Je sais pas où vont les discussions ici, mais ce matin m'est venu un axe de réflexion qu'il m'a fallu matérialiser...
Partant du principe que cette réorganisation est une nécessité soulevée par différents problèmes, j'ai listé non-exhaustivement les caractéristiques incidentes :
- le forum est un vieux code php qui a l'avantage d'être léger et rapide au chargement
- la liberté de postage semble en pratique une acquisition à conserver
- pas de CB, MPs limités, quotas de textes
Et les-dits problèmes :
- on se désoriente très facilement
- il y a des tensions parfois immodérables
- les règles un peu plus littéraires que juridiques ne peuvent ainsi être suivies, ce qui provoque cette incohérence
La formulation de quelques fondamentaux à la réflexion m'est parue ainsi :
- que souhaite l'utilisateur faire dans le forum ?
lire ; écrire ; progresser ; s'insérer
- que propose le forum ?
espace d'échange - partage - consultation
- comment fluidifier l'usage ?
concilier détail et multitude avec accessibilité et aisance...
Cernant un problème dans la cohésion de ce qu'on se figure du lieu, je l'ai ausculté :
Pour moi, le MdE c'est 3 essences primordiale dont chacun aurait le loisir d'y voir midi à sa porte. Trois indéfectible à la question "qu'est-ce que le MdE", qui ne prédominent aucunement les uns sur les autres, mais qui se distinguent invariablement par leur angle de vue :
- une COMMUNAUTE : l'un de objectifs, on se mentira pas, c'est se regrouper autour de l'entraide littéraire
- des PRATIQUES : un deuxième, imparable, c'est qu'il s'agit de se regrouper autour de quelque chose, la pratique de cette entraide littéraire
- des LIEUX : un troisième, effet du besoin d'incarner ce regroupement et ces pratiques, il faut un ou des lieux virtuels ou réels
Je me dis que si l'on orientait la navigation autour de cette vision, chacun pourrait mieux se repérer, mais ça reste à soumettre à votre impression !
Je suis presque sûr de pas être clair même avec l'image suivante, mais je ne pense pas faire vaciller votre édifice avec ma simple pierre, donc :