[Earth son]

C’est juste que je ne vois pas l’intérêt de prendre du temps pour te faire un avis détaillé si tout ce que tu souhaites est « un avis général enthousiaste » 

[Mic Ester]

Erik Stephann, Champdefaye, vous me mettez la pression là ! c’est vrai que c’est tentant, les personnages sont bien installés, yapuka dérouler comme on dit,
après faut un fil conducteur, donner de l’épaisseur au nouveau personnage, trouver des vannes, pourquoi pas ?

Houlà, Earth Son, c’est chaud là ! non, c’est du second degré, comme tu disais que ton commentaire risquait d’être pénible et tatillon,
j’ai cru drôle de dire que je n’acceptais QUE les commentaires élogieux, raté de ma part !
Sorry, Earth 

[Earth son]

Il y a certaines personnes qui sont comme ça, j'ai donc pris au premier degré, en effet.
Par contre, je suis partie sur un autre texte que je dois commenter depuis un moment donc je reviendrai plus tard sur le tien. 

[Choumi]

Bonjour
Moi je l'avais pris au deuxième degré ta réponse, dans le style de ton texte.
Et je suis persuadé que quelques conseils bien envoyés te ferais plaisir.
Il y a , ici sur ce forum, quelques personnages , j'essaie d'en être aussi, qui tentent un peu d'humour avec des textes légers, frais. Chacun son style. L'exercice n'est pas facile , dans l'ambiance du monde actuel. De ton écrit il ressort que tu t'es bien amusé en l'écrivant.  C'est communicatif.
Allez juste pour rire, une phrase à prendre au.......degré
Comment puis-je être modeste quant tout le monde me dit que je suis bon....même à rien
Bon ok je sors
Amicalement
Michel

[Mic Ester]

Salut Choumi,
Avec les réseaux sociaux où tout passe par l’écrit, pas facile d’évaluer le second degré, parfois le troisième avec moi ! bon, il y a bien les smileys pour aiguiller celui qui est à l’autre bout, mais ça ne marche pas toujours, bien fait pour nous, fallait pas entrer la dedans !
Comme toi, j’essaye de mettre un peu de fraicheur, de gaité dans mes textes, Je demande juste un peu d’indulgence en contrepartie, mais bon … (second degré). 
Plus sérieusement, bien sûr que je suis demandeur de conseils et de critiques sur ce que j’envoie, après, j’oublie vite …
Bien ta citation de fin, je ne connaissais pas, une journée qui commence bien en somme.
Mic

[Champdefaye]

Bonjour Mic Ester
A propos du second degré et des smileys :
Si on utilise un peu adroitement les smileys, on peut écrire absolument n'importe quoi à un correspondant sans qu'il ait même le droit de se fâcher, sauf à passer pour totalement dépourvu d’humour. Je donnerais bien un exemple, mais il faudrait pour cela que j'utilise un de ces petits-bonshommes-jaunes-qui-rigolent et je m'y refuse absolument. Alors disons que dans l'expression écrite d'aujourd'hui, l'émoticône occupe la place de l'élégant  "Nan ! J'déconne !"  du langage parlé.
Si les gens ne comprennent pas le second degré, ou plutôt ton second degré, tant pis. Expliquer le second degré d’une plaisanterie, c’est généralement très pénible et à tous les coups, ça tue le sel de la plaisanterie.
Pour certains, le second degré, c’est comme une langue étrangère qu’ils ne possèderaient pas et qui, dans un livre, mériterait la note de bas de page « intraduisible en français ». Mais on ne va se mettre à reprocher aux gens de ne pas parler le tchécoslovaque.

A propos de la suite de ton texte :
Je ne vais pas donner de conseil, mais dire simplement ce que je ferais si j’étais dans ta situation.
D’abord, la plupart du temps, quand je commence à écrire un texte, c’est absolument sans savoir où je vais. Je pars en général d’un mot, d’une phrase (de moi ou de quelqu’un d’autre), d’une scène instantanée surprise dans la rue ou, plus souvent en ce qui me concerne, dans un café, je choisis un genre et je démarre. J’imagine une ou deux répliques et en général les personnages prennent vie et (parfois quand c'est réussi) leur indépendance avec une personnalité qui se créé progressivement. Bien sûr, avec ce genre de procédé, on part quelquefois sur des fausses routes, il faut effacer, revenir en arrière, corriger, jeter à la poubelle. Mais de temps en temps, ça peut marcher.
Donc, tu as déjà un décor et des personnages fortement campés. Il n’y a plus qu’à prolonger la soirée et les faire vivre un peu.
Tu pourrais par exemple, pour commencer, imaginer une platitude que dirait Frédéric au début du repas pour être poli envers la maitresse de maison avec une répartie dans le droit fil de la personnalité de la mère, par exemple, suivie de la confusion de Clémence et retour dans le dialogue de l’égoïste Laurent sur ses propres problèmes. Tu auras là trois ou quatre répliques qui devraient faire démarrer le moteur de la comédie.
Sur ce, tous mes voeux et bon courage.

[Mic Ester]

Champdefaye,
Je suis pas fan des smileys bien sur, ça ne vaudra jamais une belle phrase, des beaux mots qu'on a choisi, mais bon, c'est nouveau, rigolo, alors on se laisse tenter ...
Sur le second degré, j'ai eu quelques problèmes avec des courriers pro, je devrais me méfier, mais rien à faire.
Pour la suite, j'ai des idées, faut mettre tout ça en ordre, merci pour tes encouragements
bonne soirée
Mic

[Mic Ester]

Si vous avez aimé, retrouvez la suite avec le numéro 2 !