bonjour Bernard,
après une longue absence voilà que je reviens pour apprendre par tes mots cette triste nouvelle. Beth, ma very Beth qui,comme personne d’autre, donnait vie aux objets et trouvait les bons mots pour t’encourager. A chacun de ses passages je devenais un génie, à chacun de ses textes je revenais sur terre me disant que jamais je n’aurai sa fantaisie.
C’est entre autre pour elle que je suis revenu.
Vraiment elle me manquait et vraiment je suis triste.
Une pensée pour ses filles et toute sa famille.
Je garderai le souvenir( si ce n’est d’un visage) au moins le sentiment d’avoir entraperçu une grande humanité et l’impression parfois de l’avoir fait sourire.
Une bien triste nouvelle que tu m’as appris là, même si tes mots sonnent on ne peut plus juste.
A bientôt, Pascal.