Le Monde de L'Écriture – Forum d'entraide littéraire

03 mai 2024 à 01:33:43
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Auteur Sujet: L'envers  (Lu 7931 fois)

Hors ligne txuku

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Re : L'envers
« Réponse #15 le: 02 mars 2021 à 18:01:20 »
Bonsoir

je suis........ :-¬? :)
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"Le traducteur kleptomane : bijoux, candelabres et objets de valeur disparaissaient du texte qu il traduisait. " Jean Baudrillard

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Re : L'envers
« Réponse #16 le: 02 mars 2021 à 18:05:50 »
Bonjour, :)

Quelle surprise ! Un sacré retournement pour ne pas parler d'envers même. Le titre trouve là un nouveau sens.

Un nouveau rythme à l'histoire, une nouvelle ambiance, le lecteur ne peut s'y attendre, il se demande même si l'auteure ne se serait pas jouer de ce qu'il croyait savoir ou deviner de la suite.
J'aime beaucoup, même si avec les chapitres précédents on avait pléthores de détails, de ressentis et là, le rythme accéléré nous coupe de cette habitude qui nous berçait. En tout point bluffant cette capacité à retourner comme une crêpe une situation qui semblait s'enliser.

Bravo. :D
"La critique, art aisé, se doit d'être constructive." Boris Vian dans l'Herbe rouge.

Hors ligne Feather

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Re : L'envers
« Réponse #17 le: 02 mars 2021 à 19:26:23 »

Merci Txuku et Baghou

je suis ravie que mon texte trouve un écho favorable, vos remarques ont été essentielles pour moi.

j'espère que la suite saura vous plaire.
Les larmes sans pleur sont une lanterne.

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Re : L'envers (suite4)
« Réponse #18 le: 03 mars 2021 à 19:26:39 »
C’était un monde virtuel aux dimensions extensibles dans lequel les objets gravitaient sans attache autour d’un même noyau : moi. J’étais la proie de mes désillusions. L’anachronisme de la situation me plongea dans un état  cotonneux. L’excitation procurée par la stupéfaction me laissa hébétée, suspendue à un temps sans horloge. Intérieurement, les idées se choquaient en créant des circonvolutions autour d’un vide ténébreux. L’envie de toucher, de confondre mon être à cette réalité délirante, de sortir forte de cet underground, me procurait une curiosité mêlée de folie. Etais-je observatrice d’une scène apocalyptique ?
1975 était l’année de ma naissance… La tête entre les mains, ballante de droite à gauche, une question me revenait en boucle : Comment était-ce possible ?
Je crois que nulle personne ne pouvait me donner de réponse, si ce n’était moi. Je partis dans un soliloque outrageusement délirant. Ma voix prenait des accents étranges, un charabia écholalique enveloppait mon être affaibli…et je perdis connaissance. Une heure plus tard je me retrouvai dans un dispensaire, où l’on m’expliqua que j’avais fait une crise d’hystérie.
Je connaissais une cartomancienne qui tirait le tarot à quatre rues de là. Je décidai de la consulter quelques jours plus tard.
C’était une belle femme, légèrement opulente, apprêtée d’une longue robe aux couleurs chatoyantes. À son cou un sautoir orné de perles rouges anthracites habillait une peau tannée légèrement halée. Elle me fit entrer dans une pièce à la lumière tamisée. Un chat mi-ange mi -démon était allongé sur une banquette élimée.  Le lieu respirait la paix et l’étrangeté. Je m’y sentis bien immédiatement.
Après m’avoir dévisagée, d’un signe discret, elle me fit m’asseoir, autour d’un guéridon face à elle. Elle y déposa scrupuleusement des cartes, successivement par rangée de trois. Puis elle leva la tête et me regarda droit dans les yeux sans aucune manière. Alors que je ne m’y attendais pas, elle me fit une tirade cornélienne. M’avertissant que quoi qu’il arriverait, j’étais maître de mon destin. Que les astres me protégeaient. Elle put également voir des messages obscurs, mais qui selon elle, n’avaient qu’une faible teneur prédictive, et en aucun cas ne pouvaient représenter de réels écueils dans ma vie. Elle me parla de  personnes qui gravitaient  autour de moi,  famille,  concierge, voisins… en mettant l’accent sur quelques détails  plus que plausibles. Puis vint le moment tant attendu : un homme d’une carrure élancée allait entrer dans ma vie. Cet évènement allait bouleverser mon univers intime et m’éloigner de mon existence actuelle. Elle ajouta que cette personne était une effigie...  Comment devais-je comprendre ceci ? Une personne représentant une autre personne ?
Je nageais à nouveau dans un flou abyssal.
Le doute de la dualité me submergeait. Comment allais-je vivre cette ombre obsédante ? Car elle était bien là cette ambivalence. Autant j’avais eu confiance en moi, autant maintenant, l’incertitude me foudroyait. L’ouragan m’avait terrassée. J’aurais voulu m’extraire de cette impression omniprésente qui, lorsque je ne songeais plus aux élucubrations de cette sorcière, me réapparaissait sous formes de tensions nerveuses me comprimant l’estomac et le sternum. Je perdais en confiance. L’évocation de cette date symbolique, m’interrogeait sur mon devenir, allais-je me volatiliser, m’effacer sur une trajectoire inachevée? Comment pouvais-je réinventer ma vie en polaroïd, et au final en dessiner la cartographie ?
Mon esprit se perdait. Je voyageais dans un monde intérieur sans issue, à la fois terrifiant et mystérieux.
Après cet épisode, j’étais sujette à des fièvres nocturnes. Ma santé se détériorait de jour en jour. J’avais le sentiment de me métamorphoser progressivement en cafard Kafkaïen. Mais à la différence de Gregor, je n’avais pas de carapace, au sens figuré du terme. Je me sentais faible et impuissante.
Certes, la société dans laquelle j’essayais de briller se révélait exigeante et cruelle. J’aimais mon métier, en tant que rédactrice d’un magazine, je ne m’ennuyais pas. Je faisais preuve d’innovation, c’était assez bien reçu dans le milieu de la presse écrite. J’en espérais, cependant, toujours trop. Je puisais constamment dans mes ressources.
« Modifié: 08 mars 2021 à 19:55:44 par Feather »
Les larmes sans pleur sont une lanterne.

Hors ligne BAGHOU

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Re : L'envers
« Réponse #19 le: 03 mars 2021 à 20:03:01 »
Bonsoir,  8)

Hmmm...ça va vite, très vite, même pour le lecteur.  :-¬? Il faut trouver un juste milieu ou mieux une harmonie de tempo pour ne pas soit hypnotiser le lecteur pour les trois premiers actes, soit l'essouffler à s'évanouir dans les deux derniers actes. Trop lent et le descriptif gâche un peu, trop rapide et le descriptif vient à manquer car on n'a pas le temps d'analyser toutes les images que nous envoie l'auteure, du coup il nous manque des informations, des petits détails, de lieu, de temps, de situation.

Se faire happer ainsi dans une histoire, c'est comme le grand huit, j'aime beaucoup.  :) L'histoire a des airs de déjà vu, mais pas tout à fait et c'est très intéressant ce côté déjà vu qui est agaçant dans le quotidien lorsqu'il nous tombe dessus.

Très bien ficelé tout cela, l'auteure tient un truc du tonnerre... ;)

Je crois qu'il faudra une fois l'histoire terminée revoir, les petits trucs laissés de côté pour parfaire le tout.

Félicitations. 8)
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Hors ligne txuku

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Re : L'envers
« Réponse #20 le: 03 mars 2021 à 20:13:19 »
Bonsoir

J apprecie tes descriptions chatoyantes......... :)

Ici :
Citer
à la fois terrifiant et à la fois mystérieux.
on peux se passer du deuxieme a la fois ?
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Re : L'envers
« Réponse #21 le: 03 mars 2021 à 20:37:33 »

Super Baghou et Txuku.
C'est assez difficile de ne pas sombrer dans les clichés...
Oui, Baghou, je pense bien effectuer une lecture finale pour aligner tout cela et apporter les corrections nécessaires , je prends bien évidemment note de tes suggestions judicieuses.
Bonne soirée à vous deux.
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Hors ligne Aizenmajnag

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Re : L'envers
« Réponse #22 le: 04 mars 2021 à 10:41:17 »
Je ne me lasse pas de lire vos récits (autobiographique?) et ai hâte de lire la suite^^ Les phrases sont tournées d'une manière captivante et la richesse du langage impressionne. A bientôt pour le prochain j'espère
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Hors ligne Feather

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Re : L'envers
« Réponse #23 le: 04 mars 2021 à 13:43:19 »
Bonjour Aizenmajnag
Heureuse que cela vous plaise.
Pour la suite, j'y travaille...peut-être ce soir?
Et non, ce n'est pas autobiographique.
« Modifié: 04 mars 2021 à 14:37:07 par Feather »
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Re : L'envers (suite 5)
« Réponse #24 le: 04 mars 2021 à 19:32:34 »
« À poursuivre l’espoir, on parvient à gravir des montagnes », cet aphorisme très personnel me guidait. À chaque pensée inédite, je m’amusais à écrire sur des supports improbables, paquets de cigarettes, factures, canettes de soda… Comme tout pouvait être prétexte à philosopher, je laissais partout derrière moi une empreinte poétique. Le plus surprenant, je pense, était le mur accolé à mon lit, marquant la séparation entre l’espace salon et l’espace nuit. Plus un seul centimètre carré de peinture n’était visible. Les graffitis, les mots jonchés délibérément recouvraient ce pan très intime de façon très stylisée. L’impudeur de ce geste m’aidait parfois à surpasser mes réticences. Je puisais mes forces dans un éternel bain de création fantaisiste, où inhibition et exubérance contrariaient et mettaient en éclat une personnalité originale. Cette originalité féconde m’avait valu le prix de la meilleure éditorialiste de l’année, dans la rubrique « des arts figuratifs » du mensuel « z’artum ». Cette propension spontanée à la déclaration sauvage et incontrôlée, me privait d’une cruelle exigence envers moi. Infatigable dans mes échappées prosodiques, ma discipline m’engageait à une autosatisfaction maladive, me faisant arpenter des travers autocentrés. Par moment cela en était même maniaque. Ce refuge dans les sillons de l’écriture était un exutoire fascinant où contrastaient des dérives inexplorées aux entrechats d’idées excentriques.
Un dimanche matin, gênée par le bruit de la pluie qui déferlait en trombes sur le vasistas, je sautai de mon lit. Trébuchant maladroitement sur une de mes chaussures laissée négligemment sur la descente de lit en peau de mouton, je me sentis observée. Je rougis et me mis à sourire. Sa présence… De son charme envoutant exultait une familiarité pudique. Tout en le regardant, je laissai tomber mon tee-shirt, ma poitrine dénudée s’offrait à lui. Je décidai de me recoucher, et là sous la couette, je me mis à me caresser langoureusement, puis avec une excitation plus intense, jusqu’à l’essoufflement jouissif. Et je me rendormis. 
Le réveil fut très agréable. Je remerciai ce visage, encadré modestement d’un ruban rose parme, d’exister. Je prenais soin de tailler méticuleusement mes pinceaux pour un rendu raffiné et personnalisais mes empâtements pour les reliefs souhaités. Ma technique instinctive faite d’improvisation caractérisait ma façon de peindre. Au-delà de l’aspect distractif de la peinture, ce tableau prenait de jour en jour une place plus importante et symbolique. Je ne m’en détachais pas. Je me couchais, m’endormait avec son imprégnation. Il était tout, comme ce premier regard sur l’autre rive.
 « La rencontre » prenait à nouveau vie. Les étoiles, selon la prédiction, distillaient ces petites réjouissances devenues au fil du temps inaccessibles.
« Modifié: 04 mars 2021 à 19:40:27 par Feather »
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Re : L'envers
« Réponse #25 le: 05 mars 2021 à 17:30:30 »
Bonjour, :)

Je reste un peu en suspens, il me manque quelque chose entre cette nouvelle partie et la précédente, le lien ne se fait pas naturellement comme si cette pièce du puzzle ne s'emboitait pas, c'est gênant.  :o

Le propos est juste, les phrases et les idées sont intéressantes, mais il manque ce côté peps dans l'histoire. Il faut faire des pauses Feather...  ;) ;)

La seconde partie avec le tableau est pas mal du tout.  :noange:
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Re : L'envers
« Réponse #26 le: 05 mars 2021 à 17:57:01 »
Oui, tu as certainement raison, je vais faire une pause et prendre note de ton observation concernant peut-être le manque de fluidité et de liaison entre les textes.
Les lecteurs risquent aussi de se lasser.
J'ai préparé une éventuelle suite...
Me conseilles-tu de ne pas la publier?
Je me réfère à toi, tu es l'une des seules à m'avoir accompagnée dans cette aventure.
« Modifié: 05 mars 2021 à 17:59:45 par Feather »
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Re : L'envers
« Réponse #27 le: 05 mars 2021 à 18:15:50 »
Hmmm... délicat, je crois que la meilleure option serait de revoir ce chapitre sauf si tu le trouves correct. L'auteur(e) doit rester maître de ses écrits. ;) 8)
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Re : L'envers (suite 6)
« Réponse #28 le: 05 mars 2021 à 18:25:14 »
Pour des raisons que j’ignorais, j’oscillais entre des envolées théâtrales et des silences sans mots. Quant à ma force, elle se figeait. La trivialité de mes pensées agrémentait ma spiritualité de penchants surnaturels. Mais tu étais toujours là, triomphant sur les affres du cœur. Tu ne m’égarais pas, tu m’aidais à me découvrir. Seul, comme quelqu’un d’insolite, ton pouvoir était tel qu’il me transfigurait.
Et c’est ainsi que je passai l’été qui suivit, avec ta présence qui m’enlaçait et me faisait rougir à la moindre évocation érotique. Tu m’avais apprise à susciter de l’attrait, à réveiller une séduction que j’avais perdue. Tu exerçais une attraction hors du commun.
Mon dialogue intérieur, riche d’improvisations, me nourrissait. Je m’amusais à l’associer à mon dessert favori, une tarte aux fraises, montées de chantilly bien appétissante. Les fraises rondes, juteuses représentaient les objets du délice. La chantilly, blanche, aérienne, pouvait être le plaisir tendrement procuré par le pêché gourmand. Et le fond de tarte, était ma manière d’accéder à l’illusion  d’un appétit bercé de sensations folles. J’aimais travestir mes impressions en substrats interminables. Parfois mon imagination tellement débordante m’enfermait dans une exubérance et une frénésie sans borne.
Mais ce délire sonna sa fin le jour de mon anniversaire.
Je n’étais, alors, en apparence, qu’une jeune femme stable et socialement installée, quand ma transformation s’exécuta comme un tsunami.
Ma passion pour les arts visuels, datait de quelques années avant mon déménagement, à l’époque j’appréciais vagabonder dans les venelles dont l’étroitesse rendait un charme hors du commun à cette ville historique où enfant j’aimais déambuler. La hauteur des habitations, la singularité des façades et la pureté des couleurs m’inspiraient. Il me suffisait de lever la tête et de capter la profondeur d’une vie suspendue aux souvenirs d’antan pour vouloir immortaliser l’instant. Flashant avec mon Canon reflex et voulant imprimer cet aperçu d’une marque originale, je parachevais tout un monde capable de transmuer un cafard en papillon blanc. Les rais du soleil dansaient dans cette élévation monumentale comme une fuite ascensionnelle.
Au moment d’éprouver toute la soudaineté esthétique, je me vis. J’étais là, sur ces façades, entre fiction et réalité. Je me dédoublais. Ce spectre fascinant et inquiétant me parlait et prenait forme dans mon appareil photo. J’entendais mon écho, la réverbération de mon profil dans cette apparence fictionnelle. Le fantastique se mariait au réel.
C’était mon effigie. Je devinais toute l’absurdité du phénomène !
Comme un tout unifiant, limpide et nettoyé d’impureté, une osmose sidérante.
Il était face à moi, cet amour, ce sentiment grandiose qui m’appartenait et qui avait revêtu l’apparence de cet homme sorti tout droit de mon imagination. Telle une fusion identitaire, ma passion nourrie de mon sentiment solitaire me frappait au visage. C’était un monde féérique où l’apparence n’existait pas, où la chair se décomposait en un amas de lucioles, dans la noirceur de mon esprit en perdition.
La vision de cet être idéal n’était finalement que mon inconscient. J’essayais de fuir les remords que j’avais enfouis des années auparavant. Lorsqu’après t’avoir perdu à jamais dans un accident de la route, tu me hantais encore. Toi, Malo.
 
« Modifié: 05 mars 2021 à 18:29:35 par Feather »
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Re : L'envers
« Réponse #29 le: 05 mars 2021 à 19:23:26 »
Oh, oh ! On retrouve Feather.  8)

Le seul point un peu abstrait reste la courbe du temps qui échappe un peu au lecteur car elle n'est donnée que par petite touche.

Tout le reste reste prenant et si bien exprimé. Pfff...c'est agaçant ce savoir-faire.  :)

Bonne pause...mais pas trop longue. :???:
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