Ohm
Fante
Mots, dîmes ensemble
Un nous rassimilé
A ce noir en cendres
Au goût acidulé
Décadence
S'anime le corps
Des mélodies
D'une onde de choc
Félonnie
Chateaux forts
Harmonie
De nos cors
Lecture éclectique
De mes bitures à bourriques
L'horticulture au tic
Tactique de mes horlogeries
N'est pas ce que plurent les pluies
Je ne sais pas
Toujours pas
Pourquoi ce qui chante vibra
En un centre de ce quoi que ce soit
Va-donc, chère cible
La flèche te suit si c'est toi la souris
Et le chat dans tout ça
Se lèche autrui
Pouah, ça fuit ça luit ça nuit, quel drible
Dirigeable à souhait dans ce qui se fit d'illusoire
Je ne sais ce que je passoire
Toujours pas le soir
Car le matin au carrelage de satin, est un curieux tapis pour un chauffement de barratin : des sons, des rimes, du rire sur le chagrin, je ne puis présentement dire ce qui vint ou non à l'origine de ce monceau de mots, ces rots de mon cerveau en bulles à chapeau, en tulle de tutu ou tuer n'est pas jouer, puisque n'est-il soufflé ? Ce riz, ce rire, cette démentiation qui me tient, qui s'affirme alors que rien, ne confirme ou ne dépeint l'infirmité de mes mains qui agités de mouvement se lance dans le renouvellement de ce que je n'entends. C'est. Pourtant. Désaccointant.
Alors, je migre.
Moi l'ogre.
Dénigre.
La gare.
De mes loges.
Au hasard.
Qu'un navire.
En dérive.
Aurait gravelé.
Pour gravir.
La vague.
L'agrypnie en vrac.
De mes hystéripséités.
Espérances à l'authenticité.
Transparente.
Sans conscience puisque.
Non c'est un non-sens.
"Il n'y a pas plus de lui qu'il n'y a de quoi, alors pourquoi ce petit quoi que ce soit aurait dit ou écrit, je ne sais pas, qu'il fallait que se poursuive quelque régulation de production. Non, il en invoque ce petit personnage, il ne sait pas dans quoi il nage, et pourtant lorsqu'il tourne la page, c'est qu'il se noie au lieu de faire ce que partagent les poumons, les poumons de Fante respirent sous contrainte, oui, non, c'est nous les plus à plaindre, c'est nous qui atomisons les grandes entités, alors..."
Fante...
Dans un cockpit.
Se dépite.
A lui-même.
Lorsqu'orbitent.
Ses blasphèmes.
Or donc... hoquette...
La trempette !
Exclamette, je ramette dans les mammisphères, l'eau c'est en océan qu'au séant de mes sentiments, je sens ce fulminement, bullant, trucculent univers oui, intransigeant, instantané, lambinant contre denrée, démembrée, à l'encontre d'un Fante qui... oh... ce serait téléporté !
"La pense..."
Une note, de silence
Loupiote, dans l'absence
De spot, à incandescence
Le son...
De mes frottement, forcément, entre les atomes de l'entendement, ce dont est fait le cosmos de mes idées, celui que je parcours pour le consturire, en tout petit, dans mon moi de quoi...
Leçon...
A mes intentions
Non.
Ne pas découvriller.
Ne pas valillusionner.
Ne pas démonologuer.
Ne pas dropiniatreter.
Mais...
Déverre ouille et
Valsil usin non est
Comme on ne log ces
Drôles de panier traités
Dabulimarticulécémos
Le phameux
Le plat-mèche
L'affaminé
Des artifesses
Feu aux folles
Lait des pistoles
Balles contre bol
Bulles contre bal
Billes contre bill
L'enfant bien sûr, qui de signature aurait transparu dans la nature de ce qui se fait d'humain, c'en est certain...
Une mélodie.
Encore.
Parce que ces mots durs, ces mots à dire, ces mots d'y-verra-t-on un mot-direction, un mot-dicton ?
Je ne sont.
Sommes s'ils font.
Un somme à l'oraison.
Qu'en somme nous suivons.
Sans que personne.
N'en puisse dire non.
Pourquoi l'heure sonne.
Pourquoi la seconde des noms.
Se prononce à Perséphone.
Reine de nos démons.
Ces consonnes.
Ces tromblons.
Que l'on se donne.
Contre bon don.
C'est ça qui nous assome.
Lorsqu'il n'y a plus que fond.
Sans autre son qui résonne.
Que.
Partiellement lui
Conflits d'un monde unicosmique.
Sur une étiquette un nom, et à côté une sonnette. Fante est le bouton du dernier au sommet de l'immeuble. Derrière la porte, des doigts clavecinent...
Une partie obscure du cerveau à balancé d'une résistance de courant, dans quelque synapse qui transmet alors un passage de flux. Un mot sort, dans l'écran de la conscience. 'Fou'. Et en un rien de temps le mot se pare d'une phrase autour de laquelle s'articuler. Mais il est parti avant, et voyage vers le clavecin. La colonne vertébrale est vite dépassée, à l'épaule, droite, puis gauche. En parallèle le long des bras jusqu'aux coudes posés, qui effectuent un angle, un virage pris à toute vitesse en direction des poignets. 'Fou' n'a pas le temps de se raisonner, il brise les phalanges d'un ballet que lui-même n'a pas compris. Il est ces trois lettres qui en un rien de temps ont marquées les caractères appuyés. A l'écran, un mot, dans le cerveau quelque part, une phrase se lance, mais les mots s'éclatent. Il faut un avant, avant 'fou'... et un après. Bras gauche, bras droit. Azerty, c'est des automatismes dans les désaxes de nos symétries. Et dans un siège, un dos pense qu'il va devenir fou, vautré ainsi. Un dictionnaire rempli la définition de la norme, et à côté un livre d'histoire retrace la généalogie.
Echap.
- Non, ce n'est pas ça la phrase, laisse moi faire.
Une voix n'est rien, elle n'est pas. Ce sont des mots qui s'assemblent, qui résonnent, qui tremblent dans la caverne de ce fantôme, ce bonhomme d'atomes concaténés et groupés depuis fécondation.
- N'est fou que celui qui...Non, c'est pas ça.
Les doigt frémissent.
Un coude voudrait répliquer une douleur. L'épaule une faute. Les jambes haussent des chaussons, dans lesquels les orteils ont quelque éventail à imiter.
La musique porte quelque scription dont les relevats intérieurs auraient quelque chose d'atroce. Une électrocution à la limite du létal. Les phalanges craqueraient bien dans leurs gonds. Les articulations pincent des nerfs enflammés par les mots à décider, dont chacun veut choisir sa direction.
Alors les mots frémissent
Et de leur gémissement
Se titre mon enfermement
Les prémisses d'un naugrage
L'ivresse des trop-sages
Se referme la page