je vais essayer !
Donc, j'aimerais vous parlez et que nous parlions d'un grand de la poésie François Villon.
Il y a un auteur qui en a parlé (parmi tant d'autres) c'est Jean Teulé qui est décédé brutalement d'une intoxication alimentaire.
Bon ! Ne montez pas tout de suite sur vos grands chevaux, Teulé faisait du commercial, du grand public, mais il a eu quand même un certain mérite : populariser , vulgariser un poète pas si connu que ça !
Tout le monde connaît "la ballade des pendus" mais souvent, ça s'arrête là !
il y a peut-être ici des spécialistes de Villon, des érudits parlant couramment le vieux français (celui du bas moyen-âge) ?
ils me trouveront sûrement scolaire, voire inculte ?
mais je cause avec le cœur, j'ai beaucoup aimé lire Villon et l'étudier (j'y ai passé de nombreuses heures).
Villon, un mauvais garçon, un assassin admirateur des coquillards ... mais pas que.
Tout le monde, ou presque, sait que Villon a connu la gloire grâce à son éditeur ... un certain Clément Marot !
Comme quoi les éditeurs qui font leur boulot s'exposent à la gloire et la fortune ... heureusement que la grande majorité se contente d'éditer des people.
Ne râlez pas, on arrive à l'excipit ...
Il n'y a qu'un recueil du sieur Villon, donc, pas trop à lire (si on parle vieux françois).
Parmi mes poésies préférée, je citerai :
Les Langues
La grosse Margot
et bien sûr la ballade des pendus et la ballade des dames du temps jadis.
Mais lisez les poèmes en argot des coquillards, c'est truculent et ça annonce Rabelais .... et bien d'autres.
J'oubliais les "lais" qui sont ses 'legs' i.e. son testament. ça vaut son pesant de cacahuètes car il se voit mourir sans un sou mais tient malgré tout à léguer quelque chose à chacun. J'ai beaucoup rigolé à son legs des peaux de saucisson de son dernier repas !!!
bonne lecture.
cordialement