Bondir,
Finalement ne pas avoir grand chose à dire,
alors finir, en glissant des alphabets de compliments entre les lignes,
(ou entre parenthèses écrire : ma respiration tenue par ton idée, qui ne déborde pas, n'étouffe pas,
des alinéas pour atténuer la violence, éviter d'en préciser le trait, oui seulement suggérer avec le recul des degrés, des pensées, des espaces, des comparaisons : "tu parles comme tu pleures", "tu pleures quand tu penses"
Et les pensées ? Comme les fleurs, "absentes de tous bouquets". On a beau dire une fleur, elle reste musique, souffle, idéalité.
Je crois que j'ai vraiment bien aimé, même si à écrire ces bêtises je te peinture à Mallarmé et Bergson.
Après, moi aussi j'ai des soucis avec les conjonctions de subordination, mais c'est support et supportable
Au plaisir des politesses, Hippolitote
oups j'ai oublié de fermer la parenthèse