[Dot Quote]

Mon ancêtre d'un autre temps

Je me souviens pas vraiment...
C'était au cour d'une divagation limbique, un truc du genre :

"Ouais l'écologie en vrai ça veut dire quoi ? Qu'on aime la planète et son écosystème ? Bon. Et alors, trier les déchets par exemple, on le fait vachement mieux qu'à cette époque romantique où les ordures étaient à la rue. Ok, d'un côté, on gère mieux les déchets... et encore, parce que javeliser l'eau potable, je trouve ça limite un peu malsain, comme propreté, mais bon... et de l'autre on en crée de plus en plus ! Eh oui, d'où le problème actuel de pureté de l'environnement. Mais à ceux qui croient que trier la moitié d'un pot de yahourt en moins, c'est une solution morale qu'on devrait appliquer depuis qu'on pollue, j'aurais envie de lancer des encouragements un peu désespérés ! Enfin quoi, un singe, il trie ses peaux de bananes ? Non, il vit dans la forêt, y'a pas de pollution dans son écosystème à lui... Dommage que le notre vienne tout pourrir ! Du coup, quoi ? Si on veut sauver la planète faut arrêter d'empiéter sur l'écosystème des peaux de bananes à recyclage automatique ? Bin pourquoi pas, mais dans ce cas la pollution est un problème de surpopulation, et là on dévie sur une problématique dont les solutions apporteraient un global de bénéfices largement supérieur ! Bref... mon singe, là ? Eh bin non seulement il est plus écologiste que n'importe lequel des humains, mais en plus il le fait sans ambition et sans conscience, puisqu'il va pas s'emmerder à entasser ses peaux de bananes à cause que y'a plus de place dans sa société soi-disant proprement organisée et démographiquement bien régulée... Donc le singe là, ce vieux frère, ou ce cousin disons... moi j'ai envie de le respecter, et plus que ça, de le questionner dans sa conduite naturelle... Enfin merde je veux dire si il faut se demander comment être propre dans ce monde, c'est qu'on ne l'est pas ! Alors toutes ces problématiques qui ne concernent le singe que parce qu'on lui partage un petit bout de territoire, bin c'est des trucs, de un adressés à une espèce de gros crados surpeuplés, et de deux, justement au-delà de toute préoccupation du morceau d'anthropomorphe qui me sert ici de maître à penser... En gros : lui qui respecte mieux la planète que moi ne comprendrait même pas le débat sur l'écologie !"

Voilà donc en gros à partir de cette expérience de pensée qui m'est familière dans ses tenants et aboutissants que je vous dévoile ici, bin j'ai décidé de vous les dévoiler ici... '-'

Sous la forme d'un jeu :

à Imaginer, une situation dépassant la mésentente, ou même le qui proquo :
- L'incapacité de se raccrocher à l'entendement de son interlocuteur par le discours ! hvv ça fait presque peur, dit comme ça...
à Rédiger, une fiction, un titre, une idée, l'exposé d'un quoi... sur la thématique :
- Dialoguer avec un ancêtre plus ou moins lointain, à propos d'un anachronisme qu'il ne pourrait pas comprendre.

Je pourrais poster ce sujet dans une section à défi, pour la prose que cela pourrait inspirer, mais je préfère ici car ce qui m'intéresse n'est pas la qualité d'écrits pourtant reçus agréablement dans leur partage, mais bien des idées d'une phrase que vous pourriez vous permettre comme l'exemple :

"S'imaginer dialoguer écologie avec un australopithèque"

Si vous vous en amuseriez...
(avec n'importe lesquelles des époques et des problématiques)

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ou en inversant la situation... un ancêtre lointain qui ne comprendrait pas une actualité...

"S'imaginer écouter un Spartiate vanter l'honneur de la mort au combat"

"Mais il raconte quoi le type... il se lève tous les matins en pensant à la gloire de son peuple, et il a drôlement l'air de se dire que par l'abnégation de lui-même pour une cause sociale qu'il considère supérieure, il parviendra à la satisfaction de ce lui-même abnégué... bon il est hargneux, serait-ce son lui profond qui crie vengeance, à la fois pour se motoriser et pour s'oublier par un discours de déni ? Enfin quoi, son rêve c'est de mourir au combat ! Déjà, mourir comme projet de vie, j'ai pas vu ça dans beaucoup de manuels de vie du 21ème siècle... enfin pourquoi pas, mais là, comme ça, d'un coup d'épée, sur les mers ou dans le désert, c'est-à-dire loin de chez lui, de sa famille, et puis un peu douloureusement quand même, je veux dire c'est pas n'importe quoi la mort... Il parle d'égorger des types, de les envoyer se faire juger par les divinités, et d'espérer que quand viendra le moment, il sera digne. Non mais sérieux, il dit qu'il a pas peur, mais c'est juste pour avoir moins peur je pense... Oulah il continue j'en peux plus moi, je vais me prendre un petit aspirine..."

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un truc un peu dans le genre
une situation impalpable d'irrationnel
qui se tient pourtant dans
un rapport à l'environnement

Comme quoi on apprend bien à tuer la petite bête

Eh ouais, je me disais...
Moi j'aime pas tuer les araignées dans mon appart : déjà, parce que c'est pas bien dur et pas bien profitable, alors que ça coûte cher une vie... la pauvre petite, elle galère déjà dans son existence humanisée par omniprésence, si en plus elle me côtoie avec en prime le risque de finir sous un journal enroulé où une tong annuelle, elle a rien de serein pour survivre. Ensuite ; je fais quoi du corps ? Et de l'âme ? Dans tous les cas la responsabilité de la mort violente et non consentie, c'est un poids que j'assume pas ! Et puis entre autres raisons, il parait que les araignées vivent dans les bonnes maisons ; ça vaut ce que ça vaut, mais les paroles de grand-mères, moi j'aime bien ; un truc atemporel. Donc... je ne tue pas les araignées, et même, je me surprends à voir comme quoi, quand je suis le seul, c'en est instinctivement compulsif pour autrui de se jeter sur l'exécution sommairement enjouée de l'inopportun en situation sédentaire...
Du coup, les araignées pullulent dans mon appart : donc il y a ces trucs à huit pattes, déjà, et puis parce qu'elle ont cette tendance typiquement arachnéenne à faire des toiles d'araignée, il y a des tyroliennes et des filets de sécurité un peu à tous les angles et coins, autre reliefs à trou ou à plein, sur les murs et entre les meubles.
Et moi dans tout ça, je me dis qu'avec un peu de politesse... Bin oui, il y en a une à côté de ce qui a l'air de me servir de bureau. Et bien lorsqu'elle s'approche un peu trop près de mon espace vital, je baffe l'air en sa direction pour la faire fuire. Je la vois alors sprinter et remonter sa toile pendant que je lui dis de faire attention, que c'est ma couverture et pas la sienne ! Elle se stabilise dans son filet, et alors j'observe un phénomène comportamental autant que somatique, tout-à-fait intrigant : l'araignée pompe de l'air, je veux dire... elle fait des pomptes et des tractions, choses qui reviennent à peu près au même selon l'inclinaison d'un plan en trois dimensions. Je sais qu'elle pompe de l'air, que c'est sa manière de reprendre son souffle. Alors... A-t-elle eut peur ou n'est-ce que sa petite gymnastique matinale qui la fait respirer ? Lui ai-je permis, en d'autres termes un peu hâtifs, de ressentir l'affect lié à ma présence, plutôt que de la considérer en figitive à éliminer ? S'est-elle permise, de son côté, d'envisager autre chose que l'envahissement timide car inéluctable, qu'elle m'imposait ? Un compromis est-il possible dans le partage de territoire interespèces ? Il m'apparait bizarre d'envisager ceci, surtout en milieu citadin où l'on croise plus de crottes de chiens et de cadavres de pigeons que d'insectes en laisse... Et j'entrevois grâce à une idée, tout un tas de trucs à entrevoir grâce à cette petite digression inutile et désorganisée...

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Horticultueur

Bin quoi ?
J'suis pas bucheron, déjà... parce que bon, forger des armes pour détrôner les arbres, c'est pas mon délire psychopathe refroidi ; pis ensuite parce que j'ai pas la carrure, mais ceci explique ou comprend cela...
Bon, j'suis pas carnicide, genre... Je vais pas décider à la place d'un bout d'animal ce qui se décide pour lui ou pas, même s'il me demande à manger avec des yeux de j'ai-perdu-les-miens...
Mais quand même :
Avant d'industrialiser la production, j'ai quand même créé celle-ci, par la maîtrise de la culture des espèces végétales.
C'est de l'esclavagisme. Non-humain, non-animal, certes, mais ranger sans distinction de but que la consommation et le profit, les origines contrôlées de ce qui vit grâce au soleil, c'est selon moi l'origine de plein de petits problèmes soulevés par la société.
Quoi !
On est des grosses larves intelligentes dont le seul atout a été de laisser agir la réalité qui, hélas, nous rattrape aujourd'hui : celui qui a compris que la graine conservée et replantée donnait de la flemme, ne s'imaginait pas que les OGMs suivraient les champs rectangulaires et les arroisoirs à pluie...
Les géraniums, c'est comme les chiens : sans l'humain, y'a pas de suite vivante...
Alors le problème c'est pas là où on n'est pas encore venus foutre la merde ! C'est de savoir si on va laisser des endroits libres de nous !
Non ?

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Comment qu'elle marche...

Les mecs qui conduisent des photocopieuses, ils se plaignent de la consommation de papier comme quoi ça bousillerait la planète. Nan mais tu t'es regardé ? T'as tout un bordel de plastique, de métal, de verre sous les doigts et tu te préoccupes de pâte végétale ? Attends deux secondes, tu vas chercher de l'encre dans le cul d'un calamar toi ? Depuis quand diminuer de dix-sept pourcents la masse de déchet papier va sauver la planète, tu crois ? Quand tu appuies sur le bouton de ton véhicule, tu crames mille trucs mille fois plus dangereux qu'une hache dans un tronc, mon coco. Alors ok, moi je suis pas du genre à avoir une solution pour sauver ma propre espèce de son purulent cancer d'omniprésence, mais quand même, je ris. Je ris doucement. Parce que t'as pas l'air de te rendre compte, aux commandes de ta photocopieuse, que t'as les yeux rivés sur les mauvais problèmes. Tu veux recycler quoi, en vrai ? Le papier tant que tu plantes des arbres, t'en auras. Et ses déjections, franchement, c'est pas ça qui noie les tortues de mer et les dauphins. Alors là je vois d'autres pilotes, oui. Ceux qui vont te dire que ta photocopieuse, faut la jeter par la fenêtre, et revenir à des véhicules d'antan. Oui, bon. Heu je pars pas trop n'importe où, quand même, alors y'a un type, un connard, il a inventé la technologie, et y'a des mecs, encore plus cons, qui la conduise tout en hurlant qu'elle leur fait peur. Mais je vais pas juger t'inquiète. Donc le problème, c'est pas du tout de savoir si on est en rade ou pas et de quoi. Des photocopieuses, des arbres, des boutons, on en fait tous les jours, et si c'est de plus en plus, c'est uniquement parce que c'est comme ça et qu'on arrive à un point. Un point fatal. Bientôt, ne restera de nous que des photocopies. Les arbres pousseront sur les photocopieuses, ou l'inverse. Mais y'a un truc : qui a des problèmes de biens, planétaires ou non, a peut-être simplement des problèmes de gestion de biens... Alors pilote, gars, pilote. Et arrête-toi avant d'ouvrir la portière.

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aspirateur

C'est un mec il est là, pis il aspire. Il a son masque-à-oreilles vissé comme un étau, pour pas entendre ce bruit qui ne le dérange plus. Sert à ça le masque : aveugler le son du regard. Donc bin pis moi je me ramène, et je vois qu'il a les nerfs pour un truc, je sais pas, il grogne pas ou en tout cas pas aussi fort que l'aspirateur, mais il fronce un peu un sourcil de masque, il est là la tête baissée sur son toyo, pis il avance, il recule, il danse comme on s'en contrefous d'un troisième pied un peu différent des deux autres. Alors je lui demande, t'sais. Est-ce que ça va ? Pis il s'énerve, il me dit que bien sûr que ça va, avec cette satanée poussière, qu'il va y passer sa vie entière à tout aspirer, et que même à la fin tout ne sera pas terminé. Je suis un peu circonspect, parce que je pige pas trop, mais je voudrais quand même lui dire, et je sais pas comment, que moi je me rappelle d'un lieu que je connais pas, où il n'y a pas de poussière. Un lieu sans béton ni ferronnerie d'antan, un lieu... sans prisons à entendement, à corps déments, à supports du néant. Jamais vu une poussière tenace sur une feuille d'arbre. Sur un rocher. Sur un lac.
Mais il s’énerve que ça va, faut juste aspirer un peu plus le béton, c'est tout.

[Dot Quote]

arfbof
maibon
pitfasson
ouais

Chalumaire

Un mec il avait son mégot de cigarette il s'est pas demandé comment incendier une forêt de barbecue, nan pour se pas trop un peu faire moins chier, il a tout bonnement accroché des bonbonnes de bonbons et avec ses marchemalaupieds grillés de la plante à la pointe en passant pas le tarse et le méta, il a tout cramé au karsher de flammes. Bon. Et puis ? Il avait un tuyau d'incendie, une lance à feu, un truc avec un clic qui fait zbrouf, et accroché à son dos, de la carbure à crayon de carbone. De bois. De gaz il s'étonne, parce que quand il clique le mec, ça fait zbrouf. Oui bah... Bon. Son barbecue il avait un peu rien prévu d'autre qu'un succulent volatile aux ailes de rien, aux airs de liens, aux faussaire d'un sien appétit qui n'aurait suffi qu'en des sphères interdites, délétères, maudites. Et puis à l'éther il s'éternua le mec, et d'un futur apocalyptique il s'extrait pour revenir au passé. Un chalumeau, c'est un dromaludaire à deux bosses, lui a-t-on dit, et il traîne les fosses, sceptique jusqu'à l'os, car ce qu'il poursuit derrière le carrosse, c'est une fumée noire, pas plus sombre que l'obscurité elle-même, mais presque, alors que bon. Le mec il a son mégot de cigarette, il se crame les doigts, les lèvres, même l'intérieur des poumons, de la gorge et de la langue, du palais de ses muqueuses, affalées depuis qu'il clique. Et en fait son barbecue, alors qu'il pleut pas, et bin la forêt ne prend pas. L'incendie reste bien tranquille, bien sage, encore dans l’œuf. Et le mec il se crame le mégot c'est dire, s'il est bien maudit le pauvre, parce que la fraise de sa braise est bien la seule éternelle à ne pas s'enflammer mais pourtant, à quand-même brûler, non pas comme ce chalumaire encroustillé, de la paix ou des pairs de grillés, il espère un peu, que le clic-à-flammes puisse souffler quelque dragon. Frais est le gardon, ce volatile qu'il a pêché, pour le faire revenir, sur la grille de son pain grouillant de fantômes aux flammèches, léchées de flemmes, parce que c'est pour ça qu'il a challumé, le mec et son mégot. Pis alors comme rien ne prenait, il a tout jeté. Et il a fini cramé, comme le poisson.

[Dot Quote]

parce que froblibhy-frehuix-ostipatlu oui oui

et puis quand être pauvre c'était à la mode

Bin ouais... Le mec il était là le premier, bien avant tout le monde. En fait, c'est le premier qui a été repéré. Oui oui, donc ça veut dire d'un côté qu'on l'a compris dans sa démarche, pis, plus complexe, qu'on avait pas compris qu'elle était bien. La démarche du pauvre mec qui le premier se révolte contre le riche. Il ne le fait pas avec l'arme du pauvre, non, son tonneau lui sert d'abris, et il n'est pas vraiment le sien ; s'ils s'abandonnaient, aucun n'en souffrirait. Non. C'est avec une arme de riche, l'argent, la morale incarnée avec ses défauts de diffraction, comme des rayons cachés par un obstacle... Oui.
Diogène bloque le cavalier avec ce qu'aucun n'achetera peut-être jamais autrement que sans argent. Ôte-toi de mon soleil, lui dit-il à ce riche, et le pauvre de savourer sa tranquille paix dérangée inopinément par un pouvoir dérisoir, la domination chevaleresque, dont il n'a cure, non dans son ressenti physique légitimement vécu, mais par l'idéal de sa raison qui va au delà des défauts de matérialisation des richesses morales...

[Dot Quote]

ah oui

cosmoking tie

t'sais t'as tous les gens de gens ils sont là, genre, "ouaaiis, en fait, y'a des méchants au gouvernement de google, ils ont un grand frère qui essaye de nous dominer d'un plaisir machiavélique évident et si pur qu'il se rie de toute rationnalité et de toute émotivité inhérente à nos humaniseries toutes particulières du je suis unique et moi, oui !" ; ouais ouais, les complotistes, ils sont là ils ont pas compris que le livre là, celui qui dit qu'il faut pas faire comme si... bin... comment dire ; une mise en garde, c'est quand même de l'ordre de la bonne volonté commune et partagée, quand le livre il écrit qu'on va tous mourir par un virus, c'est pour qu'on fasse gaffe tu crois ? lis un peu plus, tu veras que ton bouquin il date de quand on a essayé de faire comprendre aux lambdas qu'on avait lancé une guerre qu'on pouvait plus stoper... mais pareil, le complotiste il revient avec un autre bouquin de son grand frère, mettons celui là, pas sur le virus, l'autre, sur la liberté, bin il te dit pareil, que "ouais regarde c'était tout calculé et on fait rien pour y changer, tu viens avec moi ?" nan mais sérieux, et tu lui dis bin oui, la métaphysique, Descartes, le temps que l'info circule étout... mais non, il revient il a toute une bibliothèque de trucs de son temps le complotiste, et d'autres temps aussi, mais lui il trie selon que ce qu'il regarde dans le passé doit déjà être ringard pour son temps, et que l'actuel qu'il lit doit être l'actuel d'un autre temps, oui ; et donc il te sort son troisième bouquin, c'est lequel déjà ? ah oui celui qui raconte la société secrète... hmm ; comment te dire, que la société est peut-être ce que tu aimes à nommer d'idéal à construire ou de réalité à rouspéter, mais heu... bin c'est des textes officiels, accessibles, ratifiés, et que le complotiste il a pas lu, non, parce que sinon son petit penchant pour ce qui relève par exemple de l'instinct naturel à la perception libre de nos êtres, il verrait que c'est juste une reformulation de ce qui gripe un peu dans la machine depuis qu'on essaye de la faire marcher ! ého ! les complotistes là ? quand vous aurez rassemblé tout le monde autour de vous, vous appelerez ça comment le truc auquel vous vous référerez pour vous fédérer ? pis ce sera quoi ? hmm ? le gens de gens il te sort un bouquin là tu crois, genre à propos de politique humaine complotiste ? nonon, là il te raconte que t'es un mouton aveugle comme tout le monde, tout le monde sauf les méchants du grand frère qui aveuglent tout le monde, et lui, qui a l'éclair de lucidité qui le désaveugle un peu, mais partiellement, c'est pourquoi il faut punir les coupables, et les coupables c'est qui ? c'est tout le monde, alors on punit personne là tu lui dis au complotiste il devient parano, il sort plus de chez lui, il lit encore des bouquins comme quoi on va aller dans l'espace après avoir détruit la Terre, mais qu'on est pas allé sur la lune parce qu'elle existe pas, c'est du carton-pâte voyons, y'a pas d'espace, y'a qu'un plat infini qui tourne sur lui-même quand on joue au serpent, alors il faut être sage, et attendre, docilement, que tout ceci se dégonfle, de toutes façons on n'y peut plus rien ni toi ni moi, tous victimes, tous coupables, et c'est très bien expliqué dans ce bouquin sur la déchéance humaine telle qu'on inscrit qu'il faut pas y aller mais qu'on est un peu cons de doigts de lune alors on fonce dedans le problème... le problème c'est pas les écrits ou les comploteurs, c'est en fait, que les complotistes remplissent pas leur job ! bin ouais ils disent qu'ils faut sauver le monde du mal de la volonté humaine au pouvoir, mais... mais ? hmm ? on fait quoi quand y'a un complot secret ultrapuissant, voire même dominant, contre lequel la désinformation ne fait que renforcer nos convictions de fictions, et nos réalités réalisées ? bin je sais pas, mais franchement voilà, il, le gens... je sais pas ! il faudrait qu'il déjoue le complot, s'il le soupçonne, nan ?

[Dot Quote]

roh

biomasse des biolivreurs

nan, le vrai de vrai, c'est l'humain misanthrope ; parce qu'il faut être vâchement haineux pour vivre dans un monde tel que l'humain misanthrope... bin ouais ; ou alors il se rend pas compte de ce que sa masse fait sur lui ? ou alors il sait pas gérer avec sa dimension humainement sociale ? je sais pas, moi je suis allé sur une page de zinternet, et j'y cherchais un truc total différent, à savoir l'ordre des animaux dans la biomasse terrienne, comme ça ça m'aurait fait une méthode répétitive pour plusieurs zntrhp du chatouiller, que j'aurais eu qu'à suivre la décroissance de la liste des items du trucs, je me demandais ça parce que je crois que le premier truc à peu près qui figurerait sur une telle liste, c'est un highscore de ouf, et c'est les vers... mais, là j'ai tombé sur mieuxe ! la même liste, mais pour tout le vivant ! et avec des graphiques de voronoï qui spatialisent un peu l'information limbique, c'est super parlant étout, donc... bin moi je me dis auquai, je fais le même taf en partant là dessus... mais mate le truc, parce qu'en fait c'est pas des camemberts en pourcentages parce que y'a trop d'écarts-types, c'est des carrés mosaïque, et donc t'as pas les pourcentage là, mais alors surprenant mais logique, la biomasse du vivant est occupée en majeure partie par... les plantes ! ouais y'en a de moins en moins il parait, surtout pour la viabilité du zécosystème anthropocènique, mais y'en a quand même beaucoup, car ensuite en beaucoup moins lourd, on a les bactéries, puis les champignons, puis les animaux et voilà ensuite quelques détails... pis si on prend que les animaux qui sont en fait donc à la quatrième position derrière donc, les végétaux, les bactéries, les champignons, bin on voit que on a un gros délire de masses avec les insectes, les poissons... pis en fait moi je viens là pour spécifier une hypertrophie zumaine, qui consiste en sa propre démographie que j'estime juste à peine excédentaire en comparaison des biomasses, donc, parce que autant les poissons ouais, autant ahah, on est genre ptetr dix fois plus nombreux que toutes les autres espèces mammifères sauvages, ce qui n'est pas rien puisque nous faisons partie de ce groupe mais visiblement donc, nous le surreprésentons... pis bin y'a qmm un animaux un peu spécial qui est plus lourd sur terre que le zumain... c'est l'animaux d'élevage, lol, nan mais qui n'a pas envie de faire changer les choses pour retrouver son parquet pas au dessus de la tête, après ce genre d'info ? c'est scientifique jusqu'au point de mon intuition, mais quand même ! un peu de bon sens !

[Dot Quote]

quelle mauvaise foi...
mon ancêtre de aujourd'hui
#sousous #bougonnerie #free #capitalims
Bon, pourquoi tu vas à l'école hein à ton avis, quand t'es gamin ? Tu crois tu vas y apprendre la vie ? Heu alors... Bon, surtout, quand même, ce que tu vas apprendre, c'est des trucs, n'importe quoi, que tu vas plus tard utiliser pour gagner des sousous. Oui c'est moche, je sais. Aujourd'hui les simples curieux du savoir existent, mais la plupart sont malheureux, ou riches, ou les deux. Non, entre les extrêmes un peu rares, il y a les démocrates de la majorité. Ceux qui gèrent la production par leur travail rémunéré. La population, quoi, toi et moi, presque tout le monde visible. Et puis ? Bin ouais tu vas a l'école pour un savoir, qui te permet un savoir-faire, que tu vends depuis toi-même contre valeur convertie en chiffres. Ouais ? C'est donc, si pertinence justifiée, que tout autour de toi, ce que tu vas acheter, c'est un truc plus de la valeur humaine ajoutée. Le salaire de ton commandité, en somme. Et puis le reste. Déjà l'humain ça coute cher, mais après t'as encore le reste oui, qui coûte. Et tout ça ça coûte cher. Alors ok, quand tu payes le plombier et sa pompe à débouchiotte, ca vous renvient moins cher que si chacun la sienne hors de prix, mais par exemple moi mon papier ok il est artisanal, de moins bonne facture qu'un dimilexemplair, mais qmm je ris quand tu sors du resto quatre étoiles en disant que le fait maison c'est meilleurement incomparable ; quel ennui. Or ? Bon tu vas à l'école et en fait la vie normalement c'est surement à ses commanditaires à elle que tu dois ton éducation. Je m'épanche pas.
Et ?

[Dot Quote]

heu bin heu...

ancêtre 22

nan mais une moustiquaire...
t'es là, t'as ton tit jardin, ton tit chienchien, le matoutou, le poisson ou l'ibis, quand c'est pas ce si bruyant hérisson de minuit qui fouine et qui gratte en mode tu-m'as-pas-vu-si-? et tu mets une mousticaire naturelle en fibre de chanvre renforcé
attends attends ; les insectes tu crois qu'ils sont combien d'espèces à disparaître dans les rouages de cette échelle des espèces... ton délocalisé que tu veux éradiquer parce qu'il fout la guerre dans ton bout d'écosystème, il est pter lui-même réfugié politique, ou je sais pas, bougé par nécessité à survivre ; le taux d'espèces dans le micro, c'est pas les six loups ou les cent vingt-sept bouquetins que tu leur dis avec les colombes : 'tiens, vole, petit naturalisme, on a pas encore tout envahi, tu vas te démerder, courage est le nom de ma larme à l'oeil' ; nanan, il te disent que c'est une cité dans ton intestin, et qu'ils ont fièrement trouvé du plastique dans nos organisme, autop, enfin ! bon...
donc t'as ta moustiquaire, ça sauve juste la planète du chatouilli qu'on est en train de commencer à réfléchir... bon... oui... cool... heu... il faut surement un antiseptique ? un sédatif ? un poison ? la base de l'échelle de la vie, c'est sûrement du détail, allez, javel
tout est clean...