avec quelque chose que je connaissais quand j'étais petit.Absolument pas Alain, c'est là que tu fais erreur, comme je le disais plus haut : ce que tu connaissais quand tu était "petit" est totalement obsolète pour les petits d'aujourd'hui.
Par exemple, si j'écris un poème d'amour à une femme que j'aime, je peux très bien raconter pour de faux que je ne l'écris que pour moi, mais en fait, c'est un mensonge, parce que c'est pour elle que je l'écris, non ?
En fait, ma question tourne autour du/des destinataire/s (au-delà du terme « lectorat » qui fait très, très sérieux) ; je me demande quelle est la différence entre écrire pour soi ou écrire pour être lu (y compris une correspondance, tout simplement, je m'intéresse de plus en plus aux correspondances lettrées).
Écrire pour la postérité, ça peut être tout simplement du journalisme : journalistes, historiennes & historiens, et même curieux de toutes natures écrivent pour inscrire des faits historiques dans le temps, laisser une trace de ce qui s'est passé, de ce qui est arrivé ici ou ailleurs.
Le souci est que tu mélanges tout, comme si écrire une lettre était le même acte qu'écrire un livre utilitaire ou écrire un roman.
On peut écrire pour les femmes, les ouvriers, les étudiants, transmettre des valeurs, apporter de nouvelles perspectives de vie.Si tu parles de fiction, je vois pas trop le sens d'écrire pour les femmes, les ouvriers ou les étudiants.
On peut écrire pour les femmes, les ouvriers, les étudiants, transmettre des valeurs, apporter de nouvelles perspectives de vie.Si tu parles de fiction, je vois pas trop le sens d'écrire pour les femmes, les ouvriers ou les étudiants.
Si tu parles d'autres types d'écritures, notamment des guides par exemple (gestes et postures pour ne pas se niquer le dos à destination des ouvriers... comment choisir une filière pour les étudiants....), la question de "cibler" n'a pas trop de sens.
Pour ce qui est de l'écriture pour les enfants, là c'est sûr que l'auteur doit prendre en compte certaines problématiques spécifiques : sujet et intrigue intéressants, lecture assimilable (mais sans tomber dans l'absence de vocabulaire), compréhension générale, longueur maxi (pour les plus jeunes), gérer ce qui pourrait choquer...
J'ai l'impression que le sujet du fil a changé trois fois depuis avant-hier...tiens tiens x)
Citation de: LoïcJ'ai l'impression que le sujet du fil a changé trois fois depuis avant-hier...tiens tiens x)
en même temps vu la vaste étendue de la question pourtant fermée et impérative...
on se sentirait presque perdu dans la liberté...
y'a des vraies questions ici ou c'est le monde de l'écriture ?
après réflexion :
il faut cibler un lectorat si on veut être le centre de l'intérêt d'un lectorat...
Citation de: LoïcJ'ai l'impression que le sujet du fil a changé trois fois depuis avant-hier...tiens tiens x)
en même temps vu la vaste étendue de la question pourtant fermée et impérative...
on se sentirait presque perdu dans la liberté...
y'a des vraies questions ici ou c'est le monde de l'écriture ?
après réflexion :
il faut cibler un lectorat si on veut être le centre de l'intérêt d'un lectorat...
et pour la confusion sur le marketing, ca vient tout simplemet du fait que le terme "cibler" EST un jargon profondément marketing, cibler un public est même la base fondamentale du marketing -oui, tu en fais sans le savoir.-, sinon on peut poser la question de comment s'adresser à des enfants, plus simplement ;) Mais bref, c'est du détail, peut-être.
Je pense que la vision de l'auteur doit s'affranchir des considérations marketing dans un premier temps. Les mettre dans la balance ensuite (au moment de la correction) peut-être, mais avec beaucoup de parcimonie. Il vaut mieux écrire le livre et se poser la question "A qui pourrait-il plaire?" après pour orienter sa communication et sa distribution.J'avais lu en diagonale ton message et du coup j'ai un peu répété ce que tu disais là en fait :D
Donc je pense que la question se résout d'elle-même dès que l'on sait pourquoi on écrit.
l'intégrité de ce que l'on écrit, rien à dire de plus, ça plait, ça ne plait pas ^^ que chacun garde son âme ^^ Seth saura vous juger.
l'intégrité de ce que l'on écrit, rien à dire de plus, ça plait, ça ne plait pas ^^ que chacun garde son âme ^^ Seth saura vous juger.
ouais
c'est pas con, et en + c'est comme ça que, au moins, on se fait plaiz'
plaire à personne mais plaire à soi, somme toute c'est chouette
plaire à personne et ne pas se plaire à soi, là c'est fâcheux
Sans vouloir blesser mais si l’auteur n’a aucun égard pour les lecteurs… pourquoi le lecteur le lirait 😬