Bonjour à tous !
Je vais d'abord répondre aux questions. Je viens du Nord de la France mais je vis en ce moment en région parisienne. J'aime beaucoup faire du sport (triathlon, foot et badminton) ainsi que l'Histoire. Si je pouvais aller n'importe où j'irais soit 200 ans dans le passé, soit 200 ans dans le futur. J'ai l'impression que nous sommes une période maudite où l'aventure est morte et j'aimerais pouvoir la fuir. Il y a 200 ans on explorait les derniers recoins de la Terre et dans 200 ans on commencera enfin à explorer sérieusement l'Espace. A choisir, je préférerais me retrouver 200 ans plus tard
ohla faut être à ce point négatif pour construire du récit ?
Je ne suis pas sûr d'avoir compris, peux-tu reformuler ?
Bonjour Manu,
Merci pour ton retour !
Bonjour Jane,
J'ai lu l'ensemble du texte sans en comprendre vraiment le sens.
Tous mes textes ont un sens mais surtout un scénario bien précis. Il y a une histoire très concrète derrière l'opacité apparente de mon texte et une fois que le lecteur l'a vue, il ne peut plus revenir à son état de lecture d'avant : de lecteur perdu et se raccrochant au style et au ressenti.
Je suis parti du postulat que l'écriture est fixe. Et j'essaie à travers la mienne de déconstruire ce postulat. Dans cette nouvelle-là, j'essaie de faire passer le lecteur par un état particulier de lecture qu'il perdra pour jamais dès qu'il aura le "déclic" et qu'il comprendra l'histoire. Il aura beau essayer de retrouver cette lecture plus passive et pourtant moins détachée, il ne pourra que s'en souvenir.
C'est très ambitieux et j'ai conscience que c'est très souvent raté. Pour le simple fait que le lecteur ressent rarement le besoin de lire mon récit une deuxième, troisième, etc fois jusqu'à ce qu'il trouve ce qu'il sent devoir chercher. En réalité, seule une personne sur la quinzaine à qui je l'ai présenté a ressenti ce besoin et a fini par arriver là où je voulais l'emmener au bout de 6 lectures. As-tu une ou des suggestions pour ce problème-là ? Si c'est que c'est tout simplement pas assez bon, je prends aussi !
Désolé pour le monologue, c'est la première fois que je sens que je peux parler en profondeur d'un de mes textes sans peur, c'est agréable
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