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Le Monde de L'Écriture » Coin écriture » Textes courts (Modérateur: Claudius) » [LOST] Fanfiction de John Locke sur la Saison 4 de la série "Lost"

Auteur Sujet: [LOST] Fanfiction de John Locke sur la Saison 4 de la série "Lost"  (Lu 3003 fois)

Hors ligne John Locke

  • Calligraphe
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Bonjour à tous ;)

Dans ce topic, je vous proposerais une fanfiction sur la Saison 4 de Lost, en maximum 16 épisodes (je doute d'en arriver jusque là mais bon, j'ai jusqu'en février 2008 ...).

Bon, dans ce premier message, je ne mettrais que quelques infos sur la série




A propos de "Lost, Les disparus"

NB : J'ai repris ces iinformations çà partir d'un sujet que j'avais fait sur Lost, voir : http://littera.ovh.org/forum/index.php/topic,474.0.html)

-Série TV crée par  : J.J. Abrams, Damon Lindelof.
-Nationalité : Série américaine.
-Genre : Aventure/Drame/Mystère.

-Bref résumé du début de l'intrigue :
Alors que le vol 815 de la compagnie Océanic Airlines vient de décoller il y a plusieurs heures de l'aéroport de Sydney, celui-ci est soudain soumis ,en plein vol au dessus du Pacifique, à de violentes perturbations.  L'avion, fini pa se briser en deux et s'écraser sur une ile.
A leur réveil, les quelques passagers survivants de la partie avant de l'avion se réveillent sur une ile tropical. Apparrement, la situation pourrait paraitre assez classique, mais trés vite, les survivants se rendent vite compte que cet endroit est spécial et est rempli de trés nombreux mystères. Les secours ne viennent pas, des cris et des bruits, semblables à ceux d'un monstre se font entendre dans la Jungle, la peur s'installe et rapidemment, les survivants vont découvrir qu'ils ne sont pas seuls, des "Autres sont déjà là sur l'ile, et visiblement, ils ne les laisseront pas tranquilles... d'autant plus que les tensions s'avivent entre les différents protagonistes.

-Format/ Nombre d'épisodes-de saisons : Actuellement, la série compte 3 saisons (la 3ème est en cours) comptant chacune un peu plus de 20 épisodes de 42 minutes environ. Au moins encore 2 saisons sont semble t'il prévues. Les prochaines siasons (la 4, 5 et 6 seront en 16 épisodes.
-Stade de difusion : la Saison 3 est terminée aux Etas-Unis d'Amérique, et reprendras d'ici Février 2008. La Saison 3 débuteras  en France le Lundi 2 Juillet à 22h40 au rythme de 3 épisodes par semaine.
-Diffusion en France : OUI (par TF1).
-Horaires/dates de diffusions en France  : A partir du Lundi 2 Juillet, à 22h40 au rythme de 3 épisodes.


-Plusieurs liens pour se renseigner sur la série :
http://www.lost-island.net/  : un trés bon site qui présente bien  la série et qui regorge d'informations
http://www.forum-lost.com/index.php : Un forum avec une communautée trés active, idéal pour se renseigner, discuter de la série
http://www.lost-forum.fr/ : un autre forum sur la série.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lost,_les_disparus : Article sur Wikipédia sur Lost (ATTENTION : Contient beaucoup de spoilers sur la série).







Là ou l'histoire s'est arretée ...

  Dans le dernier épisode de la Saison 3 (le 22 et 23), les rescapés du crash se prépare à une attaque de la part des "Autres". Sayid, Bernard et Jin restent sur la plage, tandis que Jack, Kate, Sun et tout le reste (avec Juliett) partent à la tour radio afin d'émettre un signal, aidés par Rousseau. Charlie et Desmond se sont rendus à la Sation sous marine pour empêcher le brouillage des fréquences radio.
   A la fin de l'épisode, apres plusieurs rebondissements, la situation des "Autres" se révèle être une hécatombe, une dizaine de morts suite à leur attaque, leur chef, Ben, est capturé, et le reste des Autres ont compris qu'ils ont étés trahis. Locke, miraculeusement soigné par les pouvoirs de l'ile, as éssayé d'empecher Jack d'emmettre le signal radio, mais il n'as put tirer sur un des siens ... Charlie, conformément aux visions de Desmond, sacrifie sa vie pour que les rescapés puissent émettre le signal radio ...
Jack capte un message et arriver à contacter des personnes de l'éxtérieur, mais tout laisse à penser que ce ne sont pâs des secours ...
  On voit également dans l'épisode, au lieu de Flash Back, la situation de Jack apres qu'il ait été secouru, et que finalement, il souhaite revenir sur l'ile...







Concernant la Fanfiction elle même :
-Conseils :
°Lors que vous allez lire cette fabnfic', je vous conseil de vous "imaginez" le déroulement de l'action, de faire comme si vous étiez devant votre écran et dev visualiser l'action en déroulement, peut etre ca vous aideras à mieux lire ce que j'ai écris.
°Si vous ne comprenez pas ce qui se passe au début des épisodes 1 et 3, c'est normal, vous comprendrez mieux apres dans des épisodes qui suivront.

Et, bien sur, n'hésitez à poster vos commentaires, je suis ouvert à toutes les critiques ;)


Voilà, apres cette présentation, je vais vous présenter, dans les trois prochains messages, les 3 premiers épisodes de ma fanfiction (un épisode par message).

Bonne lecture à tous ;)
« Modifié: 26 juin 2007 à 01:01:10 par John Locke »
Hey, John !

Hors ligne John Locke

  • Calligraphe
  • Messages: 141
Re : [LOST] Fanfiction de John Locke sur la Saison 4 de la série "Lost"
« Réponse #1 le: 25 juin 2007 à 23:34:54 »

SAISON 4 : EPISODE 1 : AU PLUS PROFOND DE SOI.




Tip, tip, tip ...

Un réveil sonne ...  6h15min ...

Un homme se lève de son lit, un petit appartement miteux, allume sa radio ...

"Shrrr ... Aout 1998  ...Nouvelles du matin ... shrrr ...." :  La réception radio est pitoyable ... et puis tout ne méritais pas d'être écouté ...
Petit déjeuner vite prit, croissants et café toujours aussi dégueulasses ...

Escaliers vite descendus, trop peut être, a manqué de tomber ... gestes quotidiens, gestes quotidiens ...
Ce n'est pas une vie trés excitante, c'est vrai, mais il va bien falloir y aller, le retard au travail et le stress l'accompagnant vas vite se faire sentir ...

La vieille Toyota as encore du mal à démarrer, le garagiste coute bien trop cher, tant pis, et puis bon, investir dans une si vieille épave, non merci ...
A peine sur la grande route, les embouteillages du matin et les aller incessants au boulot se font de suite sentir ...
Le boulot, le boulot, il n'y avait que cela qui comptait, le minimum vitale et pourtant la chose la plus insupportable, dans ce cas au moins ...

...

Encore un bouchon, à peine arrivé devant le feux, celui-ci passe au rouge, pas de chance une fois de plus ...
Avantage de la situation : avoir le temps de se dire qu'un e nouvelle journée ennuyeuse, comme toutes les autres va se passer, et se finir comme les autres ...
Se rappeler de cette vie si peu palpitante ...
Mais néanmoins se remémorer de bons souvenir : se souvenir d'elle, se souvenir de M...

Shrack ! Vlam !

???

Qu'est ce que ? Le feux reste rouge, les voitures à gauche se déplacent, avancent et s'arrettent e,n plein milieux du carrefour.

Enorme vanne noir. Logo sur les flancs inconnu. Roule à toute vitesse. Vient de la droite, fait un dérapage, s'arrête sur l trottoir à l'opposé.
Personne ne klaxonne, les piètons se semblent pas etre surpris.
Ce n'est pas une voiture de police,... pourtant ...

Trois hommes sortent brusquement, armés de matraques ... qu'est ce ...
se dirige vers la vielle Toyota ...
Klang !
Vitre cassées.
Shrap !
Tiré de sa voiture ... violament.
Frappé de toute part.

Personne ne réagit, pas de police.
Abandonné, cet homme est perdu ...

Cette journée ne seras pas comme une autre, finis cette vie ennuyeuse ...




LOST ! ! !





Shhhh ... le vent souffle, dans les feuilles des palmiers, qui s'écartent, laissant vue libre sur une plage ...

HURLEY :"Bon sang, qu'est ce qu'on vas faire de tout ces  ... morts ?!"
SAYID : "J'en sais rien Hurley. On vas les enterrer, comme Ethan."
BERNARD :"Sayid, nous n'aurons pas la place ici. je propose de faire ca pres de l'église."
SAYID : "Comme tu veut Bernard, mais ne compte pas sur moi pour faire ca.
HURLEY (à Bernard):"Ok, tu t'en charges mec !"

...
Jungle profonde ... un homme avance seule, se tenant le ventre ... essoufflé, il arrive droit sur un chemin de terre, sur lequel il croise un groupe d'individus en déroute ...
"Urf ... Urf ..."
RICHARD : "Mais qu'est ce que ... John ! qu'est ce vous faites ici ?"
JOHN LOCKE : "Bonjour ... Richard, je tenais à vous parler ... suis je  le bienvenu ici ?"
RICHARD : "Mais ... comment estes vous arrivés ici ? Comment nous aviez vous retrouvé ? Et que vous est il arrivé ?
JOHN LOCKE : "J'ai suivis votre trace ... et je savais à quel type d'endroits vous alliez aller ... Benjamin, il m'as tiré dessus, je ne sais comment ... j'y ait survécu ... l'ile ... Jacob ..."
RICHARD : "Que ... non ... Harry, va le prévenir, je crois ... qu'on l'as trouvé, c'est lui ..."

...

RADIO : "Trés bien, nous arrivons de suite. Nous vous conseillons de vous réunir à un endroit dégagé, la plage par exemple ... Nous serons là d'ici quelques jours ... 4 au maximum ... Tenez bon !
JACK : Compris !
RADIO : "Fin de transmission."
Le médecin se retournas vers les siens : "Mes amis ... nous allons enfin etre sauvés !"
Cris de joie à travers la foule ...
Une voix faiblarde, d'un homme attaché à un arbre :
BEN : "Jack, creusez, creusez ... creusez bien profond ...
KARL : "Je t'aies dit de te t..."
JACK : "Non, Karl, laisse le parler" dit le médecin."je veut qu'il puisse se rendre compte de son échec"
BEN : "Arf ... vous allez creusez, creuser bien profond, si il faut, je vous aiderais."
JACK : "Creuser quoi, Ben ?"
BEN : "Une fosse ... elle devras être bien profonde pour accueillir tout nos cadavres ..."


POW ! (Coupure publicitaire)



Klang, klang, kang ...

"Snif, non Charlie, non ..."
Un homme pleure sur une porte ... une grande base sous marine, un sorte de bunker ...

Krrr, krrr. (bruit de craquement)

/Sham !/ (flashes de Desmond)

Scène en noir et blanc.
Krr, Krr.
Une structure sous marine. Sous la force de la pression, elle s'écroule sur elle meme. Un homme nage jusqu'à la surface.


/Sham !/

Desmond savait ce qu'il devait faire. Son Destin lui as dit. Il devait faire ainsi : partir de cet endroit, de ce bâtiment, prêt à s'effondrer.
Il enfila une tenue de plongée laissé ici là. Parti de cet endroit, laissant son meilleur ami derrière, un laissé pour mort, il rejoins une lueur d'espoir : celle des rayons du soleil à travers la surface de l'eau, guidé par sa destinée, et par un câble ...
Rejoignant sa pirogue, il s'apprêtait à partir, en tout état de cause ... cependant ...
 "blub, blub"

Un bruit de bulle venait de derrière lui, celui d'un homme remontant à la surface.
Estimant, que son destin était de vivre, il pris le fusil à harpon et tiras en la direction de ce bruit. Il fallait tuer le russe, dont il ignorait le nom, mais dont il pouvais apercevoir la silhouette sous l'eau. Apres un tir bien habile, qui étonnas Desmond lui même, l'eau , pres de la cible, viras au rouge.

Mais sa travail n'étais pas finis : il se rappelas aussitôt de ce que Charlie avait voulu lui montrer juste avant sa mort tragique : Penny n'avait pas de bateau de secours au large de l'île. Ce devoir devenir impératif, il fallait honorer la mort de la rock-star.

D'abord, se diriger vers la plage...

POW !

KATE : "Jack, que faisons nous maintenant ?"
JACK : "Kate, vas leur dire que nous partons. Nous retournons à la plage. Et bientôt, à la maison ...
Quant à vous Ben, si vous voulez vous enterrer vivant, je ne saurais que vous  encourager."
BEN : "Alors vous ne comprenez vraiment rien, Jack ?  Moi qui croyais qu'un brillant médecin tel que vous aurait de suite compris qu'il y a parfois certaines choses auxquelles il faut renoncer ... pour sauvegarder la vie. N'est ce pas ce pour quoi vous vous battez ?"
...
JACK : "Vous savez quoi Ben ? Je préfère encore prendre ce risque. Si je met ma vie en danger, c'est pour sauver celle des autres..."
BEN : "Un Héros. Mais vous êtes inconscient. Or un  héros inconscient n'en est  pas un."
JACK : "A propos d'inconscient ...  vous allez probablement perdre conscience pendant que nous retournons à la plage, et vous venez avec nous. Karl occupes toi en !"

Jack s'éloigna alors de son ancien patient, rejoignant Kate, qui rangeais ses affaires.
KATE : "Jack, tu devrais le laisser ...
JACK : "Le laisser ?! Apres tout ce qu'ils nous as fait ... non ... je veut le voir ... je veut le voir échouer ... je vois qu'il voie que nous avons été les plus malins."
KATE : "Jack, attends, tu es sur que ..."
JACK "Range tes affaires, nous partons !"


POW !


JIN :"%£$°=} !"(langage corréen)
HURLEY : "Hey, voilà Desmond ! Hey ... how ..."

Hurley s'était bien rendu que Charlie n'était pas avec lui, il en avait de suite compris la cause.

BERNARD : "Qu'est il arrivé à Charlie ?"
DESMOND : "Il est mort. Sayid, sais-tu si ils sont déjà entrés en contact avec les secours ?"
SAYID : "Je n'en sais rien ... mais je crois qu'ils n'auront pas de difficultés ... les Autres sont venus, et nous avons..."
DESMOND : "Je sais , vous les avez tués. Sawyer et Juliet savent ils ou ils sont ? Il faut à tout prix les empêcher de contacter qui que ce soit pour l'instant."
DESMOND : "Mec, t'es sérieux ? Ils vont nous sauver, et toit tu veut leur en empecher ? Et puis j'aimerais savoir ce que t'as fait à Charlie ..."
HURLEY : "J'ai pas le temps de tout te raconter Hurley ..."
HURLEY (l'air faché): "Ah ouais, et ben j'aimerais bien avoir des réponses. Si tu ne nous dis rien, on vas tous croire que tu l'as ..."


/Sham !/ (Flashes de Desmond)
 
DESMOND :"Je suis désolé, Brother ! Mais il ya des endroits ou tu n 'aurais pas du aller ..."
HURLEY :"He mec, je comprends pas , qu'est ce que tu ..."
Desmond prend un  revolver, vise Hurley ...
Bang ! (bruitde coup de feu).

/Sham !/



HURLEY : "Et mec, qu'est ce que t'as ? T'as .. t'as vu quelque chose ?
DESMOND : "Non, non rien,  ...brother."

Son Destin lui avait dit, il devait ...


Desmond, sourias du coin de l'oeil, avec un regard ... un regard énigmatique vers Hurley ...

POW !

... LOST ...




Hey, John !

Hors ligne John Locke

  • Calligraphe
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Re : [LOST] Fanfiction de John Locke sur la Saison 4 de la série "Lost"
« Réponse #2 le: 25 juin 2007 à 23:36:00 »




LOST : SAISON 4  :  EPISODE 2 : DE RETOUR.



Année : 1988.
Mois : inconnu, probablement période estivale.
Jour : Inconnu.
Heure : Inconnue, matin trés probablement vu la position du soleil.
Lieu : Pays Européen trés probablement.

Quelle belle journée ... le soleil est rayonnant ... comme toujours à cette saison de l'année.
Pas un brin de vent ...les palmiers, et autres arbres exotiques semblent incroyablement immobiles ...
Un décor paradisiaque en somme, il faisait beau, tout les gens ... étaient heureux ... les vacances .... les vacances ...

Mais elle, non, elle ne l'était pas ... tout ces gens ...ca l'insupportait ...

Tout ces touristes, qui ne viennent ici que pour le soleil ... ca l'énervait au plus au point ... les plages étaient encombrées ...

La ville n'était plus se qu'elle était, les gens ne s'y intéressaient plus, seule l'image du sud de la France semblait attirer les gens.

Mais elle en devait pas y prêter attention ... elle devait rejoindre l'Université scientifique au plus vite, aujourd'hui, c'était le grand jour ...

Enfin, tout cela allait être finis, vivre avec ces gens qu'elle n'aimait pas, qui ne la comprenait pas, ca allait être finis, enfin elle allait rejoindre ceux qui partageaient sa passion ...

Oui, Danielle Rousseau allait enfin vivre sa vie comme elle l'entendait ...


LOST !!!

VOIX MASCULINE :"Alors vous allez rester ici ?"
Elle se retournas, on l'avait dérangée tandis qu'elle cherchait quelque chose dans son sac.
DANIELLE ROUSSEAU : "Vous savez Jack, quand vous restez 16 ans dans un tel endroit, ils vous arrive parfois de penser que votre devoir est d'y rester ...
... Et puis, je n'ai aucune envie de retourner là d'où je viens ..."
JACK : "Et bien, si vous souhaitez, on vous enverras une carte postale ..."

Cela n'avait pas fais rire Rousseau, mais pas un sourire, elle fixas le medecin d'un aire grave ...

JACK : "... euh ... et sinon, que comptez vous faire ? Vous nous accompagnez jusqu'à la plage ?
ROUSSEAU : "Si vous y tenez ... mais sachez que jamais je ne rejoindrais votre groupe, et plus jamais je ne vous aiderez".

Jack, s'en allait.
Quelqu'un d'autre arrivait en sa direction ...

"Maman ?"
DANIELLE : "Alex ..."
ALEX : "Je voudrais te demander, enfin, savoir ..."
DANIELLE : "Je ne suis pas ta mère."
ALEX : "Mais ..."
DANIELLE  : "Je ne t'aie pas élevée. Crois-moi, je suis trés heureuse de t'avoir retrouvée, mais jamais je ne serais ta mère. Il vaudrait que nous nous éloignions ... "
ALEX : "Maman ..."
DANIELLE : "Il vaudrais mieux que tu ignores qui je suis réellement ..."
ALEX : "Maman !"

Elle laissait sa fille en sanglot derrière elle.
Elle étais tout aussi émue, mais il ne fallait pas qu'elle sache, non, il ne fallait pas, pour son bien ...


...


Une plage, toujours la même ...

"Tu ne voudrais pas que je t'aide ?"
Bernard avait emprunter une pelle à Sayid, il commençait à s'atteler à la tache qu'on lui avait confié.
BERNARD : "C'est sympa de ta part, mais je préfère faire ca moi même, je suis assez habitué à faire ca."
DESMOND : "OK, brother.
... Avant, j'étais moine, mais, c'était y'a longtemps ... je pourrais ... improviser quelque chose, une sorte de cérémonie."
BERNARD : " Tu sais, je suis pas sur que l'on fasse des trucs comme ca pour ce genre de type..."


POW !



[FLASHBACK]

Une mer agitée, temps de tempête et de pluie en pleine nuit, un navire de taille moyenne, assez grand pour accueillir un vaste équipage et beaucoup de matériel ... ce bateau chavire.
Sur ce bateau, un homme, devant une console radio

RADIO (voix grave) : "Transmission ... three-three-one-one-one-eight-five-five-five ... shrrr ...."

VOIX MASCULINE-(un homme assez agé) :"Merde, c'est pas vrai ! On n'y arriveras jamais !  Danielle, vient !"
DANIELLE : "Quoi ?! "
UNE AUTRE VOIX : "Non, c'est François qui t'appelle".
FRANCOIS : "On vas perdre la transmission ! Merde je pensais que tu t'en étais chargée !"
DANIELLE : "Et, j' te rappelle que c'est toi qui as voulu partir à la recherche de ce signal ! t'es même pas sur que c'est un bateau perdu ! t'en sais rien ...
FRANCOIS : "Et pour toi c'est quoi, en plein milieux de ..."
DANIELLE : "Attends, regarde la radio, qu'est ce que ..."
RADIO : "NEW TRANSMISION RECEIVED : NUM-BERS-ERS ... shrrrr ... four, eight, fifteen, sixteen, twenty-three, fourty-two ...shrrrr .. don't listen it or ... shrrr"
FRANCOIS : "Bon sang, on l'as ! On l'as !
DANIELLE : "Non, attends, c'est ... pas la même fréquence ! Je vais essayer de localiser le signal ... "
Danielle Rousseau se mit à taper sur plusieurs touches.
DANIELLE : "Ca y est, c'est localisé, c'est ... merde ! ... bon sang ... c'est impossible, ce ..."

BROLOM !!!!

Une énorme secousses fit brusquement sentir dans tout le bateau, tout l'équipage s'affole.
VOIX VENANT D'UN HOMME SE TROUVANT SUR LE PONT DU BATEAU : "ET merde, les gars faut se barrer on as été touchés, on vas tous couler !"

L'agitation se faisait sentir sur le bateau, tout le monde devait fuir.
Danielle, François, et quelques autres membres de l'équipage s'embarquèrent sur un un des canots de sauvetage ...
Certains allaient y rester ... en s'éloignant du navire ... Rousseau vit beaucoup de gens qu'elle aimait périr dans les flots ... à tout jamais.

[/FLASHBACK]


...



Aujourd'hui, Danielle avançait auprès d'autres gens, de parfaits inconnus ...
Au fond d'elle, elle se disait bien que jamais elle n'auras, non, jamais elle n'aurais voulu qu'on la retrouve elle et cet endroit.
Mais elle avait fait ca pour eux, car elle savait bien que, contrairement à elle, ils ne pourrait pas tenir aussi longtemps ici ...

La nuit tombant, ils décidèrent de s'arrêter dans une petite clairière au milieu de la jungle.


Claire se trouvait juste à coté d'elle ... maintenant qu'elle allait résoudre leur problème, elle se devait de se pardonner ...
DANIELLE : "Claire ?"
CLAIRE : "Oui, qu'est ce que ... ah, Danielle ..."
Le visage de Claire avait pris tout une autre allure quand elle vu qui lui parlait.
DANIELLE : "Je suis ... désolée pour tout ce que je vous ais fait subir, à vous et votre enfant ... et tenait à vous remercie pour m'avoir aidée à trouver le mien ..."
CLAIRE : "Je ... enfin ... ce n'est rien. Et c'est vous qui m'aviez sauvé, sans vous, je serais morte, et lui aussi.
DANIELLE : "Comment s'appelle t'il ?"
CLAIRE : "Aaron."
DANIELLE : "Aaron ..."
Danielle restas un instant pensive ...
DANIELLE : "Vous l'aviez appelé ainsi ... parce que vous connaissiez quelqu'un qui s'appelait ainsi ?"
CLAIRE : "Non, pourquoi ?"
DANIELLE : "Parce que ... enfin ca n'as plus aucune importance maintenant ..."
CLAIRE : "Vous ... vous devriez lui parler ... à votre fille".
Alex semblait si triste, elle sanglotait depuis le début du voyage ... Danielle n'osait plus la regarder, de peur de lui faire encore plus de peine.

Elle ne pouvait plus, non ne pouvait plus supporter cette douleur : voir sa fille dans cet état lui provoquait trop de peine ...
DANIELLE : "Vous avez raison, Claire, merci."

Elle se rapprochait de sa fille, elle ne savait pas comment s'y prendre.
Mais elle sut la consoler. Lui parler était le seul moyen de se dégager du poids qui pesait sur elle.

Mère et fille commencèrent alors à se raconter leurs histoires respectives, pendant une bonne partie de la nuit ...


POW !


[FLASHBACK]

Danielle avait du mal à se réveiller ... que ... une ile ? Qu'est ce que ... ? Une plage vide ... ?
C'est alors que tout lui revint en mémoire : la tempête de la veille, le bateau qui sombras ...
Il faisait jour, un beau temps, qui lui rappelas malheureusement celui de sa vie précédente, dans le sud de la France.
Elle était revenu au point de départ, revenue, et sa ne faisait aucun doute, dans ce pays ou personne ne l'aimait ...
Ce voyage à l'autre bout du monde n'avait il donc servis à rien ?
Il n'y avait plus d'espoirs ... tout n'avait plus aucune importance ... qu'importe le reste ...

"Danielle !"
On l'appelait depuis une foret qui semblait tropical, cependant, ce détail n'avais même pas attiré son attention ...
Elle vue alors François arriver, avec d'autres membres de l'équipage.
FRANCOIS : "Danielle, tu vas bien ?"
DANIELLE : "Oui, ca peut aller"
FRANCOIS : "Sais tu ou on est ?"
DANIELLE : "Je crois savoir. Nous sommes revenus chez nous ..."

François et les autres la regardèrent d'un air inquiet, comme si elle avait perdu la raison ...


[/FLASHBACK]


...



La nuit allait bientôt tomber sur la plage.

"Hey, Bernard !"
C'était Hurley, qui étonné de le voir travailler toujours aussi tard, se dirigeras vers l'ancien chasseurs de faisans.
HURLEY : "Alors, tu bosses toujours ?
BERNARD (en souriant): "Encore 4 coups de pelles et j'arrête."
Tout en écoutant Hurley, Bernard continuait à creuser.
HURLEY : "Dis, tu trouves pas Desmond bizarre ces derniers temps ?
BERNARD : "Non, pas plus que d'habitude. " Shraf! (bruit de pelle soulevant la terre) "Pourquoi ?"
HURLEY : "Non comme ca... merci vieux !"
Shraf! KLANG !(la pelle se heurte à un objet métallique)
Alors qui allait partir, Hurley se retournas.
HURLEY : "Mec c'est quoi ?"

Bernard, se mit alors à détérer ce qu'il venait de trouver.
C'est alors qu'ils sorti du sable un gros coffre métallique fermé.
Quelque chose était écris dessus.

HURLEY : "Hey, qu'est ce qu'y a écris dessus ?
BERNARD : "Don't open it."


POW !


... LOST ...

Hey, John !

Hors ligne John Locke

  • Calligraphe
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Re : [LOST] Fanfiction de John Locke sur la Saison 4 de la série "Lost"
« Réponse #3 le: 25 juin 2007 à 23:37:07 »
EPISODE 3 : AU BOUT DE LA CORDE





"Arianne ... Arianne ... !"
Cette voix ... un rève ?


Dring ! Dring ! Dring !
On sonne à la porte ...


Elle fut alors réveillée, son rève s'acheva brusquement ...
Ce reve ... elle le fait chaque soir depuis 4 ans (alors qu'elle n'avait que 16) ans), mais jamais elle n'arrivais à voir qui l'appelle ...


Mais qui cela peut-il être à 4 heures du matin ?

Le réveil allait être dure ... quel mal de tete ...
Elle se souvint assez vite ... oui ... elle avait fait la fête hier toute la soirée avec ses amis ... et avait sans doute trop bue ... et s'était couché sans doute seulement 2 ou 3 heures avant ...
Elle se levas, mis un peignoire par dessus sa robe de chambre, et traversas son petit appartement ... son état encore quasi-léthargique l'empêchait de marcher droit, elle renversas un vieux livre qui trainait au bord d'une étagère, mais n'y pretas aucune attention ...

Dring ! Dring !

On continuais à appuyer sur la sonnette en continue ...
"C'est bon j'arrive", dit elle, encore dans les vapes ...
Elle tournas alors la clé dans la serrure, ouvris la porte, et vis un homme et une femme, environ la 40aine pour chacun des deux, se dressant sur le seuil de sa porte.

L'HOMME : "Madame Ariane Wesley ?"
ARIANNE : "Oui ? C'est pourquoi ?"
LA FEMME : "Agents Therker et Wilson, FBI".
La femme et l'homme montrèrent leurs insignes respectives..
L'HOMME : "Nous voudrions juste vérifier votre carte d'identité.
ARIANNE : "Oui, bien sur."
Elle ne leur posas pas de question, ce qu'ils pouvaient faire à cette heure. Elle ne voulait pas perdre de temps, et se recoucher le plus vite.
ARIANNE (montrant sa carte d'identité au deux agents) : "Tenez, la voilà"
L'HOMME : "Un instant , s'il vous plait, le temps de vérifier".
Arianne ne se fit guère de soucis : ses papiers étaient en règle, elle n'avait jamais rien fait de mal de toute sa vie.
LA FEMME  (murmures à l'autre agent) : " ... oui ... c'est bien elle"
Arianne n'entendu rien, elle attendait, le regards fixé sur le livre qu'elle venait de renverser, que les deux agents lui dise finalement que c'était une erreur.

BAM !
Que ... l'homme venait de la frapper dans le dos d'un coup de poing.
Elle se retournas vers son agresseur, mais elle ne put réagir. Il la frappas violament au visage. Lui donnas un coup de pieds dans les jambes. Elle tentas de se défendre, mais l'autre agent l'assommas brusquement.
Elle était à terre, à moitié inconsciente.
Elle vit alors la femme lui enrouler une cordre autour du cou ... elle tentas de crier, sans résultat.
C'était la fin ... mais non, on ne la pendit pas...
Un des agents la trainait alors hors de l'appartement, sur le sol, en tenant la corde par l'autre bout ...
Elle tentas alors de crier, pour réveiller les autres habitants de l'immeuble, sans résultat...
Ils descendirent l'escalier, sa tète se choquas sans cesse sur chaque marche ...
Que se passait il ... ?
Dans sa descente, elle se rapellas alors que le couple qui habitait au Rez-de Chaussée, juste devant la porte d'entrée de l'immeuble, se reveillais souvent trés tot, peut etre allaient t-il l'entendre ... ?
Elle tombas de la dernière marche au rez de chaussée; les deux agents devant elle marchait d'un pas quasi militaire.
Deux cadavres devant la porte. On les avait tués. Ils avaient tués le couple du Rez-de Chaussée.
La porte s'ouvre.
Les deux agresseurs s'arrêtèrent sans se retourner, l'homme dit à Arianne :
« Nous les avons tous tué. Considère toi chanceuse .»







LOST !!!






Des bruits de pas, en pleine Jungle.
La nuit allait tomber.

JOHN : "Alors, ou allons nous ?"
RICHARD : "Dans un endroit trés spéciale. Nous savons ce que les vôtres vont faire, il n'y a qu'un endroit ou nous pouvons nous abriter."
JOHN : "Ou est ce ?"
RICHARD : "Le temple. Ben nous as dit d'y aller."
JOHN : "Un temple ?"
RICHARD : "Vous savez beaucoup de choses sur cet endroit John, mais vous devez encore en apprendre beaucoup plus. Je pense en plus que c'est ce que vous voulez, n'est ce pas ?"
JOHN : "Oui."
RICHARD : "Bien, nous allons nous installer ci pour la nuit."
JOHN : "Je pense que c'est un bon endroit en effet."
Richard, ainsi que son groupe, commencèrent à déployer un camps de fortune.
...
RICHARD : "Ah, John, il va y avoir un problème."
JOHN : "Lequel ?"
RICHARD : "Nous n'avons pas assez de tente ... Accepteriez vous de prendre celle de Ben ?"






[FLASHBACK]

Un lieux sombre, dégradé. Une prison, sans doute.

Deux hommes, un policier et ce qui semble être un condamné, parcours un couloir.
POLICIER : "Tenez, m'sieur Locke, voilà votre cellule. Et Jan, t'as de la compagnie."
Jan était un autre condamné, qui occupait déjà cette cellule.
Le policier ouvras la porte de la cellule, y poussa Locke, et lui enlevas ses menottes.
POLICIER : "Bon séjours les gars."
Locke disposas ses affaires sur une sorte de table à coté de ce qui devait lui servir de lit.
L'autre homme, couché sur son lit, entrain de lire un vieux livre trés épais, engagea la conversation apres quelques minutes
JAN : "Alors, d'ou est ce qu'on vient ? Tu t'es fait prendre pourquoi ?"
LOCKE : "Je ..."
JAN :  "Non, attends laisse moi deviner. Traffic de bouquins ? T'as une tete de bibliothécaire."
LOCKE : "Non, trafic de drogue."
JAN : "Et bien ! On auras tout vus !"
LOCKE : "..."
JAN : "'Je m'appelle Jan, au fait."



[/FLASHBACK]










Plage :

HURLEY "Alors, on devrais en faire quoi ?"
BERNARD : "Il faut prévenir Sayid."
SAYID : "Me prévenir de quoi ?"
HURLEY : "Ah, mec, c'est cool. On te cherchais. R'gardes, j'crois qu'on as trouvé un trésor, c'étais sous le sable, et Bernard as trouvé ca en creusant les tombes pour les macchabées.""
Bernard montras à Sayid le coffre métallique.
HURLEY : "Alors ? T'en pense quoi ?"
Sayid pris l'objet en main, l'observas un certains temps.
SAYID : "Les parois sont assez rouillées et usées, je dirais que c'est là depuis au moins une quinzaine d'années."
VOIX MASCULINE : "Alors, on organise la fête sans moi ?"
Sawyer approchait du groupe, sourir aux lèvres.

HURLEY : "Hey mec, ou est ... Other Girl ?"
SAWYER : "A ton avis, Rocher Noire ? Elle est toujours entrain de pleurer sur ces morts. (apercevant le coffre) Hey, c'est quoi ce truc ?"
SAYID : "C'est ce que nous essayons d'établir."
SAWYER : "Et bien, j'étais pas le seul à vouloir cacher quelque chose."


POW !






[FLASHBACK]


Il faisait trés sombre dans cette prison, seule une vielle ampoule continuait d'éclaircir la vielle cellule.
John Locke et son  compagnon de cellule avait fait connaissance : cela faisait depuis une semaine qu'ils étaient là, ils s'entendaients assez bien.
LOCKE  : "Que lisez vous ?"
JAN : "Ca n'as pas de nom."
LOCKE : "Pardon ?"
JAN : "C'est mon arrière grand père, James Cobno, qui l'as écrit. Alors qu'il allait donner un titre à son oeuvre, il as disparu à tout jamais de la nature."
LOCKE : "Je suis désolé."
JAN : "Allons vous en faites pas, je ne l'ai jamais connu."
LOCKE : "Et qu'est ce que ca raconte ?"
JAN : "Ah ah ah ! Si j'étais vous, je n'essayerais même pas de m'intéresser à ca ! C'est un ramassis d'idioties ! Pres de 2000 pages de trucs sans queue ni tetes, des croyances, des histoires ... des projects et des idées débiles que mon arrière grand père s'était foutu dans le crane. Franchement, je ne souhaite à personne de lire ces conneries ! Pas même à mon pire ennemi !"
LOCKE : "Pourquoi le lisez vous alors ?"
JAN : "A cause de mon grand père . C'est lui qui avait entrepris de lire ce truc. Il était persuadé que ca avait un sens, que mon arrière grand père avait voulu passer un message d'importance capitale dans ce bouquin.
Mais il est mort avant d'avoir pu finir ce livre. Alors j'éssaie d'en arriver jusqu'à la fin."
LOCKE : "Je suis désolé. Comment est il mort ?"
JAN : "Selon mon père, il s'est suicidé, en se pendant. Il était devenu fou.
Toujours selon mon père, c'est ce livre qu'il l'aurait rendu dingue. Pour ma grand mère, il s'est donné la mort apres avoir lu et compris ce livre. C'est ce bouqin qui l'aurait tué."
...
JAN : "Je sais que vous allez me prendre moi et ma famille pour des fous ... mais soyez rassuré, je n'en suis encore qu'au début ..."
LOCKE : "Pas du tout. Au moins, vous avez quelque chose à faire dans ce trou."
Jan lui souris alors du coin de l'oeil.



[/FLASHBACK]










Il faisait nuit noire. Pres d'un chemin de terre, des tentes ainsi que des feux de camps s'étaient dressés.
John Locke dormais alors profondément, comme tout le reste du groupe.
VOIX MASCULINE (murmure) : "Hey !"
Cette voix venait d'en dehors de la tente de John
John se levas, pour voir qui le dérangeais durant son sommeil.
JOHN : "Richard ? Que ..."
RICHARD (murmures): "S'il vous plait John, parlez moins fort."
JOHN (murmures) : "Bien. Pourquoi me réveillez en pleine nuit ?"
RICHARD : "John, nous partons ; vous et moi uniquement : préparez vos affaires, nous aurons beaucoup de chemin à faire. J'ai quelque chose à vous montrer."
JOHN : "Mais je pensais que nous devions nous rendre au Temple ?"
RICHARD : "C'était un ordre de Ben, que nous n'avions jamais eu l'intention de suivre. Et puis Ben est entre les mains des autres."
JOHN : "Et ou nous rendons-nous ?"
RICHARD : "John, vous etes fait pour etre l'un des nôtres. Et bien plus encore. Ce que j'ai à vous montrer est au dessus du reste. Allons, venez.
Et ne vous en faites pas pour les notres, ils savent quoi faire."
JOHN : "Allons y alors."



POW !



Le matin venais de se lever.

Richard et John Locke marchaient cote à cote, et s'enfonçaient de plus en plus dans la Jungle.

JOHN : "Dites-moi Richard, qu'allons-nous voir exactement ?
RICHARD : « Pour être franc, je l'ignore, »
JOHN : « Pardon ? »
RICHARD : « Ce que je veut vous montrer est un endroit unique, John. Un  peu comme cette ile dans le monde extérieur, le lieu que je veut vous montrer est très difficile à trouver pour ceux qui ignorent son existence. Rares sont les gens, y compris des nôtres, qui connaissent cet endroit et même parmi ceux-ci, peu sont invités à y aller, »
JOHN : « Je présume, que comme pour Jacob, Ben était le seul à etre autorisé à y aller ... »
RICHARD : « Vous savez, John, cette ile est chargée d'une Histoire des plus complexes, de grands personnages l'ont marqué à tout jamais. Mais cet ile est aussi remplie de secrets, et de mystères. Bne ne connait meme pas l'existence de cet endroit."
Richard s'arretas de parler un instant, puis repris.
RICHARD : "Et pour etre franc, John, nous même, qui sont sur cette ile depuis trés trés longtemps, nous ignorons encore plusieurs choses à propos de cette ile ... mais avec vous John, je pense que l'ile se relèveras mieux à nous."



...



Une clairière, dans la Jungle.

Jack, ainsi que ses compagnons, se levaient également, tot le matin.
Une fois que tout le petit monde s'était réveillé, Jack demanda un rassemblement, afin de continuer le voyage vers la plage.

JACK : "Bien, nous allons continuer notre route, que tout le monde range ses affaires."
KATE (à Rousseau) : "Vous pensez que nous serions bientôt rentrés ?"
ROUSSEAU (en souriant): "Chez vous ? Ou sur votre plage ?"
KATE : "Qu'allez vous faire en restant sur cette ile ? Maintenant que les secours vont arriver, que votre message radio n'éxiste plus, à quoi bon rester ici ?"
ROUSSEAU : "Je me suis attachée à cet endroit. Et puis, il n'y a personne qui m'attends là bas ... Vous permettez ? Je vais aider ma fille à ranger ses affaires."



...


Sur la plage, Sawyer, Sayid, Hurley et Bernard avaient décidés de garder le coffre pres d'eux, en attendant Jack, pour lui en parler.
Sayid avait conservé le coffre sous sa tente.

SAWYER : "Alors, Captain Irak ? On ne sait toujours pas ce que c'est ?
SAYID : "Tout d'abord, le simple fait qu'il y est écrit dessus de ne pas l'ouvrir m'étonne beaucoup."
SAWYER : "C'est vrai, le meilleur moyen de tenter quelqu'un et de lui dire de ne pas l'faire ..."
SAYID : "C'est vrai. Mais ce n'était pas là ou je voulais en venir.
Si le contenu de ce coffre est si précieux, et qu'il n'as par conséquence pas à etre ouvert, il devrait être fermé par un cadenas, ou autre système de sécurité."
SAWYER : "Et ... ?"
SAYID : "Et bien j'ai constaté que ce coffre pouvait être trés facile à ouvrir, le couvercle de ce coffre n'est rattaché à la partie inférieure que par un système de clips. Le tout est certes trés usé, cependant, il serait facile de l'ouvrir avec un objet solide et faire un système de levier."
SAWYER : "Et bien ! Pourquoi tu t'y met pas tout de suite !"
SAYID : "... la dernière fois que nous avions ouvert quelque chose, cela avait provoqué une catastrophe, car personne n'était au courant, je ne veut pas que l'on commette cette même erreur."
SAWYER: "Bin ... organise un vote : "Pour ou contre l'ouverture de la boite ?", je crois que Hurley est trés doué pour ca !"


POW !


John et Richard continuaient d'avancer dans la Jungle.
Au fur et à mesure qu'ils avançaient, les arbres devenaient de plus en plus gros et de plus en plus grands, les herbes commençaient à masquer entièrement le sol, il faisait de plus en plus sombre, les feuilles et les branches des arbres étant de plus en plus denses, les rayons du soleil entraient avec difficultés dans ces lieux.
Il y avait également de moins en moins de bruits d'animaux, les oiseaux et autre insectes semblaient etre de plus en plus rares à cette endroit.
John Locke savait qu'il approchait de ce que Richard souhaitait lui montrer.

Nous y sommes, dit Richard, avant de d'écarter plusieurs buissons devant eux qui leur câchaient la vue.



C'est alors que John vue quelque chose d'immense.
A une dizaine de metre, se dressait une énorme et imposante colonne de pierre noire. Celle-ci semblait extrêmement vielle, et on pouvait voir dessus plusieurs inscriptions trés étranges..
Elle devait faire environ plus de 10 mètres de haut et 3 mètres  de large. Cette colonne était entourée de plusieurs pierres massives à sa base, qui laissait pensait qu'il s'agissait d'une vieille ruine.
Au sommet de cette colonne étaient attachées des cordes, celles ci étaient tendues et reliaient le haut de la colonne à des fossés trés étroits creusés dans le solo, qui dessinaient cercles circulaires autour de la colonne.
La colonne tournait sur sur elle même, , comme tirée par les cordes.
Un vaste système mécanique devait se trouver en dessous, des bruits sourd provenait du sol.



RICHARD : "Voilà ce que je voulais vous montrer, John."
JOHN : « Mais, de quoi s'agit-il ? »
RICHARD : « Nous ne le savons pas. Tout ce que nous savons, c'est que c'était là bien avant que nous arrivions sur cette ile, il s'agit de quelque chose de trés ancien, c'était là bien avant Jacob.»
...
RICHARD : "Cependant, nous savons certaines choses. "
JOHN : "Quoi ?"
RICHARD : "Lorsque mes arrières grands parents  et d'autres personnes arrivèrent sur cette ile, ils se sont réveillées autour de cet endroit, sans comprendre pourquoi ni se rappeller de ce qui c'était passé. C'est là que tout à commencé. Nous appelions cet endroit le "Coeur de l'ile". Ils se réveillèrent ci sans rien, se ce n'est qu'habillés de vieux vêtement dont ils ignoraient l'origine. La seule chose qu'ils avaient, c'était un vieux livres."
JOHN : "Un ... un livre ?"
RICHARd : "Oui, un livre, sans titre, sans nom. Nous y apprîmes beaucoup de choses, sur cette ile. Notamment, que notre devoir était de protéger cette ile, et tout particulièrement ce que vous avez devant vos yeux John."

John Locke restas troublé apres ces révélations. Richard repris.

RICHARD : " John, vous etes l'un des notre désormais, vous nous avez aidé à protéger cette ile du mieux que vous le pouviez, vous nous avez aider à comprendre certaines choses. Maintenant, vous devez nous promettre de tout faire pour protéger le Coeur."
JOHN : "Bien, bien, mais pour quelle raison ?"
RICHARD : "Parce que si cet endroit venait à être découvert et détruit par quiconque, alors ce seras notre fin, la fin de cet ile.Plus rien ne subsisterait."







[FLASHBACK]


John était maintenant un homme libre, il était sortis de prison depuis environ 2 semaines, sa peine ayant été raccourcie.
Il faisait beau aujourd'hui, John était sorti, comme chaque jour.
Désormais, il profitait encore mieux de sa liberté.
Il décidait alors de s'acheter un journal, dans un petit Kiosque qu'il connaissait bien.

Pas d'actualité trés intéressante Aujourd'hui, d'ailleurs, tout ce qui était en première page du journal de la ville n'intéressait pas John, il préférais se référer aux faits divers, qui constituaient la vrai vie des gens.
John lu un bref article sur les fêtes qui aurait lieu ce week-end, sur quelques évènements sportifs.
Alors qu'il allait jeter le journal, il aperçu un article, en bas de la page
"Mon dieu ..." John était abasourdi, surpris, son sang se glaca d'un coup, pris par la terreur en lisant l'article :


"Prison Municipale : Le détenu Jan Cobno, incarcéré pour trouble à l'ordre publique depuis 4 mois, s'est donné la mort, hier. Il s'est pendu dans sa cellule en utilisant son drap en guise de corde. Nous ignorons encore dans quelle circonstances ..."




[/FLASHBACK]






...


Dans la Jungle.
Le groupe de Jack continuait de marcher. Il n'étaient plus trés loinde la plage, à environ 1 heure de route.

Shrr, Shrr, crac !(bruit de pas, et d'un branche d'arbre cassée).

Ce bruit venait de la Jungle, juste à coté du groupe.
Jack l'avait entendu, il demandas à tout le monde de s'arrêter.
Il sortit son pistolet.
Les bruit de pas devenaient de plus en plus rapide, et de plus en plus proches.

Jack regardait droit devant lui, son arme pointé vers la direction du bruit, qui s'intensifiait.
Le groupe était pris de panique, Jack s'apprêtait à tirer si il le fallait.

Un homme surgit alors subitement, depuis la Jungle, Jack le visait grace à son pistolet, l'homme s'arretas dans sa course.
Il avait environs 25 à 30 ans, ses vêtements étaient déchirés, son visage était marqué de nombreuses blessures. Apeuré et épuisé, il se rendit à Jack immédiatement.

Jack le fixas des yeux , l'air surpris, et lui demandas ; "Qui etes vous ?"



POW !

... LOST ...
Hey, John !

 


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