Ambrena, je te défie d'écrire une nouvelle triste (ou au moins sa chute) où les fleurs auront une importance prépondérante, dans un univers différent du monde réel. ::)
elle flottait dans la ville comme une fragrance dans le vent.
C’était pour cela que sa robe arborait la couleur du sang.Hm les phrases explicatives sont un vrai fléau. Il y a une manière de mieux la tourner ?
L’une de ses semblables, celle qui aidait les artistes et tout particulièrement, les joueurs de violon, se jeta sur elle, outrée.Pas trop top...
On la surnommait parfois « la Fleur Rouge » ou « le Coquelicot » à cause de ses habits, mais également de sa beauté à couper le souffle – et c’était le cas de le dire.je vois pas en quoi le coquelicot est une beauté à couper le souffle, XD
Bientôt, les fleurs recouvrirent chaque maison, chaque rue, chaque fontaine. Et les personnes qui vivaient dans la bourgade sortaient afin de mieux les voir, charmés par ce spectacle – aux deux sens du terme.c'est une pub textuelle pour Flower de Kenzo ?
D’en haut, tout semblait toujours flou. Étranger. Autre.J'aurais mis le premier verbe au présent, puisque ce sont les pensées du personnage. Sans que je sache pourquoi, l'imparfait me gêne quand associé avec celui de la phrase suivante.
C’est ce que pensait la jolie Jil, vêtue de son éternelle petite robe vermeille, ses pieds nus pendants dans le vide.
Il s’agissait d’idées qui avaient été ensuite oubliées, abandonnées, et qui avaient ensuite mystérieusement pris vie.Répétition. Je pense que je premier n'est pas vraiment nécessaire.
Et c’était là la faute du nouveau prêtre. En dépit de ses sommations, les fidèles l’ignoraient et choisissaient de continuer à vivre, car c’était soi-disant un péché que de mettre fin à ses jours.Passage un peu trouble. On comprend grâce au contexte que les possessifs et pronoms se réfèrent à Jil, mais en raison de la phrase, on aurait plutôt tendance à les raccorder au prêtre, ce qui est contradictoire. Ah, si le français avait la même distinction que l'anglais ou l'allemand... ^^
Un sortilège pourrait sans doute permettre ces actes.Mh. Le mot m'a fait tiquer. On a l'impression que tu as eu du mal à trouver un terme approprié et t'es décidée pour le "moins pire".
La couleur vive des fleurs au cœur écarlate tranchait considérablement par rapport à l’environnement urbain et y apportait une note de gaieté, mais aussi de violence.Sur ? Ce serait plus léger. Et je trouve comme Zach que l'expression "environnement urbain" a sa place dans un texte de géo, pas ici.
Une ombre de sourire passa sur ses traits, teinté de méchanceté.J'accorderais au féminin avec ombre. Mais c'est peut-être tout à fait personnel.
Mais Jil la repoussa d’une seule main et la jeta à terre – ou plutôt, sur le toit."la jeta au sol" permettrait d'éviter la parenthèse explicative qui rend la phrase un peu lourde. Non ?
Elle pouvait persuader quiconque de se donner la mort, savait voler dans les airs et était capable de se déplacer à la vitesse de la pensée.Je trouve que cette énumération explicative casse un peu l'effet du texte. ^^"
ses pieds nus pendants dans le vidependant, non ?
elle se livrait toute entièretout entière
En effet, les filles de l’air ne naissaient pas du néant, non. Il s’agissait d’idées qui avaient été ensuite oubliées, abandonnées, et qui avaient ensuite mystérieusement pris vie.Oh, cool, l'idée ! :)
Elle était le dernier sourire de ceux qui montaient sur les toits pour que leur vie cesse enfin, le rayon de soleil de ceux qui s’empoisonnaient, le rire glacial de ceux qui s’étaient tranché les veines.ça fait quand même beaucoup de "ceux qui"
C’était pour cela que sa robe arborait la couleur du sang.
Peut-être que celui qui l’avait imaginée avait ensuite rejoint la longue cohorte de ceux qui attentaient à leur propre vie…
Et c’était là la faute du nouveau prêtre. En dépit de ses sommations, les fidèles l’ignoraient et choisissaient de continuer à vivre, car c’était soi-disant un péché que de mettre fin à ses jours.Dit comme ça, on dirait que "ses" sommations sont celles du prêtre, du coup ça fait bizarre, parce qu'on comprend "en dépit des sommations du prêtre, ils voulaient vivre", genre incitation au suicide plutôt ratée xD
Par un splendide jour d’été, un véritable nuage de coquelicots s’abattit sur la ville, sous le ciel d’azur. Les fleurs tombaient du ciel, régulières et droites comme des « i », tige de sinople et corolle pourpre.Y avait pas une pub pour un parfum avec une scène comme ça ? xD
charmés par ce spectacle – aux deux sens du terme.De quel terme ? Je suppose que c'est charmé, mais dit comme ça on dirait que ça porte sur spectacle
L’autre sylphide éclata en sanglots, terrassée par le chagrin.ça fait un peu mélodramatique, si je peux me permettre...
Assise sur l’un des toits d’ardoise fine, elle se livrait tout entière à ses pensées, l’humeur vagabonde.je pige pas trop le "tout entière à ses pensée"
On la surnommait parfois « la Fleur Rouge » ou « le Coquelicot » à cause de ses habits, mais également de sa beauté à couper le souffle – et c’était le cas de le dire.comme la première fois, je trouve que le" beauté à couper le souffle" se justifie pas. Une fille canon, j'appellerais pas ça une fleur rouge. Enfin, je sais pas, je trouve ça cliché de parler de "beauté à couper le souffle"
Libre, libre et mauvaise.pas convaincue par la reprise. Surtout qu'on avait "liberté" juste avant
Elle aimait à voir s’enfuir la vie des veines de ses favoris.les deux compléments du nom à la suite, c'est lourdingue quand même
Sans doute voulait-il créer une adorable fée chinoise, avant de se rendre compte que cela n’existait pas ; ou bien que si c’était possible, les recherches seraient trop complexes à mener pour lui.le "ou bien que si " est lourd et bof correct, non ?
de l’histoire qu’elle s’était réécrite, réinventée, recréée.mouais c'est la même chose...
Son vrai créateur, c’était un paresseux.parce qu'il y en a un faux ? ???
Pfff… Sottises, calembredaines et inepties, voilà.
Ils ne savaient pas la lourde langueur d’un bain chaud – le tout dernier.niveau construction, ça me laisse perplexe. Savoir la langueur d'un bain ? ???
La couleur vive des fleurs au cœur écarlate créait une rupture par rapport au gris de la ville, des rues, des caniveaux sales et ternes. Elle y apportait une note de gaieté, mais aussi de violence.je pense qu'on le voit tous comme ça. Le dire explicitement casse tout, je trouve.
Bientôt, les fleurs recouvrirent chaque maison, chaque rue, chaque fontaine. Et les personnes qui vivaient dans la bourgade sortaient afin de mieux les voir, charmés - aux deux sens du terme - par ce spectacle.bof pour le "aux deux sens du terme". Fais un peu confiance à ton lecteur, lui commente pas ton texte.
Les enfants se montraient les coquelicots du doigt et les brassaient à pleines mains, ravis, tandis que les adultes, plus réservés, se contentaient de doucement les toucher.ça doit être la place de "doucement" qui fait ça mais la formulation "se contentaient de doucement les toucher", je trouve ça faussement poético-précieux.
Une grande gaité éclaira pleinement l’expression de la fille de l’air. Une joie malsaine, morbide, envahit chacune des fibres de son être éthéré.trop d'adjectifs. T'es trop dans l'apparence, l'extérieur, montre-la nous de l'intérieur. "être éthérée" ça me parle pas pas du tout, "éclaira pleinement" non plus. J'ai l'impression que tu rajoutes des mots assez vides, qui se présentent comme "poétiques" mais qui sont du coup dénués de ressenti.
Oh, la pureté de sa colère et des fleurs d’améthyste dans ses cheveux.le "oh" est complètement incongru.
Une fois de plus, Hua lui ferait du mal – tant pis pour elle.le "tant pis pour elle" est de trop, je trouve. Enfin je vois une gamine, pas une fille capable de charmer les gens, ça casse un peu le truc quand même.
Et évidemment, cette fois encore, l’innocente artiste était révoltée par les actes d’Hua.ce genre de phrases, je trouve que ça fait quand même vachement répliques de mauvais mangas/animes avec moult cris débiles de filles aux cheveux roses
« Non ! Tu n’as pas le droit de faire ça ! »
Elle tenta de faire naître des violettes de ses mains aux poignets marbrés de marques écarlates – elle aussi, c’était une enfant des fleurs. Fébrile, elle les posta contre les coquelicots féroces, comme un rempart dérisoire. Puis, lorsqu’elle comprit que cela ne suffirait pas, elle se jeta sur l’autre fille de l’air, pour la blesser, la griffer.tu pourrais pas nous mettre un peu plus de dynamisme dans cette scène ? c'est mou du genou !
Mais Hua la repoussa d’une seule main et la jeta à terre – ou plutôt, sur le toit. Rien ne se rapportait au véritable sol nourricier, là où elles évoluaient ; elles n’étaient pas de vraies fées ce la nature : juste des symboles délités, des idées inabouties.j'ai pas compris la deuxième phrase
À cette pensée, la rage l’envahit de nouveau. Elle se planta devant la faible Viola et lui répliqua :en effet, cette réplique respire la rage :-¬?
« Pourquoi pas ? Puisque je le veux. »
L’esprit malin fit tournoyer sa fleur amarante entre ses doigts blancs, ce qui formait un contraste sublime.encore une fois t'es dans le commentaire pas dans la narration elle-même
On la surnommait parfois « la Fleur Rouge » ou « le Coquelicot » à cause de ses habits, mais également de sa beauté à couper le souffle – et c’était le cas de le direun coquelicot c'est pas la plus belle des fleurs quand même, elle fait cheap :mrgreen:
Une idée, juste une idée ; mais qu’on avait posé là, sans la fixer, triste et malheureuse, et puis que l’on avait oubliée.la fille c'est une idée ? je comprends pas trop
aussi douce et dangereuse qu’un gaz de ville en liberté dans une maison.attention au gaz de ville, c'est pas connoté pour une odeur agréable x) donc y'a contresens, non ?
Elle avait choisi les coquelicots comme emblèmes, mais ce n’était qu’un capriceje croyais que c'était pas elle qui avait choisi ce surnom.
Elle aimait à voir s’enfuir la vie des veines de ses favoris. N’importe quel objet rouge aurait pu faire l’affaire. C’était comme ça.un peu facile, ça casse la sympbolique, le choix, si tout se vaut bah on comprend pas trop l'intérêt d'appuyer sur le fait qu'elle a choisi un coquelicot
Son vrai créateur, c’était un paresseux. Sinon, il ne l’aurait pas abandonnée, il aurait écrit son histoire, ou bien il l’aurait chantée, ou dessinée, ou peinte, ou même racontée à l’oral.je comprends pas trop pourquoi tu as changé de paragraphe, c'est la même idée. Il y a beaucoup de "é" quand même, ce n'est pas très joli
Certaines vivaient auprès des écrivains en plein labeur, d’autres inspiraient les musiciens ou les peintres. Hua, elle, s’était instaurée en tant que gardienne des âmes en peineje comprends pas le rapport. elle fait partie d'un groupe de "muses" mais elle elle insuffle rien, elle garde, mais au-dessus du dis qu'elle coupe, moi je sais plus quoi penser de cette fille et de ce qu'elle fait, de sa matière (vu qu'elle est à demi...), de sa forme (coquelicot = sang = LED rouge)... I cannot see a thing. Elle sert à tout, elle sert à rien. C'est un peu facile.
Et c’était là la faute du nouveau prêtre. En dépit des sommations d’Hua, les fidèles l’ignoraient soigneusement, respectueux de leur foi nouvelle.un nouveau prêtre = une nouvelle foi ? C'est vraiment étrange !
Pfff… Sottises, calembredaines et inepties, voilà.euh lol
Par un splendide jour d’été, un véritable nuage de coquelicots s’abattit sur la ville, sous le ciel d’azur. Les fleurs tombaient du ciel, régulières et droites comme des « i », tige de sinople et corolle pourpre.on est dans la pub de Kenzo !
La couleur vive des fleurs au cœur écarlate créait une rupture par rapport au gris de la ville, des rues, des caniveaux sales et ternes.show, don't tell
Et les personnes qui vivaient dans la bourgade sortaient afin de mieux les voir, charmés - aux deux sens du terme - par ce spectacle.idem
Une grande gaité éclaira pleinement l’expression de la fille de l’air.tu veux changer de "son visage s'éclaira" mais sous cette forme, je trouve que c'est très lourd
Souvent, Hua la laissait agir, parce qu’elle aimait qu’on la combatte et qu’on lui arrache ses proies. Il lui en resterait toujours assez, après tout.je comprends pas trop. Qui est-ce qu'on combat ? Hua ?
« Non ! Tu n’as pas le droit de faire ça ! »on dirait un mauvais film. Et l'explication qui tu as été obligée de donner avant lui enlève toute spontanéité. Pour qu'on saisisse les enjeux, ils faut qu'on connaisse le contexte et le protagoniste. Là on voit ça de très très loin et on se sent absolument pas concernés.
Rien ne se rapportait au véritable sol nourricier, là où elles évoluaient ; elles n’étaient pas de vraies fées ce la nature : juste des symboles délités, des idées inabouties. À cette pensée, la rage l’envahit de nouveau.ah je n'avais pas bien saisi qu'elle était enragée, la première fois :/
L’autre sylphide se mit à pleurer, secouée de sanglots comme une petite fille. Certains enfants portaient même plusieurs fleurs aux pétales cinabre et les offraient à leurs parents, enchantés.quel est le rapport entre les deux phrases ?
ses pieds nus pendant dans le vide.pendant/dans ça fait bcp de "dan"
mais également de sa beauté à couper le souffle – et c’était le cas de le dire.bof, surtout le "et c'était le cas de le dire"
Légère et insaisissable, elle flottait dans la ville comme une fragrance dans le vent – aussi douce et dangereuse qu’un gaz de ville en liberté dans une maison.un gaz de ville j'imagine pas ça très doux (ni très dangereux en fait...)
C’était comme ça.[...] Mais c’était là le secret, la lubie de son créateur.trop de "c'était" c'est bof
Mais c’était là le secret, la lubie de son créateur. Sans doute voulait-il créer une adorable fée chinoise, avant de se rendre compte que cela n’existait pas ; ou bien que si c’était possible, les recherches seraient trop complexes à mener pour lui. Elle n’en avait aucune idée, et ne voulait pas non plus en savoir trop, de toute manière, pour ne pas tuer la magie de sa propre histoire – de l’histoire qu’elle s’était réécrite, réinventée, recréée.j'aime pas trop ce paragraphe, l'idée du créateur, c'est sans trop de rapport avec ce dont on parlait juste avant (le rouge+le fait qu'elle soit libre+mauvaise) // après avoir lu la suite : ok mais ça pourrait être mieux amené
Au lieu de quoi, il l’avait ainsi laissée en pâture au vide."ainsi" inutile
Et voilà qu’elle était condamnée à cette autre vie ; à cette demi-vie, ni vraie ni mensonge ; ni réelle, ni fiction.mais elle s'est écrit une autre vie, donc elle a une "autre vie fiction"...
Elle le haïssait.ça fait bizarre de parler de "haïr" alors que jusqu'à présent ça donnait pas du tout l'impression que c'étiat dans le personnage
Enfin, c’était ce qu’elle, elle affirmait."enfin, c'était ce que" très bof, très parlé
Elle était le dernier sourire de ceux qui montaient sur les toits pour que leur vie cesse enfin, le rayon de soleil de ceux qui s’empoisonnaient, le rire glacial de ceux qui s’étaient tranché les veines.pourquoi deux trucs positif (dernier sourire/rayon de soleil) puis un truc négatif (rire glacial) ?
C’était pour cela que sa robe arborait la couleur du sang.y'a pas de sang quand on s'empoisonne
Elle pouvait persuader quiconque de se donner la mort – si le terrain lui était propice pour y semer ses graines pernicieuses et les y faire écloredonc pas quiconque
au sein des les pensées elles-mêmes.
Et c’était là la faute du nouveau prêtre.encore un c'était !
les fidèles l’ignoraient soigneusement, respectueux de leur foi nouvelle. Ils osaient l’ignorer, elle !répétition ignorer (même si je vois pas comment changer)
mais aussi de violence.(la pluie de coquelicots) pourquoi ? comment ? je trouve pas ça violent
La créature imaginaire étendit la main,ah non ! tout le long du texte tu ne dis PAS que c'est une créature imaginaire, on le devine. Pourquoi tout gâcher maintenant en le disant clairement ?
Une grande gaité éclaira pleinement l’expression de la fille de l’air. Une joie malsaine, morbide, envahit chacune des fibres de son être éthéré.pourquoi pas juste "Une joie malsaine, morbide, envahit chacune des fibres de la fille de l'air", par ex ? la 1ere phrase donne pas du tout l'impression de "joie malsaine" mais juste de "gaité", du coup il faut refaire l'image qu'on a dans la tête
c’était une charmante joueuse de violon, auquel il était arrivé un grand malheurauquel -> à laquelle ?
et avait décidé de se consacrer aux autres gens à qui cela était arrivé aussi"était également arrivé" plus joli
Elle n’avait pas réussi à soulager la peine de son humaine, mais peu importe : elle essaierait avec d’autres."peu importe" bof ; et puis dans ce qui précède, on comprend qu'elle n'a pas essayé d'aider cette première humaine
elle aussi, c’était une enfant des fleurs"elle aussi était..." pourquoi toujours "c'était" ?
Mais Hua la repoussa d’une seule main et la jeta à terre – ou plutôt, sur le toit.autant dire directement "sur le toit"
Rien ne se rapportait au véritable sol nourricier, là où elles évoluaient ; elles n’étaient pas de vraies fées ce la nature : juste des symboles délités, des idées inabouties. À cette pensée, la rage l’envahit de nouveau.rien capté (je vois pas d'où ça sort et quelle est la transition avec le reste)
ce qui formait un contraste sublime.maladroit
Elle couva du regard la cité, d’un regard tendre, presque amoureux.répétition regard bof
Et Hua souriait, souriait, souriait.et Hua n'aura plus rien à faire ensuite, et je capte pas pourquoi elle a fait ça :-[
la moitié du temps tu es dans le commentaire de ce qui se passe et non dans ce qui se passe vraimentOui c'est ça, y'a trop de petit commentaire inutile. Parfois c'est sympa pour donner un ton au texte, mais en reprenant le texte des mois/années plus tard, tu t'aperçois que ça alourdit et que ça n'apporte rien, même si tu en avais l'impression durant l'écriture
et me donne l'impression de vraiment créer quelque chose de nouveau. D'autant plus que les tournures que tu as relevées sont souvent celles sur lesquelles j'ai le plus réfléchi.j'ai pas eu l'impression de lire "qq chose de nouveau". Par contre si les tournures qu'on n'aime pas sont voulues et réfléchies, ben mtn tu sais ce qu'un lecteur peut en penser, donc si c'est ce que tu aimes, faut tenter de reprendre ces idées mais en les faisant accepter par les lecteurs ^^
L'esthétique pourrait elle seule suffire au texte mais elle est trop effacée derrière l'amas d'incompréhension pour ressortir.Oui c'est dommage, niveau visuel y'a vraiment un gros potentiel, mais c'est en retrait par rapport au reste, sauf peut-être au début