[En parlant de biens incorporels] Qui n'est pas cessible ; qui ne peut être cédé, aliéné par celui auquel il appartient.(à la lumière de quoi ma compréhension ne progresse guère)
Mais peut-être que c'est une coquille répétée et que c'est un débat sur la ceinture de chasteté ? je trouve ça intéressant dans ce cas, assez à contrecourant. Quelqu'un a lu Pascal ?
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.
Ce sujet est tellement immoral qu'il a été censuré par la modération.y a un moment où il faut bien que quelqu'un s'y colle pour faire remarquer que ceci est un tissu de mensonges ^^
Merci de considérer ce fil comme n'étant pas le bienvenu sur ce forum.Merci de me laisser un semblant de libre-arbitre dans mon appréciation des fils ? ^^
Ce sujet est tellement immoral qu'il a été censuré par la modération.y a un moment où il faut bien que quelqu'un s'y colle pour faire remarquer que ceci est un tissu de mensonges ^^
et peut-être aussi que poster comme ça un sujet, aussi peu explicité, aussi peu compréhensible, relève d'une forme de trollage
CiterMerci de considérer ce fil comme n'étant pas le bienvenu sur ce forum.Merci de me laisser un semblant de libre-arbitre dans mon appréciation des fils ? ^^
En tout cas ça m'a permis de découvrir ladite ceinture, merci anlor ! (ça me donne même une idée : un écrivain relit le texte qu'il vient d'écrire et s'autocensure en supprimant chacun des mots dont la relecture coïncide avec l'égratignement sur sa peau d'un des crocs de sa ceinture)
Ce fil a vocation à poser la question de l'éthique dans la littérature.Désolé mais il n'y a rien de lisible à ce propos dans ton premier message...
CiterCe fil a vocation à poser la question de l'éthique dans la littérature.Désolé mais il n'y a rien de lisible à ce propos dans ton premier message...
La censure est un sujet qui t'es cher, soit, mais là tu lances simplement un pavé dans la marre sans définir aucun terme ni quoique ce soit de ta pensée, la preuve, les gens n'y comprennent rien et le lien avec la littérature dans tout ça....... Bref le sujet semble traiter d'éthique plus qu'autre chose dans tous les cas (tu parles d'écriture inclusive, le sujet de la nouvelle écriture se trouve ici, pas dans la salle de débat sur la littérature, il ne faut tout mélanger non plus.)
Pour le reste, tu es responsable de ton propre apaisement, et je ne ferai pas de commentaire sur ton exagération enervée, ton sujet ici est tout aussi lisible et il y a des discussions tout fait sérieuse à cet endroit.
Et je te prie de bien croire que tout ceci me demande bien plus de patience qu'à toi.
C'est pas quand quelqu'un dit "putain" et qu'on lui dit que c'est choquant ?
Ce sujet n'a pas tellement de rapport immédiat avec les problématiques d'écriture, je le déplace dans le flood.
J'en conclus que l'équipe de modération ne justifie plus ses choix et laisse chacune & chacun interpréter les interventions de modération comme il l'entend.Ce qui rend donc cette assertion totalement fausse. BenG a expliqué qu'il déplaçait le fil parce que sans rapport avec l'écriture, tu l'as cité juste en dessous. Tu devrais certainement relire tout ça au calme.
Pour moi c'est très lisible.
Pas de rapport direct avec l'écriture > dans le flood.
C'est la simple application de l'agencement des sections.CiterJ'en conclus que l'équipe de modération ne justifie plus ses choix et laisse chacune & chacun interpréter les interventions de modération comme il l'entend.Ce qui rend donc cette assertion totalement fausse. BenG a expliqué qu'il déplaçait le fil parce que sans rapport avec l'écriture, tu l'as cité juste en dessous. Tu devrais certainement relire tout ça au calme.
Perso j'ai pas compris ce qu'était la censure de chasteté...
Bon, et d'un point de vue extérieur, je n'ai pas compris l'intervention de Ben.G. Tu me crois sur parole ? ou tu estimes que j'invente un mensonge pour je ne sais quel complot ?
Bonjour,
Ce sujet est tellement immoral qu'il a été censuré par la modération.
Merci de considérer ce fil comme n'étant pas le bienvenu sur ce forum.
Par ailleurs, tout commentaire sur un texte remettant en question le propos d'un texte sera dorénavant censuré.
Merci d'aller voir ailleurs si j'y suis.
Donc, Je conclus que l'équipe de modération ne justifieras dorénavant plus ses interventions de modération.Parce que tu n'as pas demandé d'explications, à aucun moment. En outre, BenG a expliqué la raison de son intervention (ton sujet n'a pas de rapport direct avec l'écriture) et si tu ne l'as pas comprise, tu avais effectivement l'opportunité de lui demander de se justifier, je suis bien certaine qu'il l'aurait fait volontiers. Ta réaction a été agressive et puérile, partant de là, tu ne peux pas lui reprocher de ne pas te donner des explications que tu ne demandes pas.
(ensuite, si jamais tu veux sortir des justifications et des comptes, tu pourrais revenir à ton propre sujet, ca serait sympa aussi ^^ )
Cette question concerne bien évidemment la mention : [contenu explicite]c'était si compliqué de poser la question directement ? y'a déjà des sujets sur ça et c'est clair dans la charte et dans les différentes interventions, la mention explicite s'applique car il y un public mineur qui passe sur ce forum.
En quoi est-il immoral de ne pas bien référer un sujet ?Parce que ca fait perdre un temps fou |-|
Alan c'est pas hors sujet ça ?
Pourquoi t'as pas appelé le sujet "le manichéisme ou le Jeu du qu'est-ce qui est immoral" ?
Faut-il considérer une question rhétorique comme une réflexion philosophique à part entière ? Floode-t-on sous une apparence de réflexion ou réfléchit-on, masqués, dissimulés aux yeux des censeurs, sous l'apparence d'un flood éhonté décomplexé ? Chatte.
Genre quel risque ? (Quel courage que de les affronter.)
Chatte.
Que faut-il penser de cette morale ? Nous autorise-t-elle à tout et n'importe quoi ? Quelle est sa limite ?Je trouve que ce genre de questionnement est justement ce qui détruit notre monde.
Faut-il s'opposer violemment à un sujet immoral ?
Immoral a donc un sens fort volatil...Faut-il sauver le basalte ?
est-il basaltique de ne pas répondre à Verasoie ?
je répondrais que c'est y aller un peu fort : c'est légèrement granitoïde, avec des inclusions de cuivre titanifère peut-être, mais basaltique... modérons nos propos une seconde ::)
Donc, pourquoi Alan tu te poses autant de questions ?
Pourquoi comme auteur engagé tu défends les droits des auteurs comme tu le fais ?
(Cest quand qu'on ferme ce topic :banane:)
(Cest quand qu'on ferme ce topic :banane:)
Concrètement, il ne parle de strictement rien et y'a 4 pages de flood (des floods, dixit manu) qui s'enfilent gentiement en toute inconsistance de fond...Mais rien n'empeche le rien d'être fondamentalement immoral au fond
Moi aussi je veux participer ! :banane:
@Alan: vraie question, est-ce que tu t'ennuies ou pas spécialement ?
(Cest quand qu'on ferme ce topic :banane:)
Quand nous aurons une vraie réponse :
Le granite est il la meilleure pierre du monde ?
(Cest quand qu'on ferme ce topic :banane:)
D'accord, donc, ton objectif est de censurer le fil sur la censure, car il est immoral...
Bon, y a du boulot ! ::)
Mais rien n'empeche le rien d'être fondamentalement immoral au fondc'est probablement la subversion première, en fait oO (d'autant que le tout a cessé au XIXe d'être absolutiste, pour devenir totalitaire...)
(d'autant que le tout a cessé au XIXe d'être absolutiste, pour devenir totalitaire..Alors là, je trouve cette assertion des plus contestables.
Bon, on a donc des personnes qui prétendent détourner le sujet d'un fil tant que le dit sujet n'aura pas été changé.
Je rappelle que le sujet de ce fil est la censure, l'atteinte à la morale publique.
Je rappelle également que nous sommes sur un forum littéraire et que ce sujet est en lien avec des questions littéraires.
Merci de revenir au sujet de ce fil.
D'accord, alors pouvez-vous me dire en quoi la question de la censure est dérangeante ?
Petit tips pour la suite du débat :
- censure (http://cnrtl.fr/definition/censure)
- morale (http://cnrtl.fr/definition/morale)
- censureLa censure a donc comme sens premier le fait de critiquer quelque chose ou quelqu'un :o. C'est fou, je pensais vraiment que ça se limitait à l'acte d'entraver un discours ou une action.
Ha non nonon n'a pas le même définition de question on dirait
ça ce sont des définitions (http://cnrtl.fr/definition/d%C3%A9finition) et pas du tout des questions (http://cnrtl.fr/definition/question)
Oki, merci les amis, j'ai bien lu vos réponses.
Donc, en ce qui concerne l'atteinte à la morale publique, ce serait comme une façon de publier « quelque chose de mal ».
Je comprends qu'il puisse être « mal » de publier certains sujets sous certaines formes.
Maintenant la censure n'est pas simplement dire : « c'est mal », la censure, c'est agir en conséquence.
Vous voyez la différence ?
Dis-moi Kanimp, réponds donc à cette simple question avec simplicité :En l’état elle m’est complètement incompréhensible.
Penses-tu que mon attitude est immorale ?
Non, je ne prends pas de plaisir à poser la question de la censure, mais j'estime qu'il est essentiel de la poser même si c'est immoral.C’est faux:
Je rappelle ici que la censure fait partie de l'histoire de la littérature, et que de ne pas en parler revient à effacer une partie de notre héritage.
Est-il immoral de parler de censure ?Actuellement, cela fait partie des questions existentielles complètement futiles, à moins que …
Car elle déplace l’immoralité de pratique de la censure à sa simple évocation.
Comme il est nécessaire de parler de la censure pour s’en prémunir ou s’en affranchir.
Le simple fait de sous entendre que d’en parler est immoral, elle s’instaure.
Je ne suis pas tellement d'accord avec toi, Kanimp, comme tu peux t'en douter.Bien sur, toutefois comment veux-tu que je change de position. Ou plus exactement comment je peux en prendre une.
Cependant, cela ne m'empêche pas de rebondir sur ton post pour créer un dialogue, et je me permets de rebondir sur ta conclusion pour voir si j'ai bien compris ta position.Comme la pratique de la censure est immorale, mais pas le fait d’en discuter.Car elle déplace l’immoralité de pratique de la censure à sa simple évocation.
Comme il est nécessaire de parler de la censure pour s’en prémunir ou s’en affranchir.
Le simple fait de sous entendre que d’en parler est immoral, elle s’instaure.
Ma question est très simple, Kanimp :
Est-il immoral de sous-entendre qu'il est immoral de parler de la censure ?
Comme la pratique de la censure est immorale, mais pas le fait d’en discuter.
Très bien, sauf qu'il y a une erreur fondamentale dans tes préceptes, ta logique ne pourra de toute façon pas s'imposer.Merci j’ai enfin ma réponse et je sais à quoi m’en tenir.Comme la pratique de la censure est immorale, mais pas le fait d’en discuter.
La censure dépend de la morale, la censure est nécessairement morale ; donc l'acte de censure est un acte moral (qui s'en réfère à des règles de vivre-ensemble).
La colère, la violence, l’agressivité sont des émotions passionnelles qui ne s'en réfèrent à aucune règle, doit-on vraiment s'y référer ?
Dans une démocratie, la pratique de la censure est immorale. En discuter ou en débattre ne l’est absolument pas.
À l’inverse dans une dictature, la censure est la moralité par excellence car justement son rôle est de s’opposer aux propos et contenus immoraux.
Très bien, sauf qu'il y a une erreur fondamentale dans tes préceptes, ta logique ne pourra de toute façon pas s'imposer.Merci j’ai enfin ma réponse et je sais à quoi m’en tenir.Comme la pratique de la censure est immorale, mais pas le fait d’en discuter.
La censure dépend de la morale, la censure est nécessairement morale ; donc l'acte de censure est un acte moral (qui s'en réfère à des règles de vivre-ensemble).
La colère, la violence, l’agressivité sont des émotions passionnelles qui ne s'en réfèrent à aucune règle, doit-on vraiment s'y référer ?Dans une démocratie, la pratique de la censure est immorale. En discuter ou en débattre ne l’est absolument pas.
À l’inverse dans une dictature, la censure est la moralité par excellence car justement son rôle est de s’opposer aux propos et contenus immoraux.
Si le sujet sur la censure n'est pas compris, manque de clarté, faut-il que je m'adapte aux commentaires des autres et que j'essaie de gagner en lisibilité ? Ou vaut-il mieux que je ne m'ennuie pas avec ce sujet et que je continue à poster comme je l'entends tout en risquant la censure ?
Il y a quelques jours, je faisais le commentaire à l'équipe de modération qu'elle manquait de lisibilité ; maintenant, je pense qu'elle va faire des efforts pour s'améliorer, et ça me convient parfaitement.
Vous en référez beaucoup à la censure comme d'un acte venant de l'extérieur. Mais l'objectif ultime d'un censeur, en tant que représentant du groupe, c'est d'intégrer les interdits à l'intérieur des membres du groupe, c'est à dire pas seulement de leur interdire de faire, mais faire que cela devienne une évidence pour eux, un réflexe. Ainsi, l'usage de la force devient moins nécessaire, et la censure s'applique plus sûrement.
Si la censure est immorale, alors elle s'en réfère à cette même morale publique.Précisons : ce que tu définis comme morale publique est celle définie par la loi, ou le consensus dominant ? Les deux ne se recoupent pas forcément.
Là-dessus je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi, Erwan, et je pense que l'acte de censure est par nature un acte de force.En vérité, l'un n'est pas incompatible avec l'autre. L'auto-censure peut être dû à un conditionnement qui peut-être très violent. Et oui, le conditionnement des mentalités peut être perçu comme un acte de force.
CiterSi la censure est immorale, alors elle s'en réfère à cette même morale publique.Précisons : ce que tu définis comme morale publique est celle définie par la loi, ou le consensus dominant ? Les deux ne se recoupent pas forcément.
C'est la menace d'être blâmé, voire d'être attaqué.Attaqué dans le sens intellectuel ? Si c'est le cas, attention, la liberté d'expression existe aussi. Je peux dire ce que je pense d'un autre et de ses propos. Ce n'est pas de la censure.
Et il existe à l'inverse un droit de résistance à l'oppression dont chacune & chacun peut bénéficier.
Lorsque la menace est trop grande (exemple : une menace d’ingérence), alors il est légitime de s'organiser en mouvement pour exprimer son opposition.
CiterEt il existe à l'inverse un droit de résistance à l'oppression dont chacune & chacun peut bénéficier.
Lorsque la menace est trop grande (exemple : une menace d’ingérence), alors il est légitime de s'organiser en mouvement pour exprimer son opposition.
Pour moi, la censure c'est de ne pas pouvoir s'organiser librement et s'exprimer. L'auto-censure en fait partie. Je trouve juste qu'en France, il est exceptionnel qu'on ne puisse pas, et personnellement je ne me sens pas oppressé par une force supérieure, mais seulement parfois par moi-même. Il y a une chose que je ne comprends pas : toi-même, tu te sens opprimé ou censuré par autrui ? Dans quel cadre ? Être critiqué ou rejeté n'est pas de la censure, ne pas oser s'exprimer par crainte de rejet/critique est de l'auto-censure, car dans tous les cas, il ne t'arrivera rien de grave si tu le fais. Seul ton narcissisme pourrait se faire écorner, ça peut être grave mais ne te place pas dans situation de danger imminent ou insurmontable. On ne tue personne en France pour de simples mots, hors rares cas punissables par la loi. Ou me trompé-je?
Pour conclure, ce que je trouve personnellement, c'est qu'en France on ne manque pas de liberté (et de protection contre la censure), mais plus de comment savoir en user.
Pour censurer un livre, il suffit de s'attaquer à tout ce qui peut l'entourer, mettre une éditrice ou un éditeur sous la contrainte, menace contre les intérêts de la maison d'édition, boycott, menace sur les diffuseurs ; bref, les moyens de s'attaquer à un organisme de publication sont très, très nombreux.
le livre de Valérie Trierweiler avait par exemple eu des retours très négatifs, ce qui a rendu difficile la publication de ses prochains livresTrierweiller en question, elle a vendu plus de 600 000 exemplaire de Merci pour ce moment (six fois plus que Hollande, je trouve ça rigolo), depuis elle rebosse à Paris Match, et elle a sortie un autre bouquin en 2017 dont je connais pas le nombre d'exemplaire mais qui a bénéficié d'un tirage poche.
Sur le sujet de la censure en France, ce que je pense, c'est que l'on peut avoir des difficultés à être diffusé, promu, éclairé par les médias. Mais si on respecte la loi (ex : pas d'appel à la haine raciale), y a pas tant de censure.
Mais je m'égare (et pas seulement de l'Est), j'ai cru comprendre que le sujet parlait de morale. En fait, j'ai pas bien compris la question posée... La morale et la loi ? La liberté de la presse ? La censure est-elle utile ? La chasteté est-elle à promouvoir ?
D’où vu la confusion des genres entre censure, éthique, menace, morale et au final personne ne s’y retrouve dans le débat.
Eh bien, parlons-en.
La pornographie
Pensez-vous que le CSA a raison de l'interdire sur les chaînes publiques à heure de grande écoute ou pensez-vous que cette mesure restreint la liberté d'expression ?
Ce genre de directive peut très bien toucher la littérature, doit-on faire le tri ?
Cette interdiction a-t-elle pour but de censurer la pornographie, ou de protéger un public infantile sur lequel elle peut avoir des effets désastreux ?
En d'autres termes, faut-il prendre toute forme d'interdiction comme une limitation de ses libertés individuelles, ou regarder plus loin que le bout de son nez et se demander si l'exercice de sa propre liberté n'était pas en train de causer grand mal ?
Je doute qu’il y a des heures de grande lecture.:coeur:
(exemple : si un livre prétendu jeunesse décrit une scène de pornographie, il ne sera pas présenté dans le rayon littérature jeunesse)
Citer(exemple : si un livre prétendu jeunesse décrit une scène de pornographie, il ne sera pas présenté dans le rayon littérature jeunesse)
C'est vrai que le sexe dans la littérature jeunesse, c'est systématiquement interdit. Tout au plus, c'est diffusé en cachette sans jamais faire parler de lui. T'imagines ? Un livre jeunesse où les personnages ont des relations sexuelles ? PIRE. Un livre où TOI, avec ton DOIGT, tu peux unir des personnages dessinés nus par la pénétration de ce représentatif chibre ?Désolé, vous n'êtes pas autorisé à afficher le contenu du spoiler.
Ne pas diffuser du porno entre Midi les Zouzous et une redif de C'est pas Sorcier n'est pas de la censure, c'est du sens commun et de la déontologie. Et s'il faut expliquer la différence entre sens commun et censure, j'en réfère aux définitions trouvable sur n'importe quel site internet sérieux.
Mais, il y a des adultes sur ce forum aussi, non ?
Alan, est-ce qu'on a mis 8 pages à comprendre qu'en fait tu es dérangé par la mention "explicite" sur les topics ? C'était ton but ?
Ce sujet est tragique.Tout est dit.
censure
nom féminin
1.
Histoire
Charge de censeur .
2.
littéraire
Condamnation d'une opinion.
Donc, pour en revenir à la censure, on aurait des programmes censurés pour des raisons de sens commun, c'est-à-dire un accord public (commun) sur un thème précis.Non, non et encore non. Ce n'est pas "de la censure pour des raisons de sens commun", c'est juste du sens commun, y a pas de censure. On ne condamne pas le porno, simplement on en diffuse pas à une heure de grande écoute sur des chaînes publiques parce que des gamins pourraient tomber dessus.
Partant de là, la vente d'alcool est interdite au mineur (comme le porno) on peut aussi parler de censure de l'alcool ?Pas du tout la cencure consiste à ne pas pour obtenir l'alcool en empêchant sa fabrication.
Oki, pourquoi pas ? Merci en tout cas de nous donner ton opinion, après tout, ce fil est là pour ça.
Le fait que ce topic n'ait toujours pas été fermé n'est-il pas une preuve suffisante du fait que personne ici ne soit vraiment partisan de la censure ? :mrgreen:
Comme tu le sais, il existe ce qu'on appelle aujourd'hui un lobbying. Ce lobbying correspond à des représentants d'opinion officieux qui défendent des intérêts privés ou publics (qu'on appelle lobbying citoyen). La continuité de ces lobbies est de faire peser l'opinion publique dans un sens ou dans l'autre afin de favoriser ces intérêts.
Maintenant il existe des actions dans la continuité de ces lobbyings qui ne sont absolument pas légales, et qui dépassent la diffamation. Pour te donner un exemple, des recherches scientifiques qui correspondraient traditionnellement à une « science vérifiée » peuvent être falsifiées afin de faire profiter des intérêts ; des actions politiques peuvent avoir lieu dans des espaces particuliers pour encourager le boycott ou la stigmatisation d'une opinion (le blâme).
Le livre n'est pas épargné par cette réalité, et des démarches de publication peuvent être la cible de représailles. Un libraire, par exemple, dépend de ce qu'il donne à voir de lui-même, de nombreuses librairies sont amenées à faire des choix sur des livres portant des opinions. Une librairie peut refuser de vendre un livre sur un sujet d'actualité (relatif à l'écologie, ou la famille, ou encore la religion, etc.).
Le thème de la censure correspond à une information qui n'est pas relayée, à un livre qui n'est plus partagé, suite à des actions de représailles de la part d'un pouvoir privé ou public.
Donc, pour en revenir à ce sujet, concernant la définition de la censure qui n'est pas toujours acceptée dans son ensemble, je te donne mon regard sur cet élément :
La censure correspond à un acte volontaire et ciblé à l'encontre d'un auteur ou d'un groupe de publication.
C'est la dimension publique de la censure qui permet de l'appliquer en informant chacune & chacun de la nécessité de ne plus accéder au livre.
La dimension morale de la censure correspond à la volonté que personne ne reproduise un contenu similaire à ce qui a précédemment été publié dans la forme ou dans le fond.
Il n'y a pas condamnation d'opinion = il n'y a pas censure. Il y a juste discernement et bon sens.Oui, mais il ne faut pas oublier que dernière la pornographie se cache énormément de condamnation d'opinion. Cette opinion est que la sexualité doit rester du domaine du privé (c'est généralement admis dans nos sociétés) et que la pornographie transmet une vision déformée de la sexualité. Non pas que je sois fondamentalement contre cette vision des choses, mais je me pose alors la question suivante : est-ce que la censure, c'est quand on m'empêche de m'exprimer, et que la "censure" de bon sens, c'est quand on est en désaccord avec ma vision des choses ?
Selon la définition du terme de censure, ce fil est légitime ou non.La définition, on te l'a donnée maintes fois au-dessus.
J'ai une autre question intéressante :
Peut-on vraiment parler de débat quand tout le monde est d'accord sauf Alan Tréard ?CiterSelon la définition du terme de censure, ce fil est légitime ou non.La définition, on te l'a donnée maintes fois au-dessus.
La censure c'est l'IVG de l'auteur.
Mais au moyen, je commence à comprendre pourquoi les gens ne se comprennent plus.
A force que chacun utilise sa propre définition pour tous les mots.
C'est surtout à la TV. Ce genre de truc.
Tu as compris la création de ce fil, Kanimp, proposer différentes définitions de la censure, et chercher une définition commune sur laquelle nous pourrons nous entendre.
Nous échouerons peut-être à trouver un consensus, mais nous aurons au moins essayé.
La censure dépend de la morale, la censure est nécessairement morale ; donc l'acte de censure est un acte moral (qui s'en réfère à des règles de vivre-ensemble).
Hmm... Je ne suis pas sûr que la question soit celle de la seule définition de la censure. Car tu disais toi-même que la censure était forcément un acte moral :CiterLa censure dépend de la morale, la censure est nécessairement morale ; donc l'acte de censure est un acte moral (qui s'en réfère à des règles de vivre-ensemble).
He bien, il semblerait que ton point de vue soit optimiste, Erwan, et puisque c'est une affaire d'opinion, j'aurais bien du mal à peser le pour et le contre.
Effectivement, pour en revenir à ce désaccord sur la distinction entre une censure morale et une censure immorale, je penche tout à fait pour la définition d'une censure morale.
Parce que si cette censure est morale, alors s'opposer à cette censure est immoral. De ce fait, la Loi prend le dessus et réhabilite la liberté d'expression, celle qui est amorale.
Ainsi je pense que le censeur censure au nom de sa morale propre, que le censuré trouvera possiblement immorale.