Abarat
Fiche d’identité :
-Titre : Abarat
-Auteur : Clive Barker
-Éditeur : Albin Michel
-Collection : Wiz
-Genre : Fantastique
-Nombre de pages :465
-Parution : 2002
Ça y est... mon premier commentaire sur ce site ! J’ai vu que personne ici n’avait parlé d’Abarat. Ce livre est le premier d’une trilogie (déjà deux tomes de parus). C’est un bouquin qui se lit plutôt facilement, l’histoire est sympa, voire un peu (beaucoup) déjantée ! (Façon Alice au pays des merveilles). Un léger reproche : il se lit trop facilement et les personnages sont parfois un peu simplistes mais c’est dans l’ensemble un chouette divertissement ! Un peu enfantin, mais très prenant. Enfin, cerise sur le gâteau, ce bouquin nous en met plein la vue grâce aux descriptions de paysages et personnages hauts en couleurs et grâce à ses 220 illustrations peintes par l’auteur lui-même et qui sont tout simplement MAGNIFIQUES !!!!!
Résumé de couverture : « Candy Quackenbush s'ennuie à Chickentown, petite ville triste de l'Amérique profonde. Jusqu'au jour où elle pénètre par hasard dans le royaume magique d'Abarat, un archipel composé de 25 îles mystérieuses aux étranges habitants.
Au fil de ses rencontres merveilleuses, émouvantes ou terribles, Candy va découvrir pourquoi cet univers lui semble curieusement familier et pourquoi elle se sent prête à y affronter de terribles dangers... »
Première page:
J’ai rêvé d’un livre sans limites
Un livre libre, sans reliure,
Qui sème une folle profusion de pages.
À chaque ligne se dessine un nouvel horizon,
De nouveaux cieux imaginés ;
Nouveaux états, âmes nouvelles.
L’une de ces âmes,
À rêvé ces mots
Assoupie, un après-midi.
Cherchant une main pour les consigner,
Elle a créé la mienne. »
C.B.
Lettre au lecteur :
« Voilà des années (sans doute depuis le jour où j’ai découvert Le Magicien d’Oz ou les Chroniques de Narnia) que je rêvais d’inventer un monde aux horizons illimités. Un monde peuplé de créatures fantastiques et de monstres terrifiants (...) Un monde qui créerait une nouvelle mythologie. (...) Pour la première fois de ma vie d’écrivain, j’ai senti que les mots seuls ne suffiraient pas à raconter mon histoire. J’ai donc peint trois cents tableaux, dont une centaine pour le premier volume. (...)Ce sera, je l’espère, comme de rêver les yeux ouverts. » C.B.