Bonjour,
J’ai toujours fait des activités physiques, natation, marche, vélo… Comme la saison d’hiver ne s’y prête pas trop depuis quelques mois, je me suis inscrit dans une salle omnisports pour faire de l’exercice. Comme tous sportifs afin d’éviter les incidents fâcheux (étirement, luxation, ou plus grave encore claquage), je suis à l’écoute des signaux d’alerte qu’envoie mon corps.
Jusqu’il y a peu, je pensais que la limite à ne pas dépasser afin d’éviter ce genre de pépins, c’était de marquer une pause ou de m’arrêter lorsque, je m’essoufflais ou en ressentant un point de côté. Or, depuis quelque temps, je focalise aussi mon attention sur un autre signe plus discret que transmet à notre cerveau : nos muscles, tendons, nerfs… et cet avertisseur est d’ordre psychologique, il s’agit de la « lassitude ».
De la « lassitude » au « stress » il n’y a qu’un mot quasi synonyme. (définition ci-après) : —
symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d’appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue. Or si ce trouble de notre psychisme n’est pas récurent, il passe comme une lettre à la poste dès l’instant où celui-ci n’est pas suivi d’effets somatiques. Mais dans de nombreux cas, il est annonciateur hélas ! de troubles plus sérieux.
Savoir déchiffrer les signes que nous transmet notre cerveau, c’est prévenir afin d’éviter d’avoir à guérir.
La lassitude en ce qui me concerne se traduit souvent par un manque d’envie, qui elle-même me rend apathique et en bout de chaîne me provoque de l’asthénie (à moins que ça soit l’inverse).
Il faut toujours chercher à comprendre pourquoi on à ce manque d’appétence qui à la longue peut nous conduire au stress.
S’intéresser à la cause du problème, c’est souvent s’approcher du remède.
Bonne journée