[gage]

Coucou Mout !

Merci pour ce petit conte.
C'est moche, en fait, ces poules qui doivent si vite abandonner leur rêve et en reviennent à leur routine. j'aurais bien aimé que, malgré tout, elles y aient gagné quelque chose, d'y avoir cru de manière si fugace... Qu'elles aient encore ce frisson d'excitation d'aventure lorsqu'elles lèvent les yeux vers les étoiles.

J'ai décelé une petite faute cachée : Répondit un peu dépité Plume, dépitée

Merci encore pour ce récit un peu fataliste, hélas.

[Samarcande]

Salut Mout 9

Au fil du texte

Dans sa basse-cour se trouve un poulailler où vivent trois poules : Cocotte , Plume et philomène.

Majuscule à Philomène

Son plaisir vient surtout dans les réponses qu'elle y trouve.

j'écrirais : Son plaisir vient surtout des réponses qu'elle y trouve.

Un jour d'été, tandis qu'elle regardait un vol d'étourneaux, elle se demanda pourquoi, bien qu'ayant des ailes et des plumes, commes les canards ou les oies de la ferme, elle ne savait pas voler.

comme

Pourquoi voulez vous voler ? Leur demanda-t'il. Moi je ne vole pas et je suis très bien ainsi.

pas de majuscule à leur après le point d'interrogation  (je sais les correcteurs la mettent toujours en automatique) et  demanda-t-il

- C'est vrai, on pourrait aller où on veut quand on veut. Reprit Plume.

Pour les dialogues il faut mettre des tirets longs ( cadratin).
pas de majuscule à "reprit"

En effet, elles voulaient savoir voler, mais sans savoir où elles iriaient.

iraient

Bon je ne relève pas tout parce que je vois que les autres l'ont fait avant moi.

L'intervention de Cuicui leurs permirent de renouer avec la réaltié. Elles avaient en priorité dans leur vie de veiller sur leur famille, plutôt que de gâcher leur temps et leurs ressources vers un voyage qui n'aurait rien apporté, hormis le fait d'être les premières à l'avoir fait. C'était vraiment faire un projet sur la comète.

Oh !!! Comme c'est triste de renoncer ainsi à ses rêves !
J'aurais préféré que ce soit parce qu'elles se rendaient compte qu'elles avaient de la chance à avoir des poussins et des croutons dorés et pas juste par devoir de s'occuper des autres.

Cocorico, qui savait surtout aider les autre en gardant ses mains dans ses poches,

Bon je trouve que le personnage du coq est vraiment bien réussi.
L'histoire se tient bien. C'est vraiment une gentille histoire (mais pauvre coq !
Méritait-il autant de violence à la fin? Il me fait presque autant de peine que le Schtroumph à lunettes ). Et puis j'aimerais bien que ces pauvres poules si studieuses ne se dévalorisent pas autant et ne renoncent pas si facilement à leurs rêves.

[Cendres]

Merci à vous tous pour votre lecture et vos commentaires. Je sais que l'on doit répondre aux commentaires, mais comme c'est un autre compte, il ne prévient pas lorsque j'en ai sous "Mout".

@ Claudius
Merci pour ta lecture et ta correction.
Pour écrire, j'utilise Word Pad, donc il ne me dit pas si je fais des fautes, des espaces de trop, c'est uniquement à l'œil.
Pour le tiret dans les dialogues, j'ai fait un copier coller, car je ne sais pas, ou je ne peux pas le faire. J'ai celui du 6- ou celui du 8_, donc j'utilise celui du 6- car il ressemble plus.
Pour le "à" majuscule, je sais pas comment on fait pour le taper.
Je te remercie pour ton temps passé à me corriger. Je sais que c'est pénible de lire un texte plein de fautes. En plus, avant de l'envoyer, je l'avais passé sur Scriben, mais je vois super mal.
Je suis contente que mon texte t'ait fait plaisir malgré tout

@Earth son
Merci pour ta lecture et ta petite correction.

@Za'gros Cheveux
Merci pour ta lecture et ta correction.
Merci pour ton éloge sur mon texte. En lisant les thèmes , J'ai eut tout de suite cette histoire en tête.

@gage
Merci pour ta lecture.
En fait, je voulais un côté réaliste . Les poules bien qu'étant "extraordinaire" vivent dans un monde normal. Je me suis dit que c'était impossible pour elles de faire une fusée.

@Samarcande
Merci pour ta lecture et ta correction. Je sais, je le dis à chaque fois.
Comme je disais à Gage, les poules sont extraordinaires, mais elles vivent dans un monde normal.
Après, comme je dois rester anonyme, même si j'ai des doutes qu'on n'a pas devinés qui je suis, je ne peux pas répondre à certaines choses pour l'histoire.
Mais en fait, il n'y a pas de méchant, juste un coq prétentieux et vantard.
Je trouvais rigolote l'expression de recevoir quelque chose dans le coin de la figure, d'où cette violence.

[Claudius]

Bonsoir Mout,

Pour les tirets quadratins il faut appuyer sur la touche Alt et taper sans la lâcher 0151 ce qui donne : — et pour le À c'est Alt et 183 (toujours sans lâcher la touche Alt. Cette touche se trouve normalement à gauche de la barre d'espace en bas du clavier. Sinon tu copies/colles.
Je te l'avais mis entre parenthèse dans mon message.

[gage]

@gage
Merci pour ta lecture.
En fait, je voulais un côté réaliste . Les poules bien qu'étant "extraordinaire" vivent dans un monde normal. Je me suis dit que c'était impossible pour elles de faire une fusée.

Je trouve trop drôle que tu dises ça, sachant que tes poules surfent quand même sur internet avec leur téléphone ! Moi je les imagine vraiment capables de tout !
En bonne hackeuses, tout leur serait possible et envisageable !

Enfin, moi je te disais juste que je les aurais préféré un peu nostalgiques de leur rêve, au moins, et pas si vite défaitistes et résignées.

[Cendres]

@Claudius
Je ne connaissais pas ses raccourcies. J'espères ne pas les oublier par la suite. En fait, je n'ai pas osés le dire pour ne pas être trop tarte, mais je tapais mal.
—
À

Merci

@gage
Mais poules, en fait je dis juste qu'une a un téléphone, sont d'une intelligence humaine. Donc lorsque Cocotte parle de fusée et de centrale nucléaire, ceux sont des savoirs qu'elles ne possèdent pas. C'est pour cela qu'elle dit "Il suffit de". Souvent c'est une expression utilisée par des gens pour dire a une autre de faire une chose alors que ce n'est pas simple , et souvent hors de leurs moyens.

[Aponiwa]

Je trouve ton texte encore mieux que la première version. J'aime bien l'intervention du petit Cuicui!
Reste quelques coquilles :

Poulettes

Au milieu des plaines du Jura se trouve une ferme si vieille, qu'elle semble avoir toujours été là.
Dans sa basse-cour se trouve un poulailler où vivent trois poules : Cocotte , Plume et Philomène.
Ce ne sont pas des poules ordinaires. Certes, elles adorent picorer toute la journée comme leurs congénères, mais elles sont aussi savantes.

Cocotte adore la science, aime se poser des questions sur la vie. Son plaisir vient surtout des réponses qu'elle y trouve.
Un jour d'été, tandis qu'elle regardait un vol d'étourneaux, elle se demanda pourquoi, bien qu'ayant des ailes et des plumes, comme les canards ou les oies de la ferme, elle ne savait pas voler.
Plume, la sportive du groupe, lui expliqua que c'était dû à leur mode de vie sédentaire. Que, si elles se remuaient un peu plus, elles devraient réussir comme les autres oiseaux à s'envoler.

Les trois amies décidèrent de s'entrainer et de se muscler activement. Mais, malgré leurs efforts et leur sueur, elles n'arrivèrent qu'à virevolter quelques instants.


Cocorico, le coq, voyant ces dames s'être mise au sport, fut intrigué .
— Pourquoi voulez vous voler ? leur demanda-t-il. Moi je ne vole pas et je suis très bien ainsi.
— Parce qu'on est des oiseaux et qu'un oiseau ça vole, répondit Philomène. Imagine la liberté qu'on aurait si on savait voler.
— C'est vrai, on pourrait aller où on veut quand on veut, reprit Plume.
— Mais vous voulez aller où ? Demanda Cocorico.

A cette question elles n'avaient aucune réponse. En effet, elles voulaient savoir voler, mais sans savoir où elles iraient.

Cocorico, qui était content de voir que ses dames cherchaient à s'élever dans leur vie, reprit :
— Pourquoi ne pas vouloir viser plus haut que les nuages?
— Plus haut? répondit intriguée Philomène.
— Viser les étoiles, car comme ça même en cas d'échec, vous atteindriez la Lune.
— C'est beau ce que tu dis, c'est de toi ?
Cocorico réfléchit un petit moment et répondit faussement gêné :
— Pratiquement, pratiquement.

Les trois poules regardèrent le ciel et se dirent que c'était un meilleur objectif. C'était plus beau et plus grand que tout ce qu'elles avaient pu imaginer. Elles  se voyaient déjà déambuler d'étoile en étoile, ou simplement marcher sur la Lune.

Cocotte, qui grâce à la vente d'œufs bio s'était payé un abonnement 5G*, regarda son téléphone et leur lut un article :
— L'oiseau volant le plus haut serait  l'oie à tête barrée, Anser indicus, qui survole régulièrement la chaîne de l'Himalaya à près de 9 000 m de hauteur.
— Mais, la Lune, est distante de combien de nous ? demanda Philomène.
Reprenant son téléphone, elle répondit en  le lisant :
— La Lune est située à 390.000 km environ de la Terre. Cette distance varie entre 356.000 et 406.000 km en fonction de sa position sur l'ellipse qu'elle parcourt autour de nous.
— Ça serait trop dur, même certainement impossible, d'arriver à voler jusque là-bas, répondit un peu dépitée Plume.
— Oui mais pourquoi viser la Lune si on peut atteindre les étoiles. Elles sont peut-être plus proches? demanda Philomène.
Cocotte chercha aussitôt dans son téléphone et leur montra le résultat. Les chiffres étant trop grand pour être lus :
'Distance Terre-Soleil : 149 597 870 km. Distance Terre-étoile Alpha Proxima du Centaure : 39 734 100 000 000 km.'
— On ne peut pas, c'est encore plus loin, répondit Plume, encore plus dépitée.

Tandis que Cocotte réfléchissait à comment pouvoir parcourir de telles distances, son poussin Cuicui tira sur sa jambe et lui demanda :
— Maman, je peux aller jouer avec mes copains ?

L'intervention de Cuicui leur permit de renouer avec la réalité. Elles devaient en priorité dans leur vie de veiller sur leur famille, plutôt que de gâcher leur temps et leurs ressources vers un voyage qui n'aurait rien apporté, hormis le fait d'être les premières à l'avoir fait. C'était vraiment faire un projet sur la comète.

Leur journée se termina dans le poulailler, autour d'un bon bol de vers de terre frais, accompagné de croûtons de pain dorés.
Cocotte n'avait pas pour autant oublié son projet de se rendre au milieu des étoiles. Elle leur dit :
— J'ai trouvé une solution qui va rendre possible notre voyage...
Ses deux amies arrêtèrent de manger et attendirent fébrilement la suite de sa phrase.
— ...Il suffit d'avoir une fusée à propulsion nucléaire.
— Propulsion nucléaire ? répondit intriguée Philomène. Mais on fait comment pour faire ce genre de fusée?
— Avant de fabriquer la fusée, répondit Cocotte, il suffit juste de construire une centrale nucléaire. Mais avant de vouloir la construire, il faut simplement savoir où trouver de l'uranium.

Cocorico, qui savait surtout aider les autre en gardant ses mains dans ses poches, leur fit remarquer, sur un ton supérieur:
— Mesdames, vous voulez construire de bien drôles d'objets, qui vous seront totalement impossible a réaliser. Jamais vous n'arriverez à construire une fusée, une centrale nucléaire ou trouver de l'uranium.

Bien qu'en effet jamais elles ne surent voler par elle même ou avec l'aide d'une fusée, ce jour-là quelque chose vola bien au cours de ce repas. Un grand bol vide dans le coin de la figure du trop arrogant Cocorico.


*Selon une autre source, elle s'est fait vacciner contre la COVID 19.

[Ocubrea]

Bien le bonsoir (ou la bonne nuit ?) Momo !

Je passe en coup de vent avant la fin de la phase de commentaires pour te donner mon retour, même si j'ai conscience que des modifications, actuellement, selon difficiles à entreprendre. Je ne vais donc pas beaucoup chicaner.

J'ai trouvé ton histoire de poules savantes rigolote, et j'ai bien aimé le décalage qu'il y a avec toute la technologie dont il est question. Les dialogues sont un peu empruntés, mais dans ce style, ça ne choque pas trop. Cocotte me plaît beaucoup, avec ses grandes idées Ton texte se lit vite, c'est fluide... Il n'y a pas beaucoup d'enjeu ici et pas de grand rebondissement dans ton histoire, mais ça reste agréable à lire et ce n'est pas trop long.

Merci pour ce texte, à plus !

[Cendres]

@Aponiwa
Merci pour ton commentaire et ta correction. Contente que Cuicui t'as plus, malgré son peu de présence dans l'histoire.

@Ocubrea
Merci pour ton commentaire. Contente que mon texte t'a plus.
C'est quoi des dialogues empruntés ?


Comme le concours est bientôt fini, je tiens à remercier toutes les personnes qui ont eu le courage de corriger mon texte. Je sais qu c'est pénible de lire un texte plein de fautes. Surtout que certaine sont de frappes et je ne devrais pas les faire.

[Ocubrea]

Hey !

Désolée si ce n'était pas clairs : "emprunté" ici est à comprendre dans le sens "manquant d'aisance, de naturel", donc je trouve tes dialogues assez théâtraux par moments, ils s'éloignent d'une conversation simple et spontanée, on sent par moments qu'ils sont "travaillés", réfléchis. Mais ce n'est que mon avis !

[Docal]

Un petit texte sympathique entre la fable et le sketch comique. Il y a un petit coté poésie par moment, on sent que tu t'es amusé à jouer avec le mots Mout.

[txuku]

Bonjour Cendres

Je viens de decouvrir ce texte charmant................ 

Grace a l intervention d Alan Tréard sur ton dernier post " Le sauveur de la nation "

Je suis content de decouvrir plusieurs de tes facettes et ton humour !

Tu connais ma facon d ecrire - peu de ponctuation et de forme - ne t attache pas trop a ces details mais vise plutot la bonne orthographe des mots - la lune et pas le soleil !

[Choumi]

Bonjour
Ce texte est du mois d'Aout et je me suis inscrit au mois de Septembre.
Je suis donc passé à côté moi aussi.
C'est un texte plaisant, frais qui fait du bien
Une preuve , c'est qu'il est remonté aujourd'hui
Amicalement
Michel

[Cendres]

Merci pour votre lecture txuku et Choumi

Je l'avais écrit pour le "concours" du chameau immortel. C'est pour cela qu'on m'appel Mout. Mais malheureusement tout le monde a devinait que c'était moi.. .C'est certainement a cause de ma grande qualité d'écriture

Regarder dans le chameau immortel, vous trouverez des autres textes des autre participants. Il y'a même un PDF a télécharger

[Frami45]

J'ai aimé ta petite histoire de basse-cour, et tes trois poulettes bien sympas qui, telles "Perrette au pot au lait" rêvent d'aventures. Bien fait pour le coq, cet empêcheur de rêver en rond qui prend un bol vide sur la figure. Non mais, pour qui il se prend ! Dès que j'en aurai l'occasion, je dirai ce conte à mes petites nièces. Et même peut-être, qu'elles et moi, nous le continuerons pour ne pas laisser le dernier mot à ce coq rabat-joie. Cordialement.