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Le Monde de L'Écriture » Coin écriture » Textes courts (Modérateur: Claudius) » "Les distances affectives..."

Auteur Sujet: "Les distances affectives..."  (Lu 1710 fois)

Hors ligne swedish

  • Plumelette
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    • Swéd Cantalès
"Les distances affectives..."
« le: 27 novembre 2010 à 21:10:04 »
Avant-propos:

Il se trouve que la pédagogie m’a bien souvent surpris! J’ai connu des professeurs de tous caractères et des méthodes de trop classiques à assez originales.

 A l’heure où je m’adresse à vous, je suis un cours d’analyse spatiale… L’analyse spatiale, ça consiste en quoi? Bien je vais vous le dire, en gros, pour vous mettre les images en place, je dirais que c’est l’étude d’espaces urbains ou ruraux… Jusque là rien de très intéressant sauf que la façon qu’utilise le prof pour nous inculquer les principes de la géographie me fait penser à de la philosophie. Pour Mr Mollusque(*nom de substitution), tout est basé sur la géo, la société, la philo donc, mais aussi l’amour…

 Puis, il y a eu cette phrase qu’il nous a récemment dite et qui m’a pas mal inspirée… Comme il peut exister une distance par exemple dite « routière » pour effectuer un trajet et bien il existe des distances affectives entre les êtres… Intéressant! Cet homme à une tendance à tout compliquer, à tout ramener à la réflexion et je ne sais pourquoi, il a une envie incontournable de définir chaque mot qu’il utilise… Et il ramène tout aux études de l’institut nationale de la statistique et des études économiques (INSEE).

Je ne sais si je suis clair dans ma présentation si non je reprendrai tout ça!
Le texte qui découlera, je le mets dans la catégorie: « pamphlet du professoral. » Il n’y a pas ici d’intérêt concret si ce n’est ironiser, sur la vie et ceux qui la font! Dites moi si vous accrochez à l’idée ainsi qu’à l’écrit!




LES DISTANCES AFFECTIVES EN AUVERGNE

I. Introduction à la notion de distance

Une distance est un espace espacé par un autre espace. Celui-ci n’est pas forcement vide, il peut être parsemé d’objets. Mais un objet est il obligatoirement tactile? Peut-il faire l’objet d’une conscience, d’une raison voire d’une passion? Non et Non!

Il peut donc être invisible et dans ce cas là il est une notion, un concept!
Tant que les choses invisibles existeront, le temps restera le fondement de la vie!
Sachez que le temps n’est ni plus ni moins qu’une distance entre le commencement et la fin du monde voire de l’univers. Le monde est lui aussi un espace, il est rond, il peut être de plusieurs couleurs. Il est un peu comme moi après plusieurs verres de vin. Seulement, le monde est trop vague, il est trop grand.
Alors, choix cornélien mais je me laisserai aller en un lieu distinct que je connais bien, un territoire de grands espaces nommé Auvergne où les distances affectives qui nous intéressent aujourd’hui, seront en proie à être modifiées par les monts et les vallées!

II. Le rouge, le jaune, le rose, le blanc… Chez l’Auvergnat.

Traditions auvergnates depuis la nuit des temps, les apéros tendent à espacer le foie et l’homme en cas de surapérotisation ou supra-apérotisation… Soit un synonyme d’alcoolisme qui apparaitra un jour dans le dictionnaire!

Mais pour ma part en auvergnat pure souche, enclin de constater que les couleurs vivantes réinventent la fraternité! J’aurai pu prendre l’exemple d’avant-hier mais je prendrai celui d’hier.
Je marchais donc dans la rue, c’était un lundi soir je crois, et quelle ne fut pas ma surprise de tomber non intentionnellement sur le bar de l’avenue des Six roses! J’entra sur la pointe des pieds et bizarrement l’accueil fut tout de suite chaleureux et bien vite on me cria dans un élan de bienvenue: « Cul sec GéGé! »
L’ambiance étant, je dus me résoudre bien vite à réchauffer mon corps qui avait du affronter le froid auvergnat comme les russes affrontent l’ardeur de la Sibérie!

La nuit venait juste de tomber et je sentais déjà que bientôt ma vision des espaces se rétrécirait… Il me fallait pas plus de quelques heures pour pouvoir partir dans une discussion philosophique de comptoir avec mon ami René, ancien empailleur de taupes. Bien vite, on parla de nos vies, bien vite il me parla de sa vie.
Bizarrement, nos âmes se rapprochaient. Je sentais que notre affection était plus grande vis-à-vis l’un de l’autre. Il commençait par m’expliquer les secrets de son existence et comment à douze ans il avait du vivre l’horreur, quand sa mère mit un terme à la décadence, en lui prohibant toutes nouvelles tentatives de collections de vignette Pokémons. Je sentais une émotion forte à travers ces dires et j’avouerai qu’à un instant, j’au ressenti les larmes qui coulaient sur mes joues rouges. Un des moments les plus prenant au cœur de mes jours!

C’est ainsi qu‘en ami, il voulut mettre un point d’honneur à effacer toutes distances affectifs entre nous deux… Pour cela, il m’offrit sa raison et m’avoua ce qu’il n’avait jamais osé me dire… Apparemment, il avait créé une distance affective réduite avec ma femme, il était selon ces dires arrivé à une osmose corporelle, enfin il reprenait les paroles de mon épouse.

Bien évidemment je le félicita d’avoir effacer une distance affective… Mais avant cela, je lui expliqua que malgré ma proximité palpable, j’étais désormais loin de lui et que bientôt il devrait effectuer un trajet dans un espace réduit, celui d’une ambulance rouge.

III. Le libertinage auvergnat et les épines

Je mets en exergue ici mes talents pour pouvoir offrir une explication, un raisonnement qui je pense, offrirait une réponse quant à la désertification médicale de la région.

Le problème est la jeunesse et sa fougue. Combien de fois en me promenant dans une foret d’épineux, dans un pré de chardons… J’eu la surprise de rencontrer des amoureux en train de batifoler! Et voici le mal du siècle, l’amour dans les champs! Si la nature tue toute distance affective, c’est pour en conséquence créer un mal invisible! En effet, d’après l’INSEE, un médecin de campagne auvergnat sur deux, serait touché par une surcharge de travail.
 Il y aurait en moyenne dix interventions par semaine afin de soigner des blessures telles que les accidents de barbelés, rencontres avec des branches mortes… Mais les premiers symptômes qu’ils se voient contraint de soigner sont des allergies aux épicéas et autres piqures grossières de végétaux épineux.

A croire que certains sont sadique et aiment faire l’amour avec les acacias. Certainement, que je consacrerai une étude sur les distances affectives entre les sado-masos et  les acacias. Je pense que le gouvernement est en droit de savoir si la population est atteinte par des troubles mentaux selon les espaces à dominante feuillu ou épineux! Mais bref, passons!

 Tout cela est une épine qu’on s’enfonce nous même dans notre pied, car comment peut-on attirer des médecins dans une région où ils sont en proie à ne plus vivre que par le travail et les interventions saugrenues!  Ce n’est plus une épine dans une botte de foin!
Je me mets à la place de ces jeunes qui sortent de médecine et qui se voient offrir un poste à risque en Auvergne tremblant de ne voir que des abominations. Je les comprends quand ils réfutent les propositions… Pourtant, on en a bien besoin, et les distances spatiales entre les habitations et les cabinets tendent à augmenter au contraire des distances spatiales bars-habitats…

IV. Une distance visible connotant une distance affective: les exemples du chewing-gum et des spaghettis.

L’existence nous réserve parfois bien des surprises. Si les distances affectives sont majoritairement imaginaires, parfois elles s’offrent à nos yeux comme la neige s’offre à nos beaux sommets!

Il suffit de flâner dans un parc au soleil du printemps pour constater, que l’américanisation est partout! Sur le modèle des vaches laitières de nos prairies escarpées, nombre de jeunes boutonneux s’affèrent à mâcher sans discontinu ce que l’on nomme en Auvergne, « Caoutchouc ». Une mode en découla alors, la création d’un espace chlorophyllé, celui joué par l’étirement d’un bout de matière d’une bouche à une autre. Ainsi, c’est toute une dynamique d’espace affectif qui est remis en cause!

Je dirai que ce n’est pas une bonne chose de mettre en exergue son amour par la volonté élastique du chewing-gum! Certains prônent l’art moderne, moi j’opterai plus pour mettre en place une campagne publicitaire gouvernementale basée sur la nécessité de préserver son hygiène bucale en se lavant  les dents.

Dans un second cas, je ferai allusion aux spaghettis, qui selon une étude de l’INSEE mesure en moyenne 10cm de long en France. En Italie, gourmandise oblige, il semblerait que la moyenne soit plus haute, mais enfin je dis cela à titre culturel! Là, encore, je dus constater une montée en flèche d’une dégustation « pasta party » de libre échange de pate entre les lèvres convergentes.
Le but étant de manger au plus vite l’élément nutritionnel afin d’avoir un contact affectif qui ne soit plus de l’ordre des distances.
Toujours selon une étude de l’INSEE si tous les amoureux du globe mangeaient des pâtes en un repas donné , il n’y aurait plus assez de blé pour nourrir le peuple chinois! Cela est bien triste et si les couples semblent heureux ils sont par cette étude bien égoïstes!

Pour endiguer cela, il existe une solution simple qui s’appelle bolognaise. De part ma grande expérience, j’eu vite constaté qu’il était plus facile d’endiguer le rapprochement tactile lorsqu’un nutriment d’ordre haché ou « tomateux », faisait notion de rouge à lèvre involontaire.
Ainsi, j’ai dans l’optique de créer un rapport pour démontrer au gouvernement la nécessité d’utiliser dans les cantines et cela dès les petites sections toutes sortes de sauces ce qui à l’avenir … Modifierait par le temps, les mœurs des générations nouvelles qui auraient enfin le droit à une existence meilleure!

 Ceci sera mon combat et je défie quiconque de me dire que ma croisade n’est pas une distance louable d’esprit par le fil rouge de la vie et des sciences humaines!


Conclusion

La pizza est un plat typiquement italien qui se prépare dans un four traditionnel avec une base tomate fromage champignon. Il existe des distances entre les olives, et dont des études récentes de l’INSEE estiment à un éloignement d’environ 3,5cm sur une pizza de grande taille. Bref, ce n’est pas le sujet.

 Il existe dans nos sociétés actuelles, une boite à images et à sons nommé télé qui retransmet parfois ce que l’on nomme du sport. La population masculine tend à en faire un moment de culture, de culte même, pour des instants jubilatoires… Et c’est tout l’aspect des distances affectives qui sont touchées en conséquent.
En effet, si l’homme marié par exemple se prend de passion pour la vision d’un match de football… Et bien malgré que la distance palpable se résume à quelques centimètres voire quelque mètres, la distance affective elle ne sera plus identique.

Procédons par raison.  La distance affective est une notion complexe qui dépasse nombre de scientifiques et autres psychologues et ce sera là ma conclusion, il n’ y a donc d’éloignement passionnel que lorsqu’on oublie d’aimer, de choyer et de protéger!
Alors, dans ce cas précis un mystère est dévoilé… Il se peut donc qu’un homme habitant dans une foret de Marijuana du Mexique puisse avoir un lien affectif plus prononcé avec une femme habitant dans un champs de chanvre des plateaux du Mozambique… Qu’un beauf auvergnat moyen devant sa pizza quatre fromage et sa femme à proximité noyée dans l‘ennui!

 Ainsi laisse t-il penser à sa femme que le voisin du dessous, cette ordure de René, sera créer un espace plus restreint avec elle sur une tremblante machine à laver..
« Modifié: 28 novembre 2010 à 00:08:21 par swedish »
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Hors ligne Zacharielle

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Re : "Les distances affectives..."
« Réponse #1 le: 27 novembre 2010 à 21:25:24 »
 :mrgreen:
J'avoue que le début m'a un peu décontenancée, mais une fois qu'on s'habitue à l'idée et au rythme, c'est assez amusant. Y'a des expressions et des situations fin drôles, c'était bien joué ! Je trouve que tu aurais pu pousser plus loin les parallèles géographiques. Par contre, fais attention à l'orthographe s'il te plaît, ce sera plus plaisant pour tout le monde :]

Verasoie

  • Invité
Re : "Les distances affectives..."
« Réponse #2 le: 27 novembre 2010 à 21:40:30 »
Citer
L’analyse spatiale, ça consiste en quoi? Bien je vais vous le dire, en gros, pour vous mettre les images en place, je dirais que c’est l’étude d’espaces urbains ou ruraux… Jusque là rien de très intéressant

Au contraire, l'analyse spatiale c'est cool et on devrait faire en sorte que ce soit plus répandu, connu et appliqué, comme beaucoup de choses en sociologie (à moins que ce ne soit dans un autre cadre que tu suis ce cours ? on m'en a surtout parlé dans le cadre de la socio.)

Citer
Il n’y a pas ici d’intérêt concret

Sérieux, vendez mieux vos textes, ça donne pas envie de lire quand on dit ça XD

Citer
Tant que les choses invisibles existeront, le temps restera le fondement de la vie!

Je suis pas d'accord, et tu n'as pas justifié ni expliqué cette phrase dans ton paragraphe. ^ ^

Citer
Alors, choix cornélien mais

Choix entre quoi et quoi ? Vu qu'on ne sait pas quelles étaient les deux alternatives, ça fait un peu "expression mise là pour faire beau", je trouve... : /

Citer
être modifiées par les monts et les vallées!

Une espace avant les points d'exclamation et d'interrogation ^ ^

Citer
Traditions auvergnates depuis la nuit des temps, les apéros

Objection, c'est pas auvergnat l'apéro, tu vas te faire des ennemis !

Citer
mais je prendrai celui d’hier.
Je marchais donc dans la rue, c’était un lundi soir je crois,

Le narrateur a pas trop l'air de savoir où il en est xD C'est fait exprès qu'il ait pas conscience qu'on est mardi ? Huhu

Citer
et quelle ne fut pas ma surprise de tomber non intentionnellement sur le bar de l’avenue des Six roses

Joli jeu de mots, j'apprécie

Citer
Il commençait par m’expliquer les secrets de son existence et comment à douze ans il avait du vivre l’horreur, quand sa mère mit un terme à la décadence, en lui prohibant toutes nouvelles tentatives de collections de vignette Pokémons.

Je voyais les protagonistes beaucoup plus vieux... S'il a vécu les cartes Pokémon à douze ans, il en a 25, trente à tout casser... Je leur donnais la cinquantaine. Ou alors on est dans le futur, mais bon.

Citer
qu’en à la désertification médicale de la région.

Quant à

Citer
Certainement, que je consacrerai une étude sur les distances affectives entre les sado-mazos et  les acacias. Je pense que le gouvernement est en droit de savoir si la population est atteinte par des troubles mentaux selon les espaces à dominante feuillu ou épineux! Mais bref, passons!

maso, avec un S. Et ce n'est pas un trouble mental mais une paraphilie ^ ^




L'avant-propos fait partie du texte, ou pas ? Si non, tu peux les séparer un peu mieux ?

Bon sinon j'ai vraiment pas accroché. L'idée à la limite, mais je trouve que le tout manque beaucoup de cohérence, en fait si c'était une argumentation solide et qu'elle prouvait vraiment quelque chose je pense que je me serais laissée prendre au jeu même si ce n'est pas une vraie "histoire", il n'y a pas d'intrigue, quoi.

Là en revanche, je trouve le tout un peu brouillon, quelques phrases que j'ai relevées me paraissent inutiles, taches, là juste pour leur potentiel vaguement cynique. Finalement après ton texte, je n'ai toujours pas compris pourquoi on parlait de distance affective. Enfin, si, je l'ai compris, mais grâce à ton avant-propos. J'aurais préféré que ton texte soit bien défini sur ce à propos de quoi il cherche à me convaincre.

Enfin, mais ça c'est personnel, j'ai trouvé que l'équilibre entre "ton professoral" et "familiarité" était très moyen. Beaucoup trop de points d'exclamation, d'abréviations (télé, maso...). À la limite des écarts comme ça feraient plus d'effet si le reste avait un style plus strict, ironiquement pompeux, mais comme le reste me paraît pas très soutenu comme langage... Ça coince.

Voilà, bien tenté, mais pas d'accroche pour ma part. On verra ce que disent les autres, ne te décourage pas.

Hors ligne swedish

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Re : "Les distances affectives..."
« Réponse #3 le: 27 novembre 2010 à 22:28:47 »
J'ai écris ça en cours, ce qui peut expliquer pas mal d'imperfections mais ce n'est pas une excuse... C'est pour cela que j'ai ajouté un avant propos et que le tout semble un peu familier ( De toute façon un alcoolique frustré n'utilisera pas un vocabulaire soutenu, je parle pas de moi là mais du narrateur)...

 "Le temps restera le fondement de la vie" dans le sens où notre existence se résume au temps qui passe...

René est plus jeune malgré son prénom vieillot, c'est certainement pour cela qu'il occupe les pensées de sa voisine...

Je ne voulais pas faire une nouvelle, seulement créer un semblant d'étude, dans le style des  livres universitaires. Le narrateur est complétement perdu car légèrement alcoolique.

Ce texte ne cherche pas à convaincre, il cherche à discréditer les dits pédaguogues par l'incohérence de leurs propres propos. Je joue sur le ridicule.

Je comprends vos critiques et j'en prends acte pour pouvoir progresser.  ^^

Bonne soirée
« Modifié: 27 novembre 2010 à 22:40:34 par swedish »
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Hors ligne Loïc

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Re : "Les distances affectives..."
« Réponse #4 le: 28 novembre 2010 à 00:47:06 »
Citer
Et bien malgré que la distance palpable

Horreur!

Citer
Sachez que le temps n’est ni plus ni moins qu’une distance entre le commencement et la fin du monde voire de l’univers

J'aurais bien vu une virgule après "monde".

Idem que plus haut pour le "choix cornélien".

Citer
enclin de constater

Enclin à

Citer
J’entra sur la pointe des pieds

J'entrai

Citer
René, ancien empailleur de taupes

J'adore xD

Citer
Il commençait par m’expliquer les secrets de son existence et comment à douze ans il avait du vivre l’horreur, quand sa mère mit un terme à la décadence, en lui prohibant toutes nouvelles tentatives de collections de vignette Pokémons.

Les virgules sont mal placées, et du coup le rythme de la phrase ne passe pas. Faute de frappe dans celle qui suit. Idem le paragraphe suivant: "distances affectives".

Citer
je le félicita

Félicitai

Citer
un raisonnement qui je pense,

Virgule après "qui".

Citer
ils sont en proie à ne plus vivre que par le travail et les interventions saugrenues!

Je trouve le "ils sont en proie" maladroit.

Citer
je ferai allusion aux spaghettis, qui selon une étude de l’INSEE mesure
4

Il faut choisir: singulier ou pluriel!



Je n'ai relevé que le plus gros, qui était vraiment choquant, pour le reste une bonne relecture ne ferait pas de mal.
Sinon j'ai un peu la même appréciation que Zach', il faut rentrer dedans, mais après il y a quelques expressions sympathiques, et même si je n'ai pas tout compris, j'ai presque sourit tout le long. Quelques lourdeurs et maladresses, mais au vu du genre de texte, le contraire aurait été étonnant.

Bon après, mon avis vaut ce qu'il vaut hein ;)
"We think you're dumb and we hate you too"
Alestorm

"Les Grandes Histoires sont celles que l'on a déjà entendues et que l'on n'aspire qu'à réentendre.
Celles dans lesquelles on peut entrer à tout moment et s'installer à son aise."
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Hors ligne Zacharielle

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Re : Re : "Les distances affectives..."
« Réponse #5 le: 28 novembre 2010 à 08:46:16 »
Ce texte ne cherche pas à convaincre, il cherche à discréditer les dits pédaguogues par l'incohérence de leurs propres propos. Je joue sur le ridicule.
arf, moi j'avais pas vu ça comme ça... là c'est toi qui te discrédite  :mrgreen: on n'y croit pas une seconde quoi, et à part la structure, y'a pas grand chose qui puisse rappeler un développement scolaire répondant à un problème... Traiter l'amour en géographique, surtout en terme de géo spatiale, c'est pas du tout idiot (ça peut même être super intéressant, c'est la deuxième raison pour laquelle on migre après tout :D), mais c'est un des points de vue possible, il peut aussi être vu sous l'angle d'autres matières, comme la socio bien sûr mais aussi les maths pourquoi pas, étudier la "barrière de la langue" (celle qu'on parle  :huhu:) etc. Donc ta petite rancœur est agréable à lire parce que loufoque mais j'estime qu'on ne doit pas chercher beaucoup plus loin pour ce texte  ::)

Hors ligne Kathya

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Re : "Les distances affectives..."
« Réponse #6 le: 06 mars 2011 à 19:14:09 »
Même si le texte n'a pas eu à mes yeux le rôle revendiqué, j'y voyais un travail humoristique, un peu dans le même style que les Sciences naturelles et impertinentes ("quand elle est chez elle l'alouette met des pantoufles", "comme l'homme, la carpe a un tronc, des membres et une queue" *sort*) en moins abouti cependant.

J'ai beaucoup souri, et je pense que ce texte a un certain potentiel même s'il demeure trop décousu à mon goût. (Le narrateur est peut-être pas maître de toutes ses capacités mais le lecteur n'a pas forcément la volonté inextinguible d'en faire les frais. x'D)

Mais bon, ça reste sympathique et fort délirant. ^^
"Je suis la serveuse du bar Chez Régis ! Ou un leprechaun maléfique barrant l'entrée d'un escalier imaginaire..."

Et puis la Nuit seule.
Et rien d'autre, et plus rien de plus.

Avant l'hiver, Léa Silhol

Hors ligne Gros Lo

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Re : "Les distances affectives..."
« Réponse #7 le: 08 mars 2011 à 12:32:57 »

Ca m'a fait (doucement) rigoler. Enfin j'ai adopté une méthode de correction exemplaire, soit : lecture de l'intro, de la conclu, survol du développement. J'ai bien aimé le coup de la pizza, et globalement le ton un peu "j'affirme ! que l'Auvergne nanananana ! qu'ayant dit cela il est évident que tatata !" j'ai bien aimé le rythme et c'était rigoler à lire avec dans la tête une voix de politicien hystérique.
dont be fooled by the gros that I got ~ Im still Im still lolo from the block (j Lo)

 


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