Bonsoir Béatrice,
C'est moi qui vous remercie.
Ainsi, vous serez en mesure de comprendre ce qui est caché dans le premier quintil, c'est-à-dire "le jaillissement originel et continuel du monde " (Lao Zi écrit : "Son nom est inconnu. Je le qualifié aussi de grand. Grand, il est partout. Étant partout, il est éloigné. Éloigné, il revient à la source.")
Le poème 2 exprime, par la métaphore de la "fugace beauté", que tout apparaître pour les mortels est aussi un "piège" et qu'il y a un envers qui est scellé à cette lumière.
Le poème 3 exprime l'idée que plus on habite la lumière, plus on est contraint de se couvrir "d'ombres" sans quoi l'on éprouve la cruelle morsure du "manque" propre à tout "ici-bas".
Quant au dernier quintil, il établit la pure offrande de soi à l'autre et, par ce geste de tracer "le sourire de l'adieu" sur son visage, le fait de gagner en retour le don que l'autre a aussi en propre.
Mes amitiés,
Titus.
Je corrige.
Lao Zi dit : "Son nom est inconnu. Je le nomme Tao. Je le qualifie aussi de grand. Grand, il est partout. Étant partout, il est éloigné. Éloigné, il revient à la source."