Une reprise de conversation sur editer en auto édition ou courir les auto-éditeurs :
- auto éditeur :je ne sais pas si j'ai inventé le mot, je me dis que auto editeur serait une sorte de type qui se bombarde comme éditeur, sans réseau, sans équipe, sans presque de ligne éditoriale, sans correcteur ni illustrateur, ni maquettiste en fait solo. Bon... dans le lot peut-être une perle magique sur cent, un peu comme nous, une perle magique sur 100 mais, dans tous les cas.
J'ai l'impression de découvrir de plus en plus d'auto editeur... de me dire tiens, envoie ton manus et puis non, ça m'a tout l'air d'être un auto-éditeur. Pour moi auto-édition et auto editeur souffrent des mêmes maux : pas de travail sur l'oeuvre ( en dehors du sien propre : pas de relecteurs, pas de correction pas de boulot sur le récit lui même, mise en page à l'arrache, bricolage avec des ia pour les illus, pas de travail éditorial promo, distribution etc).( Je regarde de temps en temps les sorties de mon ancien auto-éditeur 4 ou 5 erreurs par page, par exe rien que ça, un peu dommage quand même.
Le MDe offre cette possibilité d'accompagner l'oeuvre, si on l'attrape par le bon bout et si on a le gout ( attraper l'oeuvre et les gens).
B