Prophète en son temps, annonciateur de bonnes nouvelles, il communique par son sens de l’honneur, le bonheur. Simple mortel, il élucide toute chose se voulant semblable à la joie fraternelle.
Par son caractère messianique et son aura d’écrivain, il sème le sens du maintien à l'égalité.Son temple est l’académie des justiciers. Bien que son ambition n’ait d’égal dans ce monde, il s’estime d’une grande équité. Sa plume prend des allures de ritournelles et des envolées éternelles.
Les condisciples de cette philosophie adoptent ni plus ni moins l’erreur dans l’expression de leurs avis d’érudits. Ils sont à tel point communs, dans leur option d’accepter la critique, dévolue à leur ambition pathétique, qu’ils sacralisent leur écriture par des tournures arithmétiques.
Les interrogations deviennent des ondulations et tronquent la ponctuation de leur didactique
fatidique, puisque toute croyance se voudrait véridique.
Présomptueux, le style dévient emphatique, les idées emblématiques.
Mais quelle est cette beauté dont le secret réside dans cette bonté simplement partagée?
S’affranchir de norme orthonormée et opter pour des abscisses sur un plan désordonné, afin d’en déterminer le choeur dans l’abside du lieu des orateurs! Mais alors qui sont ces talentueux dont l’écrit a pour vocation de faire éclore leur mission autour d’une élection ?
L’élu est ce vénérable adepte, qui par sa plume d’esthète construit le livre de la fête.
Car nul n'est le fanfaron de son temple sans le don à sa passion !