Le Monde de L'Écriture – Forum d'entraide littéraire

29 mars 2024 à 08:49:32
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Le Monde de L'Écriture » Coin écriture » Textes courts (Modérateur: Claudius) » Black Star

Auteur Sujet: Black Star  (Lu 1663 fois)

Hors ligne Baldur

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Black Star
« le: 08 décembre 2022 à 06:37:10 »
Voici mes textes bla bla bla. Ils parlent bla bla black

Trou noir
https://monde-ecriture.com/forum/index.php?topic=41421.msg643803#msg643803

Et un peu d'espoir
https://monde-ecriture.com/forum/index.php?topic=41421.msg643804#msg643804

Ennemi du Soleil
https://monde-ecriture.com/forum/index.php?topic=41421.msg643962#msg643962

Eloge de la folie
https://monde-ecriture.com/forum/index.php?topic=41421.msg643968#msg643968

Matière sombre
https://monde-ecriture.com/forum/index.php?topic=41421.msg644229#msg644229


Trou noir

Les bouches de métro sont des allers sans retour. Des gouffres vers un labyrinthe ferroviaire où serpente un royaume prospère. C'est un antre noir où se perdent les jours. Son roi n'a ni voix ni visage ; on le surnomme d'un terme impropre mais commun – crack. Ses émissaires patrouillent, inlassables, le long des voies. On les appelle modous, ces silhouettes noires aux poches pleines et aux sourires plastifiés. Altières elles dégueulent leurs saintes pierres aux poches de mendiants avides. Sous les plastiques si vite défaits les cailloux tant désirés. Le regard absorbé par le blanc, l'exaltation du crépitement sur le cuivre noirci, une inspiration jusqu'à l'asphyxie et la fumée qui s'envole, avec les lendemains et les peurs. Et puis le flash, ce quasi bonheur, le cœur à mille à l'heure. Aux lèvres un sourire complaisant et à l'esprit une obsession bienfaisante. Parfois s'y dessine la jouissance aveugle de la première bouffée, parfois même l'image craquelée d'une enfance à la lointaine lumière en parcelles. Mais la plénitude est partielle et sitôt goutée, sitôt dissipée dans sa volute de fumée. Des extases avortées, répétées qui laissent exsangue ; en proie à la descente tyrannique, cette petite mort qui vide. Une quête sans fin, sinon celle de la trachée en cratère et des poumons en putréfaction ; ils le savent, ces crackheads livides, amers, affaissés sous le poids de leurs propres espoirs.

Les bouches de métro sont des trous noirs. Elles dévorent la lumière et les rêves et en recrachent la fumée. Ce sont des entonnoirs qui broient lentement les âmes ; les âmes perdues les armes depuis longtemps rendues, aux regards las et aux visages figés, qui errent hagardes, au craving insatiable faisant sans cesse offrande des amnésies enfumées. Elles déambulent le long des rames et, suicides après suicides, lorgnent vers la pâle lumière au loin, attirées comme des insectes par les mots doux et leur chimère qui poudroie – "Comme à la première fois"



« Modifié: 16 décembre 2022 à 19:21:38 par Baldur »
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Hors ligne Baldur

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« Réponse #1 le: 08 décembre 2022 à 06:50:54 »
Et un peu d'espoir

La musique est une larme faite son. Quiconque ne saisit pas cela instantanément ne s'est jamais engouffré dans l'intimité de celle-ci, issue de pleurs puisque née du regret de l'Eden.
/
A quoi bon fréquenter Hegel, quand un piano peut tout aussi bien nous faire entrevoir un autre monde ?
/
Je suis parfois assailli de sentiments religieux, me murmurant que je pourrais être réuni dans l'éternité avec Bach, et le rejoindre dans une valse éternelle.
Et si elle m'est muette, alors elle existera dans ses souvenirs à elle.
/
Et alors je ne crains plus la mort.

« Modifié: 08 décembre 2022 à 07:33:00 par Baldur »
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Hors ligne Choumi

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Re : Black Star
« Réponse #2 le: 08 décembre 2022 à 06:58:20 »
Bonjour
L’écriture est alerte, vive et tranchante. Que de distance entre nos deux visions. Moi , de la campagne, qui ne connais du Métro que « Gare de l’est-Montparnasse ou Gare de Lyon » Un monde.
J’ai été pris par ton récit j’espère qu’un jour ces bouches t’amèneront à la lumière
Amicalement
Michel
« Modifié: 08 décembre 2022 à 07:08:15 par Choumi »

Hors ligne Cendres

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Re : Black Star
« Réponse #3 le: 08 décembre 2022 à 10:02:08 »
Merci pour ce texte parlant de la drogue, d'ailleurs ceux sont deux textes.

Le premier est plus noir, parlant de la situation, le second est poétique.

Le crack si je me trompe pas c'est ce la cocaïne qu'on fume. Je sais qu'on a vite une addiction et qu'on est super mal avec ca.
Ce n'est pas facile de parler de ce sujet et je trouve toujours intéressant de lire des témoignages.

J'espère que c'est du passé pour toi ;)

Hors ligne jonathan

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Re : Black Star
« Réponse #4 le: 08 décembre 2022 à 18:27:02 »
Bonjour. Texte bien écrit et en symbiose avec ta présentation. La noirceur des êtres à l'affut de la faiblesse humaine n'est pas facile à côtoyer ni à admettre et pourtant si on l'a subit, il faut tenter de s'en extirper mais c'est souvent plus facile à dire qu'à faire. J'ai bien aimé.
Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur... [Pierre Augustin Caron de Beaumarchais]
Le silence est l'expression la plus parfaite du mépris... [G.B. Shaw]
-----------------------------------------------------------
Blog : http://keulchprod.eklablog.fr/

Hors ligne LOF

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Re : Black Star
« Réponse #5 le: 08 décembre 2022 à 18:43:35 »
 le style est bien en symbiose avec le sujet.
 Parfait
Lof

Hors ligne Baldur

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Re : Black Star
« Réponse #6 le: 10 décembre 2022 à 14:27:17 »
Ennemi du Soleil

Ce matin, dès le réveil à l'esprit l'appel entêtant de l'obscurité.
Je ne sais quels cauchemars, quel fiel entretenu au fil de mes sommeils m'inclinent à me lever ainsi en ennemi du Soleil.
Jusqu'en haïr le rayonnement, en expectorer la lumière.
Alors je laisse la nuit se noyer dans mes veines, mes idées convulser et mes désirs pourfendre le jour ; en attendant qu'enfin le soir vienne.
Et ce soir, à l'ombre de l'astre maudit et ses rayons, je me défais, je m'abandonne à l'hilarité la plus vaine.
Ce soir je craquèle un peu plus mes ecchymoses ; je mutile ma chair de mille béances et en contemple le sang qui perle, hypnotisé par le spectre de ses couleurs ; du rosé au plus souillé des pourpres, tout ce sang qui saille de mes veines de fer.
Ce soir je me vide jusqu'à l'écoeurement, je détruis ce qu'il me reste de souvenirs ; je désire n'être plus que le chien quotidien de mes rêveries de poudre.
Ce soir je trahis ma parole et les miens, ces promesses fumeuses.
Je me fais esclave de la chimie, de sa prévalence sur l'esprit ; submergé, je ne suis plus que le rouge et le noir qui inondent les scléroses de mes bras.
Je me préfère fétichiste de l’infime, des seringues et du sang, des nuances infinies de la conscience dont on se fait maître, plutôt que tributaire morose de ses aléas.
Alors cette nuit vainement je danse hilare et défait sur les rambardes de l'Alma, la Seine pour seule témoin de mes hurlements, perdus dans les trous noirs qui étiolent chaque nuit un peu plus la mémoire. Et à la mort ; "Pourquoi lui et pas moi ? il te fuyait terrifié, je te tends les veines."
Et si jamais j'en émerge vivant alors pour la énième fois, face au Soleil levant je vomirai ma haine /

edit : retravaillé le 11/12/22
« Modifié: 11 décembre 2022 à 06:10:36 par Baldur »
GOD is Lain.

Hors ligne Baldur

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Re : Black Star
« Réponse #7 le: 10 décembre 2022 à 14:30:40 »
A venir, des trucs un peu plus lumineux. Pardon, on commence par le début.
GOD is Lain.

Hors ligne Baldur

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Re : Black Star
« Réponse #8 le: 10 décembre 2022 à 16:10:03 »
Eloge de la folie

Sans une dose de démence, ni initiative ni entreprise. La raison n'est que rouille de notre vitalité. C’est le fou en nous qui nous intime l’aventure ; qu’il nous abandonne et nous sommes perdus : tout dépend de lui, même notre vie végétative ; c’est lui qui nous invite à respirer, qui nous y contraint, et c’est encore lui qui force mon sang à se promener dans mes veines sclérosées. Qu’il se retire, et me voilà seul ! à l'abandon – je ne peux être normal et vivant à la fois. Si je conçois le futur, un heureux détraquement de mon esprit en est la cause. Je subsiste et j’agis dans la mesure où je déraisonne, où je mène à bien mes divagations. Que je devienne sensé, et tout m’intimide : je me dissous dans une infinité d'esprits, je glisse vers l’absence, vers des sources qui ne daignent pas couler, vers cette prostration que la vie dut connaître avant de concevoir la démence ; j’accède à force de lâcheté au fond des choses, tout acculé à un abîme dont je n’ai que faire puisqu’il m’isole de l'avenir.
GOD is Lain.

Forêt

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Re : Black Star
« Réponse #9 le: 10 décembre 2022 à 16:57:30 »
Salut Baldur et bienvenue ici :)

Quelques remarques dans le détail :

Des gouffres vers un labyrinthe ferroviaire où serpente un royaume prospère.

J'aime bien "où serpente un royaume prospère" mais c'est un peu redondant avec "labyrinthe". En fait, on s'imagine que le labyrinthe ferroviaire serpente déjà... du coup, la phrase patine un peu, il faudrait alléger à mes yeux.

Citer
C'est un antre noir où se perdent les jours.

un peu cliché

Citer
on le surnomme d'un terme impropre mais commun – crack.

"d'un terme impropre mais commun" me paraît inutile et aussi un peu maladroit (en général, quand on dit "on surnomme quelque chose comme ci", le surnom est nécessairement "commun", et pas forcément propre puisque c'est un surnom).
c'est un peu cliché de personnifier le "crack" en "roi"...

Citer
On les appelle modous, ces silhouettes noires aux poches pleines et aux sourires plastifiés.

deuxième occurrence de "noir[es]" en peu de lignes. adjectif superflu à mon avis. (il y a aussi "noirci" un peu plus bas)

Citer
Altières elles dégueulent leurs saintes pierres aux poches de mendiants avides. Sous les plastiques si vite défaits les cailloux tant désirés.

plastifiés/plastiques : je saisis mal l'intérêt de cette répétition, si elle est volontaire
pierres/cailloux : on sent que tu as voulu éviter la répétition, du coup ça paraît artificiel
"dégueulent leurs saintes pierres aux poches de mendiants avides" : un peu sensationaliste de mêler nausée, religiosité et misère vorace


Citer
et la fumée qui s'envole, avec les lendemains et les peurs. Et puis le flash, ce quasi bonheur, le cœur à mille à l'heure.

Je ne doute pas de la véracité de la description, mais les termes employés sont un peu tout faits
un peu de recherche dans la langue pour plonger dans la sensation serait bienvenu, à mon sens

Citer
Aux lèvres un sourire complaisant et à l'esprit une obsession bienfaisante.

ça ne sonne pas très bien, si tu veux mon avis, "sourire complaisant"/"obsession bienfaisante"

Citer
Parfois s'y dessine la jouissance aveugle de la première bouffée, parfois même l'image craquelée d'une enfance à la lointaine lumière en parcelles.

des expressions stéréotypées (la lointaine lumière de l'enfance, son image craquelée...) qui bloquent l'intensité et la justesse de la description

Citer
Mais la plénitude est partielle

Je perçois mal l'intérêt de cet oxymore ? Veux-tu plutôt dire que la plénitude est fugace, comme le suggère la seconde partie de la phrase ?

Citer
Des extases avortées

jouissance, plénitude, extase : on sent la recherche de synonymes, le texte en devient un peu lourd, redondant
puis "sourire complaisant", "obsession bienfaisante", "jouissance aveugle", "image craquelée", "lointaine lumière", "extases avortées", "descente tyrannique" ça fait beaucoup d'adjectifs en peu de lignes

Citer
Une quête sans fin, sinon celle de la trachée en cratère et des poumons en putréfaction ; ils le savent, ces crackheads livides, amers, affaissés sous le poids de leurs propres espoirs.

Le lexique organique et apocalyptique est un peu grandiloquent et cliché

Citer
Les bouches de métro sont des trous noirs.

Tu l'as déjà dit...

Citer
les âmes perdues les armes depuis longtemps rendues, aux regards las et aux visages figés, qui errent hagardes, au craving insatiable faisant sans cesse offrande des amnésies enfumées.

"enfumées" redonde avec "fumée" juste au-dessus
"âmes perdues" c'est une formule toute faite et la paronomase "âmes"/"armes" est un peu facile et déjà vue
toute la description de ces âmes en peine est assez redondante, poussive : tu nous dis qu'elles sont perdues, puis qu'elles errent, puis qu'elles déambulent, on savait qu'elles étaient avides, puis livides, maintenant hagardes, auparavant amères et affaissées, maintenant lasses et à la figure figée ; elles poursuivent la lointaine lumière de l'enfance, ensuite elles lorgnent vers la pâle lumière au loin, lumière que les bouches de métro dévorent, puisque s'y perdent les jours, puisque ce sont des antres noirs, je veux dire ténébreux, etc., etc.

Ce que je veux dire, c'est que ton texte serait meilleur à mes yeux s'il n'accumulait pas de manière aussi visible les mêmes motifs, le même lexique, ce qui donne un côté assez laborieux, cliché et sensationaliste. c'est dommage, les quelques belles expressions étant ainsi noyées dans un flot d'images qui se ressemblent et que l'on a déjà plus ou moins croisées ailleurs. cette espèce de cathédrale gothique et souterraine de la misère urbaine où traînent des drogués fantomatiques, on la connaît, c'est une esthétique qui a été maintes et maintes fois mobilisée : pour que ça ne tombe pas dans la facilité ou le déjà-vu, je pense qu'il faut distiller plutôt que surcharger, en se demandant quelles tournures ont vraiment de l'intérêt, quelles sont saturées par l'usage, éventuellement ajouter un peu d'humanité ou de sociologie, désesthétiser ou rendre ladite esthétique moins grandiloquente, car ce sont bien de véritables personnes dont tu parles, cette misère existe, elle a un sens social, il s'agit bien de corps réels et pas uniquement de figures de style ; ou alors prendre un parti pris radical et trouver de la singularité en faisant enfler complètement la langue, en pénétrant de manière totale les lieux communs liés cette esthétique, en cherchant par exemple un style halluciné, un festin d'ombres à la Lautréamont, à la Pons, à la Burroughs... enfin bref, plein de choses sont possibles !

Merci Baldur et au plaisir de te lire à nouveau

Hors ligne Baldur

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Re : Black Star
« Réponse #10 le: 10 décembre 2022 à 17:19:31 »
Citer
car ce sont bien de véritables personnes dont tu parles, cette misère existe, elle a un sens social, il s'agit bien de corps réels et pas uniquement de figures de style
Je parle de moi, de mes potes. Mais je ne doute pas que tu connaisses ces personnes mieux que moi, désolé.
Sinon rien de très intéressant ; et crois-moi, je cherche avant tout la critique.
edit : ah, un-e fan de Burroughs. 1) je hais ce mec 2) cesse de me lire, personne n'y trouvera son compte.

« Modifié: 10 décembre 2022 à 17:42:58 par Baldur »
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Forêt

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Re : Black Star
« Réponse #11 le: 10 décembre 2022 à 18:25:42 »
Je ne suis pas du tout fan de Burroughs, mais alors pas du tout. C'était juste un exemple de possibilité littéraire.

Pas de problème, Baldur. N'hésite pas à préciser quels types de retours tu attends lorsque tu postes un texte.

Hors ligne Cendres

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Re : Black Star
« Réponse #12 le: 10 décembre 2022 à 18:38:38 »
Merci pour ton texte.

Tu devrai spas les mettre a la suite des une et des autres. On peut penser que ceux sont juste des commentaires et donc ne pas lire tes nouveaux textes.

Tu parles de la dépendance et de ses conséquences. Ce n'est pas facile de retranscrire des émotions, mais tu y arrives bien selon moi.

Hors ligne Charivari

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Re : Black Star
« Réponse #13 le: 10 décembre 2022 à 18:41:07 »
Salut.
'tin c'est dense !  J'ai lu tous les fragments, et c'est vraiment intéressant, il y a du style, un "souffle", un message

Pour le moment je commente le 1er : trou noir

J'ai dû regarder sur le dico "modous" pour bien comprendre ce dont on parlait.  C'est la seule petite critique que je ferais à ton texte: le lecteur lambda peut passer à côté du sujet. Cela dit, c'est peut-être voulu comme effet.  Tu fais comme tu veux évidémment
L'atmosphère est très bien campée, c'est angoisssant, ça te prend à la gorge, il y a même quelque chose presque de mystique dans le rendu ("Son roi n'a ni voix ni visage"), ça qui renforce la gravité de la scène, à la fin on est vraiment dans l'enfer, dans le non-monde, au milieu des fantômes. En plus, il y a le sens de la formule, style très épique, baroque. C'est vraiment bon, faut  continuer d'écrire, clairement.
Bref: pour moi ce texte serait un bel incipit pour quelque chose de plus long, un thriller par exemple?
En lte isant, j'ai pensé à la chanson Station to station de David Bowie pour accompagner les images du film "Christiane F", dans le métro de Berlin au début des années 80. â l'époque c'était l'héro, pas le crack

Je repasse pour d'autres commentaires.

Hors ligne Baldur

  • Tabellion
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Re : Black Star
« Réponse #14 le: 10 décembre 2022 à 18:42:12 »
J'entends Cendres, mais comment me conseillerais-tu de les disposer ?
Sur mon ancien forum, il y avait le topic pour les textes, indépendant de celui réservé aux commentaires.
Ici, tu me conseilles simplement d'espacer mes posts ?

@Forêt : "Je ne suis pas du tout fan de Burroughs, mais alors pas du tout. C'était juste un exemple de possibilité littéraire."
Une exemple de possibilité littéraire que tu dédaignerais tout autant ? X_X

Je t'ai lu vite fait ; dans le genre emphatique, tu n'y vas pas de la main morte, imo. Let's agree to disagree ? bye.
« Modifié: 10 décembre 2022 à 18:48:18 par Baldur »
GOD is Lain.

 


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