la pudeur... mais j'avoue que du coup mon engouement à l'encontre du vêtement se tait tant qu'il a pas solvd le truc ou l'impression de l'avoir solvd, c'est méga important pour moi la thématique, le naturisme en tant que phénomène social pq pas, moi juste je flipe, j'angoisse, je psychote, je phobise, juste parce que le fringue est l'un des potentiels suspects de l'équipe de déviances humaines qui m'ont mené à ma ratatine (de souvenir, y'a ce
misanthrope qui essaye d'y dire mais c'est vague...) mais du coup juste culotte ? évidement la pudeur d'un truc freudien ou pas ? j'écris ceci tout habillé c'est rare, j'ai eu la flemme d'y enlever... par fatigue ratatine, et ce en toute douleur (psycho?)somatique du fait que j'ai pas rendu mon corps à son seul corset viable depuis des heures et que ça me casse tout mon homonculus, tant point de vue matériel que logiciel, ce corset, qu'il soit dissimulateur, thermique ou socioindicateur stylistique, bref, l'absence de ce qui des fois peut ptetr aider à se tenir 'droit', mais de manière générale m'étouffe plutôt qu'autre chose, et ce de manière ressentie dans tout le vertige que du coup je m'électrise à vivre ; mais la pudeur... sans ses milliers d'yeux dans la rue qui cachent eux aussi des trucs sous du tissu, on est tous complices et je me rêve en moins de promiscuité démographique où t'as pas besoin d'un stade amateur de trolls pour affirmer qu'être nu c'est cool, même si oui, c'est aussi un peu pudique... pour le côté 'performance', heu... dommage que ce soit qu'une excentricité artistique ? on pourrait aller loin à explorer cette 'envie'...
surtout, justement, parce que je suis habillé, ça tombe fort x')