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Le Monde de L'Écriture » Coin écriture » Textes courts (Modérateur: Claudius) » [Les Filles de l'Air] La Fleur Rouge

Auteur Sujet: [Les Filles de l'Air] La Fleur Rouge  (Lu 3424 fois)

Hors ligne Ambrena

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Re : La Fleur Rouge
« Réponse #15 le: 30 janvier 2012 à 15:53:18 »
Paradoxalement, (mais du fond des tripes, je te jure que c'est vrai) je suis très contente que tu ne sois pas plus enthousiaste que cela.   ;D Oui, c'est très étrange, mais c'est ainsi. C'est la deuxième critique très négative sur le style de cette nouvelle que je reçois, venant de personnes extrêmement fiables, techniques et argumentées ; et cela me rassure, et me fait plaisir, et me donne l'impression de vraiment créer quelque chose de nouveau. D'autant plus que les tournures que tu as relevées sont souvent celles sur lesquelles j'ai le plus réfléchi.

Les clichés, par exemple. Qu'est-ce qu'un cliché ? C'est un topos qui a mauvaise presse, voilà tout. XD Mais si on resémantise le terme, que la jeune fille irréelle (ce n'est qu'une idée, après tout, hein ?) coupe vraiment le souffle, au sens propre, parce qu'elle étrangle les suicidés en influençant leurs pensées... Alors, ce n'est plus la même chose du tout. Ce n'est pas qu'un cliché : c'est un cliché  resémantisé, c'est-à-dire qu'il fait sens, dans la lettre même du texte.

Certes, il arrive que le mot ne détienne pas cette connotation péjorative, cette sale boue collée à lui et qu'on peut lui ôter si on réfléchit au vrai sens qu'il possédait au début. Mais alors, le lecteur a peut-être oublié que le mot "charmer" veut dire à la fois quelque chose de banal, "intéresser, séduire, attirer" ; et quelque chose de terrible : lancer un sortilège.

En outre, je me montre absolument incapable de choisir sur l'axe paradigmatique le terme le plus pertinent, le plus précis. Chaque mot a son importance (un mot qui ne sert pas, qui est un doublon exact, c'est un mot mort ; je ne pourrais t'en citer aucun de tête mais ils abondent en ancien français). Mais ce que je veux décrire est extrêmement clair, dans ma tête, et en même temps, très difficile à faire passer aux autres, en effet, puisque que cela semble aux autres très détaché de l'intériorité. Alors que justement, c'est ça, la mienne, d'intériorité, et je veux la faire passer de toutes mes forces dans mes textes. Seulement, j'espère qu'un jour, je tomberai sur quelqu'un qui verra le monde plus ou moins comme moi, et qui me dira "C'est tout à fait ça".

Par ailleurs, il faut aussi savoir que ce texte fait partie d'un tout, d'un ensemble plus vaste - d'un symbiote, en quelque sorte (non, pas ceux de Stargate. xD J'emploie le terme au sens biologique pur du terme. Et moi, je suis un hôte parasité par plein de symbiotes. ^^ ). Par exemple, c'est normal que la lutte avec Viola soit molle du genou. XD Elle est totalement deux de tension, c'est un personnage faible, sans volonté, qu'Hua manipule à sa guise dans tous les sens du terme.

Enfin voilà, mon style a changé. Beaucoup "moins" d'émotions (de ton point de vue, du moins), et beaucoup plus d'idées. :)

En tout cas, merci, merci mille fois d'avoir commenté ! Tes remarques étaient extrêmement fines, comme toujours. ^^
"J’ai soudain la sensation limpide d’avoir gaspillé ma jeunesse… L’avoir vue s’échapper de mes mains comme l’anguille effrayée et m’appeler à présent sur le lierre du tombeau, où patiente depuis toujours le chant des enfants, les raisins volés…"

Roi Loth, Kaamelott, Livre V

Aube

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Re : La Fleur Rouge
« Réponse #16 le: 30 janvier 2012 à 20:21:47 »
J'ai trouvé ce texte trés bien écrit et j'ai vraiment apprécié en suivre le cours. Au contraire d'ernya je trouve que cette distanciation, qui est bien présente, donne au elcteur un point de vue trés particulier que j'ai aimé expérimenter. On à l'impression d'être plus du côté féérique d'lunivers que de celui des humains, et c'est vrai qu'on ne ressent pas l'angoisse de Viola ni la rage d'Hua, on en est spectateur ingénu qui assiste à l'étrange scène, comme un nuage qui passerait au-dessus (oui ça me fait ça de lire un texte, vous croyez que c'est grave ? ^^ :p)
Pour les points négatifs la fin est pas vraiment géniale. Le texte s'épuise et meurs, mais ne finis pas. Bon, peut-être que c'est voulu de faire de la conclusion quelque chose d'ouvert et d'aérien plutôt que de poser un point final, mais je suis resté sur ma faim.
Enfin, j'ai beaucoup aimé les premières phrases, simplement pour l'expression pure et simple et les images qui les sous-tendent.

Bon, voilà, j'ai pas la prétention du tout de pouvoir t'aider sur quoique ce soit mais je voulais te faire savoir que j'avais aimé. :)

Hors ligne Zacharielle

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Re : La Fleur Rouge
« Réponse #17 le: 05 février 2012 à 18:10:37 »
septembre 2010, janvier 2012, tu n'as pas peur toi lol

Allons-y. Peut-être que je me souviens de quelques bribes, on verra ! Tu as traduit le titre, chic !

Citer
On la surnommait parfois « la Fleur Rouge » ou « le Coquelicot » à cause de ses habits, mais également de sa beauté à couper le souffle – et c’était le cas de le dire
un coquelicot c'est pas la plus belle des fleurs quand même, elle fait cheap  :mrgreen:

Citer
Une idée, juste une idée ; mais qu’on avait posé là, sans la fixer, triste et malheureuse, et puis que l’on avait oubliée.
la fille c'est une idée ? je comprends pas trop

Citer
aussi douce et dangereuse qu’un gaz de ville en liberté dans une maison.
attention au gaz de ville, c'est pas connoté pour une odeur agréable x) donc y'a contresens, non ?

Citer
Elle avait choisi les coquelicots comme emblèmes, mais ce n’était qu’un caprice
je croyais que c'était pas elle qui avait choisi ce surnom.

Citer
Elle aimait à voir s’enfuir la vie des veines de ses favoris. N’importe quel objet rouge aurait pu faire l’affaire. C’était comme ça.
un peu facile, ça casse la sympbolique, le choix, si tout se vaut bah on comprend pas trop l'intérêt d'appuyer sur le fait qu'elle a choisi un coquelicot

Citer
Son vrai créateur, c’était un paresseux. Sinon, il ne l’aurait pas abandonnée, il aurait écrit son histoire, ou bien il l’aurait chantée, ou dessinée, ou peinte, ou même racontée à l’oral.
je comprends pas trop pourquoi tu as changé de paragraphe, c'est la même idée. Il y a beaucoup de "é" quand même, ce n'est pas très joli

Citer
Certaines vivaient auprès des écrivains en plein labeur, d’autres inspiraient les musiciens ou les peintres. Hua, elle, s’était instaurée en tant que gardienne des âmes en peine
je comprends pas le rapport. elle fait partie d'un groupe de "muses" mais elle elle insuffle rien, elle garde, mais au-dessus du dis qu'elle coupe, moi je sais plus quoi penser de cette fille et de ce qu'elle fait, de sa matière (vu qu'elle est à demi...), de sa forme (coquelicot = sang = LED rouge)... I cannot see a thing. Elle sert à tout, elle sert à rien. C'est un peu facile.


Citer
Et c’était là la faute du nouveau prêtre. En dépit des sommations d’Hua, les fidèles l’ignoraient soigneusement, respectueux de leur foi nouvelle.
un nouveau prêtre = une nouvelle foi ? C'est vraiment étrange !

Citer
Pfff… Sottises, calembredaines et inepties, voilà.
euh lol

Mais si elle veut que tout le monde se suicide, il n'y aura rapidement plus personne. Il faut savoir gérer son stock.

Citer
Par un splendide jour d’été, un véritable nuage de coquelicots s’abattit sur la ville, sous le ciel d’azur. Les fleurs tombaient du ciel, régulières et droites comme des « i », tige de sinople et corolle pourpre.
on est dans la pub de Kenzo !

Citer
La couleur vive des fleurs au cœur écarlate créait une rupture par rapport au gris de la ville, des rues, des caniveaux sales et ternes.
show, don't tell

Citer
Et les personnes qui vivaient dans la bourgade sortaient afin de mieux les voir, charmés - aux deux sens du terme - par ce spectacle.
idem

Citer
Une grande gaité éclaira pleinement l’expression de la fille de l’air.
tu veux changer de "son visage s'éclaira" mais sous cette forme, je trouve que c'est très lourd

Citer
Souvent, Hua la laissait agir, parce qu’elle aimait qu’on la combatte et qu’on lui arrache ses proies. Il lui en resterait toujours assez, après tout.
je comprends pas trop. Qui est-ce qu'on combat ? Hua ?

Citer
« Non ! Tu n’as pas le droit de faire ça ! »
on dirait un mauvais film. Et l'explication qui tu as été obligée de donner avant lui enlève toute spontanéité. Pour qu'on saisisse les enjeux, ils faut qu'on connaisse le contexte et le protagoniste. Là on voit ça de très très loin et on se sent absolument pas concernés.

Citer
Rien ne se rapportait au véritable sol nourricier, là où elles évoluaient ; elles n’étaient pas de vraies fées ce la nature : juste des symboles délités, des idées inabouties. À cette pensée, la rage l’envahit de nouveau.
ah je n'avais pas bien saisi qu'elle était enragée, la première fois :/

Citer
L’autre sylphide se mit à pleurer, secouée de sanglots comme une petite fille. Certains enfants portaient même plusieurs fleurs aux pétales cinabre et les offraient à leurs parents, enchantés.
quel est le rapport entre les deux phrases ?

Ah, je croyais qu'ils allaient se jeter dans le vide.


Arf, je suis désolée mais je n'ai vraiment pas accroché. Autant la première fois, je crois que j'avais bien aimé mais dans cette version, tout est très très flou, on ne comprend pas ce qui la motive, à quoi elle ressemble, pourquoi elle fait ça, ce qu'elle fait exactement, elle n'a pas d'épaisseur , l'autre fée vient comme un cheveu sur la soupe, leur combat est transprent. L'esthétique pourrait elle seule suffire au texte mais elle est trop effacée derrière l'amas d'incompréhension pour ressortir. C'est dommage, il y a de l'idée après tout mais il faut être plus claire, plus directe, plus proche, beaucoup plus proche des persos pour qu'on éprouve pour eux ne serait-ce que d'un peu d'intérêt. En fait ça fait très artificiel, la façon de raconter. Du coup, je n'ai trouvé aucune prise où accrocher. Voilà, j'espère n'avoir pas été trop sèche :/


PS : J'ai rien compris à ton explication technique.

Hors ligne Kailiana

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Re : La Fleur Rouge
« Réponse #18 le: 08 février 2012 à 23:38:43 »
commentaire sur la 2eme version
-
Citer
ses pieds nus pendant dans le vide.
pendant/dans ça fait bcp de "dan"
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mais également de sa beauté à couper le souffle – et c’était le cas de le dire.
bof, surtout le "et c'était le cas de le dire"
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Légère et insaisissable, elle flottait dans la ville comme une fragrance dans le vent – aussi douce et dangereuse qu’un gaz de ville en liberté dans une maison.
un gaz de ville j'imagine pas ça très doux (ni très dangereux en fait...)
Citer
C’était comme ça.[...] Mais c’était là le secret, la lubie de son créateur.
trop de "c'était" c'est bof
Citer
Mais c’était là le secret, la lubie de son créateur. Sans doute voulait-il créer une adorable fée chinoise, avant de se rendre compte que cela n’existait pas ; ou bien que si c’était possible, les recherches seraient trop complexes à mener pour lui. Elle n’en avait aucune idée, et ne voulait pas non plus en savoir trop, de toute manière, pour ne pas tuer la magie de sa propre histoire – de l’histoire qu’elle s’était réécrite, réinventée, recréée.
j'aime pas trop ce paragraphe, l'idée du créateur, c'est sans trop de rapport avec ce dont on parlait juste avant (le rouge+le fait qu'elle soit libre+mauvaise) // après avoir lu la suite : ok mais ça pourrait être mieux amené
"de toute manière" inutile
Citer
Au lieu de quoi, il l’avait ainsi laissée en pâture au vide.
"ainsi" inutile
Citer
Et voilà qu’elle était condamnée à cette autre vie ; à cette demi-vie, ni vraie ni mensonge ; ni réelle, ni fiction.
mais elle s'est écrit une autre vie, donc elle a une "autre vie fiction"...
Citer
Elle le haïssait.
ça fait bizarre de parler de "haïr" alors que jusqu'à présent ça donnait pas du tout l'impression que c'étiat dans le personnage
Citer
Enfin, c’était ce qu’elle, elle affirmait.
"enfin, c'était ce que" très bof, très parlé
Citer
Elle était le dernier sourire de ceux qui montaient sur les toits pour que leur vie cesse enfin, le rayon de soleil de ceux qui s’empoisonnaient, le rire glacial de ceux qui s’étaient tranché les veines.
pourquoi deux trucs positif (dernier sourire/rayon de soleil) puis un truc négatif (rire glacial) ?
Citer
C’était pour cela que sa robe arborait la couleur du sang.
y'a pas de sang quand on s'empoisonne
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Elle pouvait persuader quiconque de se donner la mort – si le terrain lui était propice pour y semer ses graines pernicieuses et les y faire éclore
donc pas quiconque
Citer
au sein des les pensées elles-mêmes.
Citer
Et c’était là la faute du nouveau prêtre.
encore un c'était !
Citer
les fidèles l’ignoraient soigneusement, respectueux de leur foi nouvelle. Ils osaient l’ignorer, elle !
répétition ignorer (même si je vois pas comment changer)

*

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mais aussi de violence.
(la pluie de coquelicots) pourquoi ? comment ? je trouve pas ça violent
Citer
La créature imaginaire étendit la main,
ah non ! tout le long du texte tu ne dis PAS que c'est une créature imaginaire, on le devine. Pourquoi tout gâcher maintenant en le disant clairement ?
Citer
Une grande gaité éclaira pleinement l’expression de la fille de l’air. Une joie malsaine, morbide, envahit chacune des fibres de son être éthéré.
pourquoi pas juste "Une joie malsaine, morbide, envahit chacune des fibres de la fille de l'air", par ex ? la 1ere phrase donne pas du tout l'impression de "joie malsaine" mais juste de "gaité", du coup il faut refaire l'image qu'on a dans la tête
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c’était une charmante joueuse de violon, auquel il était arrivé un grand malheur
auquel -> à laquelle ?
Citer
et avait décidé de se consacrer aux autres gens à qui cela était arrivé aussi
"était également arrivé" plus joli
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Elle n’avait pas réussi à soulager la peine de son humaine, mais peu importe : elle essaierait avec d’autres.
"peu importe" bof ; et puis dans ce qui précède, on comprend qu'elle n'a pas essayé d'aider cette première humaine
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elle aussi, c’était une enfant des fleurs
"elle aussi était..." pourquoi toujours "c'était" ?
Citer
Mais Hua la repoussa d’une seule main et la jeta à terre – ou plutôt, sur le toit.
autant dire directement "sur le toit"
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Rien ne se rapportait au véritable sol nourricier, là où elles évoluaient ; elles n’étaient pas de vraies fées ce la nature : juste des symboles délités, des idées inabouties. À cette pensée, la rage l’envahit de nouveau.
rien capté (je vois pas d'où ça sort et quelle est la transition avec le reste)
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ce qui formait un contraste sublime.
maladroit
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Elle couva du regard la cité, d’un regard tendre, presque amoureux.
répétition regard bof
Citer
Et Hua souriait, souriait, souriait.
et Hua n'aura plus rien à faire ensuite, et je capte pas pourquoi elle a fait ça  :-[





Hum j'ai peut-être été un peu dur et vachement dans les détails  :-[
J'ai eu un peu de mal à accrocher. Y'a du potentiel, mais y'a pas mal de détails qui ne me plaisent pas trop, que ce soit au niveau du style ou de la compréhension, enfin j'ai tout relevé.
L'arrivée de l'autre fille, Viola, est un peu artificielle.
Citer
la moitié du temps tu es dans le commentaire de ce qui se passe et non dans ce qui se passe vraiment
Oui c'est ça, y'a trop de petit commentaire inutile. Parfois c'est sympa pour donner un ton au texte, mais en reprenant le texte des mois/années plus tard, tu t'aperçois que ça alourdit et que ça n'apporte rien, même si tu en avais l'impression durant l'écriture


Ambre', j'ai pas capté grand chose à ta réponse à Ernya (désolée XD) mais sur quelques trucs :
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et me donne l'impression de vraiment créer quelque chose de nouveau. D'autant plus que les tournures que tu as relevées sont souvent celles sur lesquelles j'ai le plus réfléchi.
j'ai pas eu l'impression de lire "qq chose de nouveau". Par contre si les tournures qu'on n'aime pas sont voulues et réfléchies, ben mtn tu sais ce qu'un lecteur peut en penser, donc si c'est ce que tu aimes, faut tenter de reprendre ces idées mais en les faisant accepter par les lecteurs ^^

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L'esthétique pourrait elle seule suffire au texte mais elle est trop effacée derrière l'amas d'incompréhension pour ressortir.
Oui c'est dommage, niveau visuel y'a vraiment un gros potentiel, mais c'est en retrait par rapport au reste, sauf peut-être au début


Ah oui aussi, au long du texte j'ai l'impression que Hua s'amuse à faire se suicider les gens, mais elle aime quand même qu'on lui résiste. Mais finalement à la fin on voit qu'elle a un super pouvoir, personne ne lui résister, et tout le monde se suicide donc il ne restera plus personne avec qui "s'amuser", mais elle, elle est contente (alors qu'ensuite elle va s'emmerder toute seule non ? ou alors elle aurait pu faire ça plus tôt, si son but c'est de tuer tout le monde)
Bref le texte aurait pu être très bien si le côté poétique/visuel avait été davantage appuyé, mais là ça ne me suffit pas  :-[

(désolée, j'ai l'impression d'être super dure dans mes commentaires en ce moment  :-[)
Si la réalité dépasse la fiction, c'est parce que la réalité n'est en rien tenue à la vraisemblance.
Mark Twain

La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Einstein

 


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