Le Monde de L'Écriture
Sous le soleil des topics => Discussions => Le petit salon => Discussion démarrée par: Gros Lo le 24 février 2007 à 18:14:12
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J'ai eu l'idée d'instaurer un autre jeu que celui du cadavre exquis mais non moins littéraire... Dark m'en a proposé quelques-uns, finalement j'en ai pris un autre :
Le Jeu du téléphone
Vous avez tous déjà entendu parler du téléphone arabe ? On y jouait souvent en maternelle^^ On était tous en rond, quelqu'un chuchotait à son voisin de droite une phrase de départ, qui devait la transmettre à son voisin de droite et ainsi de suite, jusqu'à ce que la phrase revienne à son auteur... le plus souvent, elle était complètement écorchée^^
Ici, le but du jeu est de volontairement modifier la phrase, faire des lapsus, jouer avec les mots en ressemblances.
Petite démonstration, avec juste un bout de phrase pour bien comprendre :
Le camion rouge --> Le carton bouge
Ainsi de suite :P Avec une phrase entière, bien sûr ;)
Index.
Rumeur 1.
Le papillon de nuit est mort sans revoir la lumière du jour.
Le gravillon de l'ennui dort dans le noir, lunaire comme toujours.
Le ravillon de l'ennemi mort dans le bois, insulaire comme bonjour.
Le rat, vieille onde ennemie, mordant le bois insulté, gomme "bonjour".
Le mat, micro-onde et pain de mie, bordant la loi immergée, vogue toujours.
Les lamas miros ont déteint, ignorant l'aboi du berger en toge trop lourd.
La lame à Hiro a des teints, Inora la boit du sorbet en poche trop courte.
L'alarme a hurlé, tintinnabulement du sort, dans la baie de roche aux croûtes.
La lame a brulé, tain à bulle ne ment, dans l'abbé de rouges-choucroutes.
Madame a bruni tant elle a bu un moment, elle dû se laver avec des rudes bouts de croûte.
Lo, Wind, Dark, Lo, Dark, Kratos, Lo, Rain, Lo, John, ?.
Rumeur 2.
La torture était une pratique courante au Moyen Age.
Trois tortues têtues astiquent souvent le heaume, en nage.
Trois traîtres tuent, piquent et mentent aux ménages.
Trois très têtus piquets montent aux étages.
T'crois p't-êt' tu vas piquer mon thé aux zestes d'âge ?!
Trois p'tites divas pigmentées osaient des nages ?
Ta petite endive a pimenté roses et péages.
Tape, 'tite Ghandi, va, binant tes grosses épées sages.
Le tort dure, mais de les voir contentes si vite, eh bien, j'enrage.
Le torturé délivré honteux hante ces vides et beiges cages.
Le tort des livres est houleux, en toutes ces vides et belles pages.
..., Kratos (6ème), Lo, Kratos, Ambre, Lo, Lial.
Rumeur 3.
La porte fut fermée d'un coup de canne et claqua bruyamment.
T'avortes du dernier, j'suis soûl, on rame, la cata du moment.
T'apportes des deniers, enfouis sous du sésame (lac à ta môman).
Apport dédaigné, andouille toute dure entamée, le macadam au Mans.
A border les dés, en deuils toute la journée, les macaques dorment un moment.
Ah les bolets en gueule toute la tournée et matraques d'or du torrent.
Allez, bottez ces gueux, ou rouez-les, et arque-boutez les corps dans le torrent...
Allez beauté, c'est dégueu mais fouette-les, l'arc des tabous écope dans les rangs.
M'a les botter, mais c'est mieux foutre des marques, dès qu't'as vu des couples dans l'écran.
Mal écho et caisse d'yeux de loutres d'énarques, diktat rude pas souple rend à cran.
Malle éco' encaisse deux poutres qu'elle parque, dit qu't'as rudoyé la soupe qu'était d'dans.
Lial, Ambre, Runelei, Lo, Lial, John, Lo, Lial, Tuqui, Lo, Ambre.
Rumeur 4.
Certes, à première vue, il a du charme, mais son âme véritable est cruelle.
Cet a priori voit qu'Ella du Chat meurt mais son âme héritable est crue, elle.
C'te spaghetti, l'oie aux ailes sont à l'heure mais la gamme sur table est de Bruel.
Seize pagaies, l'on ose, elles sont à l'air, et élaguent à mort : sûreté appelle l'Est de Bruxelles.
N'est-ce pas gai, bon, haut, est-ce honteux, clair, d'élaguer les ormes ? Sûr t'es apte, elle est pucelle.
N'essaie pas, gai bonhomme, et honte au clerc d'égaler les hommes, sur les pattes desquels des puces hèlent.
Ne sait pas, gaie bonbonne, tes tontons au clergé les Lionnes, sus ! les patates dépucèlent.
Ne suis pas les bobonnes. T'es tonton, mec, faut jarcler les 'tites connes. Tu laisses tata te duper seule ?
Ne jette pas les trombones ! J'ai un ton sec ? Ca t'étonne, tu n'aimes pas quand je gueule ?
Il ne neige pas ; les hêtres ont des bolets, un tronc sec ; ils se bétonnent, stupéfiés mais pas casse-gueules.
Ambre, Rain, John, Rain, Lo, Pist, Lial, Pist, Celmakie, Lo.
Rumeur 5.
Les dragons ne sont pas toujours méchants : ils sont parfois collectionneurs de papillons.
Le bonbon fond sous la joue des gens malgré la foi des sécateurs centurions.
Le bon fond soulage ou déjoue l'magret de foie des séquestreurs centenaires.
Les bonnes fées saoulent à jouer à des jeux madrés. Des fois que les traiteurs sentent leurs nerfs.
Les connes dessaoulent ; ajoutée déjà, la madre. Des vioques les traitent : "Beurre sentant le cerf !"
Les nonnes de souche, à jouer des galas, matez les viols des traîtres en pleurs tentant de plaire!
Résonnent les louches de brouet bien gras. Saleté de viole que traite le sieur trônant sur la chaire !
Rey sonne ; Lellouche, d'oeufs brouillés bien gras, à l'aide vole : "Entrez !" Le chieur, trop pansu, lâche le hère.
Résonne la louche de choux grillés bavarois à l'aide d'un bol de purée. Chaleur et sangsues tâchent le lierre.
Désolé, la bouche d'égout ! ta grille va avoir à céder. Bord d'hélodée, vapeur et grandes pistaches de pierre.
Lo, Am, Rain, Pist, Lo, Rain, Ambre, Lo, Am, Lo.
Rumeur 6.
Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme.
Dupuis n'a qu'à traire Millane si la tombe est à biner.
Depuis ma cachère lame, la cuisine est abîmée.
Deux buis me cachèrent l'âme, la racine est arrimée.
Le pygmée crachait des larmes : l'art de Racine l'fait crier...
Le "pig" aimait cracher des larves : l'art drastique l'décrivait.
La big mémé cravachait l'âne, l'ecclésiastique criait.
L'avis d'ces mecs-là fâche les Mânes ! L'Ekklesia tique mais se tait !
L'avide sème la fate, les men ! Les clés, ça astique mes traits.
La vie de scène, la vache, l'Eden! L'éclat a ce tic, m'effraie.
Lo, Rain, Ambre, Krap, Lo, Rain, Leia, Lo, Rain, Ernya.
Rumeur 7.
Des combats dont mon coeur saignera plus d'un jour.
Décommandons, mon coeur, ça n'ira plus ce jour.
Rhododendrons, longues fleurs ! Satyres trapus te courent.
Rôdons, hantons, l'onde pleure ! Ah, Sir ! Y a plus d'tour !
Rot donc, tentons, bonheur attire troubadour...
Saute donc, prends ton pied : l'heure hâtive court et meurt.
Sot ! Monte ! Trente pompiers ! Le rat s'tire, c'était un leurre !
Saumon, trempe ton pied ! L'heure aspire ces thés teints d'or.
L'eau monte, rampe, vrombit ; le Vengeur navigue sur l'éther marin de mort.
L'or rond, tente, fait envie ; le voleur pique les affaires du mâtin, il a tort.
Laure rompt, chante, fait sa vie ; la valeur tique les affres du maton, il adore.
Ernya, Rain, Lo, Ernya, Leia, Lo, Ernya, Mary, Lo, Ernya, Krap.
Rumeur 8
Avoir le refrain beau à rechercher des crosses serait prendre à revers la haine à écoper…
A boire! L'heureux frein bot, l'art du preux archer-écorce ferait pendre un pivert à l'aine de l'écolier.
Armoire, l'heure au grain boit. L'ardu peut hacher et la Corse errait pendant un poids vert, à l'air de l'argousier.
A moi ! le gros brin de bois larde mon pieu ! Echarde à la..., grommelait, ouvrant l'oeil pers, cette merde de bousier.
Quoi! Le crachin de poix farde les cieux ! Hé là-bas! beuglait, ventre à terre, la mère du boisselier.
"Crôa", fait l'machin que voit la mare de Lisieux. C'est un fat, non mais! Terre à terre, c' crapeau maire du bois-cellier.
Croix de fer le matin: soit larve au pieu. Croix de bois l'aprem : misère au merlu du poissonnier.
Ver de terre dans le jardin : Pouah qu'il est vieux! trois fois le même prit l'air, ô verrue du potager.
Vert et terne sur le terrain, là naquit le vieux, et toi tu foulas le même primaire, en vertu du pote à Roger.
Verte et naine, sûre de ses reins, la marquise lève les yeux, et le roi Tufoya l'aime grise et amère, en tenue de goth à dorer.
Rain, Leia, Krap, Lo, Ernya, Ambre, Ernya, Anlor, Sahiqa, Krap.
Rumeur 9
"Oui, le public est d'une merveilleuse tolérance. Il pardonne tout, sauf le génie."
Ouille ! La pub - hic ! - est une mère veilleuse : tous les ans elle - hic ! - entonne trop. Arf ! l'ingénue !
Ouh! La pudique! c'est une serveuse: pour ces vingt ans, elle en donne trop. L'autre geint mieux.
Houle alambique, ces rocailleuses en sont suintantes. Élan de l'eau aux reflets de gemme.
Fou, l'élan d'bique ! - séro cailles gueuses chanson pinçante. Et l'an de l'hoho raflait le germe.
Tout est lubrique. Sérail, gueuses, cent autres passe-temps! De là-haut, il fumait d'l'herbe
Mou est Loïc. Ses rails fusent ; sans hôte, pas de taon. Des boyaux, il fulminait dans l'air.
Goules et panique! Syracuse, sans d'autre passe-temps, déballe qui fusillait la terre.
Poux et tiques ! Si, j'accuse cent autres passants et les balles qui fusaient de la frontière.
Aux portiques! Six écus s'usent sans hautes passions, hèlent les bals qui faisaient front fier.
Eau forte ? Chic ! Ciselé cucu, saute poisson, elle est pâle qui fendait son tiers.
Ambre, Rain, Ernya, MrBlatte, Leia, Ernya, Krap, Vera, Ernya, Plume, Rosemonde.
Rumeur 10
Sois sans soucis pour moi si tu sens le danger : je saurai me sauver.
Soixante sous, six zurnas. Si tu vends ton archet, je t'aurai un clavier.
Soit, sa souris séjourna ici. Or si tu tends ton lacet tu l'attacherais au palier.
Sâ, ça sourit et pour l'ami. Ortie, du tendon lasse et tu lâcherais au pain lié.
La chasse aux souris, c'est pour la vie. Sorti du giron, il faudrait tuer au pied levé ?
A chaque mot pour rire elle pourrit l'avis. Maudit du guidon, Ygôdre est tué, grossier crevé.
Un chameau pourri, l'est roussi, le radis. Mot, dis donc, gui don. Igrot et Thuée, gros, scié, greffé.
Ô ! Chamois, poux, rillettes aussi ; le rat dit : "mon Dido qui dort est gros ! Tu est grossie et coiffée."
Hoche, larmoie ou crie et tousse, l'heure amie monte en Colchide, orée, grotte, haie ou silex offert.
Orcham a l'art fou: un cri l'émousse. Coeur rassis conte à corps chiche de dorés grotesques.
Or, ça m'a l'air d'un foin pilé de mousse. Qu'on m'asticote raccourcis d'oeufs de daurade au grec.
Rain, Anlor, Nienna, Krap, Ernya, Lo, Krap, Zephyr, Lo, Ambre, Citron.
Rumeur 11
...
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Nous voici à la dixième ! Bon, repartons sur une nouvelle phrase. J'me permets de relancer.
Sois sans soucis pour moi si tu sens le danger : je saurai me sauver.
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Sois sans soucis pour moi si tu sens le danger : je saurai me sauver.
Soixante sous, six zurnas. Si tu vends ton archet, je t'aurai un clavier.
Euh, bon, un troc musical pas très réussi mais vous me pardonnerez hein! (hein?!)
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Soit
Soixante sous, six zurnas. Si tu vends ton archet, je t'aurai un clavier.
Soit, sa souris séjourna ici. Or si tu tends ton lacet tu l'attacherais au palier.
Urf...c'est galère mais bon faut un début à tout ::)
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Soit, sa souris séjourna ici. Or si tu tends ton lacet tu l'attacherais au palier.
Sa, ça sourit et pour l'ami. Ortie, du tendon lasse et tu lâcherais au pain lié.
Hobbsédé ? Mais non :noange:
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Sa, ça sourit et pour l'ami. Ortie, du tendon lasse et tu lâcherais au pain lié.
La chasse aux souris, c'est pour la vie. Sorti du giron, il faudrait tuer au pied levé ?
???
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La chasse aux souris, c'est pour la vie. Sorti du giron, il faudrait tuer au pied levé ?
A chaque mot pour rire elle pourrit l'avis. Maudit du guidon, Ygôdre est tué, grossier crevé.
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A chaque mot pour rire elle pourrit l'avis. Maudit du guidon, Ygôdre est tué, grossier crevé.
Un châmeau pourri, l'est roussi, le radis. Mot, dis donc, gui don. Igrot et Thuée, gros, scié, greffé.
???
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Un châmeau pourri, l'est roussi, le radis. Mot, dis donc, gui don. Igrot et Thuée, gros, scié, greffé.
Ô ! Chamois, poux, rillettes aussi ; le rat dit : "mon Dido qui dort est gros ! Tu est grossie et coiffée "
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Ô ! Chamois, poux, rillettes aussi ; le rat dit : "mon Dido qui dort est gros ! Tu est grossie et coiffée "
Hoche, larmoie ou crie et tousse, l'heure amie monte en Colchide, orée, grotte, haie ou silex offert.
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Hoche, larmoie ou crie et tousse, l'heure amie monte en Colchide, orée, grotte, haie ou silex offert.
Orcham a l'art fou: un cri l'émousse. Coeur rassis conte à corps chiche de dorés grotesques.
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Orcham a l'art fou: un cri l'émousse. Coeur rassis conte à corps chiche de dorés grotesques.
Or, ça m'a l'air d'un foin pilé de mousse. Qu'on m'asticote raccourcis d'oeufs de daurade au grec.
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Nouvelle phrase...
"Je me livre en aveugle au destin qui m'entraîne."
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"Je me livre en aveugle au destin qui m'entraîne."
J'aime lire un aveu glauque. Des saints qui mentent, traînent.
:mrgreen:
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J'aime lire un aveu glauque. Des saints qui mentent, traînent.
J'ai ma lyre, on a le cloaque des sentiments de Rain.
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J'aime à dire, on a Le Clos acre des sentinelles du Reins.
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Geai m'a dit : long hâle causa décentes fines ailes d'airain.
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Geai m'a dit : long hâle causa décentes fines ailes d'airain.
Gemmel dit long : ah! le cosaque des sentes finissait le terrain.
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Gemmel dit long : ah! le cosaque des sentes finissait le terrain.
J'aimais l'nylon, hâlé corps. Chaque descente fine i c'était le terne rein.
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J'aimais l'nylon, hâlé corps. Chaque descente fine i c'était le terne rein.
Jamais nie l'onde à l'écho, Rorschach des cendres finit. Signé : le vacherin.
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Jamais nie l'onde à l'écho, Rorschach des cendres finit. Signé : le vacherin.
Charmée, j'inonde avec l'eau l'or sale des Centres enfuis. Saigner ne cache rien.
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Charmée, j'inonde avec l'eau l'or sale des Centres enfuis. Saigner ne cache rien.
Charme et gin : honte à vous ! Et qu'Lo' leur sale des centrales aux fruits ! Ces nez le mâchent bien.
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Charme et gin : honte à vous ! Et qu'Lo' leur sale des centrales aux fruits ! Ces nez le mâchent bien.
Changez rien ! On la loue et on clôt leur sale pédanterie ! Ce n'est qu'un lâche lien.
:huhu:
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Changez rien ! On la loue et on clôt leur sale pédanterie ! Ce n'est qu'un lâche lien.
Changelin, là où est Léon couleur salpêtre, lentilles rissolées calent le chien.
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le prochain donne une nouvelle phrase ^^
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Ils se battirent en guerriers et en poètes. Ils se battirent en écossais et gagnèrent leur liberté.
Enjoy !
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Ils se battirent en guerriers et en poètes. Ils se battirent en écossais et gagnèrent leur liberté.
Îles de potirons gris et géants pouets, fils de petits ronds écossés et gars niais en rollers inversés.
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Îles de potirons gris et géants pouets, fils de petits ronds écossés et gars niais en rollers inversés
Ils firent ronron en criant après les mouettes, fils de gris pont cossu et garni et roulé encrassé.
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Ils firent ronron en criant après les mouettes, fils de gris pont cossu et garni et roulé encrassé.
Ils tissent leur nom, mécréants des alouettes, filles aigries dont le dessus bien aplati est secoué en été.
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Petit remontage :mrgreen:
Ils tissent leur nom, mécréants des alouettes, filles aigries dont le dessus bien aplati est secoué en été.
E.T. se leurre, non ? Mes créances désavouées et tes filles amaigries sont les deux seuls biens à pâtir des secouristes endettés !
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E.T. se leurre, non ? Mes créances désavouées et tes filles amaigries sont les deux seuls biens à pâtir des secouristes endettés !
Et tes seaux de lardons ? Mec ! Rien, c'est annulé, et tu feras mes cris sous les Diesel-Vierza parties des eaux. (Risque de thé.)
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Et tes seaux de lardons ? Mec ! Rien, c'est annulé, et tu feras mes cris sous les Diesel-Vierza parties des eaux. (Risque de thé.)
Et Tussot te larde donc mes reins. Ce granulé étouffera les gris saouls. Les dix ailes VISA partent idéaux, briques d'été.
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Ça me manquait ce jeu! :D
Et Tussot te larde donc mes reins. Ce granulé étouffera les gris saouls. Les dix ailes VISA partent idéaux, briques d'été.
Hé tu sautes? Largue donc Merlin, ce gras, nul et touffu rat. Les grippe-sous, les dits zèles visent à partir des hauts bris. Que des taies!
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Laitue sotte ! L'arc de mes reins se granule et étouffe l'ouralien agrippé sous les diésels. Visa à traduire, deux euros dix ! Commandez !
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Laitue sotte ! L'arc de mes reins se granule et étouffe l'ouralien agrippé sous les diésels. Visa à traduire, deux euros dix ! Commandez !
Es-tu sotte? Lâche! mais rince ce granulé et touche l'ours à Iena, grippé, saoulé, dit-elle. Visse la trappe d'huîtres de Rodez, comme un Landais.
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Es-tu sotte? Lâche! mais rince ce granulé et touche l'ours à Iena, grippé, saoulé, dit-elle. Visse la trappe d'huîtres de Rodez, comme un Landais.
Têtu, saute, lâche ma pince, enculé tout chelou ! ça y est, na ! gris puits sous les dentelles, vise, attrape, suis le trapèze gommant l’arrêt.
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Têtu, saute, lâche ma pince, enculé tout chelou ! ça y est, na ! gris puits sous les dentelles, vise, attrape, suis le trapèze gommant l’arrêt.
T'es puceau. Te lasse pas, mince, encule-les tous chez nous! Samy et Nat' s'grisent puis soupent saoulés dans telle ville, soit Trapes. Puis le drap pèse collant la raie.
:-¬?
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Je bloque :-¬? On est à plus de dix, on passe à une autre phrase ?
(Dire qu'on commence par des guerriers poètes et qu'on finit par un puceau qu'on exhorte à faire une orgie :-¬?)
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Je bloque :-¬? On est à plus de dix, on passe à une autre phrase ?
(Dire qu'on commence par des guerriers poètes et qu'on finit par un puceau qu'on exhorte à faire une orgie :-¬?)
Oh oui! une autre! une autre!
je vois pas du tout le problème, après l'effort le réconfort, on dit bien ça non? :mrgreen:
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Hem,
Nous ne nous verrons plus sur terre, odeur du temps brin de bruyère, et souviens-toi que je t'attends.
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(C'est chouette, ça vient d'où ?)
Noue ce pou félon. Plus sûr ! T'es rôdeur ? Luttant rien que pour hier ? Le pou vient... Ta queue le matant.
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Noue ce pou félon. Plus sûr ! T'es rôdeur ? Luttant rien que pour hier ? Le pou vient... Ta queue le matant.
Un ours pouffe et l'on pût, sur tes rondeurs, mutant, rire un peu. Pour rire, Pierre! Le pauvre, tiens. Taquine-le maintenant.
(un jour, j'arriverai à en faire une qui veuille dire quelque chose, c'est dit.)
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(un jour, j'arriverai à en faire une qui veuille dire quelque chose, c'est dit.)
-> Celle qui clôt la suite d'avant est bien kiffante :mrgreen:
Sinon Rain, c'est un poème d'Apollinaire.
Un ours pouffe et l'on put, sur tes rondeurs, mutant, rire un peu. Pour rire, Pierre! Le pauvre, tiens. Taquine-le maintenant.
À nous : pour faire long cul sans les odeurs (autant dire un gueux), pourrir hier, la peau demain, badigeonne maintenant.
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À nous : pour faire long cul sans les odeurs (autant dire un gueux), pourrir hier, la peau demain, badigeonne maintenant.
Anouck pousse l'air on sue, vent des chauffeurs aux volants divins. Vieux, pour y faire l'assaut de mains basse et jaunes, mains de gens.
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ô bouc, au vert, sus. quand tes odeurs autant que le purin, mieux qu'un seau de mélasse, sonne le glas des sens.
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ô bouc, au vert, sus. quand tes odeurs autant que le purin, mieux qu'un seau de mélasse, sonne le glas des sens.
Oh l'souk d'ovaires, Sue! Quant à tes grosseurs, ô tank, que de surimi! Eux, d'un saut de ma grasse donnent pas deux cents.
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Eunuque d'horaire, sue. Rends à tes rousseurs, au manque, deux voeux salamis. Jeu d'impôt de marais sonne pas décent.
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Eunuque d'horaire, sue. Rends à tes rousseurs, au manque, deux voeux salamis. Jeu d'impôt de marais sonne pas décent.
Ce nu doré sue, rampe, tâte et trousse deux romans que Deleuze, sale et vieux, un pot de lard rance au nez, a descendu.
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Mais c'est bien fun ce petit jeu.
A quand la prochaine rumeur ?
En attendant, je me permets innocemment de faire comme si la dernière était la première
Ce nu doré sue, rampe, tâte et trousse deux romans que Deleuze, sale et vieux, un pot de lard rance au nez, a descendu.
'Cuni oréolé entre ta touffe' ! Leur romance scandaleuse, l'audacieux impôt la relance en apnée discontinue.
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Qu'une auréole ôte le tatou ! L'or, anse venimeuse, attire aussitôt la rance cupidité des mamelus.
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Allez, on repart pour un tour o><o :
A Paris la tour Saint-Jacques chancelante, pareille à un tournesol, du front vient quelquefois heurter la Seine et son ombre glisse imperceptiblement parmi les remorqueurs.
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Anarchie : vautours, oracles pantelants. Le soleil tourne à Paris, et du fond, bien toutefois, assène à bon compte et pisse ostensiblement au rire des rockers.
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A l'arche il faut tout : eau, âtre, pain, temps. Le sol, trouble, avili l'être du bon Benoit et sème à son ombre l'épi de l'or du temps. Ô rides des rocs d'heures !
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Ah, l'archer de l'île aux trous à l'heure du saumâtre printemps ! L’obole double faillit mettre aux abois les mères des mômes, bénies lors de l'Avent. Oh, rires des rôdeurs !
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Attaché à la file les fous râleurs des sonates d'argent. L'eau du bol bout et jaillit comme un être de désarroi, compères et gnomes chéris corps en avant.
Aux dires des farceurs...
Oh mon dieu, c'est moi qui ai écrit ça ??
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J’ai tâché d’affilier les fours alors dissonants, dardant l’aube aux boules de jais, lisant l’homme, le hêtre, le Roi, comparant l’énorme chair d’or blanc au mires des casseurs.
Au beaux cieux, laisse ta quiète ère là-bas !!
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Vers bâclés, laminés au détour d'ordis sombrant dans le hublot à poulets. Ils entonnent, inertes, pantois, le chant atone, l'air rôdant aux dires des facteurs
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Ca va trop vite, je réponds à Hément |-|
Hâte ta chef d’artiller le four à l’heure, dix connes attendent, sans eau, bonnes bouées luisantes comme une bavette catégorie-trois qu’on pare de force sherry, vin blanc et de pires agraisseurs.
Aux chassieuses fesses ta quête de chère s’abat.
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Hâve, achève l'art. Tu les fourres, alors qu'il dit comment tendent ses os bons, d'eaux belles : séduisantes, comme une mouffette barbue qu'on grille. Qu'à tes gorilles on compare le morse, chérie ! Nimbe, lent, les sbires de graisse. Sœur, hache la gueuse, blesse la bête de Sabbat.
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Lave ta chaise et parts. Tous les bourgs à l'orée des syccomores mentent. C'est chaud, bon dieu. Quelles médisances donne une fourchette d'arbustes qui ne brillent qu'à ces oraisons dont part le mort ( chez qui ?). Mince, tu mens, laisse dire ma fesse. Tu sauras que le feu léche les êtres de ton bois.
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De la chair en barres. Tous les bourgs d'Allorée chiquent leurs morts à la menthe : réchauds, bandeaux. Clé de mes disances, forme une alouette fortuite qui dégobille à ses braisons et parle aux mors d'ici, pince, rends, déchire ma herse. Tu tousseras dans les feux peut-êtres de mon moi.
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De là, chère Amboise, tue l'esbroufe des lois et chipe le remord ; à la pente échaude le ban de "Oh !", qu'les deux disent : "Sans forme ! ". Alors loue l'hêtre fort : tu y démolira assez ces brais d'ondes. Et par l'eau, mordicus, Princes et Rangés chieront ta graisse. Tu pourras danser dans le bleu des Rois, être toi.
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Mince, ça fait douze pour celle-ci. Quelqu'un en lance une nouvelle ? :mrgreen:
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Y'a un mec, au fond, qui me glisse ça à l'oreille :
L’auteur dans son oeuvre doit être comme Dieu dans l’univers, présent partout et visible nulle part.
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L'auteur en son heure doit paître comme deux dents en hiver : près en part-août mais miscible sur son art.
hum.
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Liotard, encenseur, boit, pète, comme dedans enivré : prêt de partout, met mes cibles sur sonar.
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Le iota, en senteur, doit être comme le vent d'un livre et le pet de Platon : fumé des bibles, pur bobard.
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Le yacht a en son cœur trois êtres qu'on me vend : l'un ivre et le père, plat, con, fume et, débile, sur l'eau barre.
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L'oeil hack : attention, leurre ! Noisettes convenant d'un lièvre prospère ; abats ; costumes de l'île. Durs mots d'arts.
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Le Jack, Bourbon à l'enivrante douceur, castagnettes à mes dépens. Soirée mièvre et austère, crachats, posture débile. Mesure et écarts.
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Le trac ! Tournons, l'épicentre au coeur des claquettes a ses relents poivrés, de miel en polaire, d'achat combustibles, de purs éclats.
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Tic Tac ! Tourbillons, l'épicier dans une scène de racket a des accents portugais, le ciel persévère, le chat con de la bible, épures gravats.
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Clic clac : touillons les billes sciées d'une Seine de rats en quêtes de désaxement. Pour tout gai, le ciel perd ses vers, le "ça" scande l'habit, le pur gras va.
-
Tipiak, le poisson des villes nées de scélérats, enquêtes d'excréments... Passe-tout-grain, l'hydromel vert, sévère, dans les gravats.
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Et de dix ! :mrgreen:
J'me permet d'en lancer une nouvelle :huhu:
Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche.
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Un nain, tel une truelle, a six babouins moins quinconce que Guivarc'h.
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Une etincelle assise aux bains jouint l'enfance au patriarche.
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Une main, belle lune cruelle, assis le groin, foin qui fronce et Guy d'arche.
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Urbain : poubelle de ruelle tapie dans le coin. Ici, un pont et une arche.
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Hurle un bout de stèle de rue ; elle tape et danse de loin. Il s'y ceint d'un bond et marche.
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Hulule hibou mais naissent-elles vêtues? étape intense, je l'oins, l'assassin vagabonde et mâche.
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Hurle ! Hurle debout ! Ménestrel venu des trappes de Sens ! De loin, le fantassin va, gai, abonde de marche.
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Fut le pull, le boubou. Les séquelles remuent la frappe des sens, le poing entassant le pet abscond. Crache !
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[Est-ce-que l'idée ne serait pas encore plus sympa par MP interposés, histoire de voiler le changement ?]
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Le problème des MP c'est que tu limites vachement le jeu... là c'est ouvert à tous, par MP ça devient forcément plus compliqué.
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Le problème des MP c'est que tu limites vachement le jeu... là c'est ouvert à tous, par MP ça devient forcément plus compliqué.
C'est vrai. Je n'avais pas pensé au côté pratico-pratique. Parenthèses refermées ;)
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Hue les poules, dit le poulet, sec. Elles se muent, rampent, pleines d'essence et de zinc, passant sous le pont de vaches.
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"Hum du poulet" dit le sac mutant en rappant de l'esquimau et du zèbre, chantant solennellement du Vartan.
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Hymne aux poules, hey ! Deale sec, mue tant en trappe qu'en deux laisses. Qui, Mo' ? Hééééééé, deuz, l'êbre. Chant tant solennel ment, dévore tant...
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Hymens à pulls, elle ! De la Mèque, tu tape un tank en étant à l'aise. Qui-est-ce ? Et , deuzio, l’être. Choppe des tantes colonel Moutard, démange l'en.
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Il mena pucelle ! D'la pastèque, du tapin tant qu'en a Blaise. Acquiesce ? Et l'zozio paître. Chaude détente qu'au lyonnais moulant des mages lent.
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Emmener pour elle, la bibliothèque du lapin. T'en avais toi une pièce ? Et un saxo gai ? Détends toi chaton, qu'on l'y mousse Magellan.
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On a dépassé les 10.
Une autre ?
Quand, de la noirceur, une ombre surgit; les flammes vacillent et le monde rugit.
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Kant dit : "Le noir, sur un nombre su, rugit plaisamment, va, cille, et le mondain aussi."
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Candy : " le voire sur un sombre nu mugit platement la ville, hèle le monde, hein, aux cimes. "
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" Qu'en dit le vaurien ? L'saugrenu gît plat devant l'abîme, elle le montre point aussi. "
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"Quand ?" dit le veau. Rien ! Le sot gris rugit, plein de vent. L'habile scèle mon trépas, un haut cil.
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Candide, levons bien le saut de grès rubis plein de vers. La bile sera montée. Paîen, oscille !
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Candie Déleux Von Bikleu, chaude verrue bipolaire. Vers le Gille, ce rat bombé, pas l'mien qui signe.
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Quant d'idée, le zombie-gueux d'eau-chair eut lime-molaire, Vert-de-Gilles sera plombé par l'humain qui saigne...